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Découvrez les actualités et analyses approfondies des secteurs économiques africains, mettant en lumière les opportunités et les défis financiers.

NAIROBI, Kenya, 30 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Equity Bank et Airtel Kenya (http://www.airtel.com) ont conclu aujourd’hui un partenariat qui permettra d’offrir des solutions complètes de commerce mobile à leurs clients au Kenya, à travers Airtel Money.

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Le service, disponible à tous les clients d’Equity Bank qui ont des lignes Airtel, leur permettra d’accéder aux plates-formes de services bancaires mobiles d’Airtel, d’effectuer des opérations financières et de retirer de l’argent dans toutes les succursales d’Equity Bank à travers le pays.

Airtel Money permettra également aux clients de payer leurs factures d’électricité, de recevoir des notifications de transactions bancaires, de vérifier le solde de leurs comptes et de recevoir des relevés bancaires.

S’exprimant lors du lancement, le PDG du Groupe Equity Bank, le Dr. James Mwangi a déclaré: «Nous sommes heureux de conclure cet accord avec Airtel. Il renforce notre engagement à étendre l’inclusion financière en Afrique de l’Est en permettant aux populations non-bancarisées et sous-bancarisées de profiter des avantages des paiements mobiles, tout en nous donnant la possibilité de mieux servir les clients d’Airtel».

«Nous allons continuer à renforcer notre modèle d’affaires grâce à l’innovation, l’utilisation accrue de la technologie, l’automatisation afin d’améliorer l’expérience client et les collaborations avec les intervenants de l’industrie tels que Airtel», a déclaré le Dr. Mwangi.

«Ce partenariat avec Equity Bank renforce l’accessibilité d’Airtel Money pour nos clients à travers le Kenya. Les 203 succursales et les 600 guichets automatiques d’Equity Bank viendront compléter les 10 000 agents d’Airtel Money répartis à travers le pays. C’est désormais plus facile et plus commode pour les clients d’avoir accès aux services de dépôt et de retrait d’argent d’Airtel Money», a déclaré M. Jayant Khosla, le PDG d’Airtel pour l’Afrique anglophone.

M. Khosla, qui a souligné que les services de commerce mobile d’Airtel facilitent la vie de ses clients, a également ajouté que la société de télécommunications va continuer à informer ses clients sur les avantages d’Airtel Money qui est un service pratique et simple à utiliser.

«Equity Bank et Airtel Money ont pris l’engagement d’assurer l’inclusion financière d’un grand nombre de personnes au Kenya. Je suis certain que cette relation va, dans les jours à venir, favoriser l’épanouissement de nombreuses personnes dans la région de l’Afrique de l’Est», a déclaré M. Khosla.

Airtel Money est en passe de devenir le moyen privilégié pour envoyer et recevoir de l’argent à travers le Kenya et l’Afrique de l’Est. Les clients utilisent le service pour payer les factures de services publics tels que les factures d’électricité. Le processus est automatisé et instantanné. Le service offre aux clients un mode rapide et sécurisé pour effectuer leurs transactions financières.

Airtel s’est lancé dans le commerce mobile il y a deux ans et possède maintenant un vaste réseau qui comprend plus de 10 000 agents dont des banques, des agents bancaires, des chaînes de supermarchés et des points Posta.

Le partenariat avec Equity Bank aidera aussi l’adoption du commerce mobile en Afrique sub-saharienne où Airtel Money s’est étendu à 16 pays. Les gouvernements, les entreprises et les institutions de ces pays demandent de plus en plus des services pratiques de traitement de transactions financières.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Bharti Airtel Limited.

À propos de Bharti Airtel

Bharti Airtel Limited est l’une des plus grandes sociétés de télécommunications dans le monde avec des opérations dans 20 pays en Afrique et en Asie. Basée à New Delhi, en Inde, la société fait partie des quatre plus grands opérateurs de téléphonie mobile au monde en termes du nombre d’abonnés. En Inde, elle offre des services variés : notamment des services mobiles 2G et 3G, des lignes fixes, du haut débit ADSL, l’IPTV et le DTH, et des solutions pour entreprises et services nationaux et internationaux de longue distance aux opérateurs de téléphonie. Sur les autres marchés, elle fournit des services mobiles 2G et 3G, ainsi que le commerce mobile. Bharti Airtel comptait plus de 277 millions d’abonnés sur l’ensemble de ses marchés à la fin du mois de Juin 2013. Pour en savoir plus, consultez le site: www.airtel.com

Contacts:

Dick Omondi

Bharti Airtel

Email: dick.omondi@ke.airtel.com

Tel: +254 737 048 009

Le consortium CIM-METAL Group SA vient de signer une convention d’investissement de 68,2 milliards de francs CFA avec le Burkina…

WASHINGTON, 30 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Groupe de la Banque mondiale a engagé le montant record de 14,7 milliards de dollars au cours de l’exercice 2013 (de juillet 2012 à juin 2013) afin de soutenir la croissance économique de l’Afrique et contribuer à l’amélioration des perspectives de développement du continent en dépit de l’incertitude de la situation économique dans le reste du monde.

« La région a fait preuve d’une résilience remarquable face à la récession mondiale et a fait l’expérience d’une vigoureuse croissance », déclare Makhtar Diop, vice-président de la Banque mondiale pour la région Afrique. « L’Afrique est au cœur des objectifs du Groupe de la Banque mondiale à l’horizon 2030 de mettre un terme à la pauvreté extrême et promouvoir une prospérité partagée et durable d’un point de vue environnemental, social et fiscal ».

Le Groupe de la Banque mondiale a maintenu son fort engagement auprès des pays d’Afrique, accordant 8,25 milliards de dollars de nouveaux prêts, portant sur près de 100 projets, au titre de l’exercice 2013 en cours. Ces engagements comprennent un montant record de 8,2 milliards de dollars de crédits et de subventions de l’Association internationale de développement (IDA), le fonds de la Banque mondiale pour les pays les plus pauvres. Il s’agit du montant le plus élevé de nouveaux engagements pris par l’IDA pour une quelconque région depuis la création de la Banque.

Les investissements pour le développement profitent au secteur privé

Le volume total des engagements de l’IFC en Afrique subsaharienne, y compris les fonds mobilisés, a progressé pour atteindre le niveau record de 5,3 milliards de dollars, soit 34 % de plus que l’année précédente. De même, la dépense totale de l’IFC en programmes de services de conseil dans la région a augmenté jusqu’à dépasser 65 millions de dollars, soit 30 % du total de l’IFC. Cela a permis d’obtenir une amélioration des résultats dans les États fragiles ou affectés par des conflits et une amplification de l’impact dans les domaines d’intérêt prioritaires de l’IFC : opportunités de pratiquer une agriculture durable, accès au crédit et micro-financements, amélioration des services d’infrastructure et réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Pour la MIGA, la priorité est le soutien des investissements étrangers directs à destination de l’Afrique subsaharienne et bénéfiques au développement. En 2013, l’agence a émis 1,5 milliard de dollars de garanties en appui des investissements pour des projets dans les secteurs de l’agroalimentaire, du pétrole et du gaz, de l’électricité, des services et de l’eau. Une bonne partie concerne des investissements dans des projets de production d’électricité en Angola, en Côte d’Ivoire et au Kenya. L’Afrique subsaharienne a représenté 54 % du volume des investissements de la MIGA cette année, contre 24% l’an dernier, soit plus du double.

Le soutien du Groupe de la Banque mondiale a porté prioritairement sur des projets transformationnels dans l’agriculture et l’électricité, ainsi que sur les filets de protection sociale, les transferts conditionnels de fonds en faveur des familles pauvres, les programmes de création d’emplois pour les jeunes et l’enseignement supérieur.

Intensifier les efforts en faveur des pays fragiles

Au cours de l’exercice 2013, le Groupe de la Banque mondiale a porté une attention accrue aux vecteurs régionaux de fragilité et de conflit en Afrique, en particulier dans la région du Sahel et celle des Grands Lacs. En mai 2013, au cours d’une mission historique dans la région des Grands Lacs effectuée conjointement par les Nations Unies et le Groupe de la Banque mondiale, la Banque s’est engagée à investir 1 milliard de dollars pour le développement, afin d’aider les pays de la région à dispenser de meilleurs services de santé et d’éducation, à développer le commerce transfrontalier et à financer des projets d’hydroélectricité en soutien de l’accord de paix de la région des Grands Lacs. Ce fut un message fort, réaffirmant que paix et développement sont indissociables et doivent être traités ensemble, soulignant l’engagement de la Banque à travailler plus étroitement avec les États sortant de conflits ainsi que sa détermination à aider les États fragiles à surmonter leur situation et à renouer avec le développement.

Relever le défi du changement climatique

Le Banque a été en première ligne pour l’identification de mesures opérationnelles et le montage de partenariats (comme TerrAfrica) visant à intégrer le changement climatique dans la gestion des terres, la gestion des ressources en eau, l’infrastructure des transports, l’agriculture intelligente sur le plan climatique et la gestion des risques de catastrophes. Elle continue de travailler à l’élaboration de politiques innovantes, comme l’illustre le premier prêt à l’appui des politiques de développement pour le changement climatique, accordé au Mozambique.

Le changement climatique est également au cœur du programme de développement pour la région. Les projets d’énergie propre en hydroélectricité, géothermie, solaire et gaz font partie intégrante de la stratégie de la Banque pour l’Afrique visant à limiter l’empreinte carbone liée à la croissance de la région et à profiter d’un énorme potentiel inexploité pour le développement. Nombre des projets actuels et prévus profitent de la collaboration de l’IDA, de la MIGA et de l’IFC au sein du Groupe de la Banque mondiale pour tirer le meilleur parti de leurs investissements dans la région en matière de développement.

Accélérer l’utilisation de la science et de la technologie

L’avenir de l’Afrique dépendra de sa capacité à adopter plus rapidement des technologies existantes et à venir. Des gains importants de productivité sont possibles si l’on dispense une meilleure formation en science et en technologie aux Africains, et si l’on investit dans les nouvelles technologies agricoles. Au cours de l’exercice 2013, la Banque a contribué à remettre l’enseignement supérieur à l’ordre du jour du développement, avec un accent particulier sur la science. Les économies d’Afrique ont un besoin urgent de techniciens et d’ingénieurs très qualifiés, en particulier dans le domaine de l’énergie et des infrastructures. Elles ont besoin de scientifiques spécialistes de l’agriculture, de travailleurs dans le domaine médical et de chercheurs. Pour obtenir des résultats de qualité dans l’enseignement primaire et secondaire, il faut des enseignants qualifiés que seules les universités peuvent former. La Banque a continué à monter des partenariats afin d’apporter un appui à l’enseignement des technologies.

RABAT, Maroc, 30 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Nizar Baraka, ministre marocain de l’Economie et des Finances, et Amani Abou-Zeid, représentante résidente du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) au Maroc, ont procédé, vendredi 26 juillet 2013 à Rabat, à la signature d’un accord de prêt d’un montant de 100 millions d’unités de compte (soit 116 millions d’euros), destiné à financer le Programme d’appui à l’adéquation formation emploi (PAAFE).

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L’accord vise à soutenir les réformes du système éducatif et de formation professionnelle marocain, en vue d’optimiser l’employabilité des jeunes et l’adéquation des offres de formation avec le marché de l’emploi. Ce programme devrait directement bénéficier à 880 000 élèves de l’enseignement secondaire qualifiant, 510 000 étudiants, 370 000 stagiaires des filières de formation professionnelle, à 30 000 chômeurs sans qualification, ainsi qu’aux entreprises des branches professionnelles ciblées.

En marge de la cérémonie, ont également été signées les lettres d’accord portant sur deux dons émanant du fonds fiduciaire multidonateurs :

• Un don au profit du ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle, de 300 000 unités de compte (soit 344 000 euros), visant à financer un projet d’assistance technique pour l’identification des besoins en compétences du secteur du bâtiment et des travaux publics. Ce projet a pour objectifs d’améliorer le plan de formation, et d’élaborer le répertoire des emplois/métiers et des référentiels des emplois/compétences et de mettre en place un plan de renforcement de capacités de la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics (FNBTP). Cette assistance bénéficiera à 60 000 lauréats environ chaque année .

• Un don au profit du ministère chargé des Relations avec le parlement et la société civile, de 290 000 unités de compte (soit 335 200 d’euros), pour financer un projet d’assistance technique en faveur du dialogue national sur les nouveaux rôles constitutionnels de la société civile. Ce don aidera à mettre en place des textes législatifs qui réglementent l’intervention de la société civile dans la sphère publique – ce, afin de consacrer la démocratie participative.

La cérémonie de signature s’est déroulée en présence de Driss El Azami El Idrissi, ministre délégué auprès du ministre de l’Economie et des Finances chargé du Budget, Lahcen Daoudi, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation des cadres, Mohamed El Ouafa, ministre de l’Education nationale, Abdelouahed Souhail, ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, et El Habib Choubani, ministre chargé des Relations avec le parlement et la société civile.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contacts :

Chawki Chahed

Communications Officer

T. +216 71 10 27 02

C. +216 98 70 31 68

c.chahed@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 29 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 54 Etats membres régionaux.

Pour plus d’information : j.mp/AfDB_Media

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 30 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — L’African Innovation Foundation (AIF) a annoncé l’appel à candidatures pour le Prix de l’Innovation pour l’Afrique (PIA) 2014 (http://www.innovationprizeforafrica.org). Ce Prix prestigieux, décerné chaque année depuis 2012, vise à encourager les innovations qui contribuent au développement durable en Afrique. La candidature gagnante recevra un prix de 100 000 USD, et deux autres prix de 25 000 seront attribués l’un à l’innovation ayant le meilleur potentiel commercial, l’autre à l’innovation présentant le meilleur impact social.

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Dans un effort pour générer un développement mené par l’Afrique, le PIA invite les entrepreneurs et les innovateurs africains à proposer des projets qui ouvrent de nouveaux potentiels africains dans une des cinq catégories suivantes : 1) agriculture et agro-industrie ; 2) environnement, énergie et eau ; 3) santé et bien-être ; 4) applications informatiques ; et 5) secteurs secondaire et tertiaire

« L’équipe du PIA est convaincue que le meilleur moyen de construire l’Afrique consiste à investir dans les innovations et l’entreprenariat locaux. Ce prix encourage les Africains à développer des solutions créatives pour relever les défis du quotidien », a commenté le fondateur de l’AIF, Jean-Claude Bastos de Morais.

Le PIA 2013 a été attribué au candidat sud-africain AgriProtein pour son approche novatrice du recyclage des nutriments ; une méthode qui utilise les déchets et les larves de mouche pour produire des aliments naturels pour animaux. Le prix 2013 a également distingué deux autres lauréats pour leur contribution à l’innovation africaine. Dans la catégorie potentiel commercial, Hassine Labaied et Anis Aouini de Saphon Energy (Tunisie) ont reçu 25 000 USD pour la création d’une éolienne sans pales. Dans la catégorie impact social, Sanoussi Diakite (Sénégal) a reçu 25 000 USD pour avoir conçu et distribué une machine thermique qui décortique 5 kg de fonio (une céréale importante et saine d’Afrique de l’Est) en seulement 8 minutes. Cette innovation améliore l’accessibilité à une denrée alimentaire nutritive de base en Afrique en traitant les problèmes associés à sa consommation.

Avec plus de 1 350 candidatures reçues à ce jour, le PIA vise à soutenir les efforts de l’Afrique pour élaborer de nouveaux produits, augmenter l’efficacité et générer des économies sur le continent. Le PIA offre aussi une plateforme aux innovateurs africains qui peuvent ainsi présenter leurs solutions aux investisseurs potentiels et rechercher des partenaires pour réaliser à plus grande échelle leurs concepts commercialisables. Seules les innovations d’Africains pour les Africains sont éligibles à la participation. Les Africains de la diaspora peuvent également s’inscrire si leurs innovations sont significatives pour l’Afrique.

La date limite d’inscription pour le prix 2014 a été fixée au 31 octobre 2013. Pour plus d’informations sur les catégories du concours, les modalités de participation et la procédure de soumission des candidatures, veuillez consulter le site : www.innovationprizeforafrica.org et lire l’appel à candidatures détaillé avant inscription.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour the Innovation Prize for Africa (IPA).

Contacts

Deanna Petersen, Weber Shandwick

Phone + 27 79 702 8033

Email dpetersen@webershandwick.com

Pauline Mujawamariya, AIF

Phone + 41 44 515 5466

Email ipainfo@africaninnovation.org

À propos du PIA

Le Prix de l’Innovation pour l’Afrique (PIA) est une initiative de l’African Innovation Foundation (AIF). Il mobilise des innovateurs et des entrepreneurs africains en offrant un total de 150 000 USD aux lauréats qui fournissent des solutions axées sur le marché pour un développement mené par l’Afrique. Le PIA récompense et encourage des réalisations innovantes qui contribuent au développement de nouveaux produits, améliorant l’efficacité et générant des économies pour l’Afrique. Le prix encourage également les investisseurs de fonds privés, les dirigeants des gouvernements et les leaders du développement à investir dans tous les secteurs et à créer un climat qui favorise la croissance économique de l’Afrique. Pour plus d’informations, rendez-vous sur : www.innovationprizeforafrica.org.

À propos de l’AIF

L’AIF soutient l’innovation et les autres projets novateurs ayant le potentiel de contribuer au développement durable des pays africains. Cela implique le soutien des innovations locales, la facilitation des transferts de technologie ainsi que le soutien d’autres plateformes qui améliorent l’échange d’idées et la coopération entre les chercheurs, les inventeurs, les entrepreneurs, les investisseurs et les décideurs. L’AIF promeut également des processus et procédures transparents au sein du secteur public et combat l’appropriation illégitime et la dissipation de ressources au sein des domaines publics et privés. Les domaines d’activité de l’AIF englobent des programmes et des projets dans les secteurs de : l’innovation et l’accès aux technologies, la gouvernance, l’éducation et la culture, et la santé. Pour plus d’informations, rendez-vous sur: http://www.africaninnovation.org

BRAZZAVILLE, Congo, 26 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — À l’occasion du deuxième Sommet économique annuel Forbes Afrique, les présidents Dennis Sassou N’guesso du Congo, Macky Sall du Sénégal, John Mahana du Ghana, Blaise Compaoré du Burkina Faso et Jacob Zuma d’Afrique du Sud, ont tous souligné l’importance du secteur privé dans le développement de l’Afrique.

Photo Macky Sall – Tony Elumelu : http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=597

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Le sommet, qui se concentrait sur l’infrastructure et l’émergence d’une classe moyenne africaine, s’est déroulé en présence des chefs de file mondiaux des secteurs public, privé et philanthropique incluant l’ancien secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, l’ancien Premier ministre de la Belgique, Guy Verhofstadt, l’ancien ambassadeur des États-Unis et maire de la ville d’Atlanta, Andrew Young, le président du principal parti d’opposition en France, l’UMP, Jean-François Copé, ainsi que les chefs d’entreprise africains Tony Elumelu, Patrice Motsepe et Louis Ebata.

Le ton a été donné par le président Denis Sassou N’Guesso, qui a souligné le besoin des pays africains d’élaborer davantage de politiques pour soutenir ce qu’il a appelé « une puissante émergence de la classe moyenne en Afrique » qui créerait un meilleur avenir pour l’Afrique. Macky Sall, président du Sénégal, s’est exprimé sur les quatre piliers essentiels qui assureraient cet « avenir meilleur », citant l’éducation et la formation du capital humain, l’agriculture modernisée et mécanisée, l’énergie abordable et un réseau adéquat d’infrastructure comme des moteurs clés.

Plaidant en faveur d’une participation accrue du secteur privé pour exécuter le programme de développement, le président John Dramani Mahana du Ghana a mis en garde contre une confiance excessive accordée au gouvernement, en affirmant que « Le gouvernement ne peut pas recueillir le type de financement qui est nécessaire pour donner suffisamment de pouvoir à l’Afrique. »

Dans son discours, le président Campaoré du Burkina Faso a félicité le chef d’entreprise et philanthrope Tony Elumelu, président de la société d’investissement par actions panafricaine Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com), pour ses efforts visant à stimuler le développement de l’Afrique en investissant sur le continent.

Au cours de la table ronde sur le thème « Soutenir la croissance par l’investissement », qui incluait la participation de deux personnalités de renom du secteur privé, le milliardaire sud-africain Patrice Motsepe, président d’African Rainbow Minerals et M. Elumelu, ce dernier a félicité les cinq dirigeants africains pour la confiance qu’ils placent dans le pouvoir du secteur privé en tant que catalyseur et moteur du développement – l’essence de sa philosophie, que d’autres dirigeants, à l’instar du président Obama, semblent avoir adoptée. M. Elumelu a énoncé les conditions pour maximiser l’impact du secteur privé, évoquant les investissements à long terme et le développement des infrastructures comme les principaux domaines d’intérêt.

« Les investissements à court terme en Afrique n’ont tout simplement aucun impact. Il a fallu près de vingt ans pour amener la United Bank for Africa là où elle est aujourd’hui, employant 25 000 personnes dans 19 pays africains. Les dirigeants africains doivent s’assurer que l’infrastructure physique et politique adéquate soit en place pour soutenir la croissance d’entreprises panafricaines plus prospères », a déclaré M. Elumelu.

Un capital, tel que les 40 000 milliards USD que l’ancien ambassadeur des États-Unis Andrew Young a appelé « scared money » (argent apeuré), dort dans des paradis fiscaux du monde entier et pourrait trouver une meilleure utilisation pour le développement de l’Afrique.

Kofi Annan a décrit l’Afrique comme un continent qui traverse des « moments décisifs », soulignant que l’« énergie » et l’« infrastructure » sont les deux principaux obstacles au développement. Il a énuméré les trois piliers qui sont la paix et la sécurité, le développement économique, et l’État de droit et le respect des droits de l’homme, comme la solution pour la réussite économique de l’Afrique.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

Contacts pour les médias

Moky Makura

Directrice du marketing et des communications d’entreprise de Heirs Holdings Ltd.

1, MacGregor Road – Ikoyi, Lagos – Nigeria

Tél. : +234-1-2774641-5,

Mobile :+234-706-617-2802

E-mail : moky.makura@heirsholdings.com

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TUNIS, Tunisie, 25 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Deux projets de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), respectivement en Ouganda et en Côte d’Ivoire, ont reçu les honneurs du Trésor américain lors d’une cérémonie de remise de prix, le 25 juillet 2013, à Washington, DC. La BAD est ainsi la première banque multilatérale à se voir gratifiée, la même année, de deux distinctions.

Photo Ouganda: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=596

Photo Côte d’Ivoire: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=595

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Photo Donald Kaberuka: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/donald-kaberuka-afdb-president.jpg

Ont été primés, respectivement, le Projet de sortie de conflit / Projet d’appui multisectoriel en Côte d’Ivoire, axé sur la réhabilitation des services sociaux et la diminution des actes de violences à caractère sexiste dans la Côte d’Ivoire post-conflit ; et le Programme d’amélioration de l’infrastructure agricole communautaire dans les régions rurales d’Ouganda.

Le Prix d’Excellence en matière d’impact sur le développement du Trésor américain consacre les projets hors pair répondant aux normes les plus élevées en matière de développement entrepris par des banques multilatérales de développement (BMD). Le programme vise à consacrer l’excellence de la conception et la mise en œuvre d’un projet, ainsi qu’à montrer l’important travail qu’accomplissent les BMD au sein des communautés, des pays et des régions, en faveur des populations les plus démunies. Les deux projets de la BAD ont été primés parmi des dizaines d’autres sélectionnés pour l’occasion. .

Donald Kaberuka, président de la Banque africaine de développement, a reçu les prix au nom de la Banque, des mains du Secrétaire du Trésor, Jacob J. Lew.

En 2012, le Projet d’interconnexion routière Mali-Sénégal de la BAD avait reçu le Prix de l’Impact sur le développement, parallèlement à d’autres initiatives financées par la Banque asiatique de développement, la Banque interaméricaine de développement et le Fonds mondial pour l’environnement de la Banque mondiale.

Descriptif des projets :

Le projet de sortie de conflit / Projet d’appui multisectoriel – Côte d’Ivoire

Au sortir de la crise politique et des troubles civils qu’a connus la Côte d’Ivoire au début des années 2000, ce projet a été conçu pour favoriser la reprise économique, aider à la réhabilitation des services sociaux et, notamment, mettre fin aux violences faites aux femmes. Le système intégré mis en place prodigue soins sanitaires et suivi psychologique, ainsi qu’une assistance juridique aux victimes, et aide à leur réinsertion sociale et économique. Une campagne de sensibilisation sur les violences faites aux femmes a également été menée. Le projet a, en outre, permis d’équiper hôpitaux et centres de santé, de former des agents sanitaires et des dirigeants communautaires. La campagne de sensibilisation contre les violences faites aux femmes a, quant à elle, touché plus de 1,5 millions de personnes. Et les victimes ainsi que nombre d’autres femmes ont bénéficié d’une formation professionnelle dans une large gamme de métiers, outre un accès à la microfinance.

Programme d’amélioration de l‘infrastructure agricole communautaire dans les régions rurales – Ouganda

Basé sur une approche communautaire, ce projet vise à mettre en place des infrastructures agricoles et à accroître les revenus des agriculteurs. Les populations des communautés locales ont participé à l’inventaire des activités du projet, à la définition des priorités et à la sélection des projets à forte intensité de main d’œuvre, en vue de bâtir et d’améliorer les infrastructures agricoles, et d’en assurer la maintenance une fois achevées. Le projet a permis de réhabiliter des routes rurales, de construire des marchés et d’installer des équipements de transformation de produits agricoles. Ainsi, les prix à la production des denrées de base ont augmenté, tandis que les coûts et délais de transport vers les grandes villes du pays ont sensiblement baissé. Outre une hausse du taux de scolarisation, l’état de santé des populations s‘est améliorée grâce à un plus large accès aux centres de soins.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact média :

John Phillips, Groupe de la Banque africaine du développement

j.phillips@afdb.org, +216 98 313 695

Pour plus d’informations : http://bit.ly/131wT1W

The African Virtual University (AVU) www.avu.org is an equal opportunity employer. The successful candidate will be appointed for a period…

BRUXELLES, Royaume de Belgique, 24 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Mme Maria Damanaki, commissaire européen chargé des affaires maritimes et de la pêche, a paraphé aujourd’hui, avec le ministre marocain de l’agriculture et de la pêche maritime, M. Aziz Akhannouch, un protocole quadriennal à l’accord de partenariat dans le domaine de la pêche (APP) entre l’Union et le Maroc.

Le protocole est cohérent avec la réforme de la dimension extérieure de la politique commune de la pêche de l’Union, dans la mesure où il met largement l’accent sur les avis scientifiques, la rentabilité économique, la bonne gouvernance et le respect du droit international. La durabilité est garantie par une limitation de l’activité de pêche aux ressources excédentaires pour toutes les pêcheries.

Mme Damanaki a déclaré: «Il s’agit d’un moment important pour la pêche européenne et pour la pêche marocaine. Cet accord assurera la pérennité du secteur au niveau local et présente un bon rapport coûts-avantages. Le nouveau protocole est conforme aux principes de la réforme de la politique commune de la pêche de l’Union, car il garantit une gouvernance internationale des pêches responsable».

Un grand nombre d’États membres (Espagne, Portugal, Italie, France, Allemagne, Lituanie, Lettonie, Pays-Bas, Irlande, Pologne et Royaume-Uni) ont un intérêt dans l’APP conclu avec le Maroc, qui comprend 6 catégories de pêche exploitées à la fois par les segments de la flotte industrielle et de la flotte artisanale. L’enveloppe financière consacrée au Maroc est estimée à 40 millions € au total. Plus précisément, le coût total du nouveau protocole pour l’Union se chiffrera à 30 millions € par an, dont 16 millions seront versés au Maroc en contrepartie de l’accès à la ressource. Les 14 millions restants seront affectés au soutien du secteur de la pêche dans le pays, la contribution des propriétaires de navires étant estimée à 10 millions €.

PARIS, France, 24 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Orange (http://www.orange.com) et Total ont signé un partenariat permettant aux clients d’Orange d’accéder aux services Orange Money dans toutes les stations-service TOTAL des pays d’Afrique et du Moyen-Orient où les deux groupes sont présents et où Orange Money est disponible, soit 13 pays aujourd’hui.

Logo Orange: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/orange-logo.jpg

Orange Money est le service de paiement et de transfert d’argent d’Orange en Afrique et au Moyen-Orient. Il permet aux clients d’Orange de transférer de l’argent de mobile à mobile, de régler des factures ou encore de retirer et de déposer de l’argent auprès d’un réseau d’agents agréés.

Ce partenariat entre Orange et Total permettra d’étendre le réseau de distribution d’Orange Money à l’ensemble des stations TOTAL dans les 13 pays où ce service est disponible, afin d’améliorer encore le service proposé aux clients des deux groupes tant en termes de proximité que de confort d‘utilisation. Ceux-ci bénéficieront en effet de la densité du réseau de distribution TOTAL, dont les stations sont ouvertes sur une large amplitude horaire 7 jours sur 7 : ils pourront y ouvrir un compte Orange Money et effectuer des opérations de versement et de retrait d’argent sur leur compte.

Ce premier volet du partenariat est déjà opérationnel au Sénégal et au Cameroun et le deviendra à partir du second semestre 2013, dans les 11 autres pays où les deux groupes sont présents, soit dans plus de 1 300 stations. Il sera suivi d’un second volet qui devrait permettre aux clients Orange Money de régler les achats réalisés dans les stations TOTAL à l’aide de leur compte mobile.

A l’occasion de la signature, Marc Rennard, directeur exécutif en charge de la zone Afrique et Moyen-Orient d’Orange, a déclaré : « Nous sommes fiers de présenter ce partenariat avec Total : il permet de créer des synergies entre deux grands groupes présents en Afrique et au Moyen-Orient au bénéfice des consommateurs. Cet accord va donner une toute nouvelle envergure au réseau de distribution Orange Money. »

« Je me réjouis de ce partenariat qui permet à Total d’élargir encore la gamme des produits et services que nous proposons dans tout notre réseau de distribution. C’est un nouvel exemple de notre capacité à innover et à anticiper les besoins de nos clients, » a pour sa part déclaré Momar Nguer, directeur Afrique/Moyen-Orient de la branche Marketing & Services de Total. « Aujourd’hui, notre objectif est très clairement de devenir l’un des leaders de la distribution du paiement mobile en Afrique », a-t-il ajouté.

(1) Botswana, Cameroun, Côte d’Ivoire, Guinée, Jordanie, Kenya, Madagascar, Mali, Maroc, Ile Maurice, Niger, Sénégal et Ouganda

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour France Télécom-Orange.

Contacts presse :

Orange

Tél. : + 33 (0) 1 44 44 93 93

Mylène Blin, mylene.blin@orange.com

Tom Wright, tom.wright@orange.com

Total

Tél. : + 33 (0) 1 47 44 46 99

Florent Segura, florent.segura@total.com

A propos d’Orange

Orange est l’un des principaux opérateurs de télécommunications dans le monde, avec un chiffre d’affaires de 43,5 milliards d’euros en 2012 et 170 000 salariés au 31 mars 2013, dont 104 000 en France. Présent dans 32 pays, le Groupe servait près de 230 millions de clients au 31 mars 2013, dont 172 millions de clients du mobile et 15 millions de clients ADSL et fibre dans le monde. Orange est également l’un des leaders mondiaux des services de télécommunications aux entreprises multinationales sous la marque Orange Business Services.

Orange est coté sur le NYSE Euronext Paris (symbole ORA) et sur le New York Stock Exchange (symbole ORAN).

Pour plus d’informations (sur le web et votre mobile) : www.orange.com, www.orange-business.com, www.orange-innovation.tv ou pour nous suivre sur Twitter : @presseorange.

Orange et tout autre produit ou service d’Orange cités dans ce communiqué sont des marques détenues par Orange ou Orange Brand Services Limited.

Orange est opérateur dans vingt pays d’Afrique et du Moyen-Orient. Le service Orange Money, conçu spécifiquement pour les besoins des clients de cette zone, a été lancé pour la première fois en 2008. Il est désormais proposé dans 13 pays (Botswana, Cameroun, Côte d’Ivoire, Guinée, Jordanie, Kenya, Madagascar, Mali, Ile Maurice, Maroc, Niger, Sénégal et Ouganda) et compte plus de 7 millions de clients.

A propos de Total

Total est l’un des tout premiers groupes pétroliers et gaziers internationaux, exerçant ses activités dans plus de 130 pays. Le Groupe est également un acteur de premier plan de la chimie. Ses 97 000 collaborateurs développent leur savoir-faire à tous les niveaux de ces industries : exploration et production de pétrole et de gaz naturel, raffinage et distribution, gaz et énergies nouvelles, trading et chimie. Ils contribuent ainsi à satisfaire la demande mondiale en énergie, présente et future. www.total.com

En Afrique et au Moyen-Orient, Total est présent sur toute la chaîne de distribution de produits pétroliers (réseau de stations-service, commerce général, lubrifiants, carburants aviation, bitumes, GPL) dans 51 pays où le Groupe est l’un des leaders du secteur avec une part de marché estimée à 13%. Quelque 1,7 million de clients sont accueillis chaque jour dans l’une des 4 400 stations TOTAL sur ce périmètre géographique.

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 23 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Sindisiwe Chikunga, vice-ministre des Transports, s’est rendue hier au Centre des opérations d’Air Traffic and Navigation Services (ATNS) (http://www.atns.com) afin d’y célébrer les jalons importants franchis par la société au cours des 20 dernières années avec les membres du conseil d’administration, les directeurs et le personnel.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/atns.jpg

Photo ATNS CEO Mr. Thabani Mthiyane: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/dsc_3117.jpg

« Je suis ravie que notre visite coïncide avec une grande commémoration des jalons franchis par la société et de pouvoir, au sein d’une même famille des transports, prendre le temps de célébrer le 20e anniversaire de notre société Air Traffic and Navigation Services (ATNS), chef de file des services aériens en Afrique du Sud et dans l’ensemble de l’Afrique. ATNS a vécu la croissance du secteur, ses défis, ses succès et a trouvé des moyens innovants pour offrir un niveau de sécurité et des performances techniques de classe mondiale », a déclaré la vice-ministre dans son message de félicitations.

ATNS a été créée en 1993, quatre-vingt-dix (90) ans après l’invention du vol motorisé. Depuis, les choses ont bien changé. Cette année, ATNS s’est lancée dans un nouveau processus de commercialisation destiné à réorienter la société et à lui donner un rôle central en qualité de fournisseur de services pertinent et crédible. ATNS a accepté les défis liés à cette entreprise et a compris que pour atteindre l’excellence et pour saisir au mieux ses opportunités commerciales, elle se devait d’être plus efficace en améliorant la qualité et la rentabilité de ses services. Pour ce faire, elle avait besoin d’infrastructures supplémentaires et d’un remaniement de ses capacités en ressources humaines.

M. Thabani Mthiyane, nouveau PDG d’ATNS, a déclaré que les infrastructures aériennes sud-africaines étaient considérées comme certaines des meilleures au monde, participant au record de sécurité aérienne détenu par le pays. « ATNS continue donc d’investir avec sagesse dans ces infrastructures afin de soutenir l’ensemble des infrastructures de transport à l’échelle nationale. Ces activités permettent à ATNS d’effectuer d’importantes contributions auprès du secteur de l’aviation sud-africaine et du continent, favorisant ainsi la sécurité en vol », a conclu M. Mthiyane.

Ces vingt (20) dernières années, ATNS a connu une période faste, marquée par une série de remarquables succès importants en termes de gestion du trafic aérien : la feuille de route de gestion du trafic aérien d’ATNS, développée en 2010, a pour mission la création d’un système de gestion du traffic aérien mondial interopérable destiné à l’ensemble des utilisateurs au cours de toutes les phases du vol, qui soit conforme aux niveaux de sécurité convenus, qui offre un fonctionnement économique optimal et qui soit écologique et conforme à l’ensemble des normes de sécurité nationales.

En qualité de président du conseil d’administration de l’AFI Flight Plan (FPL) 2012 Task Force, ATNS a mené les efforts des régions Afrique et de l’océan Indien pour effectuer une transition sans heurts du plan de vol classique vers un nouveau format, qui est entré en vigueur en novembre 2012. Véritable plateforme de communications, ATNS a effectué sans faille des mises à jour régulières des systèmes de gestion des informations aéronautiques pour soutenir cette mise en œuvre et permettre une transition réussie au sein de ces régions.

ATNS a mis en place une logithèque unique des informations aéronautiques, appelée la Centralised Aeronautical

Database (CAD). La CAD assure, entre autres, la qualité et l’intégrité des données aéronautiques.

ATNS a joué un rôle prépondérant dans l’accueil de la Coupe du monde de la FIFA 2010 en Afrique du Sud, du 11 juin

au 11 juillet 2010. Ce succès a été le fruit d’une préparation et d’une planification à long terme complètes, au cours desquelles ATNS a mis à disposition les actifs nécessaires pour satisfaire la demande des voyageurs aériens lors de cet événement prestigieux. L’investissement et les efforts de tous ont permis à ATNS non seulement de satisfaire les attentes,

mais de les dépasser.

L’Afrique du Sud a accueilli avec succès le tournoi AFCON 2013, qui a été synonyme d’une hausse de la demande

en services aériens.

La gestion du trafic aérien et la sécurité aérienne restent les activités principales d’ATNS en Afrique du Sud, toutefois les compétences de la société s’étendent au-delà des frontières vers les pays limitrophes et le reste du continent, y compris la région de l’océan Indien. ATNS pourra relever efficacement les défis d’ordre international, tout en apportant des solutions de gestion du trafic aérien parmi les plus sûres au monde au secteur de l’aviation local.

L’Aviation Training Academy (ATA) d’ATNS a reçu le prix IATA de la meilleure école d’aviation au monde en 2011 et en 2012.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour The Air Traffic and Navigation Services (ATNS).

Demandes de renseignements :

Percy Morokane

Communications institutionnelles externes

Service des communications et du marketing

Air Traffic and Navigation Services Company

Téléphone fixe : +27(0) 11 607 1234

Fax : +27(0) 11 607 1725

Portable : +27(0)71 445 9812

E-mail : percymo@atns.co.za

DAKAR, Sénégal, 23 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Du 20 au 22 juillet, l’Initiative Panafricaine de Lutte Contre les Hépatites (IPLH) a organisé la conférence « Consensus de Dakar » pour l’Afrique francophone à Dakar, au Sénégal. Au cours de cette réunion, les experts sont arrivés à un consensus pour accroître la prévention, la prise de conscience, la recherche et le traitement des hépatites grâce à des plans nationaux dans les pays participants. Les experts, parmi lesquels des cliniciens, des généralistes, des groupes de patients et des responsables politiques, ont formulé un appel à l’action unifié en faveur de l’élaboration d’une politique efficace de lutte contre les hépatites. Les pays d’Afrique francophone participants étaient l’Algérie, le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, le Cameroun, le Centrafrique, le Congo, la République démocratique du Congo, la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Guinée, Madagascar, le Mali, le Maroc, la Mauritanie, le Niger, le Rwanda, le Sénégal, le Tchad, le Togo et la Tunisie. Ce groupe a été rejoint par des représentants du projet d’Afrique anglophone « Hepatitis in Africa – Call for Action ».

Logo « Hepatitis in Africa – Call for Action »: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/hia.jpg

Logo MSD: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/merck-sharp–dohme-corp.a-subsidiary-of-merck–co.inc..jpg

L’hépatite – un fardeau pour la société

Les hépatites B et C comptent aujourd’hui parmi les maladies infectieuses qui ont le plus fort impact négatif sur les individus, les familles et la société. Les deux hépatites virales B et C sont la principale cause de maladie chronique du foie au monde (1). C’est particulièrement important en Afrique, où un cinquième de la population est porteuse d’une hépatite chronique et où le cancer du foie est la première cause de décès par cancer chez l’homme. Frappant généralement les hommes entre 30 et 45 ans, et avec une mortalité de quasiment 100 %, le cancer du foie, et par conséquent l’hépatite, a un énorme impact économique (2) (3).

Malgré les effets néfastes sur la santé et sur l’économie des hépatites virales, les hépatites B et C restent sous-diagnostiquées et sous-signalées en Afrique. Contrairement au VIH, auquel d’énormes ressources sont consacrées, les fonds pour combattre l’infection par l’hépatite sont limités, et souffrent d’un manque de plaidoyer et de conscience de la communauté. En raison de l’absence de soutien à la base, les populations les plus affectées par les hépatites B et C, qui sont généralement difficiles à atteindre et privées de droits, ne reçoivent pas les services requis.

Les experts de toute l’Afrique s’unissent pour combattre l’hépatite

Afin de traiter ce problème, entre autres, l’IPLH a mis en place le « Consensus de Dakar ». Cette seconde réunion de l’IPLH s’appuie sur l’expérience de terrain acquise depuis la première conférence de Dakar en 2011. Afin d’augmenter l’impact de ces efforts à travers le continent africain, l’IPLH s’est associée au Focus Scientific Research Center (FSRC), une équipe de chercheurs dirigée par des médecins, et MSD, un leader mondial des soins de santé, qui ont mis en place une initiative de prise de conscience de l’hépatite dans les pays d’Afrique anglophones. Cette initiative nommée « Hepatitis in Africa – Call for Action » a été lancée à Lagos, au Nigeria, le 18 juin, avec pour objectif de provoquer une prise de conscience de la maladie parmi les parties prenantes concernées de la région.

Le Prof. Aminata Sall Diallo, directrice exécutive du « Programme National de Lutte contre les Hépatites » (PNLH) et coordinatrice de l’IPLH, a déclaré : « En élaborant des stratégies d’harmonisation des données et de partage des ressources, et en réunissant les expertises de recherche dans toute l’Afrique, nous pouvons évaluer efficacement le fardeau que représentent les hépatites B et C, en savoir plus sur les facteurs de risque et améliorer les efforts de diagnostic, gestion et prévention. Cette conférence à Dakar établira la marche à suivre pour agir contre l’hépatite, en impliquant les parties prenantes locales, régionales et internationales. »

Henrik Secher, directeur général et vice-président de MSD Afrique, a ajouté : « Nous soutenons les efforts des gouvernements et des professionnels de la santé en Afrique pour prévenir les transmissions et améliorer la détection de l’hépatite. L’implication de MSD dans cette initiative fait partie intégrante de notre engagement à découvrir, concevoir et fournir des médicaments pour prévenir et traiter les hépatites virales. »

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Merck Sharp & Dohme Corp., une filiale de Merck & Co., Inc.

Contacts pour les médias :

MSD

Nom : Dr Anouar Ben Younes

Directeur de l’accès au marché en Afrique, MSD

Email: anouar.benyounes@merck.com

Numéros de téléphone : Fixe :+41 58 618 2408 ; Portable : +41 79 193 1998

Références :

1. Mohd Hanafiah K, Groeger J, Flaxman AD, Wiersma ST. Global epidemiology of hepatitis C virus infection: new estimates of age-specific antibody to HCV seroprevalence. Hepatology. 2013 Apr;57(4):1333-42. doi: 10.1002/hep.26141. Epub 2013 Feb 4. AND Mercy Jelagat Karoney, Abraham Mosigisi Siika. Hepatitis C virus (HCV) infection in Africa: a review. The Pan African Medical Journal. 2013;14:44

2. GLOBOCAN Cancer Fact Sheet. GLOBOCAN 2008, International Agency for Research on Cancer. Disponible sur : http://globocan.iarc.fr/factsheets/cancers/liver.asp. Consulté le : 16 juin 2013.

3. Jemal, A., Bray, F., Forman, D., O’Brien, M., Ferlay, J., Center, M. and Parkin, D. M. (2012), Cancer burden in Africa and opportunities for prevention. Cancer, 118: 4372–4384. doi: 10.1002/cncr.27410

Organisateurs :

À propos de l’IPLH :

L’IPLH a été créée après la Déclaration de Dakar sur l’hépatite (juillet 2011). Cette initiative africaine est indépendante et réunit des bénévoles de vingt pays africains, ainsi que des experts bénévoles européens, qui agissent ensemble pour donner plus de visibilité à leurs actions dans chaque pays, et pour améliorer les pratiques dans la lutte contre l’hépatite. L’approche de l’IPLH est basée sur l’autonomisation (la capacité des parties prenantes africaines à élaborer leurs propres stratégies), l’inclusion (l’implication des ministères de la Santé, des professionnels de la santé, de la société civile), la vision globale (prendre en compte tous les aspects de l’hépatite, et avoir une vision globale des problèmes de santé en Afrique).

À propos du FSRC :

Le Focus Scientific Research Center (FSRC) de phamax AG est un groupe de chercheurs dirigé par des médecins qui est convaincu que les problèmes de santé dans les économies à forte croissance ne peuvent être efficacement traités que grâce aux efforts combinés des secteurs privé, public et universitaire. phamax AG a un siège social en Suisse et des bureaux à Bangalore, en Inde, et à Singapour.

À propos de MSD :

MSD (http://www.msd.com), connue sous le nom de Merck aux États-Unis et au Canada, est aujourd’hui un leader mondial des soins de santé qui œuvre pour le bien-être du monde. MSD est un nom commercial, utilisé en dehors de l’Amérique du Nord, de Merck & Co., Inc., dont le siège social est basé à Whitehouse Station, dans l’État du New Jersey, aux États-Unis. Grâce à nos médicaments vendus sur ordonnance, nos vaccins, nos thérapies biologiques et nos produits de santé destinés aux personnes et aux animaux, nous travaillons avec nos clients dans plus de 140 pays à travers le monde pour apporter des solutions innovantes dans le domaine de la santé. Nous montrons également notre engagement pour accroître l’accès aux soins de santé par des politiques, programmes et partenariats de grande envergure. Pour plus d’informations, consultez http://www.msd.com et retrouvez-nous sur Twitter, Facebook et YouTube.