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Kigali, le 19 décembre 2014 (CEA) – Le Secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique dit que les pays qui montrent une résilience pour transformer leurs économies doivent se lancer.

Prenant la parole lors du 12ième Dialogue national, plus connu localement sous le nom de «Umushyikirano», M. Carlos Lopes dit que souvent, les pays qui se sont développés ont du se créer leurs propres opportunités malgré les obstacles souvent difficiles à surmonter afin de changer le récit de leur développement économique et sociale.


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Addis-Abeba, le 28 octobre 2014 (CEA) –  Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-Moon et le Secrétaire exécutif de la Commission économique pour de l’Afrique, Carlos Lopes ont salué l’inauguration du nouveau bâtiment dans l’enceinte de la CEA; cette inauguration marque une étape importante pour la CEA et sa relation, déjà étroite avec l’Éthiopie et avec les peuples africains.

L’inauguration du nouveau bâtiment qui s’est tenue, ce mardi, est en ligne avec l’initiative de la maison de réunir toutes les institutions des Nations Unies, à Addis-Abeba, dans une même enceinte.


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Abidjan, Côte d’Ivoire,  le 25 octobre 2014 – Les dirigeants des trois institutions panafricaines – le Dr Nkosazana Dlamini-Zuma, de la Commission de l’Union africaine, le Dr Donald Kaberuka, de la Banque africaine de développement et M. Carlos Lopes, de la Commission économique pour l’Afrique – ont conclu  une visite de solidarité, le vendredi 24 octobre 2014, à Conakry, en Guinée.


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Addis Abeba, 04 septembre 2014 (CEA) – Citant les efforts fournis par la Commission économique pour l’Afrique au profil des difficultés rencontrées par les Etats africains insulaires, M. Carlos Lopes s’est prononcé devant un panel sur le régionalisme que la vulnérabilité physique qui caractérise les petits États insulaires africains en développement (PEID) évolue vers une vulnérabilité sociale en raison d’une mobilité grandissante dans ces îles où le tourisme joue un rôle économique et social important.


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Addis Abeba, 04 septembre 2014 (CEA) – Lors de la troisième Conférence internationale sur les petits États insulaires en développement (PEID), à Apia, en Samoa, M. Carlos Lopes, Secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) a présidé un évènement parallèle sur le thème, «Le paradoxe du «petit» saisissant les opportunités de développement dans le contexte du changement climatique des petits États insulaires africains en développement (PEID»).


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Washington D.C., 7 août 2014 (CEA) – Le Secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique (CEA), M. Carlos Lopes, les dirigeants africains et les chefs d’entreprises américaines et africaines de renom ont participé au Forum économique États-Unis-Afrique, organisé à Washington D.C., les 5 et 6 août 2014, par le Président Barack Obama.


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Malabo, Guinée équatoriale, le 27 juin 2014 (CEA) – Le Secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), M. Carlos Lopes, et le Directeur général de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), M. Graziano da Silva, ont signé un protocole d’accord qui fournit un cadre de collaboration entre les deux institutions.


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Dakar, Sénégal, le 15 juin 2014 (CEA) – Le Secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique, Carlos Lopes, à l’ouverture du Sommet sur le financement à Dakar pour les infrastructures en Afrique, a souligné la nécessité de renforcer les défis des infrastructures de l’Afrique en s’attaquant déjà à la divergence existant dans les systèmes juridiques; il faut harmoniser les politiques et exploiter les centaines de milliers d’Africains qualifiés de la diaspora.


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Addis Abeba, le 10 juin 2014 (CEA) – Le Secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique, M. Carlos Lopes a lancé un appel, aujourd’hui, au secteur privé afin qu’il adopte la responsabilité sociale des entreprises et qu’il promeuve le développement du continent. S’adressant aux représentants du secteur privé, lors du Forum des Nations Unies sur le Pacte mondial (UN Global Compact Forum) qui se déroule du 9 au 13 juin,à Addis-Abeba, M.


Indéfini

ECA Head to discuss job creation at Kigali AfDB gathering

Kigali, 19 May 2014: The Executive Secretary of the Economic Commission for Africa (ECA), Mr. Carlos Lopes will attend the 2014 Annual Meetings of the African Development Bank (AfDB) in Kigali, Rwanda from 19-23 May 2014.

The meeting will attract participants from 77 African and non-African countries, including Heads of states, academics, Ministers, central bank governors, civil society organisations and the media. 


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Niamey, le 7 mai 2014 (CEA) – Lors d’une visite officielle au Niger en mai à l’invitation du Président Issoufou Mahamadou, le Secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique  (CEA), M. Carlos Lopes a rencontré les fonctionnaires de haut niveau sur les domaines d’intérêt mutuel liés à sa vision de la CEA et de l’Afrique. Il dit que la vision se veut d’accompagner les Etats africains dans la transformation structurelle de leurs économies respectives grâce à l’industrialisation.


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Addis-Abeba, le 2 mai 2014 (CEA) – Le Secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique, M. Carlos Lopes a souligné la nécessité d’intensifier les ressources financières extérieures privées comme nationales pour la transformation structurelle de l’Afrique. Il a fait cette observation lors de l’ouverture de la réunion sur la sensibilisation régionale du Comité intergouvernemental d’experts sur le financement du développement durable (ICESDF) en Afrique; un évènement de deux jours qui a débuté aujourd’hui, à Addis-Abeba.

TUNIS, Tunisie, 20 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Dans une déclaration commune publiée le 19 juillet 2013 à Tunis en Tunisie, les institutions africaines ont apporté leur soutien au Fonds Afrique50 de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), la présentant comme le principal véhicule financier de l’Afrique pour mobiliser des ressources à grande échelle et attirer des financements privés internationaux pour résorber le déficit en infrastructure de l’Afrique.

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“Nous, Mme Nkosazana Dlamini -Zuma, présidente de la Commission de l’Union africaine (CUA), Dr Carlos Lopes, secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique (CEA), M. Donald Kaberuka, président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD), les communautés économiques régionales, les institutions régionales de financement du développement et l’Agence de planification et de coordination du NEPAD, renforçons notre coopération dans la quête de nouveaux instruments innovants pour augmenter de manière significative les investissements dans l’infrastructure régionale et continentale en appui à la transformation de l’Afrique », note le communiqué.

Ils « ont accueilli le Fonds Afrique50 comme un nouveau véhicule, crédible et innovant, pour le financement de l’infrastructure en Afrique ». La rencontre de Tunis a salué l’initiative de la BAD, considérée comme « un véhicule primordial pour que la vision et les objectifs de l’Agenda 2063 de l’Afrique en termes de projets d’infrastructure régionale structurante soient réalisés ».

Le Fonds Afrique50 sera innovant dans sa conception et dans sa structure. Il favorisera la levée de financements pour l’infrastructure à partir de sources aussi diverses que les réserves des Banques centrales, les fonds de pension africains, les fonds souverains africains, la diaspora, les grosses fortunes africaines, etc.

Le Fonds Afrique50, dont le principe avait été entériné par les ministres des Finances lors des Assemblées annuelles de la BAD en mai 2013 à Marrakech, est une initiative qui œuvrera en partenariat avec les institutions régionales pour financer des projets transformationnels.

Flexible, efficace et commercial, le Fonds Afrique50 mettra un accent particulier sur la nécessité d’acheminer les fonds mobilisés par ses différents instruments dans des projets susceptibles d’assurer un retour sur investissement raisonnable aux investisseurs.

Son action portera sur l’infrastructure transcontinentale dont les projets prioritaires du Programme pour le développement de l’infrastructure en Afrique.

A l’ouverture de la cérémonielle président Kaberuka a réaffirmé l’engagement de la BAD à accompagner les efforts des pays africains en matière de financement de projets d’infrastructures. « La Banque africaine de développement, du fait de son expérience et de son mandat jouera un rôle de leader, mais il s’agit d’un instrument collectif, » a-t-il indiqué.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

TUNIS, Tunisie, 18 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Le président de la Banque africaine de développement (http://www.afdb.org), Donald Kaberuka, la présidente de la Commission de l’Union africaine, Nkosazana Dlamini Zuma, et le secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique, Carlos Lopes, donneront une conférence de presse demain jeudi 19 juillet 2013 à 13 h à l’hôtel Mövenpick de Gammarth à Tunis, dans le cadre de la « Table ronde de Tunis sur le financement des infrastructures ». La séance d’ouverture de la table ronde, à 11h30, est également ouverte à la presse.

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C’est la première fois qu’une table ronde réunit tous les dirigeants des institutions africaines impliquées dans la conception et le financement de l’infrastructure : institutions politiques (Union africaine), institutions de financement du développement (BAD, banques régionales : BOAD, DBSA, PTA Bank, BDEAC…) et communautés économiques régionales (UMA, UEMOA, CEDEAO…).

La table ronde de Tunis est importante à plusieurs égards. D’une part, il s’agit de la première visite à Tunis de la nouvelle présidente de la Commission de l’Union africaine, et d’autre part, cette rencontre offre un cadre aux dirigeants des institutions africaines d’examiner les meilleurs voies d’assurer le financement des 68 milliards de dollars nécessaires pour la transformation de l’Afrique à travers une infrastructure moderne d’ici à 2020. Résoudre le problème des infrastructures en Afrique devrait permettre de dynamiser la croissance sur le continent de 2% par an en moyenne.

La table ronde examinera également le « Fonds Afrique 50 » lancé par le président Donald Kaberuka. Cette initiative a été saluée et soutenue par les ministres des Finances lors des Assemblées annuelles du Groupe de la BAD en mai 2013 à Marrakech au Maroc.

Les journalistes désireux de couvrir la table ronde et la conférence de presse ou sollicitant des interviews sont priés d’envoyer un mail à Olivia Nadine Ndong Obiang, Chargée des Relations avec les Médias.

Contact : T. +216 71 10 15 84 / C. +216 95 99 97 70 / o.ndong-obiang@afdb.org.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 34 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’information : http://www.afdb.org

TUNIS, Tunisie, 17 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Sous l’égide de l’Union africaine (UA), de la BAD (http://www.afdb.org) et de la Commission économique pour l’Afrique (CEA), les dirigeants des principales organisations économiques africaines se réunissent à Tunis le 19 juillet 2013 dans le cadre d’une table ronde de haut niveau pour échanger sur le financement des infrastructures.

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Les discussions porteront sur la recherche de voies et moyens pour des financements innovants afin de soutenir le développement de l’Afrique et ce, conformément à la vision des leaders africains de “transformer le continent sur les 50 prochaines années. ». C’est dans ce contexte que la réunion de Tunis vise à renforcer la collaboration de la BAD avec les communautés économiques régionales d’une part, et avec les institutions de financement du développement d’autre part.”

Les besoins financiers du cadre stratégique de la transformation de l’Afrique à travers une infrastructure moderne, le Programme pour le développement de l’infrastructure en Afrique, s’élèvent à 68 milliards USD d’ici à 2020. Le « Fonds Afrique 50 » lancé par le président Donald Kaberuka et qui a été salué et soutenu par les ministres des Finances lors des Assemblées annuelles de la BAD en mai 2013 à Marrakech, vise à résorber le déficit des financements des infrastructures sur le continent.

Désormais l’Afrique doit profiter de ses propres réservoirs de capitaux pour financer son développement. En se fondant sur son mandat et sa position avantageuse de catalyseur financier, la BAD s’est engagée à jouer un rôle de premier plan dans cet effort de mobilisation de ressources. er, à travers son « Fonds Afrique 50 », les fonds pour financer le déficit en infrastructures..

Alors que le financement de l’infrastructure régionale s’est fait de manière dispersée et par à-coups, le « Fonds Afrique 50 » ambitionne d’établir un cadre mieux coordonné et délibéré pour accroître les niveaux de financement requis pour accélérer l’agenda de transformation de l’Afrique. Il constitue l’un des moyens qui permettront à des financements innovants d’apporter une solution aux défis de l’Afrique en utilisant ses ressources propres.

Les récentes découvertes de pétrole et de gaz, ainsi que de nouveaux dépôts de minerais dans un certain nombre de pays africains, fournissent une source viable de financement pour le développement de l’infrastructure de l’Afrique, en grande partie à partir de ses ressources endogènes. Si les revenus en découlant sont bien gérés et bien utilisés, ils peuvent être investis dans l’infrastructure essentielle pour la transformation du continent et ainsi contribuer directement à la vision de l’Union africaine de 2063 d’une « Afrique intégrée, prospère et paisible, conduite par ses propres citoyens et représentant une force dynamique dans l’arène mondiale ».

Participeront à la table ronde Mme Nkosazana Dlamini Zuma, présidente de la CUA, M. Carlos Lopes, secrétaire exécutif de l’UNECA, M. Donald Kaberuka, président de la BAD, ainsi que les premiers responsables des communautés économiques régionales et des institutions régionales de financement du développement.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contacts : Chawki Chahed, chargé de communication principal, T. +216 71 10 27 02 / C. +216 98 70 31 68 / c.chahed@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 34 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org

TUNIS, Tunisie, 15 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Nkosazana Dlamini Zuma, Présidente de la Commission de l’Union africaine (CUA), Carlos Lopes, Secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (UNECA) et Donald Kaberuka, Président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) se réuniront à Tunis le 19 Juillet 2013 autour d’une table ronde axée sur les financements innovants visant à l’augmentation du financement de l’infrastructure sur le continent africain conformément à la vision de l’Afrique pour les 50 prochaines années.

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Les leaders des principales organisations africaines impliquées dans l’élaboration et le financement de l’infrastructure sur le continent africain examineront le « Fonds Afrique 50 » adopté en mai dernier par le Conseil des Gouverneurs de la Banque Africaine de développement lors des Assemblées Annuelles du Groupe.

Ibrahim Assane Mayaki, directeur général de la Planification et de la Coordination du NEPAD, les secrétaires généraux de toutes les Communautés économiques régionales (CER) et les présidents ou directeurs généraux des institutions financières de développement sous régionales africaines (IFD) prendront également part à la rencontre.

Objet : L’accroissement du financement de l’infrastructure en Afrique conformément à la vision de l’Afrique pour les 50 prochaines années.

Date : Vendredi 19 juillet 2013

Heure : 10h30

Lieu : Hôtel Mövenpick, Gammarth – Tunis

Contact : Olivia Ndong Obiang, o.ndong-obiang@afdb.org

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 29 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : www.afdb.org