Le Nigeria a émis 500 millions de dollars sur cinq ans et 500 millions de dollars sur dix ans, avec des taux de respectivement 5,375 % et 6,625 %. Ces deux taux sont inférieurs à ceux prévus par les banques et témoignent de l’appétit des investisseurs internationaux pour le risque africain. De bon augure pour le Sénégal et le Kenya, prochains pays du continent, sur la liste des émetteurs. L’emprunt du Nigeria, mené par Citigroup et Deutsche Bank, servira à financer des infrastructures, notamment dans le domaine de l’énergie
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