JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 27 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — La 8ème édition de la Conférence économique africaine (http://www.afdb.org/fr/aec/) se tiendra à Johannesburg, en Afrique du Sud, du 28 au 30 octobre 2013. Cette rencontre, sous le thème de “l’intégration régionale en Afrique”, est organisée conjointement par le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA) et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).

Logo BAD: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/african-development-bank-2.png

Cette année encore, la Conférence économique africaine rassemblera de hauts responsables politiques et économiques, des chefs d’État, des chercheurs de renom et des experts du développement. En provenance des quatre coins du continent africain et du reste du monde, ils débattront des efforts accomplis par les pays africains pour joindre leurs forces et intégrer leurs économies dans l’optique de les développer tant sur le plan national que régional.

Les participants discuteront également des efforts déployés dans différents domaines et secteurs, tels la finance, le transport routier, les pools énergétiques, la gestion des ressources en eau, la fiscalité et la mobilité des travailleurs. Autres sujets de débats, les enjeux spécifiques liés aux pays à revenus intermédiaires et ceux propres aux Etats fragiles.

La Conférence économique africaine 2013 permettra en outre de discuter des contraintes auxquelles se heurte une intégration régionale efficace : un réseau d’infrastructures régionales peu développé, en particulier en matière de transport, d’énergie et de communications, et un cadre juridique, institutionnel et réglementaire peu approprié. Enfin, les participants tenteront de trouver des solutions pouvant faciliter l’intégration régionale des pays africains.

La rencontre sera un espace unique d’échanges pour les universitaires reconnus et les nouvelles compétences du continent, qui pourront exposer, de manière approfondie, sur leurs recherches portant sur les politiques de développement.

La cérémonie officielle d’ouverture sera présidée par le président sud-africain Jacob Zuma, en présence d’Helen Clark, administrateur du PNUD, Donald Kaberuka, président de la BAD, et Abdalla Hamdok, secrétaire exécutif adjoint de la CEA.

Les inscriptions sont ouvertes.

Evénement :

8e Conférence économique africaine

Date :

Du lundi 28 au mercredi 30 octobre 2013

Lieu :

Montecasino Entertainment Complex, Johannesburg, Afrique du Sud

Officiels :

Jacob Zuma, Président d’Afrique du Sud (inauguration)

Helen Clark, Administrateur, PNUD

Donald Kaberuka, Président, BAD

Abdalla Hamdok, Secrétaire exécutif adjoint, CEA.

Enregistrement en ligne : http://www.afdb.org/fr/aec/online-registration/

Veuillez visiter le site Internet http://www.afdb.org/fr/aec/

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

BAD: Olivia Ndong Obiang, o.ndong-obiang@afdb.org, Tél. (+216) 95 99 97 70

CEA : Mercy Wambui, mwambui@uneca.org, Tél. (+251) 92 10 14 767

PNUD : Nicolas Douillet, nicolas.douillet@undp.org, Tél. +1 212 906 5937

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 27 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — La 8ème édition de la Conférence économique africaine (http://www.afdb.org/fr/aec/) se tiendra à Johannesburg, en Afrique du Sud, du 28 au 30 octobre 2013. Cette rencontre, sous le thème de “l’intégration régionale en Afrique”, est organisée conjointement par le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA) et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).

Logo BAD: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/african-development-bank-2.png

Cette année encore, la Conférence économique africaine rassemblera de hauts responsables politiques et économiques, des chefs d’État, des chercheurs de renom et des experts du développement. En provenance des quatre coins du continent africain et du reste du monde, ils débattront des efforts accomplis par les pays africains pour joindre leurs forces et intégrer leurs économies dans l’optique de les développer tant sur le plan national que régional.

Les participants discuteront également des efforts déployés dans différents domaines et secteurs, tels la finance, le transport routier, les pools énergétiques, la gestion des ressources en eau, la fiscalité et la mobilité des travailleurs. Autres sujets de débats, les enjeux spécifiques liés aux pays à revenus intermédiaires et ceux propres aux Etats fragiles.

La Conférence économique africaine 2013 permettra en outre de discuter des contraintes auxquelles se heurte une intégration régionale efficace : un réseau d’infrastructures régionales peu développé, en particulier en matière de transport, d’énergie et de communications, et un cadre juridique, institutionnel et réglementaire peu approprié. Enfin, les participants tenteront de trouver des solutions pouvant faciliter l’intégration régionale des pays africains.

La rencontre sera un espace unique d’échanges pour les universitaires reconnus et les nouvelles compétences du continent, qui pourront exposer, de manière approfondie, sur leurs recherches portant sur les politiques de développement.

La cérémonie officielle d’ouverture sera présidée par le président sud-africain Jacob Zuma, en présence d’Helen Clark, administrateur du PNUD, Donald Kaberuka, président de la BAD, et Abdalla Hamdok, secrétaire exécutif adjoint de la CEA.

Les inscriptions sont ouvertes.

Evénement :

8e Conférence économique africaine

Date :

Du lundi 28 au mercredi 30 octobre 2013

Lieu :

Montecasino Entertainment Complex, Johannesburg, Afrique du Sud

Officiels :

Jacob Zuma, Président d’Afrique du Sud (inauguration)

Helen Clark, Administrateur, PNUD

Donald Kaberuka, Président, BAD

Abdalla Hamdok, Secrétaire exécutif adjoint, CEA.

Enregistrement en ligne : http://www.afdb.org/fr/aec/online-registration/

Veuillez visiter le site Internet http://www.afdb.org/fr/aec/

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

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BAD: Olivia Ndong Obiang, o.ndong-obiang@afdb.org, Tél. (+216) 95 99 97 70

CEA : Mercy Wambui, mwambui@uneca.org, Tél. (+251) 92 10 14 767

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PARIS, France, 27 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Les participants du Fonds africain de développement (FAD) ont réaffirmé leur engagement à accompagner le mouvement de transformation économique de l’Afrique, en s’accordant sur une reconstitution d’un montant total de 7,3 milliards de dollars EU pour la période 2014-2016. Des millions d’Africains devraient ainsi bénéficier d’une amélioration de l’approvisionnement en énergie, des réseaux de transport, de l’alimentation en eau et de l’assainissement, de l’éducation et de la productivité agricole.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/african-development-bank-2.png

Photo Donald Kaberuka: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/donald-kaberuka-afdb-president.jpg

Les représentants de 27 pays participants (dont quatre africains) ont conclu leurs discussions, ce jeudi 26 septembre 2013, portant sur la treizième reconstitution du Fonds africain de développement (FAD-13). Le FAD est le guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), qui contribue à la réduction de la pauvreté et au développement économique et social dans les pays africains à faible revenu.

Les participants sont convenus d’un montant de reconstitution de 7,3 milliards de dollars EU pour le cycle de 2014 à 2016, dont 1 milliard dédié à la Facilité en faveur des États fragiles. La reconstitution comprend 5,8 milliards de dollars EU en provenance des pays donateurs, ce qui représente une légère hausse par rapport à celle du FAD-12 (2011-2013). Plusieurs pays ont déployé des efforts notables pour assurer une reconstitution solide malgré un contexte budgétaire délicat.

Le Fonds aidera à améliorer les conditions de vie de millions de personnes à travers l’Afrique. Sur la période couverte par le FAD-13, environ 20 millions de personnes devraient être raccordées à des services énergétiques fiables et abordables et 19 millions auraient un meilleur accès au transport ; de plus, 7,5 millions devraient bénéficier de services d’alimentation en eau et d’assainissement ; 3 millions des opportunités de formation professionnelle et technique ; et 7 millions d’une productivité agricole accrue.

« Je me réjouis vivement de ces engagements, qui interviennent sur fond de choix budgétaires difficiles, a déclaré le président de la Banque africaine de développement. Ils constituent un signal fort de soutien à l’Afrique, ainsi qu’à la vision que porte la Banque pour une croissance inclusive et durable. Ils renforcent en outre notre capacité d’exécution de notre ambitieux programme qui s’articule autour des infrastructures, de l’intégration économique, du développement du secteur privé, en veillant plus particulièrement à accélérer l’égalité entre les hommes et les femmes et à relever les défis de la fragilité en Afrique. L’innovation demeure primordiale si l’on veut tirer le meilleur parti des ressources concessionnelles mobilisées aujourd’hui ».

Les participants ont salué l’impact positif du FAD sur les conditions de vie des populations en Afrique. « Le rôle essentiel du Groupe de la BAD dans la réalisation de la transformation de l’Afrique, et la recherche de solutions face aux enjeux cruciaux du développement, tels que la fragilité, n’a jamais été aussi manifeste. C’est pourquoi – malgré des contraintes réelles et des restrictions budgétaires dans la plupart des pays – les participants ont reconnu la pertinence et l’efficience du Groupe de la Banque, et réaffirmé leur ferme soutien et leur confiance au Fonds africain de développement”, a fait remarquer Richard Manning, coordonnateur du FAD-13.

Les participants ont noté avec satisfaction que les pays africains continuent de renforcer leur rôle, la Libye et l’Angola rejoignant l’Afrique et l’Égypte comme contributeurs du Fonds.

Reconnaissant l’importance du secteur privé dans la promotion de la croissance dans les pays africains à faible revenu, les participants ont entériné la création de deux instruments de rehaussement du crédit – la Garantie partielle de crédit et la Facilité de rehaussement du crédit du secteur privé –, destinés à attirer les capitaux privés pour les projets de développement transformationnel.

Les pays bénéficiaires du FAD étaient représentés par des délégués de Côte d’Ivoire, du Ghana, du Kenya et du Malawi. Tous ont unanimement souligné la nécessité pour le Groupe de la Banque de « continuer à soutenir les efforts déployés par les pays africains pour faire reculer la pauvreté, promouvoir une croissance inclusive et améliorer les conditions de vie de leurs citoyens ». Reconnaissant que « le Groupe de la Banque africaine de développement mobilise les financements requis pour combler le déficit d’infrastructure qui coûte tant à l’Afrique en termes d’opportunités manquées et de PIB », ils ont souligné que « le Groupe de la Banque stimule notre ambition et notre croissance, et se tient à nos côtés, tant dans les moments difficiles qu’en période plus favorable ».

Benoît Chervalier, chef de l’Unité de mobilisation et d’allocation des ressources à la Banque africaine de développement, a quant à lui déclaré : « Nous avons l’espoir qu’un plus grand nombre de pays africains seront capables de contribuer au Fonds, en particulier à mesure que les pays bénéficiaires du FAD opéreront leur transition vers le statut de pays à revenu intermédiaire ». Et d’ajouter : « Le continent est en train de prendre en main son propre développement ».

Directeur général du Trésor et gouverneur représentant la France au Groupe de la Banque, Ramon Fernandez a conclu sur ces mots : « Le Groupe de la Banque africaine de développement est un bien public régional qui joue un rôle unique, consistant à aider les pays africains à accomplir tout leur potentiel. Nul doute que le Groupe de la Banque africaine de développement mettra son avantage comparatif au service de la transition de tous les pays africains, dans leur cheminement vers une croissance durable et inclusive ».

Tous les participants ont exprimé leur gratitude au gouvernement français pour avoir accueilli l’événement.

Distributed by the African Press Organization on behalf of the African Development Bank (AfDB).

Contacts

Magatte Wade, m.wade@afdb.org +216 98 34 37 34

Auriane Mortreuil, a.mortreuil@afdb.org +216 55 76 83 24

Note des éditeurs

Le Fonds africain de développement (FAD) est le guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD). Fondée en 1972, il est devenu opérationnel en 1974. Le Fonds est administré par la Banque africaine de développement. Ses 27 pays contributeurs œuvrent en faveur de 40 pays en Afrique.

Le FAD contribue à la promotion du développement économique et social dans les pays africains les moins développés en offrant des financements concessionnels pour la mise en œuvre de projets et de programmes, et l’assistance technique pour la réalisation des études et des activités de renforcement des capacités.

Les ressources du FAD-13 seront acheminées par le biais d’une combinaison d’instruments de financement répondant le mieux aux besoins et aux capacités de ses clients. Il s’agit notamment de : prêts, dons et garanties (principal véhicule d’appui au titre du FAD-13), projets multinationaux, investissements du secteur privé, lignes de crédit, prises de participations, renforcement des capacités et préparation de projet, garanties partielles de risques et garanties partielles de crédit, et opérations à l’appui de programmes.

Les ressources du Fonds sont renouvelées tous les trois ans par ses donateurs.

Les participants au FAD-13 sont : Autriche, Belgique, Brésil, Canada, Chine, Danemark, Égypte, Finlande, France, Allemagne, Inde, Italie, Japon, Corée, Koweït, Pays-Bas, Norvège, Portugal, Arabie Saoudite, Afrique du Sud, Espagne, Suède, Suisse, Royaume-Uni et États-Unis d’Amérique. L’Angola et la Libye deviennent de nouveaux donateurs dans le cadre du FAD-13.

Pour de plus amples informations sur le Fonds africain de développement, veuillez visiter le site : http://www.afdb.org/adf

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 34 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’information : http://j.mp/AFDB_Media

BALE, Suisse, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ —

• Power of One permet au public de financer des tests et traitements antipaludéens pour les enfants en Afrique par le biais dernières technologies web et mobiles

• Novartis est le sponsor « traitements » exclusif dans le cadre de cette campagne et fera don de trois millions de traitements Coartem® Dispersible, son antipaludéen pédiatrique, afin de doubler l’impact des dons du public

• Novartis, un leader de longue date dans le contrôle et l’élimination du paludisme, a fourni 200 millions de traitements antipaludéens pédiatriques à prix coûtant aux pays impaludés depuis 2009

Novartis (http://www.novartis.com) et Malaria No More ont annoncé aujourd’hui le lancement de la campagne Power of One (http://www.Po1.org), qui encourage les citoyens du monde entier à aider à mettre fin aux décès d’enfants causés par le paludisme. Novartis soutiendra cette campagne financièrement et offrira également jusqu’à trois millions de traitements Coartem® Dispersible, son antipaludéen pédiatrique, afin de doubler l’impact des dons du public. L’engagement de la société dans la campagne Power of One reflète sa longue tradition de lutte contre le paludisme; l’initiative Novartis contre le paludisme est l’un des programmes d’accès aux médicaments les plus importants dans l’industrie des soins de santé.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/novartis.jpg

Le paludisme est une pathologie qui peut être évitée et soignée; pourtant, un enfant en meurt chaque minute. Selon les estimations, plus de 300 millions de traitements supplémentaires seront nécessaires pour traiter les patients atteints de paludisme dans l’ensemble de l’Afrique entre aujourd’hui et fin-2015. La campagne Power of One vise à combler cet écart par le biais de dons directs et d’engagements gouvernementaux existants. Chaque dollar versé à la campagne permettra d’acheter et de livrer un traitement à un enfant atteint de paludisme.

« Je suis fier de l’impact important que Novartis a de longue date dans la lutte contre le paludisme. Malgré tous nos progrès, il reste encore beaucoup à faire », a déclaré Joseph Jimenez, Directeur général de Novartis de Novartis. « Nous avons besoin de davantage d’aide pour combler les lacunes en matière de traitements, et Power of One offre à tout un chacun la chance de s’engager et d’aider les enfants souffrant de paludisme. »

S’appuyant sur les dernières technologies sociales, mobiles et d’e-commerce, Power of One permet au public de parrainer un traitement et de suivre son itinéraire. Les donateurs pourront voir l’impact de leurs contributions sur le terrain, partager des informations avec leurs réseaux et recruter d’autres donateurs.

« Il est inacceptable qu’un enfant meurt chaque minute par manque d’un traitement qui ne coûte qu’un dollar », a ajouté Martin Edlund, Président de Malaria No More. « Nous appelons tous les citoyens du monde à participer à la campagne Power of One, à faire des dons et à engager leurs amis dans cette lutte. »

Novartis est le sponsor « traitements » exclusif de la campagne Power of One, rejoignant certaines des entreprises les plus innovantes au monde. Les autres sponsors incluent Alere Inc., qui fournira des tests de diagnostic rapide du paludisme, 21st Century Fox, AHAlife.com, Causes.com, Time Warner, Twitter, Venmo et d’autres. La Zambie sera le premier pays à recevoir des livraisons de traitements et de tests dans le cadre de la campagne Power of One.

Novartis franchit la barre des 200 millions de traitements Coartem® Dispersible

Depuis 2009, Novartis a fourni 200 millions de traitements de son antipaludéen pédiatrique Coartem® Dispersible à prix coûtant à plus de 50 pays impaludés. C’est la première fois qu’autant de traitements pédiatriques ont été distribués en si peu de temps pour aider les enfants atteints de paludisme. Le 200 millionième traitement a été livré à la Zambie, qui a également reçu la première livraison de traitements de Novartis dans le cadre de la campagne Power of One. Ces traitements ont été financés grâce à une collecte de fonds organisée pendant la Journée mondiale de lutte contre le paludisme le 25 avril 2013.

« MMV félicite Novartis pour cet accomplissement remarquable », a commenté David Reddy, Président de Medicines for Malaria Venture. « Novartis a fait un travail formidable en rendant accessible un médicament innovant aux jeunes victimes vulnérables du paludisme en Zambie et dans plus de 50 autres pays, lui donnant une portée mondiale. Chez MMV, nous sommes fiers de notre partenariat avec Novartis dans le cadre du développement de cette importante formulation. »

L’initiative Novartis contre le paludisme est l’un des programmes d’accès aux médicaments les plus importants dans l’industrie des soins de santé. A l’avenir, Novartis s’engage à vaincre le paludisme en travaillant comme tête de file à la mise au point de la prochaine génération d’antipaludéen. A ce jour, deux nouvelles classes d’antipaludéens sont en cours de développement, la molécule la plus avancée faisant l’objet d’essais cliniques de phase II.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Novartis.

Pour plus d’informations, veuillez consulter http://www.malaria.novartis.com

A propos de Novartis

Novartis (http://www.novartis.com) propose des solutions thérapeutiques innovantes destinées à répondre aux besoins en constante évolution des patients et des populations. Basée à Bâle, en Suisse, Novartis offre un portefeuille diversifié pour répondre au mieux à ces besoins: médicaments innovants, soins ophtalmologiques, génériques peu coûteux, vaccins préventifs et outils de diagnostic, produits de santé en vente libre et produits de santé animale. Novartis est le seul groupe international à occuper une position de leader dans tous ces domaines. En 2012, Novartis a réalisé un chiffre d’affaires net s’élevant à USD 56,7 milliards et dépensé environ USD 9,3 milliards (USD 9,1 milliards hors charges pour pertes de valeur et amortissements) pour la recherche et le développement (R&D). Le Groupe Novartis emploie quelque 131 000 collaborateurs à plein temps et déploie ses activités dans plus de 140 pays à travers le monde. Pour de plus amples informations, veuillez consulter notre site à l’adresse http://www.novartis.com.

Novartis est sur Twitter. Pour vous tenir informé sur Novartis, enregistrez-vous sur http://twitter.com/novartis.

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Des contenus multimédias Novartis sont disponibles sur le site Internet www.thenewsmarket.com/Novartis.

Pour toute question concernant le site ou les conditions d’inscription, veuillez contacter : journalisthelp@thenewsmarket.com.

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BALE, Suisse, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ —

• Power of One permet au public de financer des tests et traitements antipaludéens pour les enfants en Afrique par le biais dernières technologies web et mobiles

• Novartis est le sponsor « traitements » exclusif dans le cadre de cette campagne et fera don de trois millions de traitements Coartem® Dispersible, son antipaludéen pédiatrique, afin de doubler l’impact des dons du public

• Novartis, un leader de longue date dans le contrôle et l’élimination du paludisme, a fourni 200 millions de traitements antipaludéens pédiatriques à prix coûtant aux pays impaludés depuis 2009

Novartis (http://www.novartis.com) et Malaria No More ont annoncé aujourd’hui le lancement de la campagne Power of One (http://www.Po1.org), qui encourage les citoyens du monde entier à aider à mettre fin aux décès d’enfants causés par le paludisme. Novartis soutiendra cette campagne financièrement et offrira également jusqu’à trois millions de traitements Coartem® Dispersible, son antipaludéen pédiatrique, afin de doubler l’impact des dons du public. L’engagement de la société dans la campagne Power of One reflète sa longue tradition de lutte contre le paludisme; l’initiative Novartis contre le paludisme est l’un des programmes d’accès aux médicaments les plus importants dans l’industrie des soins de santé.

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Le paludisme est une pathologie qui peut être évitée et soignée; pourtant, un enfant en meurt chaque minute. Selon les estimations, plus de 300 millions de traitements supplémentaires seront nécessaires pour traiter les patients atteints de paludisme dans l’ensemble de l’Afrique entre aujourd’hui et fin-2015. La campagne Power of One vise à combler cet écart par le biais de dons directs et d’engagements gouvernementaux existants. Chaque dollar versé à la campagne permettra d’acheter et de livrer un traitement à un enfant atteint de paludisme.

« Je suis fier de l’impact important que Novartis a de longue date dans la lutte contre le paludisme. Malgré tous nos progrès, il reste encore beaucoup à faire », a déclaré Joseph Jimenez, Directeur général de Novartis de Novartis. « Nous avons besoin de davantage d’aide pour combler les lacunes en matière de traitements, et Power of One offre à tout un chacun la chance de s’engager et d’aider les enfants souffrant de paludisme. »

S’appuyant sur les dernières technologies sociales, mobiles et d’e-commerce, Power of One permet au public de parrainer un traitement et de suivre son itinéraire. Les donateurs pourront voir l’impact de leurs contributions sur le terrain, partager des informations avec leurs réseaux et recruter d’autres donateurs.

« Il est inacceptable qu’un enfant meurt chaque minute par manque d’un traitement qui ne coûte qu’un dollar », a ajouté Martin Edlund, Président de Malaria No More. « Nous appelons tous les citoyens du monde à participer à la campagne Power of One, à faire des dons et à engager leurs amis dans cette lutte. »

Novartis est le sponsor « traitements » exclusif de la campagne Power of One, rejoignant certaines des entreprises les plus innovantes au monde. Les autres sponsors incluent Alere Inc., qui fournira des tests de diagnostic rapide du paludisme, 21st Century Fox, AHAlife.com, Causes.com, Time Warner, Twitter, Venmo et d’autres. La Zambie sera le premier pays à recevoir des livraisons de traitements et de tests dans le cadre de la campagne Power of One.

Novartis franchit la barre des 200 millions de traitements Coartem® Dispersible

Depuis 2009, Novartis a fourni 200 millions de traitements de son antipaludéen pédiatrique Coartem® Dispersible à prix coûtant à plus de 50 pays impaludés. C’est la première fois qu’autant de traitements pédiatriques ont été distribués en si peu de temps pour aider les enfants atteints de paludisme. Le 200 millionième traitement a été livré à la Zambie, qui a également reçu la première livraison de traitements de Novartis dans le cadre de la campagne Power of One. Ces traitements ont été financés grâce à une collecte de fonds organisée pendant la Journée mondiale de lutte contre le paludisme le 25 avril 2013.

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OTTAWA, Canada, 27 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le ministre du Développement international et ministre de la Francophonie, l’honorable Christian Paradis, s’exprimant au nom du ministre du Commerce international, l’honorable Ed Fast, auquel s’est joint aujourd’hui le premier ministre de la Côte d’Ivoire, M. Daniel Kablan Duncan, et son ministre de l’Industrie et des Mines, M. Jean-Claude Brou, ont annoncé la conclusion des négociations d’un accord sur la promotion et la protection des investissements étrangers (APIE) entre le Canada et la Côte d’Ivoire. Le ministre Paradis a fait cette annonce à Montréal, à l’occasion du Forum Africa 2013, une conférence de trois jours organisée par le magazine Afrique Expansion et le Groupe de la Banque africaine de développement.

« Notre gouvernement est résolu à mettre en place les conditions qui permettront aux entreprises canadiennes d’être concurrentielles et de réussir à l’échelle internationale, ce qui crée des emplois et stimule la croissance économique ici au pays, a déclaré le ministre Paradis. L’accord sur l’investissement annoncé aujourd’hui fournira une protection accrue aux entreprises canadiennes menant des activités en Côte d’Ivoire et resserrera davantage les liens économiques entre nos deux pays. »

Un APIE est un traité qui vise à promouvoir et à protéger les investissements canadiens à l’étranger au moyen de dispositions juridiquement contraignantes, ainsi qu’à promouvoir les investissements étrangers au Canada. En assurant une protection accrue contre les pratiques discriminatoires et arbitraires et en améliorant la prévisibilité du cadre stratégique d’un marché, un APIE accroît la confiance des entreprises au moment d’investir. Une fois qu’il aura été mis en œuvre, l’accord conclu avec la Côte d’Ivoire facilitera les flux d’investissements bilatéraux.

La Côte d’Ivoire recèle un potentiel considérable d’expansion des investissements canadiens, investissements qu’elle accueille déjà favorablement, particulièrement dans les secteurs de l’exploitation minière, de l’infrastructure, des transports et de l’éducation. En 2011, les intérêts miniers canadiens en Côte d’Ivoire étaient évalués à 15 millions de dollars.

« L’annonce faite aujourd’hui est un nouvel exemple des résultats concrets qui découlent du plus ambitieux plan d’expansion du commerce et de l’investissement de l’histoire du Canada, a affirmé le ministre Fast. Notre gouvernement est résolu à mettre en place les politiques adéquates et à offrir les services appropriés afin de faciliter l’expansion et la réussite des entreprises à l’étranger, ce qui, nous le savons, favorise la création d’emplois et la prospérité ici même au pays. »

La Côte d’Ivoire est la troisième économie en importance de l’Afrique occidentale, derrière le Nigéria et le Ghana. Elle est aussi une partenaire de longue date du Canada sur la scène internationale, les deux pays ayant de nombreux intérêts en commun, notamment au sein d’associations comme la Francophonie.

Outre la Côte d’Ivoire, le Canada a conclu des APIE avec le Bénin, le Cameroun, Madagascar, le Mali, le Nigéria, le Sénégal, la Tanzanie et la Zambie dans le cadre de son programme pour protéger les investissements canadiens en Afrique. En outre, il a amorcé des négociations visant à conclure des APIE avec le Burkina Faso, le Ghana, la Guinée et la Tunisie. Le Canada compte actuellement 24 APIE en vigueur à l’échelle internationale.

Trois jours après l’attaque lancée par un commando terroriste sur le centre commercial de Westgate à Nairobi[1], et alors que…

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 25 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Quatorze jeunes employés de Maersk (http://www.maersk.com) participeront au 4e sommet annuel One Young World, qui aura lieu la semaine prochaine à Johannesburg, en Afrique du Sud.

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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=637 (Deniz Kirdar, Diversity and Inclusion Manager (Photo Peter Elmholt)

Organisé par l’association caritative One Young World, cet événement réunit à la fois des leaders politiques tels que Kofi Annan et Sir Bob Geldof et des personnes aspirant à faire partie de la prochaine génération de leaders mondiaux.

Une chance unique

L’un des participants africains de Maersk est Sow Thierno Madjou, âgé de 29 ans et originaire de Guinée, en Afrique occidentale :

« Ce rendez-vous est une chance unique de rencontrer et nouer des relations avec de jeunes leaders du futur venus du monde entier. Je me réjouis particulièrement de parler d’aspects socio-politiques et économiques avec des participants de différents pays, et j’espère me servir plus tard de cette inspiration pour apporter des changements positifs dans mon propre pays », a déclaré M. Madjou, qui occupe actuellement le poste de contrôleur financier chez Maersk Line.

De même, Junaid Kathrada, âgé de 29 ans, considère cette conférence comme une excellente opportunité d’apprendre auprès de leaders influents des quatre coins du globe :

« J’espère pourvoir tirer parti des expériences et connaissances des délégués, ambassadeurs et invités, et aussi établir des réseaux qui me permettront, ainsi qu’aux autres participants, de faire une différence visible au sein de nos propres sociétés », a ajouté M. Kathrada, qui travaille au sein du service à la clientèle de Safmarine à Durban.

Attirer des talents du vivier le plus large possible

Cet événement donne à Maersk une précieuse opportunité de développer et inspirer des personnes aspirant à devenir des leaders, en particulier sur les marchés à forte croissance où la concurrence pour les affaires, et les personnes talentueuses nécessaires pour les mener, est forte. Rien qu’en Afrique, le Groupe emploie plus de 10 000 personnes, et souhaiterait en attirer encore plus :

« Le Groupe Maersk est présent en Afrique depuis plus d’un siècle, et possède des bureaux dans presque tous les pays du continent. Nous visons à refléter les communautés dans lesquelles nous menons nos activités et à attirer des talents du vivier le plus large possible. Nous souhaitons renforcer encore davantage notre diversité », a commenté Deniz Kirdar True, responsable de la division Diversité et Inclusion du Groupe Maersk.

Maersk encourage les futurs leaders à faire preuve de curiosité

Le Groupe Maersk voit également la valeur de faire participer ses talents au sommet One Young World comme une façon d’élargir davantage leur horizon :

« Nous encourageons nos futurs leaders à être faire preuve de curiosité concernant les différentes façons de faire dans d’autres sociétés, dans d’autres secteurs et sur d’autres marchés. En tant que groupe, nous avons intérêt à chercher d’autres perspectives et à être prêts à remettre en question les approches traditionnelles, et je pense que le sommet One Young World offre une occasion de le faire », a conclu M. True.

Originaire de Lima, au Pérou, Patricia Pretell interviendra pendant la session plénière de One Young World sur le commerce international (prévue le 5 octobre à 8h30). Mme Pretell travaille depuis l’Amérique latine chez Damco, la branche logistique du Groupe Maersk. Les treize autres participants de Maersk représentent plusieurs activités et marchés différents du groupe, notamment l’Inde, le Brésil, l’Afrique du Sud, la Guinée, le Maroc, les Philippines, la Chine, le Pakistan, la Jordanie et le Nigeria.

La conférence, qui se tiendra du 2 au 5 octobre 2013, abordera plusieurs thèmes parmi lesquels l’éducation, le chômage des jeunes, les droits de l’homme, le commerce international, le leadership et les gouvernements, ainsi que le développement durable. Pour en savoir plus sur la conférence, rendez-vous sur le site http://www.oneyoungworld.com

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Maersk Group.

Contacts :

Pour tout complément d’information, veuillez contacter Lebo Madiba, attachée de presse lebo@prpowerhouse.co.za, +27823925339 (portable), ou Christine Drud von Haffner, partenaire de communications sénior du Groupe Maersk Christine.haffner@maersk.com, +4533631945.

A propos du Groupe Maersk

Le Groupe Maersk (http://www.maersk.com) est un conglomérat mondial opérant dans les secteurs du transport ainsi que du pétrole et du gaz. Nous sommes présents dans 130 pays, et employons environ 121 000 personnes. Quatre de nos sociétés – Maersk Line, APM Terminals, Maersk Oil et Maersk Drilling – constituent l’essentiel de nos investissements en croissance stratégique.

NEW YORK, 24 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Koffi Djondo et Tony Elumelu, deux grands hommes d’affaires africains, ont été parmi les heureux gagnants des Trophées African Business (http://www.african-business-awards.com). Cette prestigieuse cérémonie, organisée par le magazine African Business, s’est déroulée le 20 septembre en présence d’éminentes personnalités et hommes d’affaires à l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unis à New York.

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Le grand leader togolais Gervais Koffi Djondo, l’un des pères fondateurs du groupe bancaire pan-Africain Ecobank, et fondateur de la compagnie aérienne pan-Africaine Asky, a été honoré pour sa vie exemplaire et son rôle dans la création de deux géants africains de la finance et de l’aviation, qui participent activement à l’intégration régionale et continentale.

Ethiopian Airlines a obtenu le Trophée de Meilleure entreprise africaine. Cette compagnie aérienne est un modèle de réussite dans un secteur difficile et concurrentiel.

Le Trophée Icône de l’année d’African Business a été décerné au banquier nigérian et philantropiste Tony Elumelu pour sa contribution à la transformation et au progrès du monde des affaires. Bola Adesola, présidente de la banque nigériane Standard Chartered est l’heureuse gagnante du Trophée Business Woman de l’année.

Le Trophée de l’Innovation a été obtenu par Mawingu, un nouveau projet dans les télécommunications au Kenya, qui utilise les technologies sans fil innovantes et l’énergie solaire pour fournir un accès rapide au niveau national.

Le très convoité Business Leader de l’année a été décerné à Edward Boateng. En très peu de temps, cet entrepreneur influent a créé un groupe médiatique au Ghana, et a mis en place les meilleures pratiques pour le développement durable et l’environnement.

Commentant la cérémonie, Omar Ben Yedder a déclaré: « les gagnants de ce soir ont de nouveau confirmé l’existence de très grands talents dans tous les domaines à travers tout le continent africain. Le secteur privé est sans aucun doute le secteur le plus dynamique et celui qui joue le rôle le plus important dans le développement économique et social en Afrique. C’est celui qui crée des opportunités et des emplois. Des accords de partenariat commencent à voir le jour entre les gouvernements et le secteur privé. Nous sommes sur la bonne voie, comme le démontrent les succès des entreprises honorées ce soir. »

Les Trophées African Business sont organisés par le magazine African Business et IC Events. Cette cérémonie annuelle a coïncidé avec l’African Leadership Forum, qui a rassemblé les dirigeants africains pour discuter des questions de leadership et bonne gouvernance sur le continent.

Les Trophées African Business sont sponsorisés par GTBank et Mota-Engil Africa (Platine), Bank of Industry et Microsoft 4Afrika (Gold), DHL et Fasken Martineau (Silver), la Banque africaine de développement (Sponsor officiel), Paramount Group (Sponsor), et A PIN’s for PEACE (Sponsor).

Les gagnants de cette année:

Lifetime Achievement Award

Gervais Koffi Djondo, Président, Asky Airlines

African Business Icon

Tony Elumelu, Président, Heirs Holdings

Entreprise Africaine de l’année

Ethiopian Airlines, Ethiopie

Business Leader de l’année

Edward Boateng, Président, Global Media Alliance, Ghana

Business Woman de l’année

Bola Adesola, Présidente, Standard Chartered, Nigeria

Good Corporate Governance

The Abraaj Group, UAE

Trophée de l’Innovation

Mawingu, Kenya

Most Admirable and Valuable Brands in Africa…

Global Brand : Coca Cola

African Brand : MTN

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour IC Publications Ltd.

Contact:

IC Events

IC Publications Ltd

Tel: +44 (0) 20 7841 3210

Direct: +44 (0) 20 7841 3292

Email: o.okafor@icpublications.com

African Business

African Business, publié en anglais à Londres et en français à Paris, est depuis plus de 40 ans le magazine économique de référence du continent africain. Distribué dans plus de 100 pays à travers le monde, il est devenu une source d’informations essentielle pour les institutions et les entreprises qui s’intéressent au développement de l’Afrique. African Business est régulièrement cité par des économistes, des hommes politiques et des médias du monde entier. Le magazine a remporté plusieurs prix et son rédacteur en chef a reçu le titre de meilleur journaliste de l’année. IC Publications publie neuf magazines panafricains en anglais à Londres et en français à Paris.

IC Publications – IC Events

IC Publications a plus de 50 ans d’expérience dans l’édition de magazines, de newsletters, de rapports et suppléments sur les pays africains et arabes. Nos titres leaders – African Business, African Banker, New African, et New African Woman – sont publiés en anglais et en français et ont une audience de plus de 2 millions de lecteurs.

IC Events organise des forums, conférences et tables rondes sur l’Afrique.

BusinessinAfrica Events (BIAE)

BIAE est spécialisée dans la communication d’entreprise et l’organisation d’événements en Afrique.

NEW YORK, 24 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Koffi Djondo et Tony Elumelu, deux grands hommes d’affaires africains, ont été parmi les heureux gagnants des Trophées African Business (http://www.african-business-awards.com). Cette prestigieuse cérémonie, organisée par le magazine African Business, s’est déroulée le 20 septembre en présence d’éminentes personnalités et hommes d’affaires à l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unis à New York.

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Le grand leader togolais Gervais Koffi Djondo, l’un des pères fondateurs du groupe bancaire pan-Africain Ecobank, et fondateur de la compagnie aérienne pan-Africaine Asky, a été honoré pour sa vie exemplaire et son rôle dans la création de deux géants africains de la finance et de l’aviation, qui participent activement à l’intégration régionale et continentale.

Ethiopian Airlines a obtenu le Trophée de Meilleure entreprise africaine. Cette compagnie aérienne est un modèle de réussite dans un secteur difficile et concurrentiel.

Le Trophée Icône de l’année d’African Business a été décerné au banquier nigérian et philantropiste Tony Elumelu pour sa contribution à la transformation et au progrès du monde des affaires. Bola Adesola, présidente de la banque nigériane Standard Chartered est l’heureuse gagnante du Trophée Business Woman de l’année.

Le Trophée de l’Innovation a été obtenu par Mawingu, un nouveau projet dans les télécommunications au Kenya, qui utilise les technologies sans fil innovantes et l’énergie solaire pour fournir un accès rapide au niveau national.

Le très convoité Business Leader de l’année a été décerné à Edward Boateng. En très peu de temps, cet entrepreneur influent a créé un groupe médiatique au Ghana, et a mis en place les meilleures pratiques pour le développement durable et l’environnement.

Commentant la cérémonie, Omar Ben Yedder a déclaré: « les gagnants de ce soir ont de nouveau confirmé l’existence de très grands talents dans tous les domaines à travers tout le continent africain. Le secteur privé est sans aucun doute le secteur le plus dynamique et celui qui joue le rôle le plus important dans le développement économique et social en Afrique. C’est celui qui crée des opportunités et des emplois. Des accords de partenariat commencent à voir le jour entre les gouvernements et le secteur privé. Nous sommes sur la bonne voie, comme le démontrent les succès des entreprises honorées ce soir. »

Les Trophées African Business sont organisés par le magazine African Business et IC Events. Cette cérémonie annuelle a coïncidé avec l’African Leadership Forum, qui a rassemblé les dirigeants africains pour discuter des questions de leadership et bonne gouvernance sur le continent.

Les Trophées African Business sont sponsorisés par GTBank et Mota-Engil Africa (Platine), Bank of Industry et Microsoft 4Afrika (Gold), DHL et Fasken Martineau (Silver), la Banque africaine de développement (Sponsor officiel), Paramount Group (Sponsor), et A PIN’s for PEACE (Sponsor).

Les gagnants de cette année:

Lifetime Achievement Award

Gervais Koffi Djondo, Président, Asky Airlines

African Business Icon

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Entreprise Africaine de l’année

Ethiopian Airlines, Ethiopie

Business Leader de l’année

Edward Boateng, Président, Global Media Alliance, Ghana

Business Woman de l’année

Bola Adesola, Présidente, Standard Chartered, Nigeria

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TUNIS, Tunisie, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Aggreko (http://www.aggreko.com), le leader mondial dans la fourniture de solutions d’énergie temporaire et de régulation de température, a fourni une centrale temporaire de 120 MW à la Tunisie. Cette centrale de production d’électricité contribuera à consolider et à la garantir l’approvisionnement en électricité locale pendant la saison touristique estivale de 2013. Les capacités de production supplémentaires ont été disposées à plusieurs endroits stratégiques à travers le pays pour une période de deux mois ; elles viennent en appoint au réseau d’électricité tunisien. Les centrales Aggreko ont aidé à garantir une source d’alimentation électrique fiable et constante durant tout l’été lorsque la demande en électricité était à son plus haut niveau.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/aggreko.jpg

Avec ce contrat, attribué par la Société Tunisienne d’Electricitié et du Gas (STEG), Aggreko a installé quatre centrales électriques d’une capacité de 30 MW chacune à Enfida, Mateur, Bouficha et El Jem. C’est une capacité suffisante pour approvisionner plus de 190 000 foyers tunisiens, assurer la continuité de l’alimentation en électricité dans les grandes zones industrielles peuplées et surtout tout permettre aux centres touristiques, essentiels à l’économie tunisienne, de maintenir leur niveau d’activité.

Christophe Jacquin, directeur général d’Aggreko Afrique du Nord et de l’Ouest, a déclaré : « ce projet met en lumière les capacités d’Aggreko pour non seulement fournir des solutions importantes et complexes en matière d’électricité à nos clients mais aussi de le faire à la fois rapidement et pendant des périodes relativement courtes. L’usage tactique de l’alimentation électrique temporaire en vue de traiter les pénuries d’énergie saisonnières est une option intéressante pour le grand nombre de nos clients du service public puisqu’elle leur apportera un ravitaillement essentiel tout en prenant les mesures nécessaires pour corriger les lacunes dans leurs centrales et réseaux de distribution »

« Pouvoir mobiliser et commissionner 120 MW d’énergie répartis sur quatre localités différentes en moins de deux mois est une réalisation impressionnante », a affirmé David Taylor-Smith, Directeur régional d’Aggreko en Europe, Moyen-Orient et Afrique. « La capacité de réaliser des projets d’une telle envergure dans un délai aussi court est spécifique à Aggreko et témoigne de l’expérience et du professionnalisme de nos équipes d’ingénierie et techniques »

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Aggreko plc.

Contact presse :

Nicholas van Santen

Directeur des Relations Publiques et de la communication

Aggreko EMEA

Tél. : +971 56 682 5978

E-mail : nicholas.vansanten@aggreko.ae

A propos de Aggreko

Aggreko International (http://www.aggreko.com) est le leader mondial dans la fourniture de solutions d’énergie temporaire et de régulation de température. Basée en Écosse, Aggreko emploie plus de 5 700 personnes réparties dans 194 centres de service. En 2012, nous sommes intervenus pour des clients dans environ 100 pays et avons généré un chiffre d’affaires d’environ 1,6 milliard GBP (2,5 milliards USD ou 2,0 milliards EUR). Aggreko plc est cotée à la bourse de Londres (AGK.L) et la société est membre de l’indice FTSE-100. Pour tout complément d’information, veuillez consulter le site Internet de la société à l’adresse : http://www.aggreko.com

Aggreko fournit des solutions d’alimentation électrique et de régulation de température rapidement mobilisables, sur des courtes ou moyennes périodes. Nous pouvons par exemple fournir de l’énergie à un site industriel pour assurer la continuité de son alimentation électrique, alimenter une ville lors de pannes sur le réseau local, ou fournir des solutions d’alimentation électrique et de refroidissement à l’occasion de grands événements (sport, musique…).

Nous répondons aux besoins de nos clients à travers nos 194 centres de service à travers le monde.

Parmi nos récents clients figurent notamment les Jeux olympiques et paralympiques de Londres 2012 (http://www.aggreko.com/media-centre/press-releases/aggreko-supports-a-powerful-london-2012), les Jeux olympiques d’hiver de Vancouver 2010 (http://www.aggreko.com/events/the-olympics/vancouver-2010) et les compagnies de services publics de plus de 50 pays : Royaume-Uni, France, Angola, Kenya, Indonésie, Bangladesh, Venezuela, Chili, Brésil, États-Unis…

En 2012, nous avons répondu aux besoins de près de 45 000 clients, dont 70 % nous ont accordé une note de 9/10 ou de 10/10 lors d’une enquête de satisfaction client.

Pour plus d’informations: http://africa.aggreko.com

La sanglante prise d’otages perpétrée par un commando somalien dans le  centre commercial Westgate, dans un quartier de Nairobi, symbole…

NEW YORK, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — DHL Express (http://www.dhl.com), la première société de messageries et de colis au monde, pense que les échanges entre les États-Unis et l’Afrique subsaharienne offrent des perspectives de croissance, du fait que ces deux régions se basent sur la récente directive de politique présidentielle américaine (Presidential Policy Directive, PPD) pour parvenir au développement durable par le biais de l’accroissement des échanges et des investissements.

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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/charles-brewer.jpg (Charles Brewer, Managing Director for DHL Express Sub-Saharan Africa)

« Nous avons déjà assisté à cette expansion du commerce dans des pays spécifiques du continent, parce qu’ils bénéficient d’accords commerciaux préférentiels et d’un changement de politique mis en œuvre par l’État, visant à augmenter leurs exportations et importations avec les États-Unis » déclare Charles Brewer, Directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne. M. Brewer est actuellement en visite aux États-Unis en vue de rencontrer des principaux intervenants et des multinationales et pour promouvoir le commerce entre les deux régions.

Les chiffres publiés récemment par le Fonds monétaire international (FMI) ainsi que la performance de la Société montrent des perspectives économiques extrêmement positives pour l’Afrique. Les chiffres mettent également en évidence le fait que l’Afrique paraît moins confrontée aux aléas de l’économie mondiale que d’autres régions, du fait de la diversification de ses partenaires commerciaux.

« Depuis 2001, de nombreux pays africains ont connu un important changement de cap en termes de partenaires commerciaux », remarque M. Brewer. « Tandis que notre commerce intra-africain et avec l’Asie s’est intensifié de manière significative, nous avons réduit notre dépendance envers l’Europe. La prochaine région de croissance sera les États-Unis et nous sommes ravis de constater que le gouvernement américain est prêt à supprimer les barrières commerciales pour y parvenir ».

Le rapport sur les Perspectives économiques pour l’Afrique subsaharienne du FMI indique des prévisions d’augmentation de l’activité économique de 5 % dans cette région en 2012 et 2013, un rythme analogue à celui observé en 2010–11. Les marchés principaux à l’origine de cette croissance sont le Nigéria, le Ghana, le Mozambique, l’Île Maurice et l’Afrique du Sud.

La société de colis a vu un tableau analogue se profiler entre les États-Unis et diverses routes commerciales africaines bénéficiant d’économies plus importantes et plus développées telles que l’Afrique du Sud, le Nigeria, l’Éthiopie, le Kenya, le Ghana et l’Angola et qui peuvent se vanter d’une forte croissance à deux chiffres à la fois en ce qui concerne les volumes entrants et sortants.

Cependant, si l’on se base sur les chiffres de l’exportation, ce sont les plus petites économies émergentes qui enregistrent l’essor le plus important, où la Somalie, Mayotte, la Guinée-Bissau et le sud du Soudan constatent une augmentation fulgurante des importations provenant des États-Unis. Par ailleurs, les Comores, l’Érythrée, le sud du Soudan et le Libéria reçoivent une demande croissante en termes d’exportations vers les États-Unis.

« Les États-Unis et l’Afrique ont toujours bénéficié de conditions commerciales favorables basées sur la croissance africaine et sur la loi sur les opportunités économiques en Afrique (AGOA) de 2000 », a déclaré Ian Clough, Président de DHL Express aux États-Unis. « Nous sommes convaincus qu’une fois la législation révisée, aussi bien les États-Unis que les entreprises africaines en quête d’opportunités commerciales transfrontalières bénéficieront de nouveaux avantages ».

Selon des statistiques publiées par le Forum de l’AGOA à Addis-Abeba le mois dernier, le total des échanges commerciaux des États-Unis avec l’Afrique subsaharienne (exportations plus importations ) a progressé de plus de 250 %, passant de 28,2 milliards de dollars en 2001, la première année complète d’échanges commerciaux dans le cadre de l’AGOA, à 72,3 milliards de dollars en 2012.

« Il ne fait aucun doute qu’il existe un engagement en termes de croissance commerciale de la part des gouvernements respectifs et que ces chiffres continueront à progresser », conclut M. Brewer. « C’est maintenant au tour du secteur privé et des milliers de PME en quête d’opportunités de profiter de cette croissance et de développer leurs activités sur cette route commerciale lucrative ».

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Deutsche Post DHL.

Contact pour les médias :

Lee Nelson. Responsable senior du marketing et des communications, Afrique subsaharienne

DHL Express

Tél. : +27 21 409 3613 – Mobile : +27 72 361 0178

lee.nelson@dhl.com

DHL – La société de logistique du monde (The Logistics company for the world)

DHL (http://www.dhl.com) est le leader mondial du marché de la logistique et « la société de logistique du monde (The Logistics company for the world) ». DHL met son expertise dans le domaine des services express internationaux, du fret aérien et maritime, du transport routier ou ferroviaire, de la logistique contractuelle et du courrier international, au service de ses clients. Un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, et d’environ 285 000 salariés dans le monde entier, offre à ses clients un service de qualité de haut niveau et une connaissance du terrain, permettant de satisfaire aux exigences dictées par leurs chaînes d’approvisionnement. DHL assume sa responsabilité sociale en soutenant la lutte contre le changement climatique, la gestion des catastrophes naturelles et l’éducation.

DHL fait partie de Deutsche Post DHL. Le groupe a enregistré des recettes d’un montant supérieur à 55 milliards d’euros en 2012.