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TUNIS, Tunisie, 11 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Dans sa note économique intitulée « Passage du statut d’Etat rentier à l’économie productive : planification du développement dans la Libye de l’après-guerre civile », le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) analyse le changement qui doit s’opérer en Libye au moment où, au lendemain de la guerre civile, le pays s’apprête à s’engager dans un processus de planification économique à long terme. Ce changement consiste à passer d’une économie reposant essentiellement sur les recettes pétrolières dans le cadre d’un système quasi dépourvu d’institutions nationales, vers le développement d’un nouvel État, dont les institutions économiques s’allient de manière plus inclusive et plus intégrée.
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La note inclue une série de recommandations, afin de catalyser les efforts de planification de la Libye nouvelle.
La note souligne, tout d’abord, la nécessité d’améliorer les connaissances des institutions. Dans cette perspective, il importe de développer les capacités de collecte d’informations afin de doter l’État de moyens d’élaboration de politiques de développement plus importants, et de prévoir une collecte centralisée de l’information, disponible pour le grand public.
Par ailleurs, la note met l’accent sur le besoin d’améliorer la gouvernance de l’économie. Le document suggère de créer des équipes indépendantes, chargées de la gestion de la richesse et des fonds d’investissement souverains, et de décentraliser l’économie nationale partout où cela est possible et réalisable.
Concernant l’environnement des affaires du pays, le document souligne l’importance d’élaborer, de renforcer et de rendre publics des codes d’investissement, de rationnaliser davantage la bureaucratie du pays, et de soutenir les efforts en cours visant à réformer le secteur bancaire.
Pour finir, s’agissant du rôle de l’État et du secteur privé, la note suggère de concevoir des scénarios pour le désengagement de l’État – à l’exclusion du secteur pétrolier. Ceci passe par le développement d’autres initiatives en faveur du secteur privé, et l’élaboration d’autres plans pour favoriser une plus grande diversification de l’économie tout en concevant des filets solides de protection sociale.
Le document souligne les progrès que le pays a accomplis, en s’attachant à bâtir des institutions et à leur donner une impulsion un an après la fin de la guerre. La banque plaide ainsi en faveur de ce changement, estimant qu’une telle initiative pourrait aider à faire évoluer la situation économique et sociale du pays.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Contact: Vincent Castel, Principal Program Coordinator for Tunisia, ORNA: v.castel@afdb.org
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org
TUNIS, Tunisie, 11 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, ce mercredi 11 septembre, l’octroi de 120 millions de dollars EU sous forme de ligne de crédit (LDC) multisectorielle, et d’un prêt subordonné de 30 millions de dollars EU à Mauritius Commercial Bank (MCB). Cette enveloppe financière permettra à MCB d’augmenter son portefeuille de prêts en devises destinés aux grandes et moyennes entreprises opérant sur l’île Maurice, dans les pays voisins et en Afrique continentale, favorisant ainsi une croissance durable et inclusive grâce au développement du secteur privé dans la région.
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MCB Group est la plus importante institution financière de l’île Maurice, avec plus de 7 milliards de dollars EU d’actifs au total et 940 millions de dollars EU environ en fonds propres. Fondé il y a 175 ans, le groupe est une institution financière régionale respectée, avec des filiales à Madagascar, au Mozambique, aux Seychelles et aux Maldives. Doté de bureaux de représentation à Paris et Johannesburg, MCB est aussi présent, grâce à ses associés, à la Réunion et à Mayotte. Son portefeuille continental comprend des opérations dans plusieurs pays d’Afrique.
L’enveloppe financière ainsi octroyée aidera MCB à répondre à ses besoins de financement en devises et à renforcer sa base de capital, tout en lui permettant de mettre œuvre le plan de croissance de son activité continentale. MCB pourra également offrir des financements pour des projets à long terme qui bénéficieront aux pays membres régionaux où le groupe est impliqué, ou en participant à des transactions syndiquées en mettant l’accent sur des projets dans des secteurs clés et qui respectent la croissance verte et les critères de croissance inclusive.
La facilité financière proposée est dans le droit fil de la stratégie du gouvernement mauricien pour 2012-2015, qui vise à accroître et à diversifier le secteur privé, ainsi qu’à développer le secteur financier. Aussi, devrait-elle avoir des impacts positifs sur le développement du secteur privé et la création d’emplois. Elle favorisera également une hausse des impôts et des recettes publiques sur le continent, notamment en Afrique orientale et australe. En outre, les produits de l’enveloppe financière bénéficieront aux projets susceptibles d’avoir de forts impacts sur le développement et la promotion de l’intégration régionale en Afrique.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Contacts :
Sabrina Hadjadj Aoul, chargée de communication, T. +216 71 10 26 21 / C. +216 98 70 98 43 / s.hadjadjaoul@afdb.org
Salah Babale, chargé d’investissement, T. +216 71 10 23 43/ s.babale@afdb.org
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’information : j.mp/AfDB_Media
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MAPUTO, Mozambique, 9 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ —
Une nouvelle publication qui met en évidence les domaines critiques nécessitant interventions et investissements
Aujourd’hui, l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) (http://www.agra.org) lance son premier rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique.
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Le Rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique examine en profondeur la chaîne de valeur des cultures vivrières – de la salle de classe, au champ et puis au marché – dans 16 pays de par le continent.
Le rapport fait le recueil de données et d’analyses provenant de plus de 15 organisations nationales et internationales, notamment les ministères de l’agriculture, la Banque mondiale, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture et le Fonds international pour le développement de l’agriculture. Il restitue des données dans un format accessible et cohérent, en dégageant un point de repère par rapport auquel on peut suivre l’évolution de l’agriculture en Afrique.
L’édition inaugurale du Rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique se concentre sur les cultures vivrières telles que les céréales et tubercules, dont environ 75% sont produites en Afrique et non importées.
Le rapport révèle que:
• Quoi qu’un certain nombre de pays investissent massivement dans la R&D et développent leur secteur agricole, d’autres sont à la traîne, au détriment de la sécurité alimentaire. En termes de personnel affecté à la recherche agricole, l’Afrique affiche la capacité la plus faible à l’échelle mondiale, avec à peine 70 chercheurs par million d’habitants (à la différence des Etats-Unis et du Japon qui en comptent 2.640 et 4.380, respectivement).
• La baisse de la fertilité des sols menace les rendements et le développement agricoles dans un certain nombre de pays. Alors que le prix moyen des engrais livrés aux exploitations agricoles aux Etats-Unis coûte 226 $ EU la tonne, il se tient à 414 $ EU la tonne en Zambie.
• Les lois et réglementations nationales et régionales obsolètes entravent le développement des marchés semenciers en Afrique. La durée moyenne du processus d’homologation des semences est d’environ trois ans dans la plupart des pays d’Afrique sub-saharienne.
• Les importations alimentaires bon marché et subventionnées affaiblissent progressivement les marchés agricoles africains, ce qui est exacerbé par les difficultés d’accès au crédit, les restrictions commerciales et les coûts de transport élevés. Bien que l’agriculture représente jusqu’à 40% du PIB dans certains pays africains, seulement 0,25% des prêts bancaires sont orientés vers les petits exploitants agricoles.
• Les femmes, qui représentent la majorité des petits exploitants agricoles en Afrique, sont fortement défavorisées dans les régimes actuels de droits fonciers. Cela réduit leur capacité d’accès au crédit, aux technologies et aux services agricoles. Les données mettent en exergue le fait qu’il est cinq fois moins probable que les femmes possèdent des terres par rapport aux hommes.
Dans l’allocution liminaire qu’il a prononcé pour lancer le rapport, M. Strive Masiyiwa, vice-président du Conseil d’administration de l’AGRA, a affirmé: «Si nous voulons réussir à déclencher une révolution verte en Afrique, il faut que nous déterminions et comprenions les domaine où nous faisons des progrès, mais aussi ceux où nous sommes à la traine. Pour la première fois, le Rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique nous trace le grand tableau et nous permet de faire des comparaisons entre les pays. Il fournit des données indispensables et fiables qui, nous l’espérons bien, conduiront à l’élaboration de politiques plus éclairées et à un niveau plus élevé de redevabilité».
S’exprimant à l’occasion du lancement du rapport dans les marges du Forum sur la révolution verte en Afrique à Maputo, au Mozambique, Jane Karuku, présidente de l’AGRA, a déclaré que «Le Rapport sur l’état de l’Agriculture en Afrique est publié à un moment charnière pour le continent. Dix ans après la Déclaration de Maputo, on peut reconnaître des progrès importants, mais il faut aussi faire la lumière sur les domaines où il faut des interventions et investissements urgents. Cette nouvelle ressource permettra de guider les décideurs à canaliser ressources et efforts, de sorte à avoir le plus grand impact sur la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté ».
D’après David Ameyaw, Directeur en charge des stratégies, suivi et évaluation à l’AGRA et l’un des principaux auteurs du rapport: «Ce rapport marque le début d’un projet ambitieux visant à consolider des données fiables et accessibles sur l’agriculture en Afrique. Il existe des lacunes considérables dans notre connaissance du secteur agricole – il faut que les gouvernements, instituts nationaux de recherche, mais aussi les acteurs du secteur privé recueillent et partagent des données ouvertement. Notre objectif est d’étendre notre analyse à tous les pays d’Afrique sub-saharienne au cours des deux prochaines années ».
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA).
Contact:
Anne Wangalachi
awangalachi@agra.org
+258 84 27 42 898 (Portable – Mozambique)
+254 736 230 600 (Portable – Kenya)
Caroline Boin
caroline.boin@portland-communications.com
+258 84 784 3230 (Portable – Mozambique)
Pour de plus amples renseignements:
Pour lire le compte rendu analytique et le rapport intégral, veuillez visiter le site web : http://www.agra.org
A propos de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA)
L’AGRA (http://www.agra.org) est un partenariat dynamique œuvrant sur tout le continent africain en vue d’aider les millions de petits exploitants agricoles et leurs familles à se sortir de la pauvreté et de la famine. Les Programmes de l’AGRA proposent des solutions pratiques dont le but est d’augmenter la productivité agricole et les recettes des pauvres, tout en protégeant l’environnement. L’AGRA préconise les politiques qui appuient son œuvre, à tous les maillons principaux de la chaîne de valeur agricole en Afrique, que ce soit au niveau des semences, de la fertilité des sols, de l’eau, des marchés et de la formation agricole.
Le conseil d’administration de l’AGRA est présidé par Kofi A Annan, ancien Secrétaire général des Nations Unies. Mme Jane Karuku, ancienne Directrice générale adjoint et Secrétaire générale de Telkom Kenya, est la présidente de l’AGRA. Avec l’appui de la Fondation Rockefeller, la Fondation Bill & Melinda Gates, le Département britannique pour le développement international, l’USAID et d’autres bailleurs de fonds, l’AGRA intervient sur l’ensemble de l’Afrique sub-saharienne à partir de ses bureaux à Nairobi, Kenya, et à Accra, Ghana.
Site Web: http://www.agra.org
Facebook: https://www.facebook.com/pages/AGRA-Alliance/316397825040213
Twitter: @AGRAAlliance
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Marrakesh, 09 octobre 2014 (CEA) – Les experts en changement climatique présents à Marrakech viennent de réaffirmer la capacité de l’Afrique à se nourrir aujourd’hui et dans l’avenir sans organismes génétiquement modifiés.
Cependant, pour que ce rêve se réalise plusieurs conditions doivent être remplies selon ces experts : La technologie doit être accessible et abordable pour les agriculteurs, leurs financements agricoles faciles, et l’accès aux marchés doit aussi être garanti.
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Marrakesh, 09 octobre 2014 (CEA) – « Pas de développement sans énergie, la problématique s’impose au continent de manière impérieuse ! » Le ton a été donné ce 09 octobre 2014 par El Mostafa Jaméa, Expert en énergies renouvelables et changement climatique. C’était au cours d’une discussion sur le profit à tirer des opportunités technologiques d’énergies renouvelables dans la chaîne de valeur agricole. Selon ses chiffres, 31 % à peine des populations vivant au sud du Sahara ont accès à l’électricité. Dans les zones rurales, le taux est de 14%.
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Marrakesh, 09 octobre 2014 (CEA) – Les Gouvernements, les institutions financières et les organisations de la société civile ont opté d’agir en coalition en vue de mobiliser environ 200 milliards de dollars pour le financement de projets visant à réduire les émissions de carbone et à accroître la résilience climatique.
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TUNIS, Tunisie, 7 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) va appuyer les efforts du Sénégal pour protéger le lac de Guiers, situé dans le nord du pays, au moyen d’un prêt et d’une subvention totalisant 24,42 millions de dollars US destinés à financer le rétablissement de ce lac.
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Le Projet de restauration des fonctions écologiques et économiques du lac de Guiers (PREFELAC), qui a été approuvé le mercredi 4 septembre à Tunis par le Conseil d’administration du Groupe de la Banque, vise à rétablir les conditions optimales pour le fonctionnement normal de ce plan d’eau.
Plus particulièrement, le projet vise à rétablir l’hydraulicité du lac en améliorant sa disponibilité annuelle en eau, actuellement de 1,2 milliards de m3, pour la porter à 2,1 milliards d’ici à 2017. L’opération permettra aussi la remise en eau de la Réserve spéciale d’avifaune de Ndiael.
Se situant dans l’axe des cadres de planification stratégique du Sénégal, le projet vise à réaliser les objectifs de la Stratégie nationale de développement économique et sociale (SNDES 2013-2017), notamment ceux relatifs à l’environnement et au développement durable.
Il rendra possible la réalisation des objectifs du Plan d’action pour la gestion intégrée des ressources en eau (PAGIRE 2007-2015), qui porte sur l’acquisition de connaissances et l’élaboration de stratégies en matière de gestion des ressources en eau.
Le projet cadre avec les deux objectifs de la Stratégie décennale 2013-2022 de la Banque, dans le cadre de la restauration et du développement des ressources naturelles d’écosystèmes qui viendront renforcer durablement la résilience et la productivité de systèmes agricoles au profit de communautés rurales pauvres. Par ailleurs, il intéressera le Pilier II du Document de stratégie de pays pour le Sénégal (2010-2015), et plus particulièrement son sous-pilier consacré aux infrastructures de base (eau et assainissement, et gestion des ressources naturelles).
Des partenaires tels que l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), le Fonds mondial pour l’environnement (FEM), l’Inspection régionale des eaux et forêts (IREF) et Environnement et développement en Afrique (ENDA), parmi d’autres, vont apporter un appui technique et matériel au projet.
Les résultats attendus de ce projet sont les suivants : l’amélioration de l’accès à l’eau pour plus de 4 millions de personnes dans le pays et près d’un million de têtes de bétail ; la valorisation d’au moins 30 000 hectares de terres irrigables et de 20 000 hectares de zones humides portant des habitats naturels remarquables ; l’accroissement des bénéfices directs tirés de l’élevage dans la zone du projet, qui atteindront au moins 530 millions de FCFA par an ; l’accroissement de la production halieutique qui passera de 238 à 486 tonnes par an ; la création de plus de 3 000 emplois ruraux au profit de jeunes et de femmes, dont au moins 100 emplois verts ; le retrait de la Réserve de Ndiael de la liste de Montreux (1).
Ces résultats vont bénéficier à plus de 200 000 personnes situées dans la zone d’intervention du projet et 3 millions de personnes vivant à Dakar et dans d’autres villes et villages de l’intérieur du pays utilisant le réseau d’adduction d’eau connecté au lac.
Le coût total du projet est estimé à 28,32 millions de dollars US. Il sera financé au moyen d’un prêt de 22,72 millions de dollars US de la BAD (80,3 %), d’une subvention de 1,30 million de dollars US du FEM (4,6 %), et d’une contribution gouvernementale de 4,29 millions de dollars US (15,1 %).
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
(1) Le Registre de Montreux est une liste des sites Ramsar dont les caractéristiques écologiques ont été, sont en train ou sont susceptibles d’être modifiées par suite d’évolutions technologiques, de pollution ou d’autres interventions humaines.
Contact : Soulèye KITANE, Rural Development & Environmentalist Expert s.kitane@afdb.org
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org
La fracture est béante à Saint Petersbourg, ville de Lénine, témoin de l’une des batailles les plus sanglantes de la…
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ABUJA, Nigeria, 4 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — African Exchange Holdings (AFEX), une holding panafricaine fondée par Tony O. Elumelu, président de Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com), Nicolas Berggruen, président de Berggruen Holdings, et Jendayi Frazer, présidente de 50 Ventures, pour établir des bourses de marchandises à travers l’Afrique, a signé aujourd’hui un Protocole d’accord (PA) avec le Ministère fédéral de l’Agriculture du Nigeria en vue de créer un système de reçus d’entrepôt innovant qui permettra aux agriculteurs et aux coopératives nigérianes de conserver en toute sécurité leurs productions dans des entrepôts accrédités.
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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/11-2.jpg
Le Dr Akinwumi Adesina, Commandeur de l’Ordre du Nigeria, Ministre de l’Agriculture transformationnel du Nigeria, a déclaré : « Renforcer les marchés agricoles est crucial pour diversifier l’économie du Nigeria. Notre partenariat avec AFEX contribuera à améliorer l’accès des agriculteurs aux marchés, à réduire les pertes post-récoltes, à stabiliser les prix et à augmenter leurs revenus. L’agriculture se modernise rapidement au Nigeria et le développement des systèmes de reçus d’entrepôt soutiendra l’établissement d’une bourse de marchandises agricoles florissantes au Nigeria. »
M. Elumelu, président d’AFEX Holdings, a affirmé : « Nous sommes ravis de travailler avec le gouvernement nigérian sur ce projet pour offrir un investissement transformationnel et durable au secteur agroalimentaire du pays. Cette initiative est une étape vers l’autonomisation financière de davantage d’agriculteurs et pour assurer que l’agriculture est non seulement commercialement viable, mais aussi un contributeur positif fort à l’économie nigériane. Cela s’appuie sur l’expérience et la réussite de notre filiale – East Africa Exchange – au Rwanda, qui est devenue un acteur majeur du développement agroalimentaire sur tout le continent. »
Il a ajouté : « Mes associés et moi-même sommes fortement encouragés par la transformation du secteur agricole nigérian mené par le Dr Adesina et nous voulons soutenir le gouvernement fédéral dans sa démarche innovante. »
Nicolas Berggruen, fondateur et président de Berggruen Holdings, a déclaré : « L’agriculture en Afrique est la clé de la prospérité du continent. Spécifiquement pour le Nigeria, nous investissons dans l’infrastructure nécessaire pour garantir le flux de marchandises des fermes vers les marchés locaux, régionaux et mondiaux.
Les fermiers nigérians peuvent désormais utiliser des reçus pour leur production comme caution d’emprunt. Cela permettra de contrôler la volatilité des prix due à la disponibilité des stocks-tampons, et aux agriculteurs de vendre à meilleur prix. La phase pilote de deux ans du système de reçus d’entrepôt couvrira sept états, la plupart situés au nord du Nigeria, où l’agriculture est de loin le plus important secteur économique – Kano, Kaduna, Katsina, Zamfara, Kwara, Gombe et Oyo – et débutera en octobre 2013.
Le Ministère fédéral de l’Agriculture soutiendra le système de reçus d’entrepôt en créant un environnement favorable essentiel à sa réussite, et fournira également l’infrastructure des entrepôts.
Jendayi Frazer, ancienne secrétaire d’État adjointe aux Affaires africaines, et Directrice associée de l’AFEX, a expliqué : « Le système de reçus d’entrepôt contribue à améliorer la sécurité alimentaire dans l’ensemble du Nigeria. Il donnera non seulement aux agriculteurs et aux coopératives un meilleur accès aux marchés en reliant leurs productions aux acheteurs à grande valeur, mais génèrera aussi des profits plus élevés pour les parties prenantes. AFEX est persuadée que le système électronique de reçus d’entrepôt et des activités d’entreposage améliorées constitueront un tremplin pour une bourse de marchandises active au Nigeria. »
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.
À propos d’AFEX
Africa Exchange Holdings (AFEX) est une société de portefeuille cofondée par Heirs Holdings, Berggruen Holdings et 50 Ventures, en association avec The Tony Elumelu Foundation et le Berggruen Institute on Governance. Son objectif est de développer un réseau de bourses de marchandises dans toute l’Afrique pour transformer les dynamiques commerciales et assurer de plus hauts revenus aux agriculteurs.
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Moky Makura
Directrice du marketing et des communications d’entreprise
Heirs Holdings Ltd
E-mail : moky.makura@heirsholdings.com
Téléphone : +234 (0)1 277 4641
SINGAPORE, Singapore, 4 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — DHL (http://www.dhl.com), qui fait partie de Deutsche Post DHL, leader mondial de services de courrier et de logistiques, a annoncé aujourd’hui la célébration annuelle de la journée mondiale du bénévolat (Global Volunteer Day – GVD) 2013. Au cours de dix prochains jours, les employés du groupe DHL en Asie-Pacifique, au Moyen-Orient et en Afrique, en collaboration avec leurs partenaires commerciaux et leurs clients, participeront à des programmes de bénévolat communautaires dans toutes ces régions. En 2012, grâce à ce programme de bénévolat des employés, 62 000 bénévoles dans environ 120 pays dans le monde entier ont participé à plus de 1 000 programmes qui ont profité directement aux populations locales.
Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/dhl_logo2.jpg
DHL a aussi annoncé que la journée mondiale du bénévolat, traditionnellement organisée tous les ans en septembre et pour une durée d’une semaine, a désormais été étendue à un programme sur toute l’année, dans le but d’élargir la participation aux activités de bénévolat au sein des communautés dans lesquelles la société opère.
Avec près de 285 000 collaborateurs et des activités dans plus de 220 pays et territoires et grâce au soutien actif de l’entreprise au bénévolat des employés, DHL s’est donné pour mission d’exercer un impact majeur partout dans le monde.
« DHL a toujours pris une part active au soutien de ces communautés où nous vivons et travaillons. Rien que l’année dernière, nos employés ont participé à plus de 40 programmes, pour venir en aide à plus de 28 000 bénéficiaires. Aujourd’hui, grâce à l’extension de notre programme mondial de bénévolat, nous espérons mobiliser davantage de bénévoles, et atteindre ainsi les nombreuses autres collectivités qui ont besoin d’aide dans toute la région », a affirmé Charles Brewer, directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne.
« L’année dernière, dans le cadre de notre journée mondiale du bénévolat, nous avons pu renforcer notre partenariat mondial avec SOS-villages d’enfants à Nairobi et à Mombasa et prendre part à des activités communautaires. Les objectifs principaux des projets, qui consistaient à nettoyer la communauté ainsi que des initiatives d’éducation, ont été accomplis avec un très grand succès et nous sommes très fiers de la passion de nos volontaires pour les services communautaires », a déclaré Roger Olsson, président-directeur général de DHL Global Forwarding en Afrique subsaharienne. « Cette année, avec la mise en place de notre initiative à long terme, nous serons en mesure de faire une réelle différence dans la vie des habitants de notre communauté. C’est ce qui définit essentiellement l’esprit de DHL. »
« La philosophie d’entreprise de DHL est fondée sur la prémisse selon laquelle les collectivités saines sont bénéfiques pour les entreprises et leur prospérité. L’extension de notre programme de bénévolat est le reflet de notre engagement visant à rendre aux communautés africaines où nous sommes présents depuis 1978 », a expliqué Paul Graham, président-directeur général de la chaîne d’approvisionnement dans les zones Asie-Pacifique, Moyen-Orient et Afrique de DHL. Il a ajouté : « Tandis que les membres de notre équipe donnent de leur temps, de leurs talents et des ressources financières pour soutenir des causes charitables jour après jour, nous pouvons apporter une contribution significative dans l’exploitation de nouvelles possibilités dans nos communautés. »
Introduite en Asie-Pacifique en 2008, la journée mondiale du bénévolat a été depuis étendue aux Amériques, au Moyen-Orient, à l’Afrique et à l’Europe, et continue de tirer parti de sa réussite par l’implication d’un plus grand nombre d’employés et de projets communautaires. Mené en tant que programme permanent, les équipes locales organisent et participent à des activités récurrentes avec des organismes bénéficiaires et/ou partenaires qui leur apportent un développement durable important. Ces programmes viennent s’ajouter aux programmes de base de l’entreprise : GoGreen, GoHelp et GoTeach.
Par ailleurs, Deutsche Post DHL soutient la participation volontaire des salariés à travers le « fonds de responsabilité pour les conditions de vie ». Deux fois par an, les employés peuvent demander un soutien financier pour leurs projets de l’année suivante. Le montant de l’aide accordée dépend du temps que l’employé a consacré au projet. En 2012, l’entreprise a soutenu 104 projets impliquant plus de 9 000 employés dans 48 pays qui ont consacré volontairement 61 000 heures de leurs temps à des projets locaux. En collaboration avec les trois programmes de responsabilité des entreprises, le programme de bénévolat des employés fait partie intégrante de la stratégie en matière de responsabilité d’entreprise sous la devise « Responsabilité au quotidien ».
Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Deutsche Post DHL.
Contact Presse :
DHL en Asie-Pacifique & EEMOA
Communications institutionnelles et responsabilité
Anita Gupta
Tél. : +65 6771 3333
Fax : +65 6771 3322
E-mail: apeemeamediarelations@dhl.com
http://www.dhl.com/en/press.html
DHL – The Logistics company for the world
DHL est le leader mondial du marché dans l’industrie de la logistique et « The Logistics company for the world » (La société de logistique pour le monde entier). DHL engage son savoir-faire dans l’express international, le fret aérien et maritime, le transport routier et ferroviaire, la logistique contractuelle et les services de courrier international pour ses clients. Forte de 275 000 employés et d’un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, l’entreprise offre aux clients une qualité de service supérieure et des connaissances locales pour satisfaire leurs exigences en matière de chaîne d’approvisionnement. DHL accepte sa responsabilité sociale en soutenant la protection du climat, la gestion des catastrophes et l’éducation.
DHL fait partie du Groupe Deutsche Post DHL. Le Groupe a généré un chiffre d’affaires de plus de 55 milliards d’euros en 2012.
La chute continue des cours internationaux de l’or, passés de 1675 dollars us en janvier 2013, à un peu plus…
The ECA’s African Trade Policy Center (ATPC), in conjunction with the African Corridor Management Alliance (ACMA), is organizing a meeting…
LAGOS, Nigeria 3 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — United Bank for Africa Plc (UBA) (http://ubagroup.com/), la banque panafricaine présente dans 19 pays d’Afrique ainsi qu’à New York, Londres et Paris, annonce le lancement de Project Alpha – la prochaine étape de transformation stratégique du groupe.
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Depuis [8] ans, UBA exécute une stratégie dédiée d’expansion locale, régionale et mondiale, dont la mise en œuvre a permis au groupe de se transformer d’un acteur national en une institution de renommée internationale. Project Alpha est une feuille de route de 3 ans décrivant des initiatives de transformation clés, conçues pour consolider le positionnement stratégique du groupe et saisir pleinement les opportunités découlant de la renaissance économique de l’Afrique et de l’unique plateforme du groupe.
Project Alpha se concentre sur l’exploitation de tous les aspects de l’empreinte, de la gamme de produits et des capacités opérationnelles du groupe, permettant un engagement vis-à-vis de la transformation du service à la clientèle, une croissance de la part de marché, la mise en œuvre d’initiatives de services bancaires électroniques essentiels dans tous les segments, le développement des capacités de financement des opérations institutionnelles et commerciales et un investissement significatif dans le capital humain représenté par les plus de 25 000 employés d’UBA.
Une série de nominations à des postes de haut niveau souligne l’engagement du groupe dans le cadre de Project Alpha. M. Apollos Ikpobe a été nommé au poste de directeur général adjoint des services bancaires nationaux et Mme Obi Ibekwe au poste de directrice exécutive des ressources humaines et du service à la clientèle. Ces deux nominations ont été approuvées par la Banque centrale du Nigeria (CBN).
M. Ikpobe, qui était jusqu’à récemment directeur exécutif chez Zenith Bank, un poste qu’il occupait depuis 7 ans, apporte plus de 21 ans d’expérience dans le secteur bancaire nigérian. M. Ikpobe sera responsable du développement des activités nationales d’UBA au Nigeria. Sa nomination vient rehausser les compétences de l’actuel directeur général adjoint, M. Kennedy Uzoka, responsable des ressources et de la trésorerie.
Mme Ibekwe, nouvelle directrice exécutive des ressources humaines et du service à la clientèle, a connu une carrière marquée de succès chez Zenith Bank Plc, où elle était responsable de la gestion des ressources humaines, des services à la clientèle et de la gestion du risque de crédit. Forte d’une riche expérience dans les domaines du conseil, des services bancaires et du service à la clientèle, elle jouera un rôle essentiel dans la direction de la culture d’excellence du service renouvelée chez UBA. Sa nomination porte à cinq le nombre de femmes directrices au sein du conseil d’administration du groupe UBA.
Les autres nominations clés également annoncées incluent celle de M. Rasheed Adegoke au poste de directeur général en charge des technologies de l’information du groupe. M. Adegoke rejoint UBA de First Bank of Nigeria, où il était DSI, un poste qu’il a occupé pendant plus de 13 ans au sein de différentes institutions dans le secteur nigérian des services financiers. Stratège en technologies et en processus, il possède une expertise pratique dans les domaines de la conception et de la fourniture de technologies d’information hautement performantes et de solutions d’amélioration des processus administratifs visant à résoudre des problèmes opérationnels complexes.
L’un des aspects essentiels de l’initiative Project Alpha est l’accent placé sur UBA Afrique, dont la contribution représente actuellement 20 % du résultat du groupe et devrait atteindre 50 % à l’horizon 2016. Afin d’atteindre cet objectif, le groupe a décidé de renforcer son équipe de haute direction africaine.
Emmanuel Nnorom, ancien directeur exécutif des finances et de la gestion du risque chez UBA, a été nommé au poste de PDG d’UBA Afrique.
Les autres nominations à des postes de haut niveau au sein d’UBA Afrique incluent Mme Amie Sow, directrice générale d’UBA Sénégal, M. Demola Ogunfeyimi, directeur général d’UBA Tanzanie, M. Mamadou Sanon, directeur général d’UBA Gabon, M. Martin Che, directeur général d’UBA Congo Brazzaville, M. Marcel Bitang, directeur général d’UBA RDC, M. Stanley Ugwueze, directeur général d’UBA Zambie, Mme Abiola Bawuah, directrice générale adjointe d’UBA Ghana, M. Benedict Nklama, directeur exécutif d’UBA Kenya, M. Wilbrod Owor, directeur exécutif d’UBA Ouganda et M. Chinedu Obeta, directeur exécutif d’UBA Sierra Leone.
« UBA est en mesure de recruter les meilleurs talents du secteur bancaire africain et nous sommes fiers de pouvoir fournir une plateforme dynamique qui permet à ces Africains de contribuer à la transformation de notre continent », a déclaré M. Phillips Oduoza, directeur général du groupe/PDG d’UBA.
Et d’ajouter : « Nos ressources humaines demeurent notre plus grande richesse et nous allons poursuivre nos efforts de remaniement et de ressourcement afin d’atteindre et de dépasser les objectifs de Project Alpha. »
« De façon plus générale, Project Alpha nous permet de nous appuyer sur les forces existantes de notre franchise, mais démontre surtout que nous allons continuer à nous réinventer à l’avenir, en nous assurant que nous générons et délivrons le maximum de valeur pour nos clients, nos actionnaires et notre personnel », a-t-il expliqué.
Distributed by African Press Organization on behalf of United Bank for Africa Plc (UBA).
United Bank for Africa Plc est l’une des plus grandes institutions financières d’Afrique, proposant des services bancaires à plus de 7 millions de clients à travers plus de 700 succursales dans 19 pays africains. Avec une présence à New York, Londres et Paris, UBA relie les peuples et le monde des affaires à l’Afrique par ses services bancaires aux particuliers et aux clients institutionnels. Elle offre également des services de financement des opérations commerciales et dispose de solutions innovantes en matière de paiements transfrontaliers.
Pour plus de renseignements :
Ramon Nasir
Responsable médias
United Bank for Africa Plc | UBA House
E-mail : ramon.nasir@ubagroup.com
WASHINGTON, 3 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — IFC, un membre du groupe de la Banque mondiale, publie aujourd’hui le détail de ses activités en Afrique subsaharienne, montrant un impact important grâce à un volume record d’investissements et de services-conseil pendant l’année budgétaire 2013.
IFC a engagé la somme de 5,3 milliards de dollars dans de nouveaux investissements et dispensé des services-conseil d’une valeur de 65 millions de dollars en Afrique subsaharienne au cours de son dernier exercice fiscal. IFC a appuyé les secteurs des infrastructures, de la santé, de l’agro-alimentaire et un éventail d’activités dans des pays affectés par des conflits, et aidé les entrepreneurs africains à bénéficier d’un meilleur accès au financement.
IFC a investi 3,5 milliards de dollars, tirés des comptes propres de la société, et mobilisé 1,8 milliard de dollars engagés par d’autres investisseurs. Au cours de l’exercice budgétaire 2013, IFC a apporté son appui à des projets qui ont permis à 54 000 petites et moyennes entreprises de bénéficier de crédits, et a soutenu 13,7 millions de clients du secteur de la microfinance ; IFC a également contribué à l’amélioration de la santé et de l’éducation en faveur de 360 000 personnes. Les investissements d’IFC dans l’énergie éolienne et autres énergies renouvelables ont permis de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 667 000 tonnes.
Les dépenses d’IFC en matière de services-conseil ont atteint 65 millions de dollars pendant son dernier exercice fiscal. Quarante-deux pays ont pu bénéficier d’un total de 126 projets, dont la valeur est estimée à 217 millions de dollars au cours de la durée de vie des projets. Au cours de l’exercice budgétaire 2013, les projets associés aux services-conseils ont permis d’améliorer l’accès à l’éducation et à l’éclairage pour 1,6 millions de personnes; ils ont permis de créer 27 000 emplois; ont formé des entrepreneurs et connecté des exploitants agricoles aux marchés mondiaux.
Trois nouveaux mandats de partenariat public-privé ont été conclus avec succès, aidant à fournir des services de santé à 360,000 personnes au Lesotho et au Nigéria et de l’électricité à 75,000 personnes au Libéria.
En collaboration avec les gouvernements d’Afrique subsaharienne, les services-conseil en matière de climat des investissements d’IFC et de la Banque mondiale ont travaillé à la mise en œuvre de plus de 50 réformes bénéficiant au secteur privé dans 17 pays. En Ouganda par exemple, les réformes relatives à l’octroi de licences ont permis au secteur privé d’économiser 15,5 millions de dollars. Selon le rapport Doing Business 2013, sur les 50 économies de la planète qui réalisent le plus de progrès en matière de réglementation des affaires concernant les entreprises nationales depuis 2005, un tiers se trouvait en Afrique subsaharienne.
« L’augmentation constante des investissements et services-conseil IFC traduit notre engagement en faveur du développement du secteur privé en Afrique subsaharienne », a déclara Oumar Seydi, le directeur d’IFC pour l’Afrique de l’Est et australe. « Les 5,3 milliards de dollars engagés par IFC dans de nouveaux investissements et les 65 millions de dollars consacrés aux projets de services-conseil d’IFC ont contribué à la croissance économique de l’Afrique, grâce à l’appui fourni aux entrepreneurs et aux exploitants agricoles, à l’amélioration des infrastructures et des services de base et en favorisant le développement des affaires dans des pays en sortir de conflit ».
« En nous concentrant sur le développement du secteur privé en Afrique dans des secteurs clés comme la production d’énergie, les transports ou l’agro-alimentaire, nous jouons un rôle actif dans la stimulation de la croissance économique et la création d’emplois dans la région », a pour sa part déclaré Yolande Duhem, directrice d’IFC pour l’Afrique de l’Ouest et centrale. « Nous sommes également convaincus de l’utilité des marchés régionaux en Afrique, et nombre de nos investissements visent à permettre aux entreprises de se développer au-delà de leurs limites nationales ».
Les investissements d’IFC dans le secteur de l’agro-alimentaire en Afrique subsaharienne ont atteint 600 millions de dollars au cours de l’exercice budgétaire 2013. En investissant dans des entreprises telles que la Kenya Tea Development Agency et l’Export Trading Group, IFC permet à 263 000 exploitants agricoles d’Afrique subsaharienne de bénéficier d’opportunités économiques.
Le financement par IFC des projets d’infrastructures et ressources naturelles en Afrique a atteint 1,7 milliard de dollars. La division Infraventure d’IFC a joint ses efforts à ceux de ses partenaires du secteur privé afin d’élaborer des projets de production d’énergie éolienne en Tanzanie et au Kenya. En Afrique de l’Ouest, IFC a investi dans l’agence de sécurité aérienne et a mobilisé des fonds pour le port de Lomé afin de développer le réseau de transport et d’améliorer l’infrastructure commerciale dans la région.
L’assistance fournie dans des situations fragiles et de conflit constitue pour IFC une priorité stratégique en Afrique, et au cours du dernier exercice budgétaire, IFC a fourni des programmes d’appui à la quasi- totalité des économies africaines en sortir de conflit. Le programme en faveur des États touchés par les conflits en Afrique (CASA) d’IFC a permis de fournir des conseils et des financements à huit pays (le Burundi, la République centrafricaine, la Côte d’Ivoire, la République démocratique du Congo, la Guinée, le Liberia, la Sierra Leone et le Sud Soudan). Les programmes menés par IFC dans ces pays ont contribué à renforcer l’implantation du secteur privé et à créer des opportunités et des emplois.
Au cours du dernier exercice budgétaire, l’initiative CASA a été autorisée à se déployer dans tous les États d’Afrique subsaharienne fragiles et affectés par des conflits et concentrera la première phase de son développement sur le Mali, la Somalie et le Zimbabwe.
Grâce à une utilisation innovante de ses opérations de trésorerie, IFC a développé sa capacité à servir ses clients par des financements en monnaie nationale, et a favorisé le développement des marchés obligataires. Au cours de l’exercice budgétaire 2013, IFC a octroyé plus de 350 millions de dollars de prêts en monnaie nationale en Afrique subsaharienne. IFC a émis sa première obligation en Naira nigérians, recueillant 75 millions de dollars pour des investissements dans le secteur privé. IFC travaille avec les autorités de plusieurs pays, y compris le Ghana, le Nigéria et la Zambie sur des programmes qui permettront à IFC d’émettre régulièrement des obligations en monnaie nationale.
L’accent qu’IFC met à favoriser les investissements entre marchés émergents a été renforcé cette année grâce à de nouveaux investissements de type « Sud-Sud » totalisant près de 400 millions de dollars. Il s’agit notamment d’investissements transfrontaliers en Afrique, comme le projet de nouvel hôtel en Côte d’Ivoire du groupe hôtelier Azalai, basé au Mali. Au Nigeria, les financements apportés par IFC ont permis d’appuyer des investissements importants fournis par deux entreprises indonésiennes: l’investissement d’Indorama dans les opérations d’Eleme Fertilizer et de Wings Group au Nigeria.
TUNIS, Tunisie, 3 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le gouvernement danois a annoncé sa volonté d’apporter une contribution de 10 millions de couronnes danoises (près de 1,8 millions de dollars US) au Fonds pour l’accélération du développement agricole en Afrique (FADA) afin d’activer les investissements en infrastructures agricoles sur le continent.
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Cette contribution a été annoncée le mercredi 28 août à Copenhague par le ministre danois de la Coopération au développement, M. Christian Friis Bach, au cours de la visite du président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), M. Donald Kaberuka dans le pays.
Le FADA, premier fonds du genre géré par la BAD, a été lancé en vue de stimuler les investissements privés dans les projets d’infrastructure agricole en Afrique subsaharienne. Il est doté de 28,8 millions de dollars US.
Le soutien du gouvernement danois vient en complément des contributions faites par les bailleurs à l’origine de la création du FADA, en particulier l’USAID, qui s’est engagée à apporter 15 millions de dollars, et le gouvernement suédois qui a pris un engagement à hauteur de 10 millions de dollars.
Le Fonds pour l’accélération du développement subventionne le financement des frais initiaux de développement d’un large éventail de projets d’infrastructure agricole s’étendant sur la chaîne de valeur entière, de la production jusqu’à la vente dans les marchés. Le FADA intervient dans des pays qui sont membres de la Nouvelle Alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition. Cette dernière cherche à resserrer les liens entre agriculteurs, marchés et tables du consommateur. La Nouvelle Alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition a été lancée par le Président Barack Obama l’année dernière à l’occasion du sommet du G8. Les six pays suivants en sont membres : le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, le Ghana, le Mozambique et la Tanzanie. La Nouvelle Alliance soutient les réformes réglementaires axées sur le marché qui sont engagées dans ces six pays, où le secteur privé s’est engagé à hauteur de 3,7 milliards de dollars dans les investissements agricoles.
Au cours de sa visite, M. Kaberuka a assisté à un dîner-débat sur le thème « Croissance en Afrique, Nigéria compris » organisé par la ministre danoise du Commerce et des investissements, Mme Pia Olsen Dyhr, du ministre des Affaires européennes, M. Nick Hækkerup, et du directeur de la Confédération patronale danoise, M. Thomas Bustrup Bustrup.
Il a également eu des discussions avec le ministre danois de la Coopération au développement, M. Christian Friis Bach, sur des questions d’actualité, et notamment sur la situation du développement en Afrique, la reconstitution du Fonds africain de développement, la croissance verte et inclusive, le genre et les États fragiles.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Contacts :
Jennifer Ann Patterson
Chargée de communication
Banque africaine de développement
j.patterson@afdb.org/+216.71.10 16 38
Amadou Ba
Chef d’équipe, Fonds pour l’accélération du développement agricole en Afrique
Banque africaine de développement
a.m.ba@afdb.org/ +216 71 10 1788
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : www.afdb.org
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TUNIS, Tunisie, 2 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — La Norv�ge a apport� un soutien financier � la Facilit� africaine de soutien juridique (FASJ) � hauteur de 30 millions de couronnes norv�giennes (pr�s de 4,9 millions de dollars US) � titre de contribution principale au programme de travail de la FASJ pour la p�riode 2013-2014.
Cette convention d�aide a �t� sign�e le jeudi 29 ao�t 2013 � Oslo par Donald Kaberuka, Pr�sident du Groupe de la Banque africaine de d�veloppement (BAD) (http://www.afdb.org/fr/) et Heikki Eidsvoll Holm�s, le ministre norv�gien du D�veloppement international.
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� La Norv�ge entend aider l’Afrique � transformer sa � mal�diction des ressources � en une � b�n�diction des ressources � en appuyant le renforcement des capacit�s des pays africains en mati�re de n�gociation de contrat dans les meilleures conditions. Le but est de leur permettre d�accro�tre leurs revenus et de renforcer leurs �conomies afin de se passer, � terme, de l’assistance ext�rieure � a d�clar� le Ministre.
� Il s�agit �galement d�am�liorer la transparence financi�re des contrats qui joue un r�le crucial dans la mise en lumi�re et l��radication des flux financiers illicites. Chaque ann�e, le montant des fonds qui disparaissent des pays en d�veloppement par des moyens financiers illicites est dix fois plus �lev� que celui qui est re�u sous la forme d’aide et d’assistance au d�veloppement � a-t-il ajout�.
La strat�gie d�cennale du Groupe de la Banque pour la p�riode allant de 2013 � 2022 met l’accent sur la croissance inclusive et la transition vers la croissance verte. Elle est en parfaite ad�quation avec les priorit�s de d�veloppement de la Norv�ge, telles qu’expos�es dans le livre blanc que le gouvernement a r�cemment publi� sur l’�quit� dans la distribution et le partage pour la prosp�rit�. Cette strat�gie accorde une importance particuli�re aux enjeux des �tats fragiles, de l’agriculture, de la s�curit� alimentaire et de l’�galit� de genre.
La Norv�ge a fourni un soutien de 768 millions de couronnes (pr�s de 125,63 millions de dollars US) � la Banque africaine de d�veloppement en 2012.
La FASJ est une organisation internationale �tablie par des gouvernements africains pour leur pr�ter assistance dans la n�gociation de transactions commerciales complexes, la poursuite d’actions litigieuses avec les fonds vautours, et le renforcement des capacit�s. En appuyant la FASJ, la Norv�ge aide les gouvernements africains � consolider leurs positions dans ces domaines.
La FASJ assiste plus particuli�rement les gouvernements dans la conduite des n�gociations complexes touchant aux industries extractives et � leurs infrastructures d’appui. Ses interventions favorisent la conclusion de n�gociations contractuelles � la fois �quitables et �quilibr�es qui servent de fondement � la transformation de richesses naturelles en croissance durable et inclusive. � l’heure actuelle, la FASF soutient des projets dans 20 pays africains. Des demandes d’intervention, notamment de la part d’�tats fragiles soucieux de maximiser les avantages de leurs ressources naturelles, sont en attente.
Distribu� par l�Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de D�veloppement (BAD).
Contact : Stephen R. Karangizi, Directeur, Facilit� africaine de soutien juridique, alsf@afdb.org
MONROVIA, Liberia, 2 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Ellen Johnson Sirleaf, Présidente de la République du Libéria et Donald Kaberuka, Président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org/fr/), ont lancé, le 2 Septembre 2013 à Monrovia au Libéria, un Panel de haut niveau sur les Etats fragiles. La question centrale à laquelle vont tenter de répondre les panelistes est la suivante : ”Comment pouvons-nous, de façon concrète, construire et consolider la paix et la prospérité des états fragiles d’Afrique?”
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Les conflits et la situation fragile de certains Etats constituent des contraintes majeures au développement de l’Afrique. Alors que la plupart des pays du continent ont connu un taux de croissance économique de 5% au cours de la dernière décennie, les pays fragiles et ceux en conflit n’en ont pas bénéficié. Le PIB par habitant qui est généralement de 945 $ pour les Etats africains ne représente qu’environ un tiers de ce montant, soit environ 333 $ dans les Etats fragiles. Leur relèvement constitue donc l’une des priorités du Groupe de la Banque.
«Avec l’aide de la Présidente Ellen Johnson Sirleaf et un groupe d’experts, nous élaborons une nouvelle approche pour aider ces pays à se relever plus rapidement et minimiser l’impact de leur fragilité sur les pays voisins» a déclaré Donald Kaberuka.
60 participants, en provenance de la République centrafricaine, des Comores, de la Côte d’Ivoire, de la République démocratique du Congo, de la Guinée, de la Guinée Bissau, de la Sierra Leone, de la Somalie, du Soudan du Sud, du Soudan, duTimor-Leste et du Togo ont pris part au lancement de ce Panel de haut niveau. Parmi eux, douze ministres des Finances et de la Planification et de hauts représentants d’Organisations internationales et de la Société civile.
De 2009 à 2011, la Banque africaine de développement a apporté un appui financier d’une valeur de 2,5 milliards de dollars aux États fragiles. Elle développe actuellement une stratégie relative à son engagement sous l’égide du panel de haut niveau sur les États fragiles.
Les Membres du Panel de Haut Niveau
Présidente : Ellen Sirleaf Johnson ;
Sarah Cliffe, Représentant spécial et Directrice du World development Report on conflict, security and development aux Nations Unies ;
Gilbert Fossoun Houngbo, Directeur général adjoint du Bureau International du Travail (BIT) pour les programmes extérieurs et les partenariats ;
Geraldine Frasier-Moleketi, Envoyée spéciale sur les questions de genre à la Banque africaine de développement ;
Dr. Callisto Madavo, Professeur à Georgetown University ;
Dr Greg Mills, Directeur de la Fondation Brenthurst ;
Rakiya Omaar, Directrice d’African Rights;
Dame Barbara Stocking, Présidente du Murray Edwards College, au New College de l’Université de Cambridge.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAD).
Agenda et informations disponibles en cliquant le lien ci-après :
http://www.afdb.org/en/topics-and-sectors/initiatives-partnerships/high-level-panel-on-fragile-states/
Contact medias: Sunita Pitamber via s.pitamber@afdb.org or mikias@coxsi.com
L’enjeu est de taille pour le gouvernement gabonais qui se donne pour objectif, d’ici 2016, de bitumer plus de 3600 km de routes, soit 30% du réseau routier national. Ces routes…
Les travaux de construction de l’unité de montage de véhicules, implantée dans la nouvelle zone industrielle d’Oued à 27 kilomètres…
L’Autorité de Régulation des Postes et Télécommunications en Mauritanie, met en demeure l’opérateur de téléphonie mobile MAURITEL (société à capitaux…
Aug 30 (Reuters) – Nigeria’s securities regulator is investigating pan-African lender Ecobank over an alleged misstatement of its 2012 performance,…
Kigali, 27 August 2013 (ECA) – Ambassadors and senior government officials representing Democratic Republic of Congo (DRC), Kenya, Rwanda, Somalia,…
MAPUTO, Mozambique, 30 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Aggreko (http://www.aggreko.com), en collaboration avec ses partenaires de projet, a célébré l’agrandissement de sa centrale électrique fonctionnant au gaz au Gigawatt Park, à Ressano Garcia, au Mozambique. L’agrandissement de l’installation a été officiellement inauguré par le ministre de l’Énergie, l’Honorable Salvador Namburete, au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée aujourd’hui sur le site du projet. L’agrandissement ajoute une capacité supplémentaire de 122 MW à l’installation de Ressano Garcia, élevant la production totale de la centrale à 232 MW.
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La centrale d’Aggreko est entrée en activité en juillet 2012, concrétisant une initiative réellement révolutionnaire visant à construire le premier projet de fournisseur d’électricité indépendant (FEI) transfrontalier temporaire au monde. L’électricité produite sur le site était envoyée directement dans le Pool électrique d’Afrique australe (SAPP), les premiers acquéreurs du projet étant Electricidade de Moçambique (EDM), le service public d’électricité du Mozambique et Eskom, le service public d’électricité d’Afrique du Sud.
Suite au succès de la première phase du projet de Ressano Garcia, Aggreko a annoncé en mars 2013 la signature d’accords avec EDM et NamPower, le service public d’électricité de Namibie, pour fournir 122 MW de plus dans le cadre du projet. Le travail a commencé immédiatement après l’annonce afin de plus que doubler la capacité de production de la centrale. Aggreko ayant conçu et construit l’infrastructure de la centrale pour permettre des augmentations modulaires de sa capacité, l’ajout de cette production d’électricité supplémentaire a été réalisé en seulement 12 semaines.
En utilisant l’infrastructure de transmission régionale exceptionnelle du SAPP, Aggreko fournira désormais de l’électricité générée au Mozambique à trois services publics nationaux, y compris à la Namibie située à plus de 1 500 kilomètres de là. Illustrant la coopération mutuelle entre les services publics nécessaire pour y parvenir, EDM et Eskom joueront un rôle majeur dans la transmission de cette électricité vers la Namibie. EDM transmettra l’électricité par le biais de son réseau vers la frontière sud-africaine où Eskom, au nom de NamPower, en gérera la redistribution jusqu’en Namibie par le biais du réseau sud-africain.
La centrale électrique de Ressano Garcia d’Aggreko est située à la frontière entre le Mozambique et l’Afrique du Sud, à 90 kilomètres au nord-ouest de Maputo, au Gigawatt Park. Le gaz naturel nécessaire à ce projet est fourni par Matola Gas Company SA par le biais de son infrastructure gazière située à Ressano Garcia, et Aggreko produit de l’électricité par le biais d’un accord de sous-concession avec Gigawatt Mozambique SA.
« Ressano Garcia est la plus importante centrale électrique transfrontalière temporaire au monde, avec 232 MW d’électricité produite à partir de gaz et utilisée par trois services publics nationaux », a déclaré David Taylor-Smith, directeur régional d’Aggreko dans la région Europe, Moyen-Orient, Afrique. « Ce projet souligne la précision et la vitesse avec lesquelles Aggreko peut fournir une capacité électrique temporaire à grande échelle, pour aider nos clients à combler les lacunes en matière d’électricité lorsqu’elles surviennent. »
Paulinus Shilamba, directeur général de NamPower, a affirmé : « Cette approche innovante pour garantir un approvisionnement en électricité pour les habitants de Namibie est un bel exemple de l’esprit de la coopération sud-africain. Ce projet unique contribuera fournir une alimentation électrique en Namibie et soutiendra le développement continu du pays. »
Augusto de Sousa Fernando, PDG d’EDM, a ajouté : « Suite au premier projet qu’EDM a rendu possible en jouant son rôle en tant que service public et opérateur de système au Mozambique, nous souhaiterions encore une fois accueillir la seconde phase du projet de la centrale électrique temporaire d’Aggreko à Ressano Garcia, qui aidera EDM et ses partenaires au sein du SAPP à assurer leur service pendant la période de transition jusqu’à ce que nous mettions en place nos installations permanentes au Mozambique. »
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Contact presse:
Nicholas van Santen
Directeur des RP et des communications
Aggreko EMOA
Tél. : +971 56 682 5978
E-mail : nicholas.vansanten@aggreko.ae
Aggreko
Aggreko plc est le leader mondial des solutions d’énergie temporaire et de régulation de température. Aggreko emploie plus de 5700 personnes opérant à partir de 194 sites. En 2012 nous avons servi des clients dans plus de 100 pays et nous avons réalisé un chiffre d’affaires de près de 1,6 milliards d’Euros (2,5 milliards de Dollars ou 2,0 milliards de Euro). Aggreko plc est inscrit au London Stock Exchange (AGK.L), est membre de l’index FTSE-100, et a son siège social en Ecosse. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site Internet de la société à l’adresse www.aggreko.fr.
Aggreko apporte des solutions pour la fourniture temporaire d’énergie et le froid & climatisation à des clients qui en ont un besoin particulièrement urgent ou pour une période courte. Par exemple, la fourniture d’énergie à un site industriel qui avait besoin d’entretenir son système permanent de production d’électricité, en fournissant en énergie une ville entière en période de pénurie, ou en fournissant les systèmes de production d’électricité et de refroidissement pour un événement sportif majeur. Nous répondons nos clients soit à partir de nos 194 centres de service, que nous appelons « Local Business », soit sur le plan mondial, grâce à notre entité « International Power Projects ».
Dans le cadre du Local business, qui constitue environ la moitié de notre chiffre d’affaires, nous louons notre équipement aux clients qui les exploitent alors par eux-mêmes, bien que nous conservions la responsabilité de son entretien et de sa maintenance. Dans le cadre de « International Power Projects », qui représente environ la moitié de notre chiffre d’affaires, nous agissons comme producteur d’électricité. Nous installons et exploitons des unités de production d’électricité et nous facturons à nos clients à la fois la fourniture de la capacité de production et l’électricité que nous produisons. Nous concevons et fabriquons notre équipement de manière spécifique en fonction de ces exigences dans notre usine de Dumbarton, en Écosse.
Parmi nos clients récents on retrouve les Jeux Olympiques et Paralympiques de Londres 2012, les Jeux Olympiques d’hiver de Vancouver de 2010 et les compagnies publiques d’électricité dans plus de 50 pays parmi lesquels le Royaume-Uni, la France, l’Angola, le Kenya, l’Indonésie, le Bangladesh, le Venezuela, le Chili, le Brésil et les États-Unis.
En 2012 nous avons reçu près de 45,000 retours à nos enquêtes de satisfaction Clients. 70% d’entre eux nous recommanderait à un collègue ou à un ami (note de 9 ou 10 sur 10).
Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site Internet de la société à l’adresse : www.africa.aggreko.com.
LAGOS, Nigeria 30 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Le véhicule d’investissement panafricain de Tony O. Elumelu, Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com), a annoncé aujourd’hui un investissement conséquent dans Seadrill Mobil Units (Nigeria) Limited, une filiale de l’une des plus importantes sociétés de forage en eau profonde au monde, Seadrill. M. Elumelu a été nommé président du conseil de Seadrill Mobil Units.
Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/heirs-holdings.jpg
Photo Tony Elumelu: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/tony-elumelu.jpg
Cet investissement est une preuve supplémentaire de la stratégie de M. Elumelu visant à accroître la participation des entreprises africaines dans la chaîne de valeur du gaz et du pétrole, et complète les intérêts existants de la société en matière de production et d’exploration de gaz et de pétrole. Seadrill, la plus importante société de forage en mer au monde, est cotée aux bourses de New York et d’Oslo, opérant la deuxième plus importante flotte en eau très profonde au monde et la plus importante flotte de plateformes haut de gamme de l’industrie avec 7 500 employés dans 15 pays.
À propos de l’investissement, M. Elumelu a déclaré : « Seadrill est un acteur important dans le secteur du pétrole et du gaz, avec une expérience éprouvée, et est l’un des noms les plus respectés de l’industrie. Ce partenariat présente un réel intérêt commercial, réunissant un acteur mondial majeur et un acteur africain de premier plan au sein de l’industrie du gaz et du pétrole. Le développement réussi des gisements de pétrole et de gaz en eau profonde du Nigeria revêt une importance stratégique pour notre pays. Il s’agit d’une part importante de notre approche personnelle visant à créer un investissement à valeur ajoutée synergique dans le secteur de l’énergie, depuis l’extraction au traitement et, peut-être plus important pour le Nigeria, la production industrielle et la production d’électricité. »
M. Elumelu a ajouté : « Ce partenariat ouvre la voie à la poursuite du développement de notre secteur de l’électricité, mené par les talents locaux et devrait servir de modèle pour une participation continue, réelle et indigène, créant un impact à la fois économique et social. »
Le directeur de Seadrill Mobil Units (Nigeria) Limited, Svend Anton Maier, a affirmé : « Le partenariat avec Heirs Holdings crée l’association parfaite entre une expertise technique mondiale, soutenue par une excellence opérationnelle, et une gestion financière intelligente pour le marché nigérian. Il place la société dans une position de leader local et d’acteur réellement indigène. »
Heirs Holdings réalise des investissements exclusifs dans divers secteurs stratégiques à travers l’Afrique. Par le biais de ses filiales Tenoil Petroleum & Energy Services et Transcorp Energy, créée pour diriger l’approche de Transcorp sur le secteur de l’électricité, Heirs Holdings s’est déjà largement engagée dans le secteur de l’exploration et la production de pétrole, par le biais de l’acquisition d’OPL 281, un gisement pétrolier à terre avec des réserves de gaz importante, par le développement par Transcorp et Tenoil d’OPL 2008, qui devrait entrer en production en 2014.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.
Pour plus de renseignements :
Moky Makura
Directrice du marketing et des communications d’entreprise
Heirs Holdings
E-mail : moky.makura@heirsholdings.com
Téléphone : +234-1-277-4641
À propos de Heirs Holdings
Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.
LAGOS, Nigeria 30 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Le véhicule d’investissement panafricain de Tony O. Elumelu, Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com), a annoncé aujourd’hui un investissement conséquent dans Seadrill Mobil Units (Nigeria) Limited, une filiale de l’une des plus importantes sociétés de forage en eau profonde au monde, Seadrill. M. Elumelu a été nommé président du conseil de Seadrill Mobil Units.
Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/heirs-holdings.jpg
Photo Tony Elumelu: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/tony-elumelu.jpg
Cet investissement est une preuve supplémentaire de la stratégie de M. Elumelu visant à accroître la participation des entreprises africaines dans la chaîne de valeur du gaz et du pétrole, et complète les intérêts existants de la société en matière de production et d’exploration de gaz et de pétrole. Seadrill, la plus importante société de forage en mer au monde, est cotée aux bourses de New York et d’Oslo, opérant la deuxième plus importante flotte en eau très profonde au monde et la plus importante flotte de plateformes haut de gamme de l’industrie avec 7 500 employés dans 15 pays.
À propos de l’investissement, M. Elumelu a déclaré : « Seadrill est un acteur important dans le secteur du pétrole et du gaz, avec une expérience éprouvée, et est l’un des noms les plus respectés de l’industrie. Ce partenariat présente un réel intérêt commercial, réunissant un acteur mondial majeur et un acteur africain de premier plan au sein de l’industrie du gaz et du pétrole. Le développement réussi des gisements de pétrole et de gaz en eau profonde du Nigeria revêt une importance stratégique pour notre pays. Il s’agit d’une part importante de notre approche personnelle visant à créer un investissement à valeur ajoutée synergique dans le secteur de l’énergie, depuis l’extraction au traitement et, peut-être plus important pour le Nigeria, la production industrielle et la production d’électricité. »
M. Elumelu a ajouté : « Ce partenariat ouvre la voie à la poursuite du développement de notre secteur de l’électricité, mené par les talents locaux et devrait servir de modèle pour une participation continue, réelle et indigène, créant un impact à la fois économique et social. »
Le directeur de Seadrill Mobil Units (Nigeria) Limited, Svend Anton Maier, a affirmé : « Le partenariat avec Heirs Holdings crée l’association parfaite entre une expertise technique mondiale, soutenue par une excellence opérationnelle, et une gestion financière intelligente pour le marché nigérian. Il place la société dans une position de leader local et d’acteur réellement indigène. »
Heirs Holdings réalise des investissements exclusifs dans divers secteurs stratégiques à travers l’Afrique. Par le biais de ses filiales Tenoil Petroleum & Energy Services et Transcorp Energy, créée pour diriger l’approche de Transcorp sur le secteur de l’électricité, Heirs Holdings s’est déjà largement engagée dans le secteur de l’exploration et la production de pétrole, par le biais de l’acquisition d’OPL 281, un gisement pétrolier à terre avec des réserves de gaz importante, par le développement par Transcorp et Tenoil d’OPL 2008, qui devrait entrer en production en 2014.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.
Pour plus de renseignements :
Moky Makura
Directrice du marketing et des communications d’entreprise
Heirs Holdings
E-mail : moky.makura@heirsholdings.com
Téléphone : +234-1-277-4641
À propos de Heirs Holdings
Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.
Kigali, 27 August 2013 (ECA) – Ambassadors and senior government officials representing Democratic Republic of Congo (DRC), Kenya, Rwanda, Somalia,…