Le grand changement de tendance sera l’augmentation des émissions de la part des entités privées. Les obligations islamiques souveraines pourront quant à elle trouver une alternative dans le financement des infrastructures en Afrique. Pourvu que les barrières réglementaires et techniques soient franchies. Pourvu aussi que le marché secondaire soit suffisamment liquide.
La Malaisie qui reste première destination des investissements islamiques devra encore dominer le marché pour les cinq prochaines années, note l’étude; Derrière, vient le Golfe avec des pays comme Bahrein, Koweit, Oman, Qatar, Arabie Saoudite et Emirats Arabes Unis. Ce dernier pays sera avec l’Arabie Saoudite les leaders des émissions de sukuks en 2014, rapporte l’étude S&P.