TUNIS, Tunisia, July 24, 2013/ — The Board of Directors of the African Development Bank (AfDB) (http://www.afdb.org) approved today…
Mohamed Lemine Ould Deydah, ancien président du Conseil d’Administration (PCA) de la défunte compagnie Mauritanie Airways (à capitaux privés…
Le PDG de BIAT capital risque et président de l’Association tunisienne des investisseurs en capital (ATIC), Karim Ghenim, a déclaré…
Orange et Total ont signé un partenariat permettant aux clients d’Orange d’accéder aux services Orange Money dans toutes les stations-service…
Les syndicats des mines d’or en Afrique du Sud et la Chambre des mines représentant les entreprises se font face…
Communiqué de la séance de cotation du mercredi 24 juillet 2013La BRVM a clôturé sa séance de cotation du mercredi…
AngloGold Ashanti (NYSE: AU) envisage de racheter ses obligations convertibles en action libellées à un taux de 3,5% et à…
Au 30 juin 2013, le groupe Maroc Télécom a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 14,468 Milliards de dirhams, en…
Amadeus Capital Partners, the technology investor, has held a First Close at $75 million on the Amadeus IV Digital Prosperity…
Le laboratoire Laprophan serait sur le point de lancer une nouvelle unité sur la zone industrielle de Bouskou-ra, dont l’objet…
Videndi est entré en négociation exclusive avec Etisalat pour la cession de ses parts dans le capital. Etisalat e valorise…
-Managem (mines): un budget d’investissement de 940 MDhs en 2013 -Le montant du carnet de commandes pour 2013 du groupe…
Suite à la mise en place de la joint venture entre le marocain Holmarcom et le sénégalais Peacock Investments, nous…
Selon les chiffres publiés par l’Organisation des pays exportateurs de petrole (Opep), le brut de référence algérien, a de nouveau…
BRUXELLES, Royaume de Belgique, 24 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Mme Maria Damanaki, commissaire européen chargé des affaires maritimes et de la pêche, a paraphé aujourd’hui, avec le ministre marocain de l’agriculture et de la pêche maritime, M. Aziz Akhannouch, un protocole quadriennal à l’accord de partenariat dans le domaine de la pêche (APP) entre l’Union et le Maroc.
Le protocole est cohérent avec la réforme de la dimension extérieure de la politique commune de la pêche de l’Union, dans la mesure où il met largement l’accent sur les avis scientifiques, la rentabilité économique, la bonne gouvernance et le respect du droit international. La durabilité est garantie par une limitation de l’activité de pêche aux ressources excédentaires pour toutes les pêcheries.
Mme Damanaki a déclaré: «Il s’agit d’un moment important pour la pêche européenne et pour la pêche marocaine. Cet accord assurera la pérennité du secteur au niveau local et présente un bon rapport coûts-avantages. Le nouveau protocole est conforme aux principes de la réforme de la politique commune de la pêche de l’Union, car il garantit une gouvernance internationale des pêches responsable».
Un grand nombre d’États membres (Espagne, Portugal, Italie, France, Allemagne, Lituanie, Lettonie, Pays-Bas, Irlande, Pologne et Royaume-Uni) ont un intérêt dans l’APP conclu avec le Maroc, qui comprend 6 catégories de pêche exploitées à la fois par les segments de la flotte industrielle et de la flotte artisanale. L’enveloppe financière consacrée au Maroc est estimée à 40 millions € au total. Plus précisément, le coût total du nouveau protocole pour l’Union se chiffrera à 30 millions € par an, dont 16 millions seront versés au Maroc en contrepartie de l’accès à la ressource. Les 14 millions restants seront affectés au soutien du secteur de la pêche dans le pays, la contribution des propriétaires de navires étant estimée à 10 millions €.
PARIS, France, 24 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Orange (http://www.orange.com) et Total ont signé un partenariat permettant aux clients d’Orange d’accéder aux services Orange Money dans toutes les stations-service TOTAL des pays d’Afrique et du Moyen-Orient où les deux groupes sont présents et où Orange Money est disponible, soit 13 pays aujourd’hui.
Logo Orange: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/orange-logo.jpg
Orange Money est le service de paiement et de transfert d’argent d’Orange en Afrique et au Moyen-Orient. Il permet aux clients d’Orange de transférer de l’argent de mobile à mobile, de régler des factures ou encore de retirer et de déposer de l’argent auprès d’un réseau d’agents agréés.
Ce partenariat entre Orange et Total permettra d’étendre le réseau de distribution d’Orange Money à l’ensemble des stations TOTAL dans les 13 pays où ce service est disponible, afin d’améliorer encore le service proposé aux clients des deux groupes tant en termes de proximité que de confort d‘utilisation. Ceux-ci bénéficieront en effet de la densité du réseau de distribution TOTAL, dont les stations sont ouvertes sur une large amplitude horaire 7 jours sur 7 : ils pourront y ouvrir un compte Orange Money et effectuer des opérations de versement et de retrait d’argent sur leur compte.
Ce premier volet du partenariat est déjà opérationnel au Sénégal et au Cameroun et le deviendra à partir du second semestre 2013, dans les 11 autres pays où les deux groupes sont présents, soit dans plus de 1 300 stations. Il sera suivi d’un second volet qui devrait permettre aux clients Orange Money de régler les achats réalisés dans les stations TOTAL à l’aide de leur compte mobile.
A l’occasion de la signature, Marc Rennard, directeur exécutif en charge de la zone Afrique et Moyen-Orient d’Orange, a déclaré : « Nous sommes fiers de présenter ce partenariat avec Total : il permet de créer des synergies entre deux grands groupes présents en Afrique et au Moyen-Orient au bénéfice des consommateurs. Cet accord va donner une toute nouvelle envergure au réseau de distribution Orange Money. »
« Je me réjouis de ce partenariat qui permet à Total d’élargir encore la gamme des produits et services que nous proposons dans tout notre réseau de distribution. C’est un nouvel exemple de notre capacité à innover et à anticiper les besoins de nos clients, » a pour sa part déclaré Momar Nguer, directeur Afrique/Moyen-Orient de la branche Marketing & Services de Total. « Aujourd’hui, notre objectif est très clairement de devenir l’un des leaders de la distribution du paiement mobile en Afrique », a-t-il ajouté.
(1) Botswana, Cameroun, Côte d’Ivoire, Guinée, Jordanie, Kenya, Madagascar, Mali, Maroc, Ile Maurice, Niger, Sénégal et Ouganda
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour France Télécom-Orange.
Contacts presse :
Orange
Tél. : + 33 (0) 1 44 44 93 93
Mylène Blin, mylene.blin@orange.com
Tom Wright, tom.wright@orange.com
Total
Tél. : + 33 (0) 1 47 44 46 99
Florent Segura, florent.segura@total.com
A propos d’Orange
Orange est l’un des principaux opérateurs de télécommunications dans le monde, avec un chiffre d’affaires de 43,5 milliards d’euros en 2012 et 170 000 salariés au 31 mars 2013, dont 104 000 en France. Présent dans 32 pays, le Groupe servait près de 230 millions de clients au 31 mars 2013, dont 172 millions de clients du mobile et 15 millions de clients ADSL et fibre dans le monde. Orange est également l’un des leaders mondiaux des services de télécommunications aux entreprises multinationales sous la marque Orange Business Services.
Orange est coté sur le NYSE Euronext Paris (symbole ORA) et sur le New York Stock Exchange (symbole ORAN).
Pour plus d’informations (sur le web et votre mobile) : www.orange.com, www.orange-business.com, www.orange-innovation.tv ou pour nous suivre sur Twitter : @presseorange.
Orange et tout autre produit ou service d’Orange cités dans ce communiqué sont des marques détenues par Orange ou Orange Brand Services Limited.
Orange est opérateur dans vingt pays d’Afrique et du Moyen-Orient. Le service Orange Money, conçu spécifiquement pour les besoins des clients de cette zone, a été lancé pour la première fois en 2008. Il est désormais proposé dans 13 pays (Botswana, Cameroun, Côte d’Ivoire, Guinée, Jordanie, Kenya, Madagascar, Mali, Ile Maurice, Maroc, Niger, Sénégal et Ouganda) et compte plus de 7 millions de clients.
A propos de Total
Total est l’un des tout premiers groupes pétroliers et gaziers internationaux, exerçant ses activités dans plus de 130 pays. Le Groupe est également un acteur de premier plan de la chimie. Ses 97 000 collaborateurs développent leur savoir-faire à tous les niveaux de ces industries : exploration et production de pétrole et de gaz naturel, raffinage et distribution, gaz et énergies nouvelles, trading et chimie. Ils contribuent ainsi à satisfaire la demande mondiale en énergie, présente et future. www.total.com
En Afrique et au Moyen-Orient, Total est présent sur toute la chaîne de distribution de produits pétroliers (réseau de stations-service, commerce général, lubrifiants, carburants aviation, bitumes, GPL) dans 51 pays où le Groupe est l’un des leaders du secteur avec une part de marché estimée à 13%. Quelque 1,7 million de clients sont accueillis chaque jour dans l’une des 4 400 stations TOTAL sur ce périmètre géographique.
Les courtiers de la bourse de Dar Es Salam (DES) anticipent un surcroît d’activité au cours des prochaines semaines en…
MPR unchanged. The MPC left the MPR, SDF and SLF rates unchanged at 12%, 10% and 14%, respectively, at its…
Leader camerounais du marché de l’Assurance, Chanas tient son conseil d’administration jeudi 25 juillet, suivi vendredi par l’assemblée générale ordinaire…
D’après « Les défis du Mali nouveau » de Cheikhna Bounajim Cissé. NB: Financial Afrik a le plaisir de vous annoncer que…
AM Best, l’un des leaders mondiaux des agences de notation dans le secteur des assurances, a attribué à l’unique réassureur…
La Banque de Kigali a dévoilé, mercredi 23 juillet, sa nouvelle application de banque mobile, mVISA, qui permettra à ses…
MPR unchanged. The MPC left the MPR, SDF and SLF rates unchanged at 12%, 10% and 14%, respectively, at its…
Selon l’extrait du procès-verbal de l’Assemblée Générale ordinaire, réunie le 10 juin 2013. La société nationale des assurances, SAA,…
L’autorité de régulation boursière ougandaise (Capital Markets Authority) vient d’autoriser l’opérateur UAP Financial Services à se lancer dans la gestion…
Le Comité monétaire de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC) a annoncé mardi dans un communiqué lu sur…
JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 23 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Sindisiwe Chikunga, vice-ministre des Transports, s’est rendue hier au Centre des opérations d’Air Traffic and Navigation Services (ATNS) (http://www.atns.com) afin d’y célébrer les jalons importants franchis par la société au cours des 20 dernières années avec les membres du conseil d’administration, les directeurs et le personnel.
Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/atns.jpg
Photo ATNS CEO Mr. Thabani Mthiyane: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/dsc_3117.jpg
« Je suis ravie que notre visite coïncide avec une grande commémoration des jalons franchis par la société et de pouvoir, au sein d’une même famille des transports, prendre le temps de célébrer le 20e anniversaire de notre société Air Traffic and Navigation Services (ATNS), chef de file des services aériens en Afrique du Sud et dans l’ensemble de l’Afrique. ATNS a vécu la croissance du secteur, ses défis, ses succès et a trouvé des moyens innovants pour offrir un niveau de sécurité et des performances techniques de classe mondiale », a déclaré la vice-ministre dans son message de félicitations.
ATNS a été créée en 1993, quatre-vingt-dix (90) ans après l’invention du vol motorisé. Depuis, les choses ont bien changé. Cette année, ATNS s’est lancée dans un nouveau processus de commercialisation destiné à réorienter la société et à lui donner un rôle central en qualité de fournisseur de services pertinent et crédible. ATNS a accepté les défis liés à cette entreprise et a compris que pour atteindre l’excellence et pour saisir au mieux ses opportunités commerciales, elle se devait d’être plus efficace en améliorant la qualité et la rentabilité de ses services. Pour ce faire, elle avait besoin d’infrastructures supplémentaires et d’un remaniement de ses capacités en ressources humaines.
M. Thabani Mthiyane, nouveau PDG d’ATNS, a déclaré que les infrastructures aériennes sud-africaines étaient considérées comme certaines des meilleures au monde, participant au record de sécurité aérienne détenu par le pays. « ATNS continue donc d’investir avec sagesse dans ces infrastructures afin de soutenir l’ensemble des infrastructures de transport à l’échelle nationale. Ces activités permettent à ATNS d’effectuer d’importantes contributions auprès du secteur de l’aviation sud-africaine et du continent, favorisant ainsi la sécurité en vol », a conclu M. Mthiyane.
Ces vingt (20) dernières années, ATNS a connu une période faste, marquée par une série de remarquables succès importants en termes de gestion du trafic aérien : la feuille de route de gestion du trafic aérien d’ATNS, développée en 2010, a pour mission la création d’un système de gestion du traffic aérien mondial interopérable destiné à l’ensemble des utilisateurs au cours de toutes les phases du vol, qui soit conforme aux niveaux de sécurité convenus, qui offre un fonctionnement économique optimal et qui soit écologique et conforme à l’ensemble des normes de sécurité nationales.
En qualité de président du conseil d’administration de l’AFI Flight Plan (FPL) 2012 Task Force, ATNS a mené les efforts des régions Afrique et de l’océan Indien pour effectuer une transition sans heurts du plan de vol classique vers un nouveau format, qui est entré en vigueur en novembre 2012. Véritable plateforme de communications, ATNS a effectué sans faille des mises à jour régulières des systèmes de gestion des informations aéronautiques pour soutenir cette mise en œuvre et permettre une transition réussie au sein de ces régions.
ATNS a mis en place une logithèque unique des informations aéronautiques, appelée la Centralised Aeronautical
Database (CAD). La CAD assure, entre autres, la qualité et l’intégrité des données aéronautiques.
ATNS a joué un rôle prépondérant dans l’accueil de la Coupe du monde de la FIFA 2010 en Afrique du Sud, du 11 juin
au 11 juillet 2010. Ce succès a été le fruit d’une préparation et d’une planification à long terme complètes, au cours desquelles ATNS a mis à disposition les actifs nécessaires pour satisfaire la demande des voyageurs aériens lors de cet événement prestigieux. L’investissement et les efforts de tous ont permis à ATNS non seulement de satisfaire les attentes,
mais de les dépasser.
L’Afrique du Sud a accueilli avec succès le tournoi AFCON 2013, qui a été synonyme d’une hausse de la demande
en services aériens.
La gestion du trafic aérien et la sécurité aérienne restent les activités principales d’ATNS en Afrique du Sud, toutefois les compétences de la société s’étendent au-delà des frontières vers les pays limitrophes et le reste du continent, y compris la région de l’océan Indien. ATNS pourra relever efficacement les défis d’ordre international, tout en apportant des solutions de gestion du trafic aérien parmi les plus sûres au monde au secteur de l’aviation local.
L’Aviation Training Academy (ATA) d’ATNS a reçu le prix IATA de la meilleure école d’aviation au monde en 2011 et en 2012.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour The Air Traffic and Navigation Services (ATNS).
Demandes de renseignements :
Percy Morokane
Communications institutionnelles externes
Service des communications et du marketing
Air Traffic and Navigation Services Company
Téléphone fixe : +27(0) 11 607 1234
Fax : +27(0) 11 607 1725
Portable : +27(0)71 445 9812
E-mail : percymo@atns.co.za
DAKAR, Sénégal, 23 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Du 20 au 22 juillet, l’Initiative Panafricaine de Lutte Contre les Hépatites (IPLH) a organisé la conférence « Consensus de Dakar » pour l’Afrique francophone à Dakar, au Sénégal. Au cours de cette réunion, les experts sont arrivés à un consensus pour accroître la prévention, la prise de conscience, la recherche et le traitement des hépatites grâce à des plans nationaux dans les pays participants. Les experts, parmi lesquels des cliniciens, des généralistes, des groupes de patients et des responsables politiques, ont formulé un appel à l’action unifié en faveur de l’élaboration d’une politique efficace de lutte contre les hépatites. Les pays d’Afrique francophone participants étaient l’Algérie, le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, le Cameroun, le Centrafrique, le Congo, la République démocratique du Congo, la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Guinée, Madagascar, le Mali, le Maroc, la Mauritanie, le Niger, le Rwanda, le Sénégal, le Tchad, le Togo et la Tunisie. Ce groupe a été rejoint par des représentants du projet d’Afrique anglophone « Hepatitis in Africa – Call for Action ».
Logo « Hepatitis in Africa – Call for Action »: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/hia.jpg
Logo MSD: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/merck-sharp–dohme-corp.a-subsidiary-of-merck–co.inc..jpg
L’hépatite – un fardeau pour la société
Les hépatites B et C comptent aujourd’hui parmi les maladies infectieuses qui ont le plus fort impact négatif sur les individus, les familles et la société. Les deux hépatites virales B et C sont la principale cause de maladie chronique du foie au monde (1). C’est particulièrement important en Afrique, où un cinquième de la population est porteuse d’une hépatite chronique et où le cancer du foie est la première cause de décès par cancer chez l’homme. Frappant généralement les hommes entre 30 et 45 ans, et avec une mortalité de quasiment 100 %, le cancer du foie, et par conséquent l’hépatite, a un énorme impact économique (2) (3).
Malgré les effets néfastes sur la santé et sur l’économie des hépatites virales, les hépatites B et C restent sous-diagnostiquées et sous-signalées en Afrique. Contrairement au VIH, auquel d’énormes ressources sont consacrées, les fonds pour combattre l’infection par l’hépatite sont limités, et souffrent d’un manque de plaidoyer et de conscience de la communauté. En raison de l’absence de soutien à la base, les populations les plus affectées par les hépatites B et C, qui sont généralement difficiles à atteindre et privées de droits, ne reçoivent pas les services requis.
Les experts de toute l’Afrique s’unissent pour combattre l’hépatite
Afin de traiter ce problème, entre autres, l’IPLH a mis en place le « Consensus de Dakar ». Cette seconde réunion de l’IPLH s’appuie sur l’expérience de terrain acquise depuis la première conférence de Dakar en 2011. Afin d’augmenter l’impact de ces efforts à travers le continent africain, l’IPLH s’est associée au Focus Scientific Research Center (FSRC), une équipe de chercheurs dirigée par des médecins, et MSD, un leader mondial des soins de santé, qui ont mis en place une initiative de prise de conscience de l’hépatite dans les pays d’Afrique anglophones. Cette initiative nommée « Hepatitis in Africa – Call for Action » a été lancée à Lagos, au Nigeria, le 18 juin, avec pour objectif de provoquer une prise de conscience de la maladie parmi les parties prenantes concernées de la région.
Le Prof. Aminata Sall Diallo, directrice exécutive du « Programme National de Lutte contre les Hépatites » (PNLH) et coordinatrice de l’IPLH, a déclaré : « En élaborant des stratégies d’harmonisation des données et de partage des ressources, et en réunissant les expertises de recherche dans toute l’Afrique, nous pouvons évaluer efficacement le fardeau que représentent les hépatites B et C, en savoir plus sur les facteurs de risque et améliorer les efforts de diagnostic, gestion et prévention. Cette conférence à Dakar établira la marche à suivre pour agir contre l’hépatite, en impliquant les parties prenantes locales, régionales et internationales. »
Henrik Secher, directeur général et vice-président de MSD Afrique, a ajouté : « Nous soutenons les efforts des gouvernements et des professionnels de la santé en Afrique pour prévenir les transmissions et améliorer la détection de l’hépatite. L’implication de MSD dans cette initiative fait partie intégrante de notre engagement à découvrir, concevoir et fournir des médicaments pour prévenir et traiter les hépatites virales. »
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Merck Sharp & Dohme Corp., une filiale de Merck & Co., Inc.
Contacts pour les médias :
MSD
Nom : Dr Anouar Ben Younes
Directeur de l’accès au marché en Afrique, MSD
Email: anouar.benyounes@merck.com
Numéros de téléphone : Fixe :+41 58 618 2408 ; Portable : +41 79 193 1998
Références :
1. Mohd Hanafiah K, Groeger J, Flaxman AD, Wiersma ST. Global epidemiology of hepatitis C virus infection: new estimates of age-specific antibody to HCV seroprevalence. Hepatology. 2013 Apr;57(4):1333-42. doi: 10.1002/hep.26141. Epub 2013 Feb 4. AND Mercy Jelagat Karoney, Abraham Mosigisi Siika. Hepatitis C virus (HCV) infection in Africa: a review. The Pan African Medical Journal. 2013;14:44
2. GLOBOCAN Cancer Fact Sheet. GLOBOCAN 2008, International Agency for Research on Cancer. Disponible sur : http://globocan.iarc.fr/factsheets/cancers/liver.asp. Consulté le : 16 juin 2013.
3. Jemal, A., Bray, F., Forman, D., O’Brien, M., Ferlay, J., Center, M. and Parkin, D. M. (2012), Cancer burden in Africa and opportunities for prevention. Cancer, 118: 4372–4384. doi: 10.1002/cncr.27410
Organisateurs :
À propos de l’IPLH :
L’IPLH a été créée après la Déclaration de Dakar sur l’hépatite (juillet 2011). Cette initiative africaine est indépendante et réunit des bénévoles de vingt pays africains, ainsi que des experts bénévoles européens, qui agissent ensemble pour donner plus de visibilité à leurs actions dans chaque pays, et pour améliorer les pratiques dans la lutte contre l’hépatite. L’approche de l’IPLH est basée sur l’autonomisation (la capacité des parties prenantes africaines à élaborer leurs propres stratégies), l’inclusion (l’implication des ministères de la Santé, des professionnels de la santé, de la société civile), la vision globale (prendre en compte tous les aspects de l’hépatite, et avoir une vision globale des problèmes de santé en Afrique).
À propos du FSRC :
Le Focus Scientific Research Center (FSRC) de phamax AG est un groupe de chercheurs dirigé par des médecins qui est convaincu que les problèmes de santé dans les économies à forte croissance ne peuvent être efficacement traités que grâce aux efforts combinés des secteurs privé, public et universitaire. phamax AG a un siège social en Suisse et des bureaux à Bangalore, en Inde, et à Singapour.
À propos de MSD :
MSD (http://www.msd.com), connue sous le nom de Merck aux États-Unis et au Canada, est aujourd’hui un leader mondial des soins de santé qui œuvre pour le bien-être du monde. MSD est un nom commercial, utilisé en dehors de l’Amérique du Nord, de Merck & Co., Inc., dont le siège social est basé à Whitehouse Station, dans l’État du New Jersey, aux États-Unis. Grâce à nos médicaments vendus sur ordonnance, nos vaccins, nos thérapies biologiques et nos produits de santé destinés aux personnes et aux animaux, nous travaillons avec nos clients dans plus de 140 pays à travers le monde pour apporter des solutions innovantes dans le domaine de la santé. Nous montrons également notre engagement pour accroître l’accès aux soins de santé par des politiques, programmes et partenariats de grande envergure. Pour plus d’informations, consultez http://www.msd.com et retrouvez-nous sur Twitter, Facebook et YouTube.
Ahmed Ould Hamza (photo) , président de la Communauté Urbaine de Nouakchott (CUN), a reçu une mise en demeure lui…
Les investisseurs délaissent ces derniers temps les obligations à court terme de l’Etat kényan dans l’attente d’une hausse prochaine…
Selon le communiqué rendu à la presse nationale par la Banque Nationale d’Algérie (BNA), cette institution a achevé depuis…
A.M BEST Europe-Rating Service Limited vient de révi-ser la perspective de la Société Centrale de Réassurance de stable à négative…
The Casablanca stock market closed it’s monday’s session in a negative trend. Indeed, the Moroccan All Shares Index decreased by…
Dans l’article que nous avons publié le 18 juillet sous le titre « Ecobank répond à Financial Times », nous avons attribué…
Dans un communiqué, l’Association professionnelle des cimentiers (APC) prévoit une baisse de 5 à 10% de la consommation du ciment …
Tunis, 30 juillet 2013 (CEA) – Dans une déclaration commune publiée le 19 juillet 2013 à Tunis en Tunisie, les…
The Casablanca stock market closed it’s monday’s session in a negative trend. Indeed, the Moroccan All Shares Index decreased by…
L’équato guinéen Lucas Abaga Nchama, gouverneur de la Banque des Etats de l’Afrique centrale a annoncé le 19 juillet…
L’enquête intitulée « Riz concessionnel : Njack Kane en conflit avec le Chinois Cofco (premier épisode) », diffusée par Financial Afrik a…
ACCRA, Ghana, 22 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Un Forum d’investissements « Projet Régional Sealink », conçu par Nigeria Export-Import Bank (NEXIM) (http://www.neximbank.com.ng), la Fédération des Chambres de Commerce et d’Industrie(FCCIAO) de l’Afrique de l’ouest et de l’Afrique centrale et TRANSIMEX (un fournisseur intégré de services logistique basé au Cameroun), se tient aujourd’hui à Accra, au Ghana. Ce Forum offre l’opportunité d’investissement unique et irrésistible aux entreprises en pleine croissance du secteur privé dans la région de l’Afrique de l’ouest et de l’Afrique centrale.
Logo NEXIM: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/nexim.png
Afin d’assurer un décollage réussi pour le service, ces agences avaient auparavant formé en 2012 une entité ad hoc, «Sealink Promotionnel Company Limited» pour la mise en œuvre de la stratégie et du modèle commercial pour la réussite du projet.
Selon le Directeur Général de la Nigerian Export-Import Bank, M. Roberts U. Orya, le but de la création d’une compagnie régionale / transnationale du transport maritime est de relier les ports maritimes sur les côtes de l’Afrique de l’ouest et de l’Afrique centrale, afin de faciliter les échanges et d’assurer le transport régulier du fret et de passagers à l’intérieur et entre les deux régions. L’objectif vise essentiellement la réalisation des objectives des Pères Fondateurs de la CEDEAO concernant l’intégration concrète des 15 États membres en assurant la libre circulation des personnes, des biens et des services au sein de la sous-région.
Le Conseil d’Administration de Sealink est composé de représentants de ces organismes. Le Conseil d’Administration est assisté par un Comité Consultatif (le Comité technique) qui est composé des experts technocrates de l’industrie maritime dans la région de l’Afrique de l’ouest et de l’Afrique centrale «Projet Régional Sealink» est actuellement approuvé et soutenu par divers organismes régionaux qui s’identifient avec le projet. Parmi ces organismes sont la CEDEAO, l’Organisation maritime de l’Afrique de l’ouest et de l’Afrique centrale (OMAOC), l’Union Africaine du Conseil des Transporteurs- Affréteurs, la Banque Africaine de Développement, la CEDEAO Banque d’Investissement et de Développement et la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD). Le projet a été présenté aux gouvernements des pays membres ainsi qu’à leurs différents organismes maritimes et portuaires.
Pourquoi investir dans le projet Sealink ?
Selon M. Orya, le projet Sealink offre une proposition d’investissement unique et irrésistible dans la région de l’Afrique de l’ouest et de l’Afrique centrale en croissance rapide, pour les raisons suivantes:
1. Un secteur favorable à la croissance: le commerce inter et intra-régional en Afrique occidentale et centrale a été entravé par le mauvais état des infrastructures routières. L’introduction d’un lien côtier direct entre les deux régions devrait avoir un effet multiplicateur sur le taux de croissance économique de ces régions offrant ainsi un rendement adéquat pour les investisseurs.
2. Un soutien national et supranational: «Projet Régional Sealink» est une initiative du secteur privé avec le soutien de divers organismes supranationaux des régions d’Ouest et Centrale de l’Afrique, la Commission de la CEDEAO, FCCIAO et l’Organisation Maritime de l’Afrique Centrale (OMAOC). Cela devrait permettre d’améliorer le financement et aider la société à naviguer dans le régime de réglementation maritime dans la région.
3. Opportunité de diversification: L’investissement offre l’opportunité aux investisseurs sans exposition préalable au secteur maritime ou à la région de l’Afrique de l’ouest et de l’Afrique centrale de diversifier leur portefeuille et d’investir dans d’ autres secteurs à savoir le pétrole et le gaz, l’agriculture et le secteur minier qui connaissent une croissance exponentielle en Afrique occidentale et centrale.
4. Une plus grande capacité pour les passagers et des cargaisons: Avec la croissance et la promotion du mouvement libre et gratuit des biens et services, «Projet Régional Sealink» devrait bénéficier de cette nouvelle capacité à transporter un plus grand fret et de passagers.
5. Facteurs économiques fondamentaux puissants: le projet jouira d’un statut de quasi-monopole grâce à sa liaison avec les ports de l’Afrique occidentale et centrale.
La proposition unique de Sealink veille à ce que l’entreprise est en mesure d’offrir une flotte moderne avec des équipements modernes de communication assurant la sécurité des passagers à bord et ainsi peut déterminer de meilleurs prix correspondant à la qualité du service offert.
NEXIM Banque – La Banque nigériane d’import-export a été créé par la Loi 38 de 1991 comme un organisme de crédit à l’exportation avec le vaste mandat de promouvoir la diversification de l’économie nigériane et l’approfondissement du secteur extérieur, en particulier non- pétrolier à travers l’octroi de crédit en devises locales et étrangères, installations à risques, par l’entremise de garantie de crédit pour l’export et de crédit d’assurance pour l’export , le développement des affaires et des services consultatifs financiers, etc.
Dans la poursuite de son mandat de promouvoir la diversification de l’export et l’approfondissement du secteur non pétrolier, les initiatives stratégiques actuelles de la Banque ciblent la stimulation de la création d’emploi et les gains de change dans les industries de la confection/fabrication, de la transformation des produits agricoles, des minéraux et des services (tourisme, transports et Divertissement).
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Nigerian Export-Import Bank (NEXIM).
Contact Presse:
Chinedu Moghalu
Chef du Département de la Communication entreprise
Nigerian Export-Import Bank (NEXIM)
Email: moghaluc@neximbank.com.ng
Phone:+234-9-460-3644; +234-808-835-3804
Website: http://www.neximbank.com.ng
Tunis, 20 July 2013 (ECA) – In a joint declaration issued in Tunis, Tunisia, on 19 July 2013, African institutions…
Afrique 50, nouveau fonds qui sera très prochainement lancé par la Banque Africaine de Développement (BAD), place la barre très…
Annoncés dans la flotte de la compagnie nationale de transport aérien Camair Co depuis septembre 2012, les avions de fabrication…
Le gouvernement camerounais a publié la liste des banques au Gabon, en Centrafrique, au Congo et au Cameroun agréées en…
C’est le premier emprunt obligataire d’une société privée sur le marché régional de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA). …
WASHINGTON, 22 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — L’Afrique subsaharienne recense près de la moitié de toutes les terres utilisables non cultivées du monde mais, à ce jour, le continent n’est pas parvenu à développer les 202 millions d’hectares de terres disponibles pour mieux lutter contre la pauvreté, générer de la croissance, créer des emplois et promouvoir une prospérité partagée.
Selon un nouveau rapport de la Banque mondiale intitulé « Securing Africa’s Land for Shared Prosperity », rendu public aujourd’hui, les pays africains et les communautés pourraient mettre fin aux « accaparements des terres », accroître leur production agricole et améliorer leurs perspectives de développement, s’ils parviennent à moderniser, au cours de la décennie, les procédures complexes qui régissent le droit foncier et la gestion des terres en Afrique. L’Afrique a le taux de pauvreté le plus élevé au monde avec 47,5% de la population vivant avec moins d’1,25 dollar EU par jour.
« Malgré ses abondantes richesses en terre et en ressources minières, l’Afrique reste pauvre », déclare Makhtar Diop, vice-président de la Banque mondiale pour la Région Afrique. « Améliorer la gouvernance foncière est un impératif pour accélérer la croissance économique et faire en sorte qu’elle s’accompagne d’une réduction sensible de la pauvreté et créer plus d’opportunités pour les Africains, notamment pour les femmes qui représentent 70 % des exploitants agricoles du continent mais n’ont pas toutes accès aux terres à cause des lois coutumières. Le statu quo est inacceptable et la situation doit évoluer afin que tous les Africains puissent bénéficier de leurs terres».
Le rapport souligne que plus de 90% des terres rurales agricoles en Afrique ne sont pas enregistrées ce qui a pour conséquence de faciliter des phénomènes tels que l’accaparement des terres et l’expropriation sans dédommagement substantiel. Cependant, le rapport « Securing Africa’s Land for Shared Prosperity », citant des expériences pilotes menées avec succès dans des pays africains comme le Ghana, le Malawi, le Mozambique, la Tanzanie et l’Ouganda, propose un plan d’action en 10 étapes qui pourrait contribuer à révolutionner la production agricole, mettre un terme à « l’accaparement des terres » et éradiquer l’extrême pauvreté en Afrique.
Un plan d’action préconisant réformes et investissements
• Encourager les réformes et les investissements visant à améliorer le titrage et l’enregistrement des terres communales et individuelles.
• Régulariser les droits fonciers des squatters qui occupent des terrains publics, les bidonvilles abritant 60% des citadins africains.
• Améliorer la gouvernance foncière et lutter contre la corruption endémique en matière de gestion des terres qui, dans bon nombre de pays d’Afrique, heurte les intérêts des pauvres en maintenant le statu quo.
• Mobiliser la volonté politique des gouvernements africains afin de réformer le système foncier et encourager les partenaires au développement à soutenir ses réformes financièrement et politiquement.
Le nouveau rapport évalue à 4,50 milliards de dollars EU la somme que devront débourser sur 10 ans les pays africains et leurs partenaires au développement ainsi que le secteur privé, pour intensifier les réformes foncières et les investissements en la matière.
« Améliorer la performance et la productivité du secteur agricole en Afrique est indispensable si l’on veut une croissance généralisée, créer des emplois, attirer les investissements et une réduction significative de la pauvreté », souligne Jamal Saghir, directeur du développement durable pour la région Afrique de la Banque mondiale. « La gouvernance foncière s’avère un moyen efficace de propulser l’Afrique sur la voie du changement et garantir un meilleur avenir pour tous les Africains ».
Des conditions propices au changement
La flambée des prix des denrées de base et l’augmentation des investissements directs étrangers font qu’il est d’autant plus rentable d’investir dans la gouvernance foncière qui se traduit par de meilleurs rendements agricoles, un meilleur accès aux marchés et des prix plus avantageux. La plupart des pays d’Afrique ont déjà adopté des textes de lois reconnaissant les droits fonciers coutumiers et garantissant les droit des femmes à la propriété foncière, droits qu’il est cependant essentiel de renforcer.
De plus, les nouvelles technologies de l’information comme les satellites peuvent fortement réduire le coût d’administration des terres. En Afrique, un nombre croissant de pays ont recours à ces technologies pour réduire les frais de cartographie et topographie et ils informatisent leurs cadastres afin de réduire la corruption et alléger les procédures administratives.
Vingt-six pays africains ont mis en place au moins une station de référence à fonctionnement continu (CORS) et environ 50 CORS communiquent des données au système de référence géodésique africain qui, une fois achevé, fournira un cadre de référence géodésique unifié à travers le continent.
Les défis persistent
Avec seulement 10% des terres rurales enregistrées en Afrique, l’absence de gouvernance foncière fait que le transfert de propriété prend deux fois plus de temps et coûte deux fois plus cher par rapport aux pays industrialisés. De plus, la faible gouvernance est la cause principale de corruption dans le secteur foncier.
Le rapport souligne qu’ « à moins que les droits communaux et individuels ne soient enregistrés et que la gouvernance des terres ne soit améliorée, la récente vague d’investissements directs étrangers en Afrique subsaharienne ne se traduira pas par une croissance inclusive et durable, car la spoliation des communautés locales causera des troubles et les investissements ne porteront pas leurs fruits comme on l’a vu à Madagascar en 2009».
Le rapport cite des exemples de gouvernements africains qui sont parvenus à faire passer des lois difficiles et à progressivement réformer le système foncier au profit des communautés les plus pauvres. Illustrant la nécessité de renforcer les capacités administratives, le rapport souligne que le Ghana, le Kenya et l’Ouganda n’ont chacun pas plus de 10 arpenteurs-géomètres professionnels pour un million d’habitants contre 197 en Malaisie et 150 au Sri Lanka. Sur les 206 arpenteurs agréés du Kenya, 85 seulement étaient en activité. Le rapport fait remarquer qu’il est futile de renforcer les capacités sans réaliser des investissements complémentaires dans l’administration foncière.
« Les questions de gouvernance foncière sont au premier plan et au cœur du défi de développement de l’Afrique », déclare Frank Byamugisha, auteur du rapport et spécialiste des questions foncières pour la région Afrique de la Banque mondiale. «Ce rapport offre une feuille de route utile, axée sur les politiques pour garantir les droits fonciers des Africains en vue de promouvoir une prospérité partagée».
En 2002, au moins 20 pays d’Afrique subsaharienne avaient reconnu les droits fonciers coutumiers et l’égalité des sexes en la matière, un nombre qui a pratiquement doublé. La Commission de l’Union africaine a élaboré un plan stratégique de cinq ans pour la mise en œuvre d’une politique foncière d’ici 2016.
Le rôle de la Banque mondiale
Comme le souligne ce rapport, l’Afrique possède la plus grande superficie de terres cultivables au monde et garantir l’accès à la terre est fondamental pour ses millions d’habitants. Investir dans la gouvernance foncière bénéficiera tant au gouvernement qu’aux investisseurs et aux personnes privées de droits fonciers.
Le Groupe de la Banque mondiale approuve les directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale. Ces directives représentent un instrument international de vaste portée pour enrichir des réformes de politique spécifiques, notamment nos propres procédures et directives destinées à nos clients. Le Groupe de la Banque mondiale œuvre déjà de concert avec les pays en vue d’appliquer ces directives, en mettant plus particulièrement l’accent sur l’Afrique.
Le Groupe de la Banque mondiale et ses partenaires ont aussi élaboré le mécanisme intitulé « Land Governance Assessment Framework » (LGAF) en tant qu’outil de diagnostic pour évaluer la situation des terres au niveau des pays. Des évaluations du LGAF ont été réalisées ou sont en cours dans 18 pays, dont 10 en Afrique. Le Groupe de la Banque mondiale soutient 24 projets de gouvernance foncière pour un montant de 928 millions de dollars EU, sans doute la somme la plus importante investie dans ce domaine par une agence de développement international.
Pour en savoir plus:
Communiqué de presse: L’accès à la terre : une nécessité vitale pour les pauvres
Rapport complet:
http://www.worldbank.org/en/region/afr/publication/securing-africas-land-for-shared-prosperity
Par Kassoum Coulibaly, Bamako Sous embargo depuis vendredi, le dernier rapport de la Banque mondiale sur les terres agricoles en…
DAKAR, Sénégal, 22 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — L’Organisation de la Presse Africaine (APO) a salué lundi la nomination de M. Saïdou M. OUEDRAOGO à la fonction de Directeur de la Communication du Marketing et des Relations Publiques de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) (http://www.boad.org).
Photo de M. Saïdou M. OUEDRAOGO: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=586
L’APO a immédiatement exprimé « ses plus chaleureuses félicitations » au nouveau Directeur de la Communication de la BOAD.
« Je me réjouis d’autant plus de ce choix qu’il vient distinguer un ancien journaliste économique. (…) Je tiens à adresser tous mes vœux de succès à M. OUEDRAOGO et à l’assurer du plein soutien de l’Organisation de la Presse Africaine dans sa mission », a notamment déclaré le Secrétaire-Général de l’Organisation de la Presse Africaine (APO), Nicolas POMPIGNE-MOGNARD.
De nationalité burkinabé, Saïdou M. OUEDRAOGO est titulaire d’une Maîtrise de Lettres de l’Université de Ouagadougou.
Diplômé de l’Ecole supérieure de journalisme de Lille (France) en 1986, il intègre la rédaction du magazine Afrique-Elite, à Paris, avant de rejoindre la Télévision du Burkina en qualité de journaliste économique, poste qu’il occupera de 1988 à 1996.
En 1996, Saïdou M. OUEDRAOGO est nommé Directeur de la Communication de la Présidence du Burkina Faso.
Saïdou M. OUEDRAOGO est désigné Directeur du Patrimoine de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) en février 2009, avant d’être nommé Directeur de la Communication du Marketing et des Relations Publiques de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD).
La BOAD est l’institution commune de développement des finances des huit Etats membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et le Togo.
Elle a pour but de promouvoir un développement équilibré de ses Etats membres et de favoriser l’intégration économique au sein de l’Afrique de l’Ouest en finançant des projets de développement prioritaires.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine.
Contact :
sec.sg@apo-opa.org
+41 22 534 96 97
« Général Emballage est le plus grand producteur et transformateur de carton ondulé en Algérie » Interview réalisée par Youcef MAALLEMI…
Tunis, 20 July 2013 (ECA) – In a joint declaration issued in Tunis, Tunisia, on 19 July 2013, African institutions…