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Découvrez les actualités et analyses approfondies des secteurs économiques africains, mettant en lumière les opportunités et les défis financiers.

NEW YORK, 24 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Koffi Djondo et Tony Elumelu, deux grands hommes d’affaires africains, ont été parmi les heureux gagnants des Trophées African Business (http://www.african-business-awards.com). Cette prestigieuse cérémonie, organisée par le magazine African Business, s’est déroulée le 20 septembre en présence d’éminentes personnalités et hommes d’affaires à l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unis à New York.

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Le grand leader togolais Gervais Koffi Djondo, l’un des pères fondateurs du groupe bancaire pan-Africain Ecobank, et fondateur de la compagnie aérienne pan-Africaine Asky, a été honoré pour sa vie exemplaire et son rôle dans la création de deux géants africains de la finance et de l’aviation, qui participent activement à l’intégration régionale et continentale.

Ethiopian Airlines a obtenu le Trophée de Meilleure entreprise africaine. Cette compagnie aérienne est un modèle de réussite dans un secteur difficile et concurrentiel.

Le Trophée Icône de l’année d’African Business a été décerné au banquier nigérian et philantropiste Tony Elumelu pour sa contribution à la transformation et au progrès du monde des affaires. Bola Adesola, présidente de la banque nigériane Standard Chartered est l’heureuse gagnante du Trophée Business Woman de l’année.

Le Trophée de l’Innovation a été obtenu par Mawingu, un nouveau projet dans les télécommunications au Kenya, qui utilise les technologies sans fil innovantes et l’énergie solaire pour fournir un accès rapide au niveau national.

Le très convoité Business Leader de l’année a été décerné à Edward Boateng. En très peu de temps, cet entrepreneur influent a créé un groupe médiatique au Ghana, et a mis en place les meilleures pratiques pour le développement durable et l’environnement.

Commentant la cérémonie, Omar Ben Yedder a déclaré: « les gagnants de ce soir ont de nouveau confirmé l’existence de très grands talents dans tous les domaines à travers tout le continent africain. Le secteur privé est sans aucun doute le secteur le plus dynamique et celui qui joue le rôle le plus important dans le développement économique et social en Afrique. C’est celui qui crée des opportunités et des emplois. Des accords de partenariat commencent à voir le jour entre les gouvernements et le secteur privé. Nous sommes sur la bonne voie, comme le démontrent les succès des entreprises honorées ce soir. »

Les Trophées African Business sont organisés par le magazine African Business et IC Events. Cette cérémonie annuelle a coïncidé avec l’African Leadership Forum, qui a rassemblé les dirigeants africains pour discuter des questions de leadership et bonne gouvernance sur le continent.

Les Trophées African Business sont sponsorisés par GTBank et Mota-Engil Africa (Platine), Bank of Industry et Microsoft 4Afrika (Gold), DHL et Fasken Martineau (Silver), la Banque africaine de développement (Sponsor officiel), Paramount Group (Sponsor), et A PIN’s for PEACE (Sponsor).

Les gagnants de cette année:

Lifetime Achievement Award

Gervais Koffi Djondo, Président, Asky Airlines

African Business Icon

Tony Elumelu, Président, Heirs Holdings

Entreprise Africaine de l’année

Ethiopian Airlines, Ethiopie

Business Leader de l’année

Edward Boateng, Président, Global Media Alliance, Ghana

Business Woman de l’année

Bola Adesola, Présidente, Standard Chartered, Nigeria

Good Corporate Governance

The Abraaj Group, UAE

Trophée de l’Innovation

Mawingu, Kenya

Most Admirable and Valuable Brands in Africa…

Global Brand : Coca Cola

African Brand : MTN

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour IC Publications Ltd.

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IC Events

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Tel: +44 (0) 20 7841 3210

Direct: +44 (0) 20 7841 3292

Email: o.okafor@icpublications.com

African Business

African Business, publié en anglais à Londres et en français à Paris, est depuis plus de 40 ans le magazine économique de référence du continent africain. Distribué dans plus de 100 pays à travers le monde, il est devenu une source d’informations essentielle pour les institutions et les entreprises qui s’intéressent au développement de l’Afrique. African Business est régulièrement cité par des économistes, des hommes politiques et des médias du monde entier. Le magazine a remporté plusieurs prix et son rédacteur en chef a reçu le titre de meilleur journaliste de l’année. IC Publications publie neuf magazines panafricains en anglais à Londres et en français à Paris.

IC Publications – IC Events

IC Publications a plus de 50 ans d’expérience dans l’édition de magazines, de newsletters, de rapports et suppléments sur les pays africains et arabes. Nos titres leaders – African Business, African Banker, New African, et New African Woman – sont publiés en anglais et en français et ont une audience de plus de 2 millions de lecteurs.

IC Events organise des forums, conférences et tables rondes sur l’Afrique.

BusinessinAfrica Events (BIAE)

BIAE est spécialisée dans la communication d’entreprise et l’organisation d’événements en Afrique.

TUNIS, Tunisie, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Aggreko (http://www.aggreko.com), le leader mondial dans la fourniture de solutions d’énergie temporaire et de régulation de température, a fourni une centrale temporaire de 120 MW à la Tunisie. Cette centrale de production d’électricité contribuera à consolider et à la garantir l’approvisionnement en électricité locale pendant la saison touristique estivale de 2013. Les capacités de production supplémentaires ont été disposées à plusieurs endroits stratégiques à travers le pays pour une période de deux mois ; elles viennent en appoint au réseau d’électricité tunisien. Les centrales Aggreko ont aidé à garantir une source d’alimentation électrique fiable et constante durant tout l’été lorsque la demande en électricité était à son plus haut niveau.

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Avec ce contrat, attribué par la Société Tunisienne d’Electricitié et du Gas (STEG), Aggreko a installé quatre centrales électriques d’une capacité de 30 MW chacune à Enfida, Mateur, Bouficha et El Jem. C’est une capacité suffisante pour approvisionner plus de 190 000 foyers tunisiens, assurer la continuité de l’alimentation en électricité dans les grandes zones industrielles peuplées et surtout tout permettre aux centres touristiques, essentiels à l’économie tunisienne, de maintenir leur niveau d’activité.

Christophe Jacquin, directeur général d’Aggreko Afrique du Nord et de l’Ouest, a déclaré : « ce projet met en lumière les capacités d’Aggreko pour non seulement fournir des solutions importantes et complexes en matière d’électricité à nos clients mais aussi de le faire à la fois rapidement et pendant des périodes relativement courtes. L’usage tactique de l’alimentation électrique temporaire en vue de traiter les pénuries d’énergie saisonnières est une option intéressante pour le grand nombre de nos clients du service public puisqu’elle leur apportera un ravitaillement essentiel tout en prenant les mesures nécessaires pour corriger les lacunes dans leurs centrales et réseaux de distribution »

« Pouvoir mobiliser et commissionner 120 MW d’énergie répartis sur quatre localités différentes en moins de deux mois est une réalisation impressionnante », a affirmé David Taylor-Smith, Directeur régional d’Aggreko en Europe, Moyen-Orient et Afrique. « La capacité de réaliser des projets d’une telle envergure dans un délai aussi court est spécifique à Aggreko et témoigne de l’expérience et du professionnalisme de nos équipes d’ingénierie et techniques »

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Aggreko plc.

Contact presse :

Nicholas van Santen

Directeur des Relations Publiques et de la communication

Aggreko EMEA

Tél. : +971 56 682 5978

E-mail : nicholas.vansanten@aggreko.ae

A propos de Aggreko

Aggreko International (http://www.aggreko.com) est le leader mondial dans la fourniture de solutions d’énergie temporaire et de régulation de température. Basée en Écosse, Aggreko emploie plus de 5 700 personnes réparties dans 194 centres de service. En 2012, nous sommes intervenus pour des clients dans environ 100 pays et avons généré un chiffre d’affaires d’environ 1,6 milliard GBP (2,5 milliards USD ou 2,0 milliards EUR). Aggreko plc est cotée à la bourse de Londres (AGK.L) et la société est membre de l’indice FTSE-100. Pour tout complément d’information, veuillez consulter le site Internet de la société à l’adresse : http://www.aggreko.com

Aggreko fournit des solutions d’alimentation électrique et de régulation de température rapidement mobilisables, sur des courtes ou moyennes périodes. Nous pouvons par exemple fournir de l’énergie à un site industriel pour assurer la continuité de son alimentation électrique, alimenter une ville lors de pannes sur le réseau local, ou fournir des solutions d’alimentation électrique et de refroidissement à l’occasion de grands événements (sport, musique…).

Nous répondons aux besoins de nos clients à travers nos 194 centres de service à travers le monde.

Parmi nos récents clients figurent notamment les Jeux olympiques et paralympiques de Londres 2012 (http://www.aggreko.com/media-centre/press-releases/aggreko-supports-a-powerful-london-2012), les Jeux olympiques d’hiver de Vancouver 2010 (http://www.aggreko.com/events/the-olympics/vancouver-2010) et les compagnies de services publics de plus de 50 pays : Royaume-Uni, France, Angola, Kenya, Indonésie, Bangladesh, Venezuela, Chili, Brésil, États-Unis…

En 2012, nous avons répondu aux besoins de près de 45 000 clients, dont 70 % nous ont accordé une note de 9/10 ou de 10/10 lors d’une enquête de satisfaction client.

Pour plus d’informations: http://africa.aggreko.com

NEW YORK, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — DHL Express (http://www.dhl.com), la première société de messageries et de colis au monde, pense que les échanges entre les États-Unis et l’Afrique subsaharienne offrent des perspectives de croissance, du fait que ces deux régions se basent sur la récente directive de politique présidentielle américaine (Presidential Policy Directive, PPD) pour parvenir au développement durable par le biais de l’accroissement des échanges et des investissements.

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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/charles-brewer.jpg (Charles Brewer, Managing Director for DHL Express Sub-Saharan Africa)

« Nous avons déjà assisté à cette expansion du commerce dans des pays spécifiques du continent, parce qu’ils bénéficient d’accords commerciaux préférentiels et d’un changement de politique mis en œuvre par l’État, visant à augmenter leurs exportations et importations avec les États-Unis » déclare Charles Brewer, Directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne. M. Brewer est actuellement en visite aux États-Unis en vue de rencontrer des principaux intervenants et des multinationales et pour promouvoir le commerce entre les deux régions.

Les chiffres publiés récemment par le Fonds monétaire international (FMI) ainsi que la performance de la Société montrent des perspectives économiques extrêmement positives pour l’Afrique. Les chiffres mettent également en évidence le fait que l’Afrique paraît moins confrontée aux aléas de l’économie mondiale que d’autres régions, du fait de la diversification de ses partenaires commerciaux.

« Depuis 2001, de nombreux pays africains ont connu un important changement de cap en termes de partenaires commerciaux », remarque M. Brewer. « Tandis que notre commerce intra-africain et avec l’Asie s’est intensifié de manière significative, nous avons réduit notre dépendance envers l’Europe. La prochaine région de croissance sera les États-Unis et nous sommes ravis de constater que le gouvernement américain est prêt à supprimer les barrières commerciales pour y parvenir ».

Le rapport sur les Perspectives économiques pour l’Afrique subsaharienne du FMI indique des prévisions d’augmentation de l’activité économique de 5 % dans cette région en 2012 et 2013, un rythme analogue à celui observé en 2010–11. Les marchés principaux à l’origine de cette croissance sont le Nigéria, le Ghana, le Mozambique, l’Île Maurice et l’Afrique du Sud.

La société de colis a vu un tableau analogue se profiler entre les États-Unis et diverses routes commerciales africaines bénéficiant d’économies plus importantes et plus développées telles que l’Afrique du Sud, le Nigeria, l’Éthiopie, le Kenya, le Ghana et l’Angola et qui peuvent se vanter d’une forte croissance à deux chiffres à la fois en ce qui concerne les volumes entrants et sortants.

Cependant, si l’on se base sur les chiffres de l’exportation, ce sont les plus petites économies émergentes qui enregistrent l’essor le plus important, où la Somalie, Mayotte, la Guinée-Bissau et le sud du Soudan constatent une augmentation fulgurante des importations provenant des États-Unis. Par ailleurs, les Comores, l’Érythrée, le sud du Soudan et le Libéria reçoivent une demande croissante en termes d’exportations vers les États-Unis.

« Les États-Unis et l’Afrique ont toujours bénéficié de conditions commerciales favorables basées sur la croissance africaine et sur la loi sur les opportunités économiques en Afrique (AGOA) de 2000 », a déclaré Ian Clough, Président de DHL Express aux États-Unis. « Nous sommes convaincus qu’une fois la législation révisée, aussi bien les États-Unis que les entreprises africaines en quête d’opportunités commerciales transfrontalières bénéficieront de nouveaux avantages ».

Selon des statistiques publiées par le Forum de l’AGOA à Addis-Abeba le mois dernier, le total des échanges commerciaux des États-Unis avec l’Afrique subsaharienne (exportations plus importations ) a progressé de plus de 250 %, passant de 28,2 milliards de dollars en 2001, la première année complète d’échanges commerciaux dans le cadre de l’AGOA, à 72,3 milliards de dollars en 2012.

« Il ne fait aucun doute qu’il existe un engagement en termes de croissance commerciale de la part des gouvernements respectifs et que ces chiffres continueront à progresser », conclut M. Brewer. « C’est maintenant au tour du secteur privé et des milliers de PME en quête d’opportunités de profiter de cette croissance et de développer leurs activités sur cette route commerciale lucrative ».

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Deutsche Post DHL.

Contact pour les médias :

Lee Nelson. Responsable senior du marketing et des communications, Afrique subsaharienne

DHL Express

Tél. : +27 21 409 3613 – Mobile : +27 72 361 0178

lee.nelson@dhl.com

DHL – La société de logistique du monde (The Logistics company for the world)

DHL (http://www.dhl.com) est le leader mondial du marché de la logistique et « la société de logistique du monde (The Logistics company for the world) ». DHL met son expertise dans le domaine des services express internationaux, du fret aérien et maritime, du transport routier ou ferroviaire, de la logistique contractuelle et du courrier international, au service de ses clients. Un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, et d’environ 285 000 salariés dans le monde entier, offre à ses clients un service de qualité de haut niveau et une connaissance du terrain, permettant de satisfaire aux exigences dictées par leurs chaînes d’approvisionnement. DHL assume sa responsabilité sociale en soutenant la lutte contre le changement climatique, la gestion des catastrophes naturelles et l’éducation.

DHL fait partie de Deutsche Post DHL. Le groupe a enregistré des recettes d’un montant supérieur à 55 milliards d’euros en 2012.

LAGOS, Nigeria, 19 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — S’appuyant sur ses années fructueuses de partenariat avec Hilton Worldwide, Transnational Corporation of Nigeria Plc (Transcorp), conglomérat coté en bourse, a annoncé aujourd’hui le développement d’un nouvel hôtel de premier choix dans la banlieue chic d’Ikoyi à Lagos.

Photo: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=633 (Tony O. Elumelu, Prédident de Heirs Holdings etTranscorp (à gauche) et Rudi Jagersbacher, Président de Hilton Worldwide Middle East & Africa, signent l’accord portant sur le Transcorp Hilton Ikoyi, au siège de Heirs Place, à Lagos, hier)

Logo Heirs Holdings: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/heirs-holdings.jpg

L’hôtel Transcorp Hilton Lagos proposé, comptant 350 chambres et offrant un service complet sur Glover Road, à Ikoyi, sera le deuxième hôtel du Groupe Hilton au Nigeria par Transcorp, après le Transcorp Hilton Hotel Abuja primé, qui est l’un des leaders du réseau mondial d’Hilton. Ce nouvel hôtel sera conjointement détenu par Transnational Hotels et Tourism Services Ltd, branche hôtelière de Transcorp, et Heirs Holdings, société d’investissement par actions pan-africaine présidée par le dirigeant commercial africain, Tony O. Elumelu, Commandant de l’ordre nigérian.

S’exprimant lors de la signature officielle du contrat de gestion entre les deux parties, qui s’est déroulée dans les bureaux d’Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com) à Lagos, M. Elumelu a déclaré : « Cet accord représente une nouvelle étape décisive de notre partenariat de longue date avec Hilton Worldwide. Le développement d’Ikoyi, ainsi que la rénovation et la mise à niveau complètes de nos hôtels existants à Calabar et Abuja, démontrent l’engagement d’Heirs Holdings à stimuler la croissance de l’immobilier et de l’hôtellerie, des secteurs stratégiques pour le développement économique du Nigeria. Le nouveau Transcorp Hilton Lagos présentera non seulement un nouveau lieu de classe mondiale au nombre croissant d’investisseurs, d’hommes d’affaires et de touristes au Nigeria, mais créera également des emplois réellement nécessaires pour nos citoyens, permettant leur développement social et économique. »

Dans ses remarques, Valentine Ozigbo, PDG de THTSL, a affirmé que le Transcorp Hilton Lagos réaliserait enfin le souhait des nombreux clients Hilton Honors visitant la ville, à savoir leur offrir un établissement de classe mondiale de leur marque préférée à Lagos.

Les travaux complets de construction du nouvel hôtel débuteront au début de l’année prochaine. L’hôtel disposera de salles de conférence, de salles de réunion, de salles de gymnastique et de spas bien équipés, ainsi que d’une piscine au design emblématique qui ajoutera à coup sûr une certaine verve au paysage de Lagos.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

Pour de plus amples informations, veuillez contacter :

Dupe Olusola

Directrice des ressources

Transnational Corporation of Nigeria Plc

E-mail : dolusola@transcorpnigeria.com

Téléphone : +234 (0)1 903 3946

À propos de Transcorp

Transnational Corporation of Nigeria Plc (Transcorp) est un conglomérat coté en bourse possédant une base d’actionnaires diversifiée comptant plus de 300 000 investisseurs, dont le plus important est Heirs Holdings Limited, une société d’investissement par actions pan-africaine. Le portefeuille de Transcorp comprend des investissements stratégiques dans les secteurs de l’hôtellerie, de l’agroalimentaire et de l’énergie. Nos entreprises notables comprennent Transcorp Hilton Hotel, Abuja ; Transcorp Hotels, Calabar ; Teragro Commodities Limited, opérateur de l’usine Teragro Benfruit – la première usine de concentré de jus du Nigeria ; et Transcorp Ughelli Power. Pour tout complément d’information sur Transcorp, veuillez consulter le site http://www.transcorpnigeria.com

À propos d’Heirs Holdings Limited

Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com) est une société d’investissement par actions pan-africaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.

À propos d’Hilton Hotels & Resorts

L’un des noms les plus reconnus de l’industrie, Hilton Hotels & Resorts est le leader mondial haut de gamme et innovant du secteur hôtelier. Depuis les bals d’investiture et les cérémonies de remise de prix à Hollywood aux événements d’entreprises, en passant par les événements marquants de la vie courante, Hilton est là où le monde marque l’histoire, conclut un contrat, célèbre des occasions spéciales et se détend. La marque vedette d’Hilton Worldwide continue de s’appuyer sur son héritage d’innovation en développant des produits et services qui répondent aux besoins des voyageurs mondiaux avisés de l’avenir, alors que plus de 144 000 collaborateurs façonnent des expériences permettant aux gens de se sentir choyés, estimés et respectés. Aujourd’hui, le portefeuille d’Hilton Hotels & Resorts comprend plus de 550 hôtels dans 80 pays et la marque reste synonyme d’« hôtel ». Consultez les toutes dernières actualités relatives à Hilton à l’adresse http://news.hilton.com ou débutez votre voyage sur le site http://www.hilton.com. Les utilisateurs de médias sociaux peuvent contacter Hilton via http://www.twitter.com/hiltonhotels, http://www.facebook.com/hilton et http://www.youtube.com/hilton. Hilton Hotels & Resorts est l’une des dix marques leaders sur le marché d’Hilton Worldwide.

RUEIL-MALMAISON, France, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Schneider Electric (http://www.schneider-electric.com), spécialiste mondial de la gestion de l’énergie, a été classé parmi les 50 employeurs préférés des étudiants selon l’index World’s Most Attractive Employers du cabinet Universum le spécialiste mondial de la marque employeur. Classé 45ème auprès des étudiants en écoles d’ingénieurs, le Groupe se distingue comme un employeur idéal dans les domaines de l’ingénierie et de la production.

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Le classement World’s Most Attractive Employers d’Universum est établi sur la base d’une étude effectuée auprès de 200 000 étudiants en école de commerce ou d’ingénieurs dans 12 plus importantes économies mondiales: l’Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, la France, l’Allemagne, l’Inde, l’Italie, le Japon, la Russie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis. Les étudiants sont appelés à se prononcer sur les entreprises dans lesquelles ils souhaiteraient travailler, puis à choisir leurs 5 employeurs idéaux.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Schneider Electric SA.

Contact Presse :

Schneider Electric

Sophie Souquet

Tél. : +33 (0)1 41 29 84 18

sophie.souquet@schneider-electric.com

Schneider Electric France

Jean-Pierre Gherardi

Tél. : +33 (0)4 76 60 50 24

jean-pierre.gherardi@schneider-electric.com

Havas Worldwide Paris

Renato Martinelli

Tél. : +33 (0)6 34 39 11 36

schneider.presse@havasww.com

ABUJA, Nigeria, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le président Goodluck Jonathan a déclaré que la compétitivité des entreprises du Nigeria et sa capacité à attirer des investissements tant locaux qu’internationaux sera sensiblement améliorée grâce à la nomination de l’ex-banquier Chika Mordi au poste de premier chef exécutif du comité national pour la concurrence du Nigeria (National Competitiveness Council of Nigeria – NCCN).

Le président Jonathan, qui a récemment mis en place le NCCN, a déclaré :« Cette étape importante, de la part du comité national pour la concurrence, prouve l’engagement du Nigeria à transformer rapidement l’activité commerciale et à accroître la productivité au Nigeria »

Le président Jonathan a inauguré le Conseil plus tôt cette année, avec le ministre du commerce et de l’investissement, Olusegun Aganga en qualité de président, et Tony O. Elumelu, président de Heirs Holdings, qui représente le secteur privé en tant que vice-président. Parmi les autres membres provenant des communautés internationales et nigérianes, on peut nommer, entre autres : Michael Porter, Aliko Dangote, Lynda Chalker, et le Dr. Juan E. Pardinas, directeur de l’Institut mexicain de la compétitivité.

M. Aganga, un acteur de premier plan de l’équipe de transformation du président, a déclaré : « Nous sommes fiers d’avoir M. Mordi à la tête des affaires du Conseil. Son parcours remarquable prouve qu’il possède l’expérience, les capacités intellectuelles et l’ambition nécessaires pour permettre au Nigeria d’obtenir une stature économique mondiale »

Mordi dirigera un organisme placé sur un plan stratégique, appartenant à une politique plus large de l’administration de Jonathan qui vise à améliorer de façon radicale la capacité des entreprises locales et internationales à contrôler et à exploiter les affaires au Nigeria, le pays le plus peuplé d’Afrique qui abrite l’un des plus importants marchés de consommation au monde. Ces résultats seront évalués par l’indice de compétitivité internationale du Forum économique mondial du Nigeria et par le classement de l’indice Doing Business de la Banque mondiale, indices qui sont des références internationalement reconnues pour l’ouverture de l’économie d’un pays.

Selon la Banque mondiale, les pays qui mènent avec succès des réformes et qui sont capables d’anticiper les obstacles réglementaires enregistrent une meilleure performance économique, créent plus d’emplois et ont un meilleur niveau de vie.

M. Elumelu, également fondateur de la Tony Elumelu Foundation, qui a accordé une subvention de démarrage au Conseil, a déclaré : « La compétitivité est une condition préalable aux fins du développement d’un pays. Le NCCN travaille à la création d’un environnement favorable pour permettre au secteur privé de se développer. C’est la seule solution durable qui permettra le développement du Nigeria et de l’Afrique. M. Mordi offre un ensemble de compétences et de solides références, qui me confortent dans le fait que nos objectifs seront atteints »

Le Conseil a choisi M. Mordi via un processus de recrutement publié à l’échelle internationale, où se sont présentées un certain nombre de personnes très talentueuses. Il est le fondateur de Accender Africa, une organisation à but non lucratif basée à Washington, D.C. qui cherche à utiliser les nouveaux outils de communication pour augmenter la transparence au sein du gouvernement, avec pour objectif la lutte contre la pauvreté.

« Je suis fier de pouvoir contribuer de manière significative au développement du Nigeria et à son profil commercial mondial. Le secteur privé joue un rôle déterminant dans la création de la croissance durable, réduisant ainsi la pauvreté et stimulant la prospérité collective des Nigérians. Le NCCN est intrinsèque à garantir la mise en place de bonnes conditions qui permettront de sécuriser le futur du Nigeria ; c’est avec beaucoup d’enthousiasme que j’entends relever le défi », a déclaré M. Mordi.

M. Mordi, banquier professionnel, travaille depuis plus de vingt ans dans le secteur financier et a joué un rôle clé dans la transformation spectaculaire du secteur des services financiers du Nigeria, y compris le repositionnement de United Bank for Africa Plc en tant que l’une des grandes institutions financières africaines. Il a aussi contribué à l’incubation de plusieurs entreprises au Nigeria et au Ghana, et au cours de sa carrière en banque d’affaires, il a géré des opérations historiques en Afrique subsaharienne en matière d’actions, de revenus fixes, de financement d’entreprises, de conversion de dettes et de privatisation.

M. Mordi a une formation d’économiste et est diplômé de l’Université d’Ilorin, de l’IESE Business School, de l’Harvard Kennedy School, de l’American University’s Graduate School of Communications et de la John Hopkins School of Advanced International Studies. Il a également participé au programme de gestion avancée de la Harvard Business School.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

Pour plus de renseignements :

Moky Makura

Directrice du marketing et des communications d’entreprise

Heirs Holdings

E-mail : moky.makura@heirsholdings.com

www.heirsholdings.com

DAKAR, Sénégal, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — L’Organisation de la Presse Africaine (APO) (http://www.apo-opa.com), le leader mondial de la diffusion de communiqués de presse en Afrique, a annoncé aujourd’hui le triplement de sa capacité d’envoi de communiqués de presse par e-mail, qui atteint désormais 1 million d’e-mails par jour.

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Ce nouvel investissement va permettre à l’APO de répondre à la demande croissante en diffusion de communiqués de presse en Afrique, grâce à une plateforme de diffusion extrêmement fiable et compétitive, et de consolider ainsi son leadership technologique et commercial, marqué par le succès d’Africa Wire®, le service de distribution de communiqués de presse et de monitoring en Afrique (http://www.apo-opa.com/our-services/press-release-distribution-monitoring).

L’APO offre notamment à ses clients la possibilité d’enrichir leurs communiqués de presse diffusés par e-mail en y ajoutant gratuitement du contenu multimédia tels que des photos, des vidéos, des fichiers audio, des liens et des documents.

Les communiqués de presse comportant des éléments multimédia génèrent des taux de lecture largement supérieurs à des communiqués de presse composés uniquement de texte.

Considéré comme un expéditeur de gros volumes d’e-mails, l’APO respecte les meilleures pratiques en matière d’envoi d’e-mails et jouit d’une excellente réputation en tant qu’expéditeur d’e-mails avec un Sender Score stable de 99/100*, garantissant ainsi un très bon taux de délivrabilité des e-mails.

« En réponse à la demande croissantes en diffusion de communiqués de presse en Afrique, nous sommes ravis de pouvoir accompagner nos clients en renforçant notre capacité d’envoi de communiqués de presse par e-mail », a déclaré la Directrice générale de l’APO, Eloïne Barry.

L’APO administre Africa Wire®, le service de distribution et de monitoring de communiqués de presse en Afrique (http://www.apo-opa.com/our-services/press-release-distribution-monitoring), qui atteint plus de 25.000 contacts auprès des médias, blogueurs et réseaux sociaux, et redistribue du contenu à plus de 50 sites Web africains, ainsi qu’à Bloomberg Terminal, Lexis Nexis, Dow Jones Factiva et bien d’autres.

Utilisé par certaines des plus importantes sociétés et institutions au monde, notamment DHL, Microsoft, Mastercard et la Banque africaine de développement, Africa Wire® garantit la diffusion la plus vaste en Afrique, aidant les clients de l’APO à interagir avec leurs clients dans le monde entier.

* Selon Return Path (www.returnpath.com), leader mondial de la veille appliquée à la messagerie.

Contact:

Aïssatou Diallo

bdm@apo-opa.org

+41 22 534 96 97

A propos de l’APO

L’Organisation de la Presse Africaine (APO) (http://www.apo-opa.com) est le leader mondial de la diffusion de communiqués de presse en Afrique, et des relations presse liée à l’Afrique.

L’Organisation de la Presse Africaine administre un fichier presse de plus de 25 000 contacts et offre une gamme complète de services de relations presse, tels que diffusion de communiqués de presse et monitoring, visioconférence de presse, webcasting, médiatisation d’événements internationaux, veille media internationale, conseil stratégique, diplomatie publique, et relations avec les gouvernements.

L’Organisation de la Presse Africaine fournit des services gratuits aux journalistes africains, des services de relations presse innovants aux Autorités Publiques, aux entreprises, et contribue à la communication stratégique de la plupart des institutions internationales liées à l’Afrique. Plus d’information sur http://www.apo-opa.com

TUNIS, Tunisie, 14 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, le 11 Septembre 2013 à Tunis, l’octroi de subventions à l’Union des Comores, à hauteur de 20,1 millions de dollars US, pour renforcer la fourniture en énergie électrique du pays dans le cadre d’un Projet d’appui au secteur de l’énergie.

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Ce financement est dégagé des ressources de la BAD : 8,3 millions de dollars US, du Fonds africain de développement (FAD) et 12,1 millions de dollars US de la Facilité des Etats fragiles.

Le projet doit être mis en œuvre dans les trois îles principales du pays (Grande Comore, Anjouan et Mohéli). Il s’inscrit dans les actions entreprises par le gouvernement pour améliorer les performances et promouvoir le développement du secteur de l’énergie.

Le Projet d’appui au secteur de l’énergie va permettre une alimentation électrique fiable grâce à une meilleure capacité de production, la réduction du niveau des pertes techniques et commerciales et le renforcement des capacités du secteur de l’énergie. La mise en œuvre de ce projet, prévue sur une durée de 38 mois, constitue également une étape importante pour doter l’Union des Comores des études nécessaires à l’exploitation de son potentiel en énergies renouvelables, jetant ainsi les bases d’une croissance verte dans un état fragile.

Il permettra également de réhabiliter les installations de production dans les trois îles, de contribuer à améliorer la gouvernance financière par le renforcement des capacités dans le sous-secteur de l’électricité, et de promouvoir la préparation du futur projet d’énergie renouvelable par la réalisation d’études appropriées.

Les composantes du projet sont principalement: l’appui à la réhabilitation et à la mise en œuvre technique, la composition de l’énergie, l’efficacité énergétique, et le renforcement des capacités.

Le projet est en adéquation avec les priorités définies par la Stratégie de la Croissance et de Réduction de la Pauvreté (SCRP 2009-2014) des Comores. Ce documenti fait de la promotion de la stabilité macroéconomique et de la gouvernance, deux de ses quatre centres d’intérêt. le projet est également compatible avec les priorités énoncées dans l’Initiative nationale pour le développement social (INDS 2011-2015) cherchant à promouvoir la croissance, la compétitivité et l’emploi en ciblant les secteurs de l’énergie et des infrastructures ; et à renforcer le secteur privé par l’amélioration de la production de l’électricité.

Ce projet permettra également de compléter la stratégie de la vice-présidence de l’Union des Comores en charge de l’énergie qui a défini des plans pour mettre en œuvre la politique de développement de l’électricité et du secteur des produits pétroliers. Ceci passe par l’augmentation du taux d’électrification et la réalisation de 40 % de réduction du coût de production d’électricité d’ici 2015 par rapport au niveau de 2012.

Pour sa part, et selon le document de stratégie pays (DSP) pour la période 2011-2015, l’assistance du Groupe de la Banque aux Comores est uniquement axée sur un seul pilier, le développement du secteur de l’énergie et l’appui à la diversification économique. Le DSP inclut également le renforcement du secteur de l’énergie renouvelable, qu’il juge nécessaire pour améliorer la compétitivité du pays. L’exploitation accrue du potentiel des énergies renouvelables dans le cadre d’une politique énergétique durable est identifiée dans le DSP comme un effet de levier qui pourrait aider à promouvoir le développement économique en réduisant le coût de production et le prix de l’électricité.

Dans l’ensemble, le projet permettra à la Banque d’appuyer les efforts du gouvernement comorien en vue de restructurer le secteur de l’énergie, notamment en matière d’accès à l’électricité, en vue d’améliorer les conditions de vie de la population et des entreprises travaillant dans la zone d’influence du projet.

Le projet est cofinancé par la Banque mondiale, à hauteur de 5 millions de dollars US.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact technique : Youssef Arfaoui, chief renewable energy specialist, +216 71 10 23 08; y.arfaoui@afdb.org

Contact media : Pénélope Pontet de Fouquières, T. +216 71 10 19 96; p.pontetdefouquieres@afdb.org

TUNIS, Tunisie, 14 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, le mercredi 11 Septembre 2013 à Tunis, un prêt et une subvention d’un montant total de 16,66 millions de dollars US, pour financer le deuxième projet de réhabilitation et d’extension des réseaux électriques de Conakry (PREREC2), la capitale guinéenne.

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Le projet contribuera à améliorer la gouvernance et la gestion commerciale de la société Electricité de Guinée (EDG), à appuyer le gouvernement dans la réforme du sous-secteur de l’électricité et à étendre le réseau de distribution énergétique à 12 quartiers des communes de Ratoma et de Matoto à Conakry.

PREREC2 fait suite au premier projet, PREREC1, en cours d’achèvement dans 30 autres quartiers des mêmes communes et dont l’exécution a permis d’améliorer considérablement la qualité de l’électricité fournie aux consommateurs.

Les objectifs spécifiques du PREREC2 sont d’une part, de connecter 40.000 abonnés grâce à l’installation de compteurs prépayés ; réduire le taux de pertes globales dans la zone du projet de 49% à 15% . D’autre part, il s’agit de renforcer la gestion financière d’EDG en instituant un contrôle et un équilibre financier tout en’améliorantt sa gestion commerciale avec l’ augmentation du taux de facturation de 51% à 85% et de celui durecouvrement de 80% à 95% dans la zone du projet.

Le projet est en adéquation avec les piliers 1, 3 et 4 du troisième Document de stratégie de réduction de la pauvreté de la Guinée (DSRP III) pour la période 2013-2015. Ce document met l’accent sur la gouvernance et le renforcement des capacités humaines et institutionnelles. Il s’agit également d’appuyerl’accélération , la diversification et la croissance durable. En outre,l’effort portera surle développement des infrastructures pour soutenir la croissance et l’amélioration de l’accès aux services sociaux de base et la résilience des ménages dont l’un des sous-piliers est «l’amélioration de l’accès aux services énergétiques dans les zones urbaines et suburbaines. « 

L’expertise de la Banque dans la définition et la mise en œuvre de projets similaires dans les pays et dans la sous-région, ainsi que les consultations avec des partenaires internationaux ont joué un rôle déterminant dans la conception du projet. L’accent est mis sur l’amélioration de la gouvernance et le renforcement des capacités humaines et institutionnelles pour assurer, de façon durable, la viabilité de l’infrastructure. L’intervention de la Banque aidera également à lever des fonds auprès d’autres partenaires techniques et financiers du pays.

La zone d’influence du projet couvre les communes de Ratoma et Matoto, avec une population estimée à 1,4 million d’habitants dont 52,1% de femmes. Elle compte également près de 2.300 très petites entreprises (TPE) artisanales et commerciales, une quarantaine d’usines et quelque 141 associations féminines actives. Les bénéficiaires directs du projet sont les 40.000 abonnés composés de ménages, d’associations féminines et de très petites entreprises commerciales et industrielles qui seront connectés au nouveau réseau électrique. Les principaux résultats attendus sont l’accès à un service d’électricité de qualité et l’amélioration d’un environnement qui soit plus propice au développement des activités socio-économiques.

Le coût total du projet est estimé à 32,8 millions de dollars US. Il est cofinancé par la Banque islamique de développement (BID) et le gouvernement guinéen. Le projet sera mis en œuvre de 2013 à 2017.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact technique: Pierre Djaigbe, Principal Energy Officer ; p.djaigbe@afdb.org

Contact médias : Pénélope Pontet de Fouquières , T. +216 71 10 19 96 ; p.pontetdefouquieres@afdb.org

FREETOWN, Sierra Leone, 12 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Aujourd’hui, les événements solennels avec la participation du Président de Sierra Leone, Ernest Bai Koroma, le vice-ministre des Affaires Etrangères de la Russie, Guennadi Gatilov et le président de la compagnie LUKOIL Overseas (http://www.lukoil.com), Andrey Kuzyaev, se sont déroulés en République de Sierra Leone à l’occasion du démarrage d’un nouveau programme de forage d’exploration mené par la compagnie LUKOIL sur le bloc SL-5-11 dans l’offshore de l’Afrique de l’Ouest.

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La cérémonie de lancement s’est déroulée sur la plate-forme Eirik Raude qui a entamé le forage d’un puits profond sur la structure Savannah. La profondeur totale d’étude du puits d’exploration est estimée à plus de 4 700 m avec une profondeur d’eau de plus de 2 000 m.

La plate-forme Eirik Raude est la plus grande plate-forme marine du monde à autopropulseur de 5ième génération. Sa hauteur est de 122 m, sa longueur fait 119 m, sa largeur mesure 85 m, son tirant d’eau est de 52 500 tonnes, sa vitesse atteint 7 nœuds, l’équipage est de 120 personnes.

En juillet 2011, la compagnie LUKOIL Overseas, qui gère les projets d’exploration et de production de LUKOIL, a signé le CPP (Contrat de Partage et de Production) relatif à l’exploration et à l’exploitation du bloc SL-5-11 en tant qu’Opérateur (avec 49% des parts). Les autres participants au projet sont la compagnie nigériane Oranto Petroleum (30%) et PanAtlantic (21%).

Le bloc SL-5-11 avec une superficie de 4022 Km2 est situé sur le plateau continental et le talus continental de l’océan atlantique à des profondeurs d’eau variant de 100 à 3300 m. Sur ce bloc, des recherches sismiques 2D et 3D ont été réalisées sur une superficie de 1500 Km2, mettant en évidence quelques structures prometteuses. Le bloc fait partie du bassin sédimentaire Sierra Leone – Libéria ayant été marqué par quelques découvertes pétrolières et gazières ces dernières années.

Un contrat typique d’exploration et d’exploitation d’une période de 30 ans a été signé sur ce bloc. Le programme d’exploration prévoit la réinterprétation des données sismiques précédemment acquises, la prospection électrique et le forage d’un puits d’exploration.

L’étape actuelle des travaux d’exploration court jusqu’au 31 décembre 2013. La composition de l’étape suivante de l’exploration dépendra des résultats du forage.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour LUKOIL.

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TUNIS, Tunisie, 11 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Dans sa note économique intitulée « Passage du statut d’Etat rentier à l’économie productive : planification du développement dans la Libye de l’après-guerre civile », le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) analyse le changement qui doit s’opérer en Libye au moment où, au lendemain de la guerre civile, le pays s’apprête à s’engager dans un processus de planification économique à long terme. Ce changement consiste à passer d’une économie reposant essentiellement sur les recettes pétrolières dans le cadre d’un système quasi dépourvu d’institutions nationales, vers le développement d’un nouvel État, dont les institutions économiques s’allient de manière plus inclusive et plus intégrée.

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La note inclue une série de recommandations, afin de catalyser les efforts de planification de la Libye nouvelle.

La note souligne, tout d’abord, la nécessité d’améliorer les connaissances des institutions. Dans cette perspective, il importe de développer les capacités de collecte d’informations afin de doter l’État de moyens d’élaboration de politiques de développement plus importants, et de prévoir une collecte centralisée de l’information, disponible pour le grand public.

Par ailleurs, la note met l’accent sur le besoin d’améliorer la gouvernance de l’économie. Le document suggère de créer des équipes indépendantes, chargées de la gestion de la richesse et des fonds d’investissement souverains, et de décentraliser l’économie nationale partout où cela est possible et réalisable.

Concernant l’environnement des affaires du pays, le document souligne l’importance d’élaborer, de renforcer et de rendre publics des codes d’investissement, de rationnaliser davantage la bureaucratie du pays, et de soutenir les efforts en cours visant à réformer le secteur bancaire.

Pour finir, s’agissant du rôle de l’État et du secteur privé, la note suggère de concevoir des scénarios pour le désengagement de l’État – à l’exclusion du secteur pétrolier. Ceci passe par le développement d’autres initiatives en faveur du secteur privé, et l’élaboration d’autres plans pour favoriser une plus grande diversification de l’économie tout en concevant des filets solides de protection sociale.

Le document souligne les progrès que le pays a accomplis, en s’attachant à bâtir des institutions et à leur donner une impulsion un an après la fin de la guerre. La banque plaide ainsi en faveur de ce changement, estimant qu’une telle initiative pourrait aider à faire évoluer la situation économique et sociale du pays.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact: Vincent Castel, Principal Program Coordinator for Tunisia, ORNA: v.castel@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org

TUNIS, Tunisie, 11 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, ce mercredi 11 septembre, l’octroi de 120 millions de dollars EU sous forme de ligne de crédit (LDC) multisectorielle, et d’un prêt subordonné de 30 millions de dollars EU à Mauritius Commercial Bank (MCB). Cette enveloppe financière permettra à MCB d’augmenter son portefeuille de prêts en devises destinés aux grandes et moyennes entreprises opérant sur l’île Maurice, dans les pays voisins et en Afrique continentale, favorisant ainsi une croissance durable et inclusive grâce au développement du secteur privé dans la région.

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MCB Group est la plus importante institution financière de l’île Maurice, avec plus de 7 milliards de dollars EU d’actifs au total et 940 millions de dollars EU environ en fonds propres. Fondé il y a 175 ans, le groupe est une institution financière régionale respectée, avec des filiales à Madagascar, au Mozambique, aux Seychelles et aux Maldives. Doté de bureaux de représentation à Paris et Johannesburg, MCB est aussi présent, grâce à ses associés, à la Réunion et à Mayotte. Son portefeuille continental comprend des opérations dans plusieurs pays d’Afrique.

L’enveloppe financière ainsi octroyée aidera MCB à répondre à ses besoins de financement en devises et à renforcer sa base de capital, tout en lui permettant de mettre œuvre le plan de croissance de son activité continentale. MCB pourra également offrir des financements pour des projets à long terme qui bénéficieront aux pays membres régionaux où le groupe est impliqué, ou en participant à des transactions syndiquées en mettant l’accent sur des projets dans des secteurs clés et qui respectent la croissance verte et les critères de croissance inclusive.

La facilité financière proposée est dans le droit fil de la stratégie du gouvernement mauricien pour 2012-2015, qui vise à accroître et à diversifier le secteur privé, ainsi qu’à développer le secteur financier. Aussi, devrait-elle avoir des impacts positifs sur le développement du secteur privé et la création d’emplois. Elle favorisera également une hausse des impôts et des recettes publiques sur le continent, notamment en Afrique orientale et australe. En outre, les produits de l’enveloppe financière bénéficieront aux projets susceptibles d’avoir de forts impacts sur le développement et la promotion de l’intégration régionale en Afrique.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contacts :

Sabrina Hadjadj Aoul, chargée de communication, T. +216 71 10 26 21 / C. +216 98 70 98 43 / s.hadjadjaoul@afdb.org

Salah Babale, chargé d’investissement, T. +216 71 10 23 43/ s.babale@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’information : j.mp/AfDB_Media

The conference « A new deal for Somalia » is a high-level event organised jointly by the European Union and Somalia in…