Dans son numéro à paraître le 15 février (disponible dés le 10 février en kiosque et en format électronique), Financial Afrik apporte un décryptage sur le processus de rajeunissement actuellement en cours au sein du groupe Saham.
Si le départ de Mehdi Tazi est consommé, celui de Raymond Farhat, cheville ouvrière de la politique de développement du groupe et dernier Mohican de l’équipe Colina à compter dans les décisions stratégiques prises avenue Zerktouni à Casablanca ry avenue Marceau à Paris, fait toujours l’objet de spéculations.
Il est aussi question, dans cette analyse, des relations particulières entre les fondateurs du cabinet Olea et le groupe Saham. Notre article aborde par ailleurs la série de transactions allant de l’entrée et des sorties des fonds SFI et Abraj dans le capital de Saham Finances à la montée en force de Sanlam et à la rapide augmentation de la valorisation du groupe, passée quasiment du simple au double. Une opération cousue de fils d’or et parsemée de belles plus-values dignes du génie du président fondateur, Moulay Hafid Elalamy.