RUEIL-MALMAISON, France, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Schneider Electric (http://www.schneider-electric.com), spécialiste mondial de la gestion de l’énergie, a été classé parmi les 50 employeurs préférés des étudiants selon l’index World’s Most Attractive Employers du cabinet Universum le spécialiste mondial de la marque employeur. Classé 45ème auprès des étudiants en écoles d’ingénieurs, le Groupe se distingue comme un employeur idéal dans les domaines de l’ingénierie et de la production.

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Le classement World’s Most Attractive Employers d’Universum est établi sur la base d’une étude effectuée auprès de 200 000 étudiants en école de commerce ou d’ingénieurs dans 12 plus importantes économies mondiales: l’Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, la France, l’Allemagne, l’Inde, l’Italie, le Japon, la Russie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis. Les étudiants sont appelés à se prononcer sur les entreprises dans lesquelles ils souhaiteraient travailler, puis à choisir leurs 5 employeurs idéaux.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Schneider Electric SA.

Contact Presse :

Schneider Electric

Sophie Souquet

Tél. : +33 (0)1 41 29 84 18

sophie.souquet@schneider-electric.com

Schneider Electric France

Jean-Pierre Gherardi

Tél. : +33 (0)4 76 60 50 24

jean-pierre.gherardi@schneider-electric.com

Havas Worldwide Paris

Renato Martinelli

Tél. : +33 (0)6 34 39 11 36

schneider.presse@havasww.com

ABUJA, Nigeria, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le président Goodluck Jonathan a déclaré que la compétitivité des entreprises du Nigeria et sa capacité à attirer des investissements tant locaux qu’internationaux sera sensiblement améliorée grâce à la nomination de l’ex-banquier Chika Mordi au poste de premier chef exécutif du comité national pour la concurrence du Nigeria (National Competitiveness Council of Nigeria – NCCN).

Le président Jonathan, qui a récemment mis en place le NCCN, a déclaré :« Cette étape importante, de la part du comité national pour la concurrence, prouve l’engagement du Nigeria à transformer rapidement l’activité commerciale et à accroître la productivité au Nigeria »

Le président Jonathan a inauguré le Conseil plus tôt cette année, avec le ministre du commerce et de l’investissement, Olusegun Aganga en qualité de président, et Tony O. Elumelu, président de Heirs Holdings, qui représente le secteur privé en tant que vice-président. Parmi les autres membres provenant des communautés internationales et nigérianes, on peut nommer, entre autres : Michael Porter, Aliko Dangote, Lynda Chalker, et le Dr. Juan E. Pardinas, directeur de l’Institut mexicain de la compétitivité.

M. Aganga, un acteur de premier plan de l’équipe de transformation du président, a déclaré : « Nous sommes fiers d’avoir M. Mordi à la tête des affaires du Conseil. Son parcours remarquable prouve qu’il possède l’expérience, les capacités intellectuelles et l’ambition nécessaires pour permettre au Nigeria d’obtenir une stature économique mondiale »

Mordi dirigera un organisme placé sur un plan stratégique, appartenant à une politique plus large de l’administration de Jonathan qui vise à améliorer de façon radicale la capacité des entreprises locales et internationales à contrôler et à exploiter les affaires au Nigeria, le pays le plus peuplé d’Afrique qui abrite l’un des plus importants marchés de consommation au monde. Ces résultats seront évalués par l’indice de compétitivité internationale du Forum économique mondial du Nigeria et par le classement de l’indice Doing Business de la Banque mondiale, indices qui sont des références internationalement reconnues pour l’ouverture de l’économie d’un pays.

Selon la Banque mondiale, les pays qui mènent avec succès des réformes et qui sont capables d’anticiper les obstacles réglementaires enregistrent une meilleure performance économique, créent plus d’emplois et ont un meilleur niveau de vie.

M. Elumelu, également fondateur de la Tony Elumelu Foundation, qui a accordé une subvention de démarrage au Conseil, a déclaré : « La compétitivité est une condition préalable aux fins du développement d’un pays. Le NCCN travaille à la création d’un environnement favorable pour permettre au secteur privé de se développer. C’est la seule solution durable qui permettra le développement du Nigeria et de l’Afrique. M. Mordi offre un ensemble de compétences et de solides références, qui me confortent dans le fait que nos objectifs seront atteints »

Le Conseil a choisi M. Mordi via un processus de recrutement publié à l’échelle internationale, où se sont présentées un certain nombre de personnes très talentueuses. Il est le fondateur de Accender Africa, une organisation à but non lucratif basée à Washington, D.C. qui cherche à utiliser les nouveaux outils de communication pour augmenter la transparence au sein du gouvernement, avec pour objectif la lutte contre la pauvreté.

« Je suis fier de pouvoir contribuer de manière significative au développement du Nigeria et à son profil commercial mondial. Le secteur privé joue un rôle déterminant dans la création de la croissance durable, réduisant ainsi la pauvreté et stimulant la prospérité collective des Nigérians. Le NCCN est intrinsèque à garantir la mise en place de bonnes conditions qui permettront de sécuriser le futur du Nigeria ; c’est avec beaucoup d’enthousiasme que j’entends relever le défi », a déclaré M. Mordi.

M. Mordi, banquier professionnel, travaille depuis plus de vingt ans dans le secteur financier et a joué un rôle clé dans la transformation spectaculaire du secteur des services financiers du Nigeria, y compris le repositionnement de United Bank for Africa Plc en tant que l’une des grandes institutions financières africaines. Il a aussi contribué à l’incubation de plusieurs entreprises au Nigeria et au Ghana, et au cours de sa carrière en banque d’affaires, il a géré des opérations historiques en Afrique subsaharienne en matière d’actions, de revenus fixes, de financement d’entreprises, de conversion de dettes et de privatisation.

M. Mordi a une formation d’économiste et est diplômé de l’Université d’Ilorin, de l’IESE Business School, de l’Harvard Kennedy School, de l’American University’s Graduate School of Communications et de la John Hopkins School of Advanced International Studies. Il a également participé au programme de gestion avancée de la Harvard Business School.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

Pour plus de renseignements :

Moky Makura

Directrice du marketing et des communications d’entreprise

Heirs Holdings

E-mail : moky.makura@heirsholdings.com

www.heirsholdings.com

DAKAR, Sénégal, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — L’Organisation de la Presse Africaine (APO) (http://www.apo-opa.com), le leader mondial de la diffusion de communiqués de presse en Afrique, a annoncé aujourd’hui le triplement de sa capacité d’envoi de communiqués de presse par e-mail, qui atteint désormais 1 million d’e-mails par jour.

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Ce nouvel investissement va permettre à l’APO de répondre à la demande croissante en diffusion de communiqués de presse en Afrique, grâce à une plateforme de diffusion extrêmement fiable et compétitive, et de consolider ainsi son leadership technologique et commercial, marqué par le succès d’Africa Wire®, le service de distribution de communiqués de presse et de monitoring en Afrique (http://www.apo-opa.com/our-services/press-release-distribution-monitoring).

L’APO offre notamment à ses clients la possibilité d’enrichir leurs communiqués de presse diffusés par e-mail en y ajoutant gratuitement du contenu multimédia tels que des photos, des vidéos, des fichiers audio, des liens et des documents.

Les communiqués de presse comportant des éléments multimédia génèrent des taux de lecture largement supérieurs à des communiqués de presse composés uniquement de texte.

Considéré comme un expéditeur de gros volumes d’e-mails, l’APO respecte les meilleures pratiques en matière d’envoi d’e-mails et jouit d’une excellente réputation en tant qu’expéditeur d’e-mails avec un Sender Score stable de 99/100*, garantissant ainsi un très bon taux de délivrabilité des e-mails.

« En réponse à la demande croissantes en diffusion de communiqués de presse en Afrique, nous sommes ravis de pouvoir accompagner nos clients en renforçant notre capacité d’envoi de communiqués de presse par e-mail », a déclaré la Directrice générale de l’APO, Eloïne Barry.

L’APO administre Africa Wire®, le service de distribution et de monitoring de communiqués de presse en Afrique (http://www.apo-opa.com/our-services/press-release-distribution-monitoring), qui atteint plus de 25.000 contacts auprès des médias, blogueurs et réseaux sociaux, et redistribue du contenu à plus de 50 sites Web africains, ainsi qu’à Bloomberg Terminal, Lexis Nexis, Dow Jones Factiva et bien d’autres.

Utilisé par certaines des plus importantes sociétés et institutions au monde, notamment DHL, Microsoft, Mastercard et la Banque africaine de développement, Africa Wire® garantit la diffusion la plus vaste en Afrique, aidant les clients de l’APO à interagir avec leurs clients dans le monde entier.

* Selon Return Path (www.returnpath.com), leader mondial de la veille appliquée à la messagerie.

Contact:

Aïssatou Diallo

bdm@apo-opa.org

+41 22 534 96 97

A propos de l’APO

L’Organisation de la Presse Africaine (APO) (http://www.apo-opa.com) est le leader mondial de la diffusion de communiqués de presse en Afrique, et des relations presse liée à l’Afrique.

L’Organisation de la Presse Africaine administre un fichier presse de plus de 25 000 contacts et offre une gamme complète de services de relations presse, tels que diffusion de communiqués de presse et monitoring, visioconférence de presse, webcasting, médiatisation d’événements internationaux, veille media internationale, conseil stratégique, diplomatie publique, et relations avec les gouvernements.

L’Organisation de la Presse Africaine fournit des services gratuits aux journalistes africains, des services de relations presse innovants aux Autorités Publiques, aux entreprises, et contribue à la communication stratégique de la plupart des institutions internationales liées à l’Afrique. Plus d’information sur http://www.apo-opa.com

TUNIS, Tunisie, 14 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, le 11 Septembre 2013 à Tunis, l’octroi de subventions à l’Union des Comores, à hauteur de 20,1 millions de dollars US, pour renforcer la fourniture en énergie électrique du pays dans le cadre d’un Projet d’appui au secteur de l’énergie.

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Ce financement est dégagé des ressources de la BAD : 8,3 millions de dollars US, du Fonds africain de développement (FAD) et 12,1 millions de dollars US de la Facilité des Etats fragiles.

Le projet doit être mis en œuvre dans les trois îles principales du pays (Grande Comore, Anjouan et Mohéli). Il s’inscrit dans les actions entreprises par le gouvernement pour améliorer les performances et promouvoir le développement du secteur de l’énergie.

Le Projet d’appui au secteur de l’énergie va permettre une alimentation électrique fiable grâce à une meilleure capacité de production, la réduction du niveau des pertes techniques et commerciales et le renforcement des capacités du secteur de l’énergie. La mise en œuvre de ce projet, prévue sur une durée de 38 mois, constitue également une étape importante pour doter l’Union des Comores des études nécessaires à l’exploitation de son potentiel en énergies renouvelables, jetant ainsi les bases d’une croissance verte dans un état fragile.

Il permettra également de réhabiliter les installations de production dans les trois îles, de contribuer à améliorer la gouvernance financière par le renforcement des capacités dans le sous-secteur de l’électricité, et de promouvoir la préparation du futur projet d’énergie renouvelable par la réalisation d’études appropriées.

Les composantes du projet sont principalement: l’appui à la réhabilitation et à la mise en œuvre technique, la composition de l’énergie, l’efficacité énergétique, et le renforcement des capacités.

Le projet est en adéquation avec les priorités définies par la Stratégie de la Croissance et de Réduction de la Pauvreté (SCRP 2009-2014) des Comores. Ce documenti fait de la promotion de la stabilité macroéconomique et de la gouvernance, deux de ses quatre centres d’intérêt. le projet est également compatible avec les priorités énoncées dans l’Initiative nationale pour le développement social (INDS 2011-2015) cherchant à promouvoir la croissance, la compétitivité et l’emploi en ciblant les secteurs de l’énergie et des infrastructures ; et à renforcer le secteur privé par l’amélioration de la production de l’électricité.

Ce projet permettra également de compléter la stratégie de la vice-présidence de l’Union des Comores en charge de l’énergie qui a défini des plans pour mettre en œuvre la politique de développement de l’électricité et du secteur des produits pétroliers. Ceci passe par l’augmentation du taux d’électrification et la réalisation de 40 % de réduction du coût de production d’électricité d’ici 2015 par rapport au niveau de 2012.

Pour sa part, et selon le document de stratégie pays (DSP) pour la période 2011-2015, l’assistance du Groupe de la Banque aux Comores est uniquement axée sur un seul pilier, le développement du secteur de l’énergie et l’appui à la diversification économique. Le DSP inclut également le renforcement du secteur de l’énergie renouvelable, qu’il juge nécessaire pour améliorer la compétitivité du pays. L’exploitation accrue du potentiel des énergies renouvelables dans le cadre d’une politique énergétique durable est identifiée dans le DSP comme un effet de levier qui pourrait aider à promouvoir le développement économique en réduisant le coût de production et le prix de l’électricité.

Dans l’ensemble, le projet permettra à la Banque d’appuyer les efforts du gouvernement comorien en vue de restructurer le secteur de l’énergie, notamment en matière d’accès à l’électricité, en vue d’améliorer les conditions de vie de la population et des entreprises travaillant dans la zone d’influence du projet.

Le projet est cofinancé par la Banque mondiale, à hauteur de 5 millions de dollars US.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact technique : Youssef Arfaoui, chief renewable energy specialist, +216 71 10 23 08; y.arfaoui@afdb.org

Contact media : Pénélope Pontet de Fouquières, T. +216 71 10 19 96; p.pontetdefouquieres@afdb.org

TUNIS, Tunisie, 14 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, le mercredi 11 Septembre 2013 à Tunis, un prêt et une subvention d’un montant total de 16,66 millions de dollars US, pour financer le deuxième projet de réhabilitation et d’extension des réseaux électriques de Conakry (PREREC2), la capitale guinéenne.

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Le projet contribuera à améliorer la gouvernance et la gestion commerciale de la société Electricité de Guinée (EDG), à appuyer le gouvernement dans la réforme du sous-secteur de l’électricité et à étendre le réseau de distribution énergétique à 12 quartiers des communes de Ratoma et de Matoto à Conakry.

PREREC2 fait suite au premier projet, PREREC1, en cours d’achèvement dans 30 autres quartiers des mêmes communes et dont l’exécution a permis d’améliorer considérablement la qualité de l’électricité fournie aux consommateurs.

Les objectifs spécifiques du PREREC2 sont d’une part, de connecter 40.000 abonnés grâce à l’installation de compteurs prépayés ; réduire le taux de pertes globales dans la zone du projet de 49% à 15% . D’autre part, il s’agit de renforcer la gestion financière d’EDG en instituant un contrôle et un équilibre financier tout en’améliorantt sa gestion commerciale avec l’ augmentation du taux de facturation de 51% à 85% et de celui durecouvrement de 80% à 95% dans la zone du projet.

Le projet est en adéquation avec les piliers 1, 3 et 4 du troisième Document de stratégie de réduction de la pauvreté de la Guinée (DSRP III) pour la période 2013-2015. Ce document met l’accent sur la gouvernance et le renforcement des capacités humaines et institutionnelles. Il s’agit également d’appuyerl’accélération , la diversification et la croissance durable. En outre,l’effort portera surle développement des infrastructures pour soutenir la croissance et l’amélioration de l’accès aux services sociaux de base et la résilience des ménages dont l’un des sous-piliers est «l’amélioration de l’accès aux services énergétiques dans les zones urbaines et suburbaines. « 

L’expertise de la Banque dans la définition et la mise en œuvre de projets similaires dans les pays et dans la sous-région, ainsi que les consultations avec des partenaires internationaux ont joué un rôle déterminant dans la conception du projet. L’accent est mis sur l’amélioration de la gouvernance et le renforcement des capacités humaines et institutionnelles pour assurer, de façon durable, la viabilité de l’infrastructure. L’intervention de la Banque aidera également à lever des fonds auprès d’autres partenaires techniques et financiers du pays.

La zone d’influence du projet couvre les communes de Ratoma et Matoto, avec une population estimée à 1,4 million d’habitants dont 52,1% de femmes. Elle compte également près de 2.300 très petites entreprises (TPE) artisanales et commerciales, une quarantaine d’usines et quelque 141 associations féminines actives. Les bénéficiaires directs du projet sont les 40.000 abonnés composés de ménages, d’associations féminines et de très petites entreprises commerciales et industrielles qui seront connectés au nouveau réseau électrique. Les principaux résultats attendus sont l’accès à un service d’électricité de qualité et l’amélioration d’un environnement qui soit plus propice au développement des activités socio-économiques.

Le coût total du projet est estimé à 32,8 millions de dollars US. Il est cofinancé par la Banque islamique de développement (BID) et le gouvernement guinéen. Le projet sera mis en œuvre de 2013 à 2017.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact technique: Pierre Djaigbe, Principal Energy Officer ; p.djaigbe@afdb.org

Contact médias : Pénélope Pontet de Fouquières , T. +216 71 10 19 96 ; p.pontetdefouquieres@afdb.org

FREETOWN, Sierra Leone, 12 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Aujourd’hui, les événements solennels avec la participation du Président de Sierra Leone, Ernest Bai Koroma, le vice-ministre des Affaires Etrangères de la Russie, Guennadi Gatilov et le président de la compagnie LUKOIL Overseas (http://www.lukoil.com), Andrey Kuzyaev, se sont déroulés en République de Sierra Leone à l’occasion du démarrage d’un nouveau programme de forage d’exploration mené par la compagnie LUKOIL sur le bloc SL-5-11 dans l’offshore de l’Afrique de l’Ouest.

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La cérémonie de lancement s’est déroulée sur la plate-forme Eirik Raude qui a entamé le forage d’un puits profond sur la structure Savannah. La profondeur totale d’étude du puits d’exploration est estimée à plus de 4 700 m avec une profondeur d’eau de plus de 2 000 m.

La plate-forme Eirik Raude est la plus grande plate-forme marine du monde à autopropulseur de 5ième génération. Sa hauteur est de 122 m, sa longueur fait 119 m, sa largeur mesure 85 m, son tirant d’eau est de 52 500 tonnes, sa vitesse atteint 7 nœuds, l’équipage est de 120 personnes.

En juillet 2011, la compagnie LUKOIL Overseas, qui gère les projets d’exploration et de production de LUKOIL, a signé le CPP (Contrat de Partage et de Production) relatif à l’exploration et à l’exploitation du bloc SL-5-11 en tant qu’Opérateur (avec 49% des parts). Les autres participants au projet sont la compagnie nigériane Oranto Petroleum (30%) et PanAtlantic (21%).

Le bloc SL-5-11 avec une superficie de 4022 Km2 est situé sur le plateau continental et le talus continental de l’océan atlantique à des profondeurs d’eau variant de 100 à 3300 m. Sur ce bloc, des recherches sismiques 2D et 3D ont été réalisées sur une superficie de 1500 Km2, mettant en évidence quelques structures prometteuses. Le bloc fait partie du bassin sédimentaire Sierra Leone – Libéria ayant été marqué par quelques découvertes pétrolières et gazières ces dernières années.

Un contrat typique d’exploration et d’exploitation d’une période de 30 ans a été signé sur ce bloc. Le programme d’exploration prévoit la réinterprétation des données sismiques précédemment acquises, la prospection électrique et le forage d’un puits d’exploration.

L’étape actuelle des travaux d’exploration court jusqu’au 31 décembre 2013. La composition de l’étape suivante de l’exploration dépendra des résultats du forage.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour LUKOIL.

Press centre OAO «LUKOIL»

phone:+7(495)627-1677

e-mail:media@lukoil.com

http://www.lukoil.com

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http://twitter.com/lukoilengl

Jusque-là directeur adjoint, Fréderic Mobott Edimo devient directeur général de la Cameroon Airlines Corporation (Camair Co) au terme d’un conseil…

TUNIS, Tunisie, 11 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Dans sa note économique intitulée « Passage du statut d’Etat rentier à l’économie productive : planification du développement dans la Libye de l’après-guerre civile », le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) analyse le changement qui doit s’opérer en Libye au moment où, au lendemain de la guerre civile, le pays s’apprête à s’engager dans un processus de planification économique à long terme. Ce changement consiste à passer d’une économie reposant essentiellement sur les recettes pétrolières dans le cadre d’un système quasi dépourvu d’institutions nationales, vers le développement d’un nouvel État, dont les institutions économiques s’allient de manière plus inclusive et plus intégrée.

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La note inclue une série de recommandations, afin de catalyser les efforts de planification de la Libye nouvelle.

La note souligne, tout d’abord, la nécessité d’améliorer les connaissances des institutions. Dans cette perspective, il importe de développer les capacités de collecte d’informations afin de doter l’État de moyens d’élaboration de politiques de développement plus importants, et de prévoir une collecte centralisée de l’information, disponible pour le grand public.

Par ailleurs, la note met l’accent sur le besoin d’améliorer la gouvernance de l’économie. Le document suggère de créer des équipes indépendantes, chargées de la gestion de la richesse et des fonds d’investissement souverains, et de décentraliser l’économie nationale partout où cela est possible et réalisable.

Concernant l’environnement des affaires du pays, le document souligne l’importance d’élaborer, de renforcer et de rendre publics des codes d’investissement, de rationnaliser davantage la bureaucratie du pays, et de soutenir les efforts en cours visant à réformer le secteur bancaire.

Pour finir, s’agissant du rôle de l’État et du secteur privé, la note suggère de concevoir des scénarios pour le désengagement de l’État – à l’exclusion du secteur pétrolier. Ceci passe par le développement d’autres initiatives en faveur du secteur privé, et l’élaboration d’autres plans pour favoriser une plus grande diversification de l’économie tout en concevant des filets solides de protection sociale.

Le document souligne les progrès que le pays a accomplis, en s’attachant à bâtir des institutions et à leur donner une impulsion un an après la fin de la guerre. La banque plaide ainsi en faveur de ce changement, estimant qu’une telle initiative pourrait aider à faire évoluer la situation économique et sociale du pays.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact: Vincent Castel, Principal Program Coordinator for Tunisia, ORNA: v.castel@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org

TUNIS, Tunisie, 11 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, ce mercredi 11 septembre, l’octroi de 120 millions de dollars EU sous forme de ligne de crédit (LDC) multisectorielle, et d’un prêt subordonné de 30 millions de dollars EU à Mauritius Commercial Bank (MCB). Cette enveloppe financière permettra à MCB d’augmenter son portefeuille de prêts en devises destinés aux grandes et moyennes entreprises opérant sur l’île Maurice, dans les pays voisins et en Afrique continentale, favorisant ainsi une croissance durable et inclusive grâce au développement du secteur privé dans la région.

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MCB Group est la plus importante institution financière de l’île Maurice, avec plus de 7 milliards de dollars EU d’actifs au total et 940 millions de dollars EU environ en fonds propres. Fondé il y a 175 ans, le groupe est une institution financière régionale respectée, avec des filiales à Madagascar, au Mozambique, aux Seychelles et aux Maldives. Doté de bureaux de représentation à Paris et Johannesburg, MCB est aussi présent, grâce à ses associés, à la Réunion et à Mayotte. Son portefeuille continental comprend des opérations dans plusieurs pays d’Afrique.

L’enveloppe financière ainsi octroyée aidera MCB à répondre à ses besoins de financement en devises et à renforcer sa base de capital, tout en lui permettant de mettre œuvre le plan de croissance de son activité continentale. MCB pourra également offrir des financements pour des projets à long terme qui bénéficieront aux pays membres régionaux où le groupe est impliqué, ou en participant à des transactions syndiquées en mettant l’accent sur des projets dans des secteurs clés et qui respectent la croissance verte et les critères de croissance inclusive.

La facilité financière proposée est dans le droit fil de la stratégie du gouvernement mauricien pour 2012-2015, qui vise à accroître et à diversifier le secteur privé, ainsi qu’à développer le secteur financier. Aussi, devrait-elle avoir des impacts positifs sur le développement du secteur privé et la création d’emplois. Elle favorisera également une hausse des impôts et des recettes publiques sur le continent, notamment en Afrique orientale et australe. En outre, les produits de l’enveloppe financière bénéficieront aux projets susceptibles d’avoir de forts impacts sur le développement et la promotion de l’intégration régionale en Afrique.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contacts :

Sabrina Hadjadj Aoul, chargée de communication, T. +216 71 10 26 21 / C. +216 98 70 98 43 / s.hadjadjaoul@afdb.org

Salah Babale, chargé d’investissement, T. +216 71 10 23 43/ s.babale@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’information : j.mp/AfDB_Media