Un tribunal criminel de Dakar a condamné jeudi 1er juin l’opposant sénégalais Ousmane Sonko, accusé de viols, à deux ans de prison ferme pour «corruption de la jeunesse», compromettant encore davantage sa candidature à la présidentielle de 2024 dans un contexte de vives tensions.
La chambre criminelle, statuant en l’absence du prévenu , l’a en revanche acquitté des accusations de «viols» et «menaces de mort». Réactions à chaud.