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INVITATION AUX REPRÉSENTANTS DES MÉDIAS

 

QUOI:                         Sensibilisation régionale du comité intergouvernemental d’experts sur le financement du développement durable en Afrique  (ICESDF)

HEURE:                       09:00

QUAND:                    2–3 mai 2014

:                             Centre de conférences des Nations Unies (CCNU), Addis-Abeba, Éthiopie


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Tunis, 29 avril 2014 (CEA) – Les experts qui participent à la réunion de 3 jours, à Tunis, ont convenu que les Commissions économiques régionales des Nations Unies pourraient collaborer pour aider les pays en développement à optimiser leurs avantages relatifs à l’accord de l’OMC, à Bali, sur la facilitation du commerce. La conclusion a été décidée lors d’un Forum interrégional sur le thème: «Faciliter l’intégration efficace des pays en développement dans l’économie mondiale par le biais de l’Aide pour le commerce», du 22 au 24 avril 2014.


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Niamey, le 29 avril 2014 (CEA/BSR-AO). Une délégation du Bureau Sous Régional pour l’Afrique de l’Ouest de la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique, conduite par son Directeur, Dr Dimitri Sanga et comprenant deux experts en l’occurrence, Mr Foumbi Joseph et Mr Aboubacry Demba Lom séjournera du 29 avril au 2 mai 2014, en mission au siège de la Commission de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) sis à Ouagadougou.


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Addis Abeba, le 25 avril 2014 (CEA) – Une décennie après le premier forum national sur la transformation en 2003, le Centre pour les politiques stratégiques du Cap-Vert en collaboration avec un certain nombre de partenaires, dont la Commission économique pour l’Afrique tiendra le deuxième Forum national lors du Forum sur la transformation économique du pays du 14 au 16 mai. Le Forum sera axé autour du thème «Examen constructif des progrès et du plan pour l’avenir».


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Addis Abeba, le 21 avril 2014 (CEA) – La Commission économique pour l’Afrique organise un forum interrégional de plus de 60 experts du monde entier pour partager leurs expériences et points de vue sur la façon dont l’Aide pour le commerce peut mieux faciliter l’intégration des pays en développement dans le marché mondial. La réunion aura lieu du 22 au 25 avril, à Tunis, la capitale tunisienne.


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Addis Abeba, le 17 avril 2014 (CEA) – La série de conférences annuelles d’Adebayo Adedeji, lancée lors de la Conférence conjointe des ministres des finances, de la planification et du développement de la CEA et de l’UA qui s’est déroulée du 25 au 31 mars a pour but de commémorer la contribution du Professeur Adedeji au développement sur ​​le continent africain à travers un discours annuel sur les questions contemporaines qui encadrent la vision de l’ancien Secrétaire exécutif de la CEA.


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La Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA) a présenté une nouvelle initiative à l’échelle continentale sur l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes à la Septième réunion annuelle conjointe de la Conférence des ministres africains des finances, de la planification et du développement économique de la Commission économique pour l’ Afrique et de la Conférence des ministres de l’économie et des finances de l’Union africaine, à Abuja, au Nigéria, du 25 au 30 mars 2014; les ministres ont salué et approuvé avec enthousiasme l’initiative.


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Addis Abeba, le 16 avril 2014 (CEA) – Après un mandat du Sommet de Rio +20, le Comité intergouvernemental d’experts sur le financement du développement durable (ICESDF) créé par l’Assemblée générale des Nations Unies en juin 2013 est chargé de produire un rapport qui propose des options sur une stratégie efficace de financement du développement durable. La stratégie vise à faciliter la mobilisation des ressources et leur utilisation efficace dans la réalisation des objectifs de développement durable.


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Addis Abeba, le 14 avril 2014 (CEA) – L’Initiative sur les politiques foncières (LPI) et le Secrétariat Permanent National du Code Rural du Niger (SPN/CR) organisent un «Atelier de validation de l’étude de capitalisation sur les bonnes pratiques en matière d’aménagement foncier en vue de la sécurisation des droits fonciers des producteurs ruraux». L’atelier aura lieu le 22 avril 2014, à Niamey, au Niger, avec l’appui de  l’Agence Suisse pour le Développement et la coopération (SDC).


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New Haven, Etats-Unis, le 14 avril 2014 (CEA) – Une décennie après que l’ancien Secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, ait prononcé son discours historique «la croisée des chemins» à l’Assemblée générale appelant à la réforme de l’organisme mondial, le Secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique, Carlos Lopes a dit au Colloque pour le développement africain de Yale, lundi, que l’Afrique arrive à la croisée des chemins qui pointe désormais vers  une direction et un choix, qui est la voie de l’industrialisation.


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New York, le 11 avril 2014 – Bien que l’Afrique ait enregistré une croissance économique impressionnante lors de la dernière décennie, des politiques et institutions industrielles plus crédibles sont nécessaires pour faire avancer la transformation structurelle du continent, selon un nouveau rapport publié, aujourd’hui par la Commission économique pour l’Afrique et la Commission de l’Union africaine.


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Addis Abeba, 10 avril 2014 (CEA) – Le Troisième Forum sur la gouvernance de l’internet en Afrique (AfIGF) aura lieu à Abuja, au Nigéria, du 10 au 12 juillet 2014. Selon le Secrétariat dudit Forum à la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), ce Troisième Forum discutera des questions critiques de la pertinence et de la préoccupation du continent dans le cadre d’un examen mondial du Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI+10) 10 ans.


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Addis-Abeba, le 9 Avril 2014 – L’Initiative sur les politiques foncières (IPF) a appuyé l’organisation d’une réunion des organisations de la société civile (OSC), visant la mise en place d’une plate-forme qui permettrait d’assurer la poursuite de l’engagement des acteurs impliqués dans la mise en œuvre de la Déclaration de l’Union africaine sur les problèmes et enjeux fonciers. La réunion s’est tenue à Dakar, au Sénégal, les 18 et 19 mars 2014.


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Addis Abeba, 9 avril 2014 (CEA) – Lors du séminaire sur la fuite des capitaux et paradis fiscaux de l’Afrique qui a débuté à Addis-Abeba, ce mercredi, Carlos Lopes, Secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique appelle les pays à aborder d’urgence la question. Il déclare: «L’Afrique n’attend pas pour de meilleures opportunités – nous devons les saisir maintenant».

WASHINGTON, 30 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration de la Banque mondiale a approuvé aujourd’hui un crédit de l’IDA* d’un montant de 40 millions de dollars (20 milliards de FCFA) pour soutenir les efforts déployés par le Sénégal pour accroître la production de riz, de mangues et d’autres cultures, créer des emplois pour les jeunes et les femmes agriculteurs et remettre en état les routes reliant les communautés rurales isolées aux marchés en Casamance, une région du pays déchirée par la guerre.

« Le gouvernement nouvellement élu du Sénégal attache une grande importance au règlement du conflit qui sévit depuis longtemps en Casamance », a déclaré Vera Songwe, la directrice pays de la Banque mondiale pour le Sénégal. « Le projet qui a été approuvé aujourd’hui contribuera grandement au retour de la paix dans la région en stimulant l’économie locale, en créant des emplois essentiels pour les jeunes et les femmes vulnérables et en améliorant l’accès aux marchés agricoles ».

Les ressources allouées contribuent au financement du Projet Pôle de développement de la Casamance élaboré par le Sénégal afin de créer des débouchés économiques et aider à la réintégration des ex-combattants dans la région de la Casamance. Le premier volet du projet consistera à financer la construction d’infrastructures et l’achat de matériels pour permettre aux cultivateurs et autres producteurs d’assurer le ramassage, le traitement, la transformation et le transport des produits locaux. Il soutiendra la Plateforme économique intégrée de Bignona, un programme en cours qui aide à améliorer la capacité de la région à fabriquer et exporter des produits à valeur ajoutée tels que les confitures et les fruits séchés, à partir de produits locaux.

« La faible pluviométrie et le manque d’accès aux engrais et semences ont ralenti la croissance du secteur agricole sénégalais et provoqué une grave crise alimentaire en 2011 », a fait remarquer Jamal Saghir, le directeur de la Banque mondiale chargé du développement durable pour la région Afrique. « Le projet approuvé aujourd’hui aidera à accroître la production de riz et d’autres denrées qui constituent la base de l’alimentation des Sénégalais. Il facilitera également l’exportation des produits de la Casamance vers les autres régions du pays et procurera des revenus essentiels aux familles agricoles ».

Le deuxième volet du projet reliera les communautés rurales isolées aux marchés, aux centres de production et aux villes. Le projet financera en particulier des travaux d’amélioration ponctuels sur près de

350 km de routes non classées ainsi que la remise en état et l’entretien d’environ 200 km de routes rurales.

Le troisième volet de ce financement contribuera au renforcement des capacités des parties prenantes clés, notamment l’Agence nationale pour la relance des activités économiques et sociales en Casamance (ANRAC), et à améliorer leur capacité à mener à bien des processus et programmes de consolidation de la paix axés sur le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des ex-combattants.

« Au cours des trente dernières années, la région de la Casamance a connu le conflit de faible intensité le plus long en Afrique, qui a freiné le développement de l’agriculture, du commerce et du tourisme et fait des centaines de morts et de blessés », a déploré Demba Balde, le chef de l’équipe de projet de la Banque mondiale. « Je suis heureux de pouvoir aider le gouvernement sénégalais à mettre en œuvre le projet approuvé aujourd’hui ».

*L’Association internationale de développement (IDA), une institution de la Banque mondiale fondée en 1960 et chargée d’aider les pays les plus pauvres du monde en leur accordant des dons et des crédits ne portant pas intérêt pour la mise en œuvre de programmes de nature à stimuler la croissance économique, à atténuer les inégalités et à améliorer les conditions de vie des populations. L’IDA est l’un des principaux bailleurs d’aide aux 81 pays les plus déshérités de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’IDA apportent un changement positif dans la vie de 2,5 milliards de personnes vivant avec moins de deux dollars par jour. Depuis sa création, l’IDA a soutenu des activités dans 108 pays. Le volume annuel de ses engagements est en constante augmentation et a représenté en moyenne 15 milliards de dollars au cours des trois dernières années, 50 % de ce montant environ étant destiné à l’Afrique.

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 27 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — La 8ème édition de la Conférence économique africaine (http://www.afdb.org/fr/aec/) se tiendra à Johannesburg, en Afrique du Sud, du 28 au 30 octobre 2013. Cette rencontre, sous le thème de “l’intégration régionale en Afrique”, est organisée conjointement par le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA) et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).

Logo BAD: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/african-development-bank-2.png

Cette année encore, la Conférence économique africaine rassemblera de hauts responsables politiques et économiques, des chefs d’État, des chercheurs de renom et des experts du développement. En provenance des quatre coins du continent africain et du reste du monde, ils débattront des efforts accomplis par les pays africains pour joindre leurs forces et intégrer leurs économies dans l’optique de les développer tant sur le plan national que régional.

Les participants discuteront également des efforts déployés dans différents domaines et secteurs, tels la finance, le transport routier, les pools énergétiques, la gestion des ressources en eau, la fiscalité et la mobilité des travailleurs. Autres sujets de débats, les enjeux spécifiques liés aux pays à revenus intermédiaires et ceux propres aux Etats fragiles.

La Conférence économique africaine 2013 permettra en outre de discuter des contraintes auxquelles se heurte une intégration régionale efficace : un réseau d’infrastructures régionales peu développé, en particulier en matière de transport, d’énergie et de communications, et un cadre juridique, institutionnel et réglementaire peu approprié. Enfin, les participants tenteront de trouver des solutions pouvant faciliter l’intégration régionale des pays africains.

La rencontre sera un espace unique d’échanges pour les universitaires reconnus et les nouvelles compétences du continent, qui pourront exposer, de manière approfondie, sur leurs recherches portant sur les politiques de développement.

La cérémonie officielle d’ouverture sera présidée par le président sud-africain Jacob Zuma, en présence d’Helen Clark, administrateur du PNUD, Donald Kaberuka, président de la BAD, et Abdalla Hamdok, secrétaire exécutif adjoint de la CEA.

Les inscriptions sont ouvertes.

Evénement :

8e Conférence économique africaine

Date :

Du lundi 28 au mercredi 30 octobre 2013

Lieu :

Montecasino Entertainment Complex, Johannesburg, Afrique du Sud

Officiels :

Jacob Zuma, Président d’Afrique du Sud (inauguration)

Helen Clark, Administrateur, PNUD

Donald Kaberuka, Président, BAD

Abdalla Hamdok, Secrétaire exécutif adjoint, CEA.

Enregistrement en ligne : http://www.afdb.org/fr/aec/online-registration/

Veuillez visiter le site Internet http://www.afdb.org/fr/aec/

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

BAD: Olivia Ndong Obiang, o.ndong-obiang@afdb.org, Tél. (+216) 95 99 97 70

CEA : Mercy Wambui, mwambui@uneca.org, Tél. (+251) 92 10 14 767

PNUD : Nicolas Douillet, nicolas.douillet@undp.org, Tél. +1 212 906 5937

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 27 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — La 8ème édition de la Conférence économique africaine (http://www.afdb.org/fr/aec/) se tiendra à Johannesburg, en Afrique du Sud, du 28 au 30 octobre 2013. Cette rencontre, sous le thème de “l’intégration régionale en Afrique”, est organisée conjointement par le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA) et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).

Logo BAD: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/african-development-bank-2.png

Cette année encore, la Conférence économique africaine rassemblera de hauts responsables politiques et économiques, des chefs d’État, des chercheurs de renom et des experts du développement. En provenance des quatre coins du continent africain et du reste du monde, ils débattront des efforts accomplis par les pays africains pour joindre leurs forces et intégrer leurs économies dans l’optique de les développer tant sur le plan national que régional.

Les participants discuteront également des efforts déployés dans différents domaines et secteurs, tels la finance, le transport routier, les pools énergétiques, la gestion des ressources en eau, la fiscalité et la mobilité des travailleurs. Autres sujets de débats, les enjeux spécifiques liés aux pays à revenus intermédiaires et ceux propres aux Etats fragiles.

La Conférence économique africaine 2013 permettra en outre de discuter des contraintes auxquelles se heurte une intégration régionale efficace : un réseau d’infrastructures régionales peu développé, en particulier en matière de transport, d’énergie et de communications, et un cadre juridique, institutionnel et réglementaire peu approprié. Enfin, les participants tenteront de trouver des solutions pouvant faciliter l’intégration régionale des pays africains.

La rencontre sera un espace unique d’échanges pour les universitaires reconnus et les nouvelles compétences du continent, qui pourront exposer, de manière approfondie, sur leurs recherches portant sur les politiques de développement.

La cérémonie officielle d’ouverture sera présidée par le président sud-africain Jacob Zuma, en présence d’Helen Clark, administrateur du PNUD, Donald Kaberuka, président de la BAD, et Abdalla Hamdok, secrétaire exécutif adjoint de la CEA.

Les inscriptions sont ouvertes.

Evénement :

8e Conférence économique africaine

Date :

Du lundi 28 au mercredi 30 octobre 2013

Lieu :

Montecasino Entertainment Complex, Johannesburg, Afrique du Sud

Officiels :

Jacob Zuma, Président d’Afrique du Sud (inauguration)

Helen Clark, Administrateur, PNUD

Donald Kaberuka, Président, BAD

Abdalla Hamdok, Secrétaire exécutif adjoint, CEA.

Enregistrement en ligne : http://www.afdb.org/fr/aec/online-registration/

Veuillez visiter le site Internet http://www.afdb.org/fr/aec/

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

BAD: Olivia Ndong Obiang, o.ndong-obiang@afdb.org, Tél. (+216) 95 99 97 70

CEA : Mercy Wambui, mwambui@uneca.org, Tél. (+251) 92 10 14 767

PNUD : Nicolas Douillet, nicolas.douillet@undp.org, Tél. +1 212 906 5937

PARIS, France, 27 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Les participants du Fonds africain de développement (FAD) ont réaffirmé leur engagement à accompagner le mouvement de transformation économique de l’Afrique, en s’accordant sur une reconstitution d’un montant total de 7,3 milliards de dollars EU pour la période 2014-2016. Des millions d’Africains devraient ainsi bénéficier d’une amélioration de l’approvisionnement en énergie, des réseaux de transport, de l’alimentation en eau et de l’assainissement, de l’éducation et de la productivité agricole.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/african-development-bank-2.png

Photo Donald Kaberuka: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/donald-kaberuka-afdb-president.jpg

Les représentants de 27 pays participants (dont quatre africains) ont conclu leurs discussions, ce jeudi 26 septembre 2013, portant sur la treizième reconstitution du Fonds africain de développement (FAD-13). Le FAD est le guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), qui contribue à la réduction de la pauvreté et au développement économique et social dans les pays africains à faible revenu.

Les participants sont convenus d’un montant de reconstitution de 7,3 milliards de dollars EU pour le cycle de 2014 à 2016, dont 1 milliard dédié à la Facilité en faveur des États fragiles. La reconstitution comprend 5,8 milliards de dollars EU en provenance des pays donateurs, ce qui représente une légère hausse par rapport à celle du FAD-12 (2011-2013). Plusieurs pays ont déployé des efforts notables pour assurer une reconstitution solide malgré un contexte budgétaire délicat.

Le Fonds aidera à améliorer les conditions de vie de millions de personnes à travers l’Afrique. Sur la période couverte par le FAD-13, environ 20 millions de personnes devraient être raccordées à des services énergétiques fiables et abordables et 19 millions auraient un meilleur accès au transport ; de plus, 7,5 millions devraient bénéficier de services d’alimentation en eau et d’assainissement ; 3 millions des opportunités de formation professionnelle et technique ; et 7 millions d’une productivité agricole accrue.

« Je me réjouis vivement de ces engagements, qui interviennent sur fond de choix budgétaires difficiles, a déclaré le président de la Banque africaine de développement. Ils constituent un signal fort de soutien à l’Afrique, ainsi qu’à la vision que porte la Banque pour une croissance inclusive et durable. Ils renforcent en outre notre capacité d’exécution de notre ambitieux programme qui s’articule autour des infrastructures, de l’intégration économique, du développement du secteur privé, en veillant plus particulièrement à accélérer l’égalité entre les hommes et les femmes et à relever les défis de la fragilité en Afrique. L’innovation demeure primordiale si l’on veut tirer le meilleur parti des ressources concessionnelles mobilisées aujourd’hui ».

Les participants ont salué l’impact positif du FAD sur les conditions de vie des populations en Afrique. « Le rôle essentiel du Groupe de la BAD dans la réalisation de la transformation de l’Afrique, et la recherche de solutions face aux enjeux cruciaux du développement, tels que la fragilité, n’a jamais été aussi manifeste. C’est pourquoi – malgré des contraintes réelles et des restrictions budgétaires dans la plupart des pays – les participants ont reconnu la pertinence et l’efficience du Groupe de la Banque, et réaffirmé leur ferme soutien et leur confiance au Fonds africain de développement”, a fait remarquer Richard Manning, coordonnateur du FAD-13.

Les participants ont noté avec satisfaction que les pays africains continuent de renforcer leur rôle, la Libye et l’Angola rejoignant l’Afrique et l’Égypte comme contributeurs du Fonds.

Reconnaissant l’importance du secteur privé dans la promotion de la croissance dans les pays africains à faible revenu, les participants ont entériné la création de deux instruments de rehaussement du crédit – la Garantie partielle de crédit et la Facilité de rehaussement du crédit du secteur privé –, destinés à attirer les capitaux privés pour les projets de développement transformationnel.

Les pays bénéficiaires du FAD étaient représentés par des délégués de Côte d’Ivoire, du Ghana, du Kenya et du Malawi. Tous ont unanimement souligné la nécessité pour le Groupe de la Banque de « continuer à soutenir les efforts déployés par les pays africains pour faire reculer la pauvreté, promouvoir une croissance inclusive et améliorer les conditions de vie de leurs citoyens ». Reconnaissant que « le Groupe de la Banque africaine de développement mobilise les financements requis pour combler le déficit d’infrastructure qui coûte tant à l’Afrique en termes d’opportunités manquées et de PIB », ils ont souligné que « le Groupe de la Banque stimule notre ambition et notre croissance, et se tient à nos côtés, tant dans les moments difficiles qu’en période plus favorable ».

Benoît Chervalier, chef de l’Unité de mobilisation et d’allocation des ressources à la Banque africaine de développement, a quant à lui déclaré : « Nous avons l’espoir qu’un plus grand nombre de pays africains seront capables de contribuer au Fonds, en particulier à mesure que les pays bénéficiaires du FAD opéreront leur transition vers le statut de pays à revenu intermédiaire ». Et d’ajouter : « Le continent est en train de prendre en main son propre développement ».

Directeur général du Trésor et gouverneur représentant la France au Groupe de la Banque, Ramon Fernandez a conclu sur ces mots : « Le Groupe de la Banque africaine de développement est un bien public régional qui joue un rôle unique, consistant à aider les pays africains à accomplir tout leur potentiel. Nul doute que le Groupe de la Banque africaine de développement mettra son avantage comparatif au service de la transition de tous les pays africains, dans leur cheminement vers une croissance durable et inclusive ».

Tous les participants ont exprimé leur gratitude au gouvernement français pour avoir accueilli l’événement.

Distributed by the African Press Organization on behalf of the African Development Bank (AfDB).

Contacts

Magatte Wade, m.wade@afdb.org +216 98 34 37 34

Auriane Mortreuil, a.mortreuil@afdb.org +216 55 76 83 24

Note des éditeurs

Le Fonds africain de développement (FAD) est le guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD). Fondée en 1972, il est devenu opérationnel en 1974. Le Fonds est administré par la Banque africaine de développement. Ses 27 pays contributeurs œuvrent en faveur de 40 pays en Afrique.

Le FAD contribue à la promotion du développement économique et social dans les pays africains les moins développés en offrant des financements concessionnels pour la mise en œuvre de projets et de programmes, et l’assistance technique pour la réalisation des études et des activités de renforcement des capacités.

Les ressources du FAD-13 seront acheminées par le biais d’une combinaison d’instruments de financement répondant le mieux aux besoins et aux capacités de ses clients. Il s’agit notamment de : prêts, dons et garanties (principal véhicule d’appui au titre du FAD-13), projets multinationaux, investissements du secteur privé, lignes de crédit, prises de participations, renforcement des capacités et préparation de projet, garanties partielles de risques et garanties partielles de crédit, et opérations à l’appui de programmes.

Les ressources du Fonds sont renouvelées tous les trois ans par ses donateurs.

Les participants au FAD-13 sont : Autriche, Belgique, Brésil, Canada, Chine, Danemark, Égypte, Finlande, France, Allemagne, Inde, Italie, Japon, Corée, Koweït, Pays-Bas, Norvège, Portugal, Arabie Saoudite, Afrique du Sud, Espagne, Suède, Suisse, Royaume-Uni et États-Unis d’Amérique. L’Angola et la Libye deviennent de nouveaux donateurs dans le cadre du FAD-13.

Pour de plus amples informations sur le Fonds africain de développement, veuillez visiter le site : http://www.afdb.org/adf

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 34 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’information : http://j.mp/AFDB_Media

BALE, Suisse, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ —

• Power of One permet au public de financer des tests et traitements antipaludéens pour les enfants en Afrique par le biais dernières technologies web et mobiles

• Novartis est le sponsor « traitements » exclusif dans le cadre de cette campagne et fera don de trois millions de traitements Coartem® Dispersible, son antipaludéen pédiatrique, afin de doubler l’impact des dons du public

• Novartis, un leader de longue date dans le contrôle et l’élimination du paludisme, a fourni 200 millions de traitements antipaludéens pédiatriques à prix coûtant aux pays impaludés depuis 2009

Novartis (http://www.novartis.com) et Malaria No More ont annoncé aujourd’hui le lancement de la campagne Power of One (http://www.Po1.org), qui encourage les citoyens du monde entier à aider à mettre fin aux décès d’enfants causés par le paludisme. Novartis soutiendra cette campagne financièrement et offrira également jusqu’à trois millions de traitements Coartem® Dispersible, son antipaludéen pédiatrique, afin de doubler l’impact des dons du public. L’engagement de la société dans la campagne Power of One reflète sa longue tradition de lutte contre le paludisme; l’initiative Novartis contre le paludisme est l’un des programmes d’accès aux médicaments les plus importants dans l’industrie des soins de santé.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/novartis.jpg

Le paludisme est une pathologie qui peut être évitée et soignée; pourtant, un enfant en meurt chaque minute. Selon les estimations, plus de 300 millions de traitements supplémentaires seront nécessaires pour traiter les patients atteints de paludisme dans l’ensemble de l’Afrique entre aujourd’hui et fin-2015. La campagne Power of One vise à combler cet écart par le biais de dons directs et d’engagements gouvernementaux existants. Chaque dollar versé à la campagne permettra d’acheter et de livrer un traitement à un enfant atteint de paludisme.

« Je suis fier de l’impact important que Novartis a de longue date dans la lutte contre le paludisme. Malgré tous nos progrès, il reste encore beaucoup à faire », a déclaré Joseph Jimenez, Directeur général de Novartis de Novartis. « Nous avons besoin de davantage d’aide pour combler les lacunes en matière de traitements, et Power of One offre à tout un chacun la chance de s’engager et d’aider les enfants souffrant de paludisme. »

S’appuyant sur les dernières technologies sociales, mobiles et d’e-commerce, Power of One permet au public de parrainer un traitement et de suivre son itinéraire. Les donateurs pourront voir l’impact de leurs contributions sur le terrain, partager des informations avec leurs réseaux et recruter d’autres donateurs.

« Il est inacceptable qu’un enfant meurt chaque minute par manque d’un traitement qui ne coûte qu’un dollar », a ajouté Martin Edlund, Président de Malaria No More. « Nous appelons tous les citoyens du monde à participer à la campagne Power of One, à faire des dons et à engager leurs amis dans cette lutte. »

Novartis est le sponsor « traitements » exclusif de la campagne Power of One, rejoignant certaines des entreprises les plus innovantes au monde. Les autres sponsors incluent Alere Inc., qui fournira des tests de diagnostic rapide du paludisme, 21st Century Fox, AHAlife.com, Causes.com, Time Warner, Twitter, Venmo et d’autres. La Zambie sera le premier pays à recevoir des livraisons de traitements et de tests dans le cadre de la campagne Power of One.

Novartis franchit la barre des 200 millions de traitements Coartem® Dispersible

Depuis 2009, Novartis a fourni 200 millions de traitements de son antipaludéen pédiatrique Coartem® Dispersible à prix coûtant à plus de 50 pays impaludés. C’est la première fois qu’autant de traitements pédiatriques ont été distribués en si peu de temps pour aider les enfants atteints de paludisme. Le 200 millionième traitement a été livré à la Zambie, qui a également reçu la première livraison de traitements de Novartis dans le cadre de la campagne Power of One. Ces traitements ont été financés grâce à une collecte de fonds organisée pendant la Journée mondiale de lutte contre le paludisme le 25 avril 2013.

« MMV félicite Novartis pour cet accomplissement remarquable », a commenté David Reddy, Président de Medicines for Malaria Venture. « Novartis a fait un travail formidable en rendant accessible un médicament innovant aux jeunes victimes vulnérables du paludisme en Zambie et dans plus de 50 autres pays, lui donnant une portée mondiale. Chez MMV, nous sommes fiers de notre partenariat avec Novartis dans le cadre du développement de cette importante formulation. »

L’initiative Novartis contre le paludisme est l’un des programmes d’accès aux médicaments les plus importants dans l’industrie des soins de santé. A l’avenir, Novartis s’engage à vaincre le paludisme en travaillant comme tête de file à la mise au point de la prochaine génération d’antipaludéen. A ce jour, deux nouvelles classes d’antipaludéens sont en cours de développement, la molécule la plus avancée faisant l’objet d’essais cliniques de phase II.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Novartis.

Pour plus d’informations, veuillez consulter http://www.malaria.novartis.com

A propos de Novartis

Novartis (http://www.novartis.com) propose des solutions thérapeutiques innovantes destinées à répondre aux besoins en constante évolution des patients et des populations. Basée à Bâle, en Suisse, Novartis offre un portefeuille diversifié pour répondre au mieux à ces besoins: médicaments innovants, soins ophtalmologiques, génériques peu coûteux, vaccins préventifs et outils de diagnostic, produits de santé en vente libre et produits de santé animale. Novartis est le seul groupe international à occuper une position de leader dans tous ces domaines. En 2012, Novartis a réalisé un chiffre d’affaires net s’élevant à USD 56,7 milliards et dépensé environ USD 9,3 milliards (USD 9,1 milliards hors charges pour pertes de valeur et amortissements) pour la recherche et le développement (R&D). Le Groupe Novartis emploie quelque 131 000 collaborateurs à plein temps et déploie ses activités dans plus de 140 pays à travers le monde. Pour de plus amples informations, veuillez consulter notre site à l’adresse http://www.novartis.com.

Novartis est sur Twitter. Pour vous tenir informé sur Novartis, enregistrez-vous sur http://twitter.com/novartis.

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BALE, Suisse, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ —

• Power of One permet au public de financer des tests et traitements antipaludéens pour les enfants en Afrique par le biais dernières technologies web et mobiles

• Novartis est le sponsor « traitements » exclusif dans le cadre de cette campagne et fera don de trois millions de traitements Coartem® Dispersible, son antipaludéen pédiatrique, afin de doubler l’impact des dons du public

• Novartis, un leader de longue date dans le contrôle et l’élimination du paludisme, a fourni 200 millions de traitements antipaludéens pédiatriques à prix coûtant aux pays impaludés depuis 2009

Novartis (http://www.novartis.com) et Malaria No More ont annoncé aujourd’hui le lancement de la campagne Power of One (http://www.Po1.org), qui encourage les citoyens du monde entier à aider à mettre fin aux décès d’enfants causés par le paludisme. Novartis soutiendra cette campagne financièrement et offrira également jusqu’à trois millions de traitements Coartem® Dispersible, son antipaludéen pédiatrique, afin de doubler l’impact des dons du public. L’engagement de la société dans la campagne Power of One reflète sa longue tradition de lutte contre le paludisme; l’initiative Novartis contre le paludisme est l’un des programmes d’accès aux médicaments les plus importants dans l’industrie des soins de santé.

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Le paludisme est une pathologie qui peut être évitée et soignée; pourtant, un enfant en meurt chaque minute. Selon les estimations, plus de 300 millions de traitements supplémentaires seront nécessaires pour traiter les patients atteints de paludisme dans l’ensemble de l’Afrique entre aujourd’hui et fin-2015. La campagne Power of One vise à combler cet écart par le biais de dons directs et d’engagements gouvernementaux existants. Chaque dollar versé à la campagne permettra d’acheter et de livrer un traitement à un enfant atteint de paludisme.

« Je suis fier de l’impact important que Novartis a de longue date dans la lutte contre le paludisme. Malgré tous nos progrès, il reste encore beaucoup à faire », a déclaré Joseph Jimenez, Directeur général de Novartis de Novartis. « Nous avons besoin de davantage d’aide pour combler les lacunes en matière de traitements, et Power of One offre à tout un chacun la chance de s’engager et d’aider les enfants souffrant de paludisme. »

S’appuyant sur les dernières technologies sociales, mobiles et d’e-commerce, Power of One permet au public de parrainer un traitement et de suivre son itinéraire. Les donateurs pourront voir l’impact de leurs contributions sur le terrain, partager des informations avec leurs réseaux et recruter d’autres donateurs.

« Il est inacceptable qu’un enfant meurt chaque minute par manque d’un traitement qui ne coûte qu’un dollar », a ajouté Martin Edlund, Président de Malaria No More. « Nous appelons tous les citoyens du monde à participer à la campagne Power of One, à faire des dons et à engager leurs amis dans cette lutte. »

Novartis est le sponsor « traitements » exclusif de la campagne Power of One, rejoignant certaines des entreprises les plus innovantes au monde. Les autres sponsors incluent Alere Inc., qui fournira des tests de diagnostic rapide du paludisme, 21st Century Fox, AHAlife.com, Causes.com, Time Warner, Twitter, Venmo et d’autres. La Zambie sera le premier pays à recevoir des livraisons de traitements et de tests dans le cadre de la campagne Power of One.

Novartis franchit la barre des 200 millions de traitements Coartem® Dispersible

Depuis 2009, Novartis a fourni 200 millions de traitements de son antipaludéen pédiatrique Coartem® Dispersible à prix coûtant à plus de 50 pays impaludés. C’est la première fois qu’autant de traitements pédiatriques ont été distribués en si peu de temps pour aider les enfants atteints de paludisme. Le 200 millionième traitement a été livré à la Zambie, qui a également reçu la première livraison de traitements de Novartis dans le cadre de la campagne Power of One. Ces traitements ont été financés grâce à une collecte de fonds organisée pendant la Journée mondiale de lutte contre le paludisme le 25 avril 2013.

« MMV félicite Novartis pour cet accomplissement remarquable », a commenté David Reddy, Président de Medicines for Malaria Venture. « Novartis a fait un travail formidable en rendant accessible un médicament innovant aux jeunes victimes vulnérables du paludisme en Zambie et dans plus de 50 autres pays, lui donnant une portée mondiale. Chez MMV, nous sommes fiers de notre partenariat avec Novartis dans le cadre du développement de cette importante formulation. »

L’initiative Novartis contre le paludisme est l’un des programmes d’accès aux médicaments les plus importants dans l’industrie des soins de santé. A l’avenir, Novartis s’engage à vaincre le paludisme en travaillant comme tête de file à la mise au point de la prochaine génération d’antipaludéen. A ce jour, deux nouvelles classes d’antipaludéens sont en cours de développement, la molécule la plus avancée faisant l’objet d’essais cliniques de phase II.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Novartis.

Pour plus d’informations, veuillez consulter http://www.malaria.novartis.com

A propos de Novartis

Novartis (http://www.novartis.com) propose des solutions thérapeutiques innovantes destinées à répondre aux besoins en constante évolution des patients et des populations. Basée à Bâle, en Suisse, Novartis offre un portefeuille diversifié pour répondre au mieux à ces besoins: médicaments innovants, soins ophtalmologiques, génériques peu coûteux, vaccins préventifs et outils de diagnostic, produits de santé en vente libre et produits de santé animale. Novartis est le seul groupe international à occuper une position de leader dans tous ces domaines. En 2012, Novartis a réalisé un chiffre d’affaires net s’élevant à USD 56,7 milliards et dépensé environ USD 9,3 milliards (USD 9,1 milliards hors charges pour pertes de valeur et amortissements) pour la recherche et le développement (R&D). Le Groupe Novartis emploie quelque 131 000 collaborateurs à plein temps et déploie ses activités dans plus de 140 pays à travers le monde. Pour de plus amples informations, veuillez consulter notre site à l’adresse http://www.novartis.com.

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OTTAWA, Canada, 27 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le ministre du Développement international et ministre de la Francophonie, l’honorable Christian Paradis, s’exprimant au nom du ministre du Commerce international, l’honorable Ed Fast, auquel s’est joint aujourd’hui le premier ministre de la Côte d’Ivoire, M. Daniel Kablan Duncan, et son ministre de l’Industrie et des Mines, M. Jean-Claude Brou, ont annoncé la conclusion des négociations d’un accord sur la promotion et la protection des investissements étrangers (APIE) entre le Canada et la Côte d’Ivoire. Le ministre Paradis a fait cette annonce à Montréal, à l’occasion du Forum Africa 2013, une conférence de trois jours organisée par le magazine Afrique Expansion et le Groupe de la Banque africaine de développement.

« Notre gouvernement est résolu à mettre en place les conditions qui permettront aux entreprises canadiennes d’être concurrentielles et de réussir à l’échelle internationale, ce qui crée des emplois et stimule la croissance économique ici au pays, a déclaré le ministre Paradis. L’accord sur l’investissement annoncé aujourd’hui fournira une protection accrue aux entreprises canadiennes menant des activités en Côte d’Ivoire et resserrera davantage les liens économiques entre nos deux pays. »

Un APIE est un traité qui vise à promouvoir et à protéger les investissements canadiens à l’étranger au moyen de dispositions juridiquement contraignantes, ainsi qu’à promouvoir les investissements étrangers au Canada. En assurant une protection accrue contre les pratiques discriminatoires et arbitraires et en améliorant la prévisibilité du cadre stratégique d’un marché, un APIE accroît la confiance des entreprises au moment d’investir. Une fois qu’il aura été mis en œuvre, l’accord conclu avec la Côte d’Ivoire facilitera les flux d’investissements bilatéraux.

La Côte d’Ivoire recèle un potentiel considérable d’expansion des investissements canadiens, investissements qu’elle accueille déjà favorablement, particulièrement dans les secteurs de l’exploitation minière, de l’infrastructure, des transports et de l’éducation. En 2011, les intérêts miniers canadiens en Côte d’Ivoire étaient évalués à 15 millions de dollars.

« L’annonce faite aujourd’hui est un nouvel exemple des résultats concrets qui découlent du plus ambitieux plan d’expansion du commerce et de l’investissement de l’histoire du Canada, a affirmé le ministre Fast. Notre gouvernement est résolu à mettre en place les politiques adéquates et à offrir les services appropriés afin de faciliter l’expansion et la réussite des entreprises à l’étranger, ce qui, nous le savons, favorise la création d’emplois et la prospérité ici même au pays. »

La Côte d’Ivoire est la troisième économie en importance de l’Afrique occidentale, derrière le Nigéria et le Ghana. Elle est aussi une partenaire de longue date du Canada sur la scène internationale, les deux pays ayant de nombreux intérêts en commun, notamment au sein d’associations comme la Francophonie.

Outre la Côte d’Ivoire, le Canada a conclu des APIE avec le Bénin, le Cameroun, Madagascar, le Mali, le Nigéria, le Sénégal, la Tanzanie et la Zambie dans le cadre de son programme pour protéger les investissements canadiens en Afrique. En outre, il a amorcé des négociations visant à conclure des APIE avec le Burkina Faso, le Ghana, la Guinée et la Tunisie. Le Canada compte actuellement 24 APIE en vigueur à l’échelle internationale.

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 25 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Quatorze jeunes employés de Maersk (http://www.maersk.com) participeront au 4e sommet annuel One Young World, qui aura lieu la semaine prochaine à Johannesburg, en Afrique du Sud.

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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=637 (Deniz Kirdar, Diversity and Inclusion Manager (Photo Peter Elmholt)

Organisé par l’association caritative One Young World, cet événement réunit à la fois des leaders politiques tels que Kofi Annan et Sir Bob Geldof et des personnes aspirant à faire partie de la prochaine génération de leaders mondiaux.

Une chance unique

L’un des participants africains de Maersk est Sow Thierno Madjou, âgé de 29 ans et originaire de Guinée, en Afrique occidentale :

« Ce rendez-vous est une chance unique de rencontrer et nouer des relations avec de jeunes leaders du futur venus du monde entier. Je me réjouis particulièrement de parler d’aspects socio-politiques et économiques avec des participants de différents pays, et j’espère me servir plus tard de cette inspiration pour apporter des changements positifs dans mon propre pays », a déclaré M. Madjou, qui occupe actuellement le poste de contrôleur financier chez Maersk Line.

De même, Junaid Kathrada, âgé de 29 ans, considère cette conférence comme une excellente opportunité d’apprendre auprès de leaders influents des quatre coins du globe :

« J’espère pourvoir tirer parti des expériences et connaissances des délégués, ambassadeurs et invités, et aussi établir des réseaux qui me permettront, ainsi qu’aux autres participants, de faire une différence visible au sein de nos propres sociétés », a ajouté M. Kathrada, qui travaille au sein du service à la clientèle de Safmarine à Durban.

Attirer des talents du vivier le plus large possible

Cet événement donne à Maersk une précieuse opportunité de développer et inspirer des personnes aspirant à devenir des leaders, en particulier sur les marchés à forte croissance où la concurrence pour les affaires, et les personnes talentueuses nécessaires pour les mener, est forte. Rien qu’en Afrique, le Groupe emploie plus de 10 000 personnes, et souhaiterait en attirer encore plus :

« Le Groupe Maersk est présent en Afrique depuis plus d’un siècle, et possède des bureaux dans presque tous les pays du continent. Nous visons à refléter les communautés dans lesquelles nous menons nos activités et à attirer des talents du vivier le plus large possible. Nous souhaitons renforcer encore davantage notre diversité », a commenté Deniz Kirdar True, responsable de la division Diversité et Inclusion du Groupe Maersk.

Maersk encourage les futurs leaders à faire preuve de curiosité

Le Groupe Maersk voit également la valeur de faire participer ses talents au sommet One Young World comme une façon d’élargir davantage leur horizon :

« Nous encourageons nos futurs leaders à être faire preuve de curiosité concernant les différentes façons de faire dans d’autres sociétés, dans d’autres secteurs et sur d’autres marchés. En tant que groupe, nous avons intérêt à chercher d’autres perspectives et à être prêts à remettre en question les approches traditionnelles, et je pense que le sommet One Young World offre une occasion de le faire », a conclu M. True.

Originaire de Lima, au Pérou, Patricia Pretell interviendra pendant la session plénière de One Young World sur le commerce international (prévue le 5 octobre à 8h30). Mme Pretell travaille depuis l’Amérique latine chez Damco, la branche logistique du Groupe Maersk. Les treize autres participants de Maersk représentent plusieurs activités et marchés différents du groupe, notamment l’Inde, le Brésil, l’Afrique du Sud, la Guinée, le Maroc, les Philippines, la Chine, le Pakistan, la Jordanie et le Nigeria.

La conférence, qui se tiendra du 2 au 5 octobre 2013, abordera plusieurs thèmes parmi lesquels l’éducation, le chômage des jeunes, les droits de l’homme, le commerce international, le leadership et les gouvernements, ainsi que le développement durable. Pour en savoir plus sur la conférence, rendez-vous sur le site http://www.oneyoungworld.com

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Maersk Group.

Contacts :

Pour tout complément d’information, veuillez contacter Lebo Madiba, attachée de presse lebo@prpowerhouse.co.za, +27823925339 (portable), ou Christine Drud von Haffner, partenaire de communications sénior du Groupe Maersk Christine.haffner@maersk.com, +4533631945.

A propos du Groupe Maersk

Le Groupe Maersk (http://www.maersk.com) est un conglomérat mondial opérant dans les secteurs du transport ainsi que du pétrole et du gaz. Nous sommes présents dans 130 pays, et employons environ 121 000 personnes. Quatre de nos sociétés – Maersk Line, APM Terminals, Maersk Oil et Maersk Drilling – constituent l’essentiel de nos investissements en croissance stratégique.

NEW YORK, 24 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Koffi Djondo et Tony Elumelu, deux grands hommes d’affaires africains, ont été parmi les heureux gagnants des Trophées African Business (http://www.african-business-awards.com). Cette prestigieuse cérémonie, organisée par le magazine African Business, s’est déroulée le 20 septembre en présence d’éminentes personnalités et hommes d’affaires à l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unis à New York.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/aba.jpg

Le grand leader togolais Gervais Koffi Djondo, l’un des pères fondateurs du groupe bancaire pan-Africain Ecobank, et fondateur de la compagnie aérienne pan-Africaine Asky, a été honoré pour sa vie exemplaire et son rôle dans la création de deux géants africains de la finance et de l’aviation, qui participent activement à l’intégration régionale et continentale.

Ethiopian Airlines a obtenu le Trophée de Meilleure entreprise africaine. Cette compagnie aérienne est un modèle de réussite dans un secteur difficile et concurrentiel.

Le Trophée Icône de l’année d’African Business a été décerné au banquier nigérian et philantropiste Tony Elumelu pour sa contribution à la transformation et au progrès du monde des affaires. Bola Adesola, présidente de la banque nigériane Standard Chartered est l’heureuse gagnante du Trophée Business Woman de l’année.

Le Trophée de l’Innovation a été obtenu par Mawingu, un nouveau projet dans les télécommunications au Kenya, qui utilise les technologies sans fil innovantes et l’énergie solaire pour fournir un accès rapide au niveau national.

Le très convoité Business Leader de l’année a été décerné à Edward Boateng. En très peu de temps, cet entrepreneur influent a créé un groupe médiatique au Ghana, et a mis en place les meilleures pratiques pour le développement durable et l’environnement.

Commentant la cérémonie, Omar Ben Yedder a déclaré: « les gagnants de ce soir ont de nouveau confirmé l’existence de très grands talents dans tous les domaines à travers tout le continent africain. Le secteur privé est sans aucun doute le secteur le plus dynamique et celui qui joue le rôle le plus important dans le développement économique et social en Afrique. C’est celui qui crée des opportunités et des emplois. Des accords de partenariat commencent à voir le jour entre les gouvernements et le secteur privé. Nous sommes sur la bonne voie, comme le démontrent les succès des entreprises honorées ce soir. »

Les Trophées African Business sont organisés par le magazine African Business et IC Events. Cette cérémonie annuelle a coïncidé avec l’African Leadership Forum, qui a rassemblé les dirigeants africains pour discuter des questions de leadership et bonne gouvernance sur le continent.

Les Trophées African Business sont sponsorisés par GTBank et Mota-Engil Africa (Platine), Bank of Industry et Microsoft 4Afrika (Gold), DHL et Fasken Martineau (Silver), la Banque africaine de développement (Sponsor officiel), Paramount Group (Sponsor), et A PIN’s for PEACE (Sponsor).

Les gagnants de cette année:

Lifetime Achievement Award

Gervais Koffi Djondo, Président, Asky Airlines

African Business Icon

Tony Elumelu, Président, Heirs Holdings

Entreprise Africaine de l’année

Ethiopian Airlines, Ethiopie

Business Leader de l’année

Edward Boateng, Président, Global Media Alliance, Ghana

Business Woman de l’année

Bola Adesola, Présidente, Standard Chartered, Nigeria

Good Corporate Governance

The Abraaj Group, UAE

Trophée de l’Innovation

Mawingu, Kenya

Most Admirable and Valuable Brands in Africa…

Global Brand : Coca Cola

African Brand : MTN

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour IC Publications Ltd.

Contact:

IC Events

IC Publications Ltd

Tel: +44 (0) 20 7841 3210

Direct: +44 (0) 20 7841 3292

Email: o.okafor@icpublications.com

African Business

African Business, publié en anglais à Londres et en français à Paris, est depuis plus de 40 ans le magazine économique de référence du continent africain. Distribué dans plus de 100 pays à travers le monde, il est devenu une source d’informations essentielle pour les institutions et les entreprises qui s’intéressent au développement de l’Afrique. African Business est régulièrement cité par des économistes, des hommes politiques et des médias du monde entier. Le magazine a remporté plusieurs prix et son rédacteur en chef a reçu le titre de meilleur journaliste de l’année. IC Publications publie neuf magazines panafricains en anglais à Londres et en français à Paris.

IC Publications – IC Events

IC Publications a plus de 50 ans d’expérience dans l’édition de magazines, de newsletters, de rapports et suppléments sur les pays africains et arabes. Nos titres leaders – African Business, African Banker, New African, et New African Woman – sont publiés en anglais et en français et ont une audience de plus de 2 millions de lecteurs.

IC Events organise des forums, conférences et tables rondes sur l’Afrique.

BusinessinAfrica Events (BIAE)

BIAE est spécialisée dans la communication d’entreprise et l’organisation d’événements en Afrique.

NEW YORK, 24 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Koffi Djondo et Tony Elumelu, deux grands hommes d’affaires africains, ont été parmi les heureux gagnants des Trophées African Business (http://www.african-business-awards.com). Cette prestigieuse cérémonie, organisée par le magazine African Business, s’est déroulée le 20 septembre en présence d’éminentes personnalités et hommes d’affaires à l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unis à New York.

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Le grand leader togolais Gervais Koffi Djondo, l’un des pères fondateurs du groupe bancaire pan-Africain Ecobank, et fondateur de la compagnie aérienne pan-Africaine Asky, a été honoré pour sa vie exemplaire et son rôle dans la création de deux géants africains de la finance et de l’aviation, qui participent activement à l’intégration régionale et continentale.

Ethiopian Airlines a obtenu le Trophée de Meilleure entreprise africaine. Cette compagnie aérienne est un modèle de réussite dans un secteur difficile et concurrentiel.

Le Trophée Icône de l’année d’African Business a été décerné au banquier nigérian et philantropiste Tony Elumelu pour sa contribution à la transformation et au progrès du monde des affaires. Bola Adesola, présidente de la banque nigériane Standard Chartered est l’heureuse gagnante du Trophée Business Woman de l’année.

Le Trophée de l’Innovation a été obtenu par Mawingu, un nouveau projet dans les télécommunications au Kenya, qui utilise les technologies sans fil innovantes et l’énergie solaire pour fournir un accès rapide au niveau national.

Le très convoité Business Leader de l’année a été décerné à Edward Boateng. En très peu de temps, cet entrepreneur influent a créé un groupe médiatique au Ghana, et a mis en place les meilleures pratiques pour le développement durable et l’environnement.

Commentant la cérémonie, Omar Ben Yedder a déclaré: « les gagnants de ce soir ont de nouveau confirmé l’existence de très grands talents dans tous les domaines à travers tout le continent africain. Le secteur privé est sans aucun doute le secteur le plus dynamique et celui qui joue le rôle le plus important dans le développement économique et social en Afrique. C’est celui qui crée des opportunités et des emplois. Des accords de partenariat commencent à voir le jour entre les gouvernements et le secteur privé. Nous sommes sur la bonne voie, comme le démontrent les succès des entreprises honorées ce soir. »

Les Trophées African Business sont organisés par le magazine African Business et IC Events. Cette cérémonie annuelle a coïncidé avec l’African Leadership Forum, qui a rassemblé les dirigeants africains pour discuter des questions de leadership et bonne gouvernance sur le continent.

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Les gagnants de cette année:

Lifetime Achievement Award

Gervais Koffi Djondo, Président, Asky Airlines

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Tony Elumelu, Président, Heirs Holdings

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Ethiopian Airlines, Ethiopie

Business Leader de l’année

Edward Boateng, Président, Global Media Alliance, Ghana

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Bola Adesola, Présidente, Standard Chartered, Nigeria

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IC Publications a plus de 50 ans d’expérience dans l’édition de magazines, de newsletters, de rapports et suppléments sur les pays africains et arabes. Nos titres leaders – African Business, African Banker, New African, et New African Woman – sont publiés en anglais et en français et ont une audience de plus de 2 millions de lecteurs.

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TUNIS, Tunisie, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Aggreko (http://www.aggreko.com), le leader mondial dans la fourniture de solutions d’énergie temporaire et de régulation de température, a fourni une centrale temporaire de 120 MW à la Tunisie. Cette centrale de production d’électricité contribuera à consolider et à la garantir l’approvisionnement en électricité locale pendant la saison touristique estivale de 2013. Les capacités de production supplémentaires ont été disposées à plusieurs endroits stratégiques à travers le pays pour une période de deux mois ; elles viennent en appoint au réseau d’électricité tunisien. Les centrales Aggreko ont aidé à garantir une source d’alimentation électrique fiable et constante durant tout l’été lorsque la demande en électricité était à son plus haut niveau.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/aggreko.jpg

Avec ce contrat, attribué par la Société Tunisienne d’Electricitié et du Gas (STEG), Aggreko a installé quatre centrales électriques d’une capacité de 30 MW chacune à Enfida, Mateur, Bouficha et El Jem. C’est une capacité suffisante pour approvisionner plus de 190 000 foyers tunisiens, assurer la continuité de l’alimentation en électricité dans les grandes zones industrielles peuplées et surtout tout permettre aux centres touristiques, essentiels à l’économie tunisienne, de maintenir leur niveau d’activité.

Christophe Jacquin, directeur général d’Aggreko Afrique du Nord et de l’Ouest, a déclaré : « ce projet met en lumière les capacités d’Aggreko pour non seulement fournir des solutions importantes et complexes en matière d’électricité à nos clients mais aussi de le faire à la fois rapidement et pendant des périodes relativement courtes. L’usage tactique de l’alimentation électrique temporaire en vue de traiter les pénuries d’énergie saisonnières est une option intéressante pour le grand nombre de nos clients du service public puisqu’elle leur apportera un ravitaillement essentiel tout en prenant les mesures nécessaires pour corriger les lacunes dans leurs centrales et réseaux de distribution »

« Pouvoir mobiliser et commissionner 120 MW d’énergie répartis sur quatre localités différentes en moins de deux mois est une réalisation impressionnante », a affirmé David Taylor-Smith, Directeur régional d’Aggreko en Europe, Moyen-Orient et Afrique. « La capacité de réaliser des projets d’une telle envergure dans un délai aussi court est spécifique à Aggreko et témoigne de l’expérience et du professionnalisme de nos équipes d’ingénierie et techniques »

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Aggreko plc.

Contact presse :

Nicholas van Santen

Directeur des Relations Publiques et de la communication

Aggreko EMEA

Tél. : +971 56 682 5978

E-mail : nicholas.vansanten@aggreko.ae

A propos de Aggreko

Aggreko International (http://www.aggreko.com) est le leader mondial dans la fourniture de solutions d’énergie temporaire et de régulation de température. Basée en Écosse, Aggreko emploie plus de 5 700 personnes réparties dans 194 centres de service. En 2012, nous sommes intervenus pour des clients dans environ 100 pays et avons généré un chiffre d’affaires d’environ 1,6 milliard GBP (2,5 milliards USD ou 2,0 milliards EUR). Aggreko plc est cotée à la bourse de Londres (AGK.L) et la société est membre de l’indice FTSE-100. Pour tout complément d’information, veuillez consulter le site Internet de la société à l’adresse : http://www.aggreko.com

Aggreko fournit des solutions d’alimentation électrique et de régulation de température rapidement mobilisables, sur des courtes ou moyennes périodes. Nous pouvons par exemple fournir de l’énergie à un site industriel pour assurer la continuité de son alimentation électrique, alimenter une ville lors de pannes sur le réseau local, ou fournir des solutions d’alimentation électrique et de refroidissement à l’occasion de grands événements (sport, musique…).

Nous répondons aux besoins de nos clients à travers nos 194 centres de service à travers le monde.

Parmi nos récents clients figurent notamment les Jeux olympiques et paralympiques de Londres 2012 (http://www.aggreko.com/media-centre/press-releases/aggreko-supports-a-powerful-london-2012), les Jeux olympiques d’hiver de Vancouver 2010 (http://www.aggreko.com/events/the-olympics/vancouver-2010) et les compagnies de services publics de plus de 50 pays : Royaume-Uni, France, Angola, Kenya, Indonésie, Bangladesh, Venezuela, Chili, Brésil, États-Unis…

En 2012, nous avons répondu aux besoins de près de 45 000 clients, dont 70 % nous ont accordé une note de 9/10 ou de 10/10 lors d’une enquête de satisfaction client.

Pour plus d’informations: http://africa.aggreko.com

NEW YORK, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — DHL Express (http://www.dhl.com), la première société de messageries et de colis au monde, pense que les échanges entre les États-Unis et l’Afrique subsaharienne offrent des perspectives de croissance, du fait que ces deux régions se basent sur la récente directive de politique présidentielle américaine (Presidential Policy Directive, PPD) pour parvenir au développement durable par le biais de l’accroissement des échanges et des investissements.

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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/charles-brewer.jpg (Charles Brewer, Managing Director for DHL Express Sub-Saharan Africa)

« Nous avons déjà assisté à cette expansion du commerce dans des pays spécifiques du continent, parce qu’ils bénéficient d’accords commerciaux préférentiels et d’un changement de politique mis en œuvre par l’État, visant à augmenter leurs exportations et importations avec les États-Unis » déclare Charles Brewer, Directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne. M. Brewer est actuellement en visite aux États-Unis en vue de rencontrer des principaux intervenants et des multinationales et pour promouvoir le commerce entre les deux régions.

Les chiffres publiés récemment par le Fonds monétaire international (FMI) ainsi que la performance de la Société montrent des perspectives économiques extrêmement positives pour l’Afrique. Les chiffres mettent également en évidence le fait que l’Afrique paraît moins confrontée aux aléas de l’économie mondiale que d’autres régions, du fait de la diversification de ses partenaires commerciaux.

« Depuis 2001, de nombreux pays africains ont connu un important changement de cap en termes de partenaires commerciaux », remarque M. Brewer. « Tandis que notre commerce intra-africain et avec l’Asie s’est intensifié de manière significative, nous avons réduit notre dépendance envers l’Europe. La prochaine région de croissance sera les États-Unis et nous sommes ravis de constater que le gouvernement américain est prêt à supprimer les barrières commerciales pour y parvenir ».

Le rapport sur les Perspectives économiques pour l’Afrique subsaharienne du FMI indique des prévisions d’augmentation de l’activité économique de 5 % dans cette région en 2012 et 2013, un rythme analogue à celui observé en 2010–11. Les marchés principaux à l’origine de cette croissance sont le Nigéria, le Ghana, le Mozambique, l’Île Maurice et l’Afrique du Sud.

La société de colis a vu un tableau analogue se profiler entre les États-Unis et diverses routes commerciales africaines bénéficiant d’économies plus importantes et plus développées telles que l’Afrique du Sud, le Nigeria, l’Éthiopie, le Kenya, le Ghana et l’Angola et qui peuvent se vanter d’une forte croissance à deux chiffres à la fois en ce qui concerne les volumes entrants et sortants.

Cependant, si l’on se base sur les chiffres de l’exportation, ce sont les plus petites économies émergentes qui enregistrent l’essor le plus important, où la Somalie, Mayotte, la Guinée-Bissau et le sud du Soudan constatent une augmentation fulgurante des importations provenant des États-Unis. Par ailleurs, les Comores, l’Érythrée, le sud du Soudan et le Libéria reçoivent une demande croissante en termes d’exportations vers les États-Unis.

« Les États-Unis et l’Afrique ont toujours bénéficié de conditions commerciales favorables basées sur la croissance africaine et sur la loi sur les opportunités économiques en Afrique (AGOA) de 2000 », a déclaré Ian Clough, Président de DHL Express aux États-Unis. « Nous sommes convaincus qu’une fois la législation révisée, aussi bien les États-Unis que les entreprises africaines en quête d’opportunités commerciales transfrontalières bénéficieront de nouveaux avantages ».

Selon des statistiques publiées par le Forum de l’AGOA à Addis-Abeba le mois dernier, le total des échanges commerciaux des États-Unis avec l’Afrique subsaharienne (exportations plus importations ) a progressé de plus de 250 %, passant de 28,2 milliards de dollars en 2001, la première année complète d’échanges commerciaux dans le cadre de l’AGOA, à 72,3 milliards de dollars en 2012.

« Il ne fait aucun doute qu’il existe un engagement en termes de croissance commerciale de la part des gouvernements respectifs et que ces chiffres continueront à progresser », conclut M. Brewer. « C’est maintenant au tour du secteur privé et des milliers de PME en quête d’opportunités de profiter de cette croissance et de développer leurs activités sur cette route commerciale lucrative ».

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Deutsche Post DHL.

Contact pour les médias :

Lee Nelson. Responsable senior du marketing et des communications, Afrique subsaharienne

DHL Express

Tél. : +27 21 409 3613 – Mobile : +27 72 361 0178

lee.nelson@dhl.com

DHL – La société de logistique du monde (The Logistics company for the world)

DHL (http://www.dhl.com) est le leader mondial du marché de la logistique et « la société de logistique du monde (The Logistics company for the world) ». DHL met son expertise dans le domaine des services express internationaux, du fret aérien et maritime, du transport routier ou ferroviaire, de la logistique contractuelle et du courrier international, au service de ses clients. Un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, et d’environ 285 000 salariés dans le monde entier, offre à ses clients un service de qualité de haut niveau et une connaissance du terrain, permettant de satisfaire aux exigences dictées par leurs chaînes d’approvisionnement. DHL assume sa responsabilité sociale en soutenant la lutte contre le changement climatique, la gestion des catastrophes naturelles et l’éducation.

DHL fait partie de Deutsche Post DHL. Le groupe a enregistré des recettes d’un montant supérieur à 55 milliards d’euros en 2012.

LAGOS, Nigeria, 19 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — S’appuyant sur ses années fructueuses de partenariat avec Hilton Worldwide, Transnational Corporation of Nigeria Plc (Transcorp), conglomérat coté en bourse, a annoncé aujourd’hui le développement d’un nouvel hôtel de premier choix dans la banlieue chic d’Ikoyi à Lagos.

Photo: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=633 (Tony O. Elumelu, Prédident de Heirs Holdings etTranscorp (à gauche) et Rudi Jagersbacher, Président de Hilton Worldwide Middle East & Africa, signent l’accord portant sur le Transcorp Hilton Ikoyi, au siège de Heirs Place, à Lagos, hier)

Logo Heirs Holdings: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/heirs-holdings.jpg

L’hôtel Transcorp Hilton Lagos proposé, comptant 350 chambres et offrant un service complet sur Glover Road, à Ikoyi, sera le deuxième hôtel du Groupe Hilton au Nigeria par Transcorp, après le Transcorp Hilton Hotel Abuja primé, qui est l’un des leaders du réseau mondial d’Hilton. Ce nouvel hôtel sera conjointement détenu par Transnational Hotels et Tourism Services Ltd, branche hôtelière de Transcorp, et Heirs Holdings, société d’investissement par actions pan-africaine présidée par le dirigeant commercial africain, Tony O. Elumelu, Commandant de l’ordre nigérian.

S’exprimant lors de la signature officielle du contrat de gestion entre les deux parties, qui s’est déroulée dans les bureaux d’Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com) à Lagos, M. Elumelu a déclaré : « Cet accord représente une nouvelle étape décisive de notre partenariat de longue date avec Hilton Worldwide. Le développement d’Ikoyi, ainsi que la rénovation et la mise à niveau complètes de nos hôtels existants à Calabar et Abuja, démontrent l’engagement d’Heirs Holdings à stimuler la croissance de l’immobilier et de l’hôtellerie, des secteurs stratégiques pour le développement économique du Nigeria. Le nouveau Transcorp Hilton Lagos présentera non seulement un nouveau lieu de classe mondiale au nombre croissant d’investisseurs, d’hommes d’affaires et de touristes au Nigeria, mais créera également des emplois réellement nécessaires pour nos citoyens, permettant leur développement social et économique. »

Dans ses remarques, Valentine Ozigbo, PDG de THTSL, a affirmé que le Transcorp Hilton Lagos réaliserait enfin le souhait des nombreux clients Hilton Honors visitant la ville, à savoir leur offrir un établissement de classe mondiale de leur marque préférée à Lagos.

Les travaux complets de construction du nouvel hôtel débuteront au début de l’année prochaine. L’hôtel disposera de salles de conférence, de salles de réunion, de salles de gymnastique et de spas bien équipés, ainsi que d’une piscine au design emblématique qui ajoutera à coup sûr une certaine verve au paysage de Lagos.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

Pour de plus amples informations, veuillez contacter :

Dupe Olusola

Directrice des ressources

Transnational Corporation of Nigeria Plc

E-mail : dolusola@transcorpnigeria.com

Téléphone : +234 (0)1 903 3946

À propos de Transcorp

Transnational Corporation of Nigeria Plc (Transcorp) est un conglomérat coté en bourse possédant une base d’actionnaires diversifiée comptant plus de 300 000 investisseurs, dont le plus important est Heirs Holdings Limited, une société d’investissement par actions pan-africaine. Le portefeuille de Transcorp comprend des investissements stratégiques dans les secteurs de l’hôtellerie, de l’agroalimentaire et de l’énergie. Nos entreprises notables comprennent Transcorp Hilton Hotel, Abuja ; Transcorp Hotels, Calabar ; Teragro Commodities Limited, opérateur de l’usine Teragro Benfruit – la première usine de concentré de jus du Nigeria ; et Transcorp Ughelli Power. Pour tout complément d’information sur Transcorp, veuillez consulter le site http://www.transcorpnigeria.com

À propos d’Heirs Holdings Limited

Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com) est une société d’investissement par actions pan-africaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.

À propos d’Hilton Hotels & Resorts

L’un des noms les plus reconnus de l’industrie, Hilton Hotels & Resorts est le leader mondial haut de gamme et innovant du secteur hôtelier. Depuis les bals d’investiture et les cérémonies de remise de prix à Hollywood aux événements d’entreprises, en passant par les événements marquants de la vie courante, Hilton est là où le monde marque l’histoire, conclut un contrat, célèbre des occasions spéciales et se détend. La marque vedette d’Hilton Worldwide continue de s’appuyer sur son héritage d’innovation en développant des produits et services qui répondent aux besoins des voyageurs mondiaux avisés de l’avenir, alors que plus de 144 000 collaborateurs façonnent des expériences permettant aux gens de se sentir choyés, estimés et respectés. Aujourd’hui, le portefeuille d’Hilton Hotels & Resorts comprend plus de 550 hôtels dans 80 pays et la marque reste synonyme d’« hôtel ». Consultez les toutes dernières actualités relatives à Hilton à l’adresse http://news.hilton.com ou débutez votre voyage sur le site http://www.hilton.com. Les utilisateurs de médias sociaux peuvent contacter Hilton via http://www.twitter.com/hiltonhotels, http://www.facebook.com/hilton et http://www.youtube.com/hilton. Hilton Hotels & Resorts est l’une des dix marques leaders sur le marché d’Hilton Worldwide.

RUEIL-MALMAISON, France, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Schneider Electric (http://www.schneider-electric.com), spécialiste mondial de la gestion de l’énergie, a été classé parmi les 50 employeurs préférés des étudiants selon l’index World’s Most Attractive Employers du cabinet Universum le spécialiste mondial de la marque employeur. Classé 45ème auprès des étudiants en écoles d’ingénieurs, le Groupe se distingue comme un employeur idéal dans les domaines de l’ingénierie et de la production.

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Le classement World’s Most Attractive Employers d’Universum est établi sur la base d’une étude effectuée auprès de 200 000 étudiants en école de commerce ou d’ingénieurs dans 12 plus importantes économies mondiales: l’Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, la France, l’Allemagne, l’Inde, l’Italie, le Japon, la Russie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis. Les étudiants sont appelés à se prononcer sur les entreprises dans lesquelles ils souhaiteraient travailler, puis à choisir leurs 5 employeurs idéaux.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Schneider Electric SA.

Contact Presse :

Schneider Electric

Sophie Souquet

Tél. : +33 (0)1 41 29 84 18

sophie.souquet@schneider-electric.com

Schneider Electric France

Jean-Pierre Gherardi

Tél. : +33 (0)4 76 60 50 24

jean-pierre.gherardi@schneider-electric.com

Havas Worldwide Paris

Renato Martinelli

Tél. : +33 (0)6 34 39 11 36

schneider.presse@havasww.com

ABUJA, Nigeria, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le président Goodluck Jonathan a déclaré que la compétitivité des entreprises du Nigeria et sa capacité à attirer des investissements tant locaux qu’internationaux sera sensiblement améliorée grâce à la nomination de l’ex-banquier Chika Mordi au poste de premier chef exécutif du comité national pour la concurrence du Nigeria (National Competitiveness Council of Nigeria – NCCN).

Le président Jonathan, qui a récemment mis en place le NCCN, a déclaré :« Cette étape importante, de la part du comité national pour la concurrence, prouve l’engagement du Nigeria à transformer rapidement l’activité commerciale et à accroître la productivité au Nigeria »

Le président Jonathan a inauguré le Conseil plus tôt cette année, avec le ministre du commerce et de l’investissement, Olusegun Aganga en qualité de président, et Tony O. Elumelu, président de Heirs Holdings, qui représente le secteur privé en tant que vice-président. Parmi les autres membres provenant des communautés internationales et nigérianes, on peut nommer, entre autres : Michael Porter, Aliko Dangote, Lynda Chalker, et le Dr. Juan E. Pardinas, directeur de l’Institut mexicain de la compétitivité.

M. Aganga, un acteur de premier plan de l’équipe de transformation du président, a déclaré : « Nous sommes fiers d’avoir M. Mordi à la tête des affaires du Conseil. Son parcours remarquable prouve qu’il possède l’expérience, les capacités intellectuelles et l’ambition nécessaires pour permettre au Nigeria d’obtenir une stature économique mondiale »

Mordi dirigera un organisme placé sur un plan stratégique, appartenant à une politique plus large de l’administration de Jonathan qui vise à améliorer de façon radicale la capacité des entreprises locales et internationales à contrôler et à exploiter les affaires au Nigeria, le pays le plus peuplé d’Afrique qui abrite l’un des plus importants marchés de consommation au monde. Ces résultats seront évalués par l’indice de compétitivité internationale du Forum économique mondial du Nigeria et par le classement de l’indice Doing Business de la Banque mondiale, indices qui sont des références internationalement reconnues pour l’ouverture de l’économie d’un pays.

Selon la Banque mondiale, les pays qui mènent avec succès des réformes et qui sont capables d’anticiper les obstacles réglementaires enregistrent une meilleure performance économique, créent plus d’emplois et ont un meilleur niveau de vie.

M. Elumelu, également fondateur de la Tony Elumelu Foundation, qui a accordé une subvention de démarrage au Conseil, a déclaré : « La compétitivité est une condition préalable aux fins du développement d’un pays. Le NCCN travaille à la création d’un environnement favorable pour permettre au secteur privé de se développer. C’est la seule solution durable qui permettra le développement du Nigeria et de l’Afrique. M. Mordi offre un ensemble de compétences et de solides références, qui me confortent dans le fait que nos objectifs seront atteints »

Le Conseil a choisi M. Mordi via un processus de recrutement publié à l’échelle internationale, où se sont présentées un certain nombre de personnes très talentueuses. Il est le fondateur de Accender Africa, une organisation à but non lucratif basée à Washington, D.C. qui cherche à utiliser les nouveaux outils de communication pour augmenter la transparence au sein du gouvernement, avec pour objectif la lutte contre la pauvreté.

« Je suis fier de pouvoir contribuer de manière significative au développement du Nigeria et à son profil commercial mondial. Le secteur privé joue un rôle déterminant dans la création de la croissance durable, réduisant ainsi la pauvreté et stimulant la prospérité collective des Nigérians. Le NCCN est intrinsèque à garantir la mise en place de bonnes conditions qui permettront de sécuriser le futur du Nigeria ; c’est avec beaucoup d’enthousiasme que j’entends relever le défi », a déclaré M. Mordi.

M. Mordi, banquier professionnel, travaille depuis plus de vingt ans dans le secteur financier et a joué un rôle clé dans la transformation spectaculaire du secteur des services financiers du Nigeria, y compris le repositionnement de United Bank for Africa Plc en tant que l’une des grandes institutions financières africaines. Il a aussi contribué à l’incubation de plusieurs entreprises au Nigeria et au Ghana, et au cours de sa carrière en banque d’affaires, il a géré des opérations historiques en Afrique subsaharienne en matière d’actions, de revenus fixes, de financement d’entreprises, de conversion de dettes et de privatisation.

M. Mordi a une formation d’économiste et est diplômé de l’Université d’Ilorin, de l’IESE Business School, de l’Harvard Kennedy School, de l’American University’s Graduate School of Communications et de la John Hopkins School of Advanced International Studies. Il a également participé au programme de gestion avancée de la Harvard Business School.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

Pour plus de renseignements :

Moky Makura

Directrice du marketing et des communications d’entreprise

Heirs Holdings

E-mail : moky.makura@heirsholdings.com

www.heirsholdings.com

DAKAR, Sénégal, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — L’Organisation de la Presse Africaine (APO) (http://www.apo-opa.com), le leader mondial de la diffusion de communiqués de presse en Afrique, a annoncé aujourd’hui le triplement de sa capacité d’envoi de communiqués de presse par e-mail, qui atteint désormais 1 million d’e-mails par jour.

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Ce nouvel investissement va permettre à l’APO de répondre à la demande croissante en diffusion de communiqués de presse en Afrique, grâce à une plateforme de diffusion extrêmement fiable et compétitive, et de consolider ainsi son leadership technologique et commercial, marqué par le succès d’Africa Wire®, le service de distribution de communiqués de presse et de monitoring en Afrique (http://www.apo-opa.com/our-services/press-release-distribution-monitoring).

L’APO offre notamment à ses clients la possibilité d’enrichir leurs communiqués de presse diffusés par e-mail en y ajoutant gratuitement du contenu multimédia tels que des photos, des vidéos, des fichiers audio, des liens et des documents.

Les communiqués de presse comportant des éléments multimédia génèrent des taux de lecture largement supérieurs à des communiqués de presse composés uniquement de texte.

Considéré comme un expéditeur de gros volumes d’e-mails, l’APO respecte les meilleures pratiques en matière d’envoi d’e-mails et jouit d’une excellente réputation en tant qu’expéditeur d’e-mails avec un Sender Score stable de 99/100*, garantissant ainsi un très bon taux de délivrabilité des e-mails.

« En réponse à la demande croissantes en diffusion de communiqués de presse en Afrique, nous sommes ravis de pouvoir accompagner nos clients en renforçant notre capacité d’envoi de communiqués de presse par e-mail », a déclaré la Directrice générale de l’APO, Eloïne Barry.

L’APO administre Africa Wire®, le service de distribution et de monitoring de communiqués de presse en Afrique (http://www.apo-opa.com/our-services/press-release-distribution-monitoring), qui atteint plus de 25.000 contacts auprès des médias, blogueurs et réseaux sociaux, et redistribue du contenu à plus de 50 sites Web africains, ainsi qu’à Bloomberg Terminal, Lexis Nexis, Dow Jones Factiva et bien d’autres.

Utilisé par certaines des plus importantes sociétés et institutions au monde, notamment DHL, Microsoft, Mastercard et la Banque africaine de développement, Africa Wire® garantit la diffusion la plus vaste en Afrique, aidant les clients de l’APO à interagir avec leurs clients dans le monde entier.

* Selon Return Path (www.returnpath.com), leader mondial de la veille appliquée à la messagerie.

Contact:

Aïssatou Diallo

bdm@apo-opa.org

+41 22 534 96 97

A propos de l’APO

L’Organisation de la Presse Africaine (APO) (http://www.apo-opa.com) est le leader mondial de la diffusion de communiqués de presse en Afrique, et des relations presse liée à l’Afrique.

L’Organisation de la Presse Africaine administre un fichier presse de plus de 25 000 contacts et offre une gamme complète de services de relations presse, tels que diffusion de communiqués de presse et monitoring, visioconférence de presse, webcasting, médiatisation d’événements internationaux, veille media internationale, conseil stratégique, diplomatie publique, et relations avec les gouvernements.

L’Organisation de la Presse Africaine fournit des services gratuits aux journalistes africains, des services de relations presse innovants aux Autorités Publiques, aux entreprises, et contribue à la communication stratégique de la plupart des institutions internationales liées à l’Afrique. Plus d’information sur http://www.apo-opa.com

TUNIS, Tunisie, 14 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, le 11 Septembre 2013 à Tunis, l’octroi de subventions à l’Union des Comores, à hauteur de 20,1 millions de dollars US, pour renforcer la fourniture en énergie électrique du pays dans le cadre d’un Projet d’appui au secteur de l’énergie.

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Ce financement est dégagé des ressources de la BAD : 8,3 millions de dollars US, du Fonds africain de développement (FAD) et 12,1 millions de dollars US de la Facilité des Etats fragiles.

Le projet doit être mis en œuvre dans les trois îles principales du pays (Grande Comore, Anjouan et Mohéli). Il s’inscrit dans les actions entreprises par le gouvernement pour améliorer les performances et promouvoir le développement du secteur de l’énergie.

Le Projet d’appui au secteur de l’énergie va permettre une alimentation électrique fiable grâce à une meilleure capacité de production, la réduction du niveau des pertes techniques et commerciales et le renforcement des capacités du secteur de l’énergie. La mise en œuvre de ce projet, prévue sur une durée de 38 mois, constitue également une étape importante pour doter l’Union des Comores des études nécessaires à l’exploitation de son potentiel en énergies renouvelables, jetant ainsi les bases d’une croissance verte dans un état fragile.

Il permettra également de réhabiliter les installations de production dans les trois îles, de contribuer à améliorer la gouvernance financière par le renforcement des capacités dans le sous-secteur de l’électricité, et de promouvoir la préparation du futur projet d’énergie renouvelable par la réalisation d’études appropriées.

Les composantes du projet sont principalement: l’appui à la réhabilitation et à la mise en œuvre technique, la composition de l’énergie, l’efficacité énergétique, et le renforcement des capacités.

Le projet est en adéquation avec les priorités définies par la Stratégie de la Croissance et de Réduction de la Pauvreté (SCRP 2009-2014) des Comores. Ce documenti fait de la promotion de la stabilité macroéconomique et de la gouvernance, deux de ses quatre centres d’intérêt. le projet est également compatible avec les priorités énoncées dans l’Initiative nationale pour le développement social (INDS 2011-2015) cherchant à promouvoir la croissance, la compétitivité et l’emploi en ciblant les secteurs de l’énergie et des infrastructures ; et à renforcer le secteur privé par l’amélioration de la production de l’électricité.

Ce projet permettra également de compléter la stratégie de la vice-présidence de l’Union des Comores en charge de l’énergie qui a défini des plans pour mettre en œuvre la politique de développement de l’électricité et du secteur des produits pétroliers. Ceci passe par l’augmentation du taux d’électrification et la réalisation de 40 % de réduction du coût de production d’électricité d’ici 2015 par rapport au niveau de 2012.

Pour sa part, et selon le document de stratégie pays (DSP) pour la période 2011-2015, l’assistance du Groupe de la Banque aux Comores est uniquement axée sur un seul pilier, le développement du secteur de l’énergie et l’appui à la diversification économique. Le DSP inclut également le renforcement du secteur de l’énergie renouvelable, qu’il juge nécessaire pour améliorer la compétitivité du pays. L’exploitation accrue du potentiel des énergies renouvelables dans le cadre d’une politique énergétique durable est identifiée dans le DSP comme un effet de levier qui pourrait aider à promouvoir le développement économique en réduisant le coût de production et le prix de l’électricité.

Dans l’ensemble, le projet permettra à la Banque d’appuyer les efforts du gouvernement comorien en vue de restructurer le secteur de l’énergie, notamment en matière d’accès à l’électricité, en vue d’améliorer les conditions de vie de la population et des entreprises travaillant dans la zone d’influence du projet.

Le projet est cofinancé par la Banque mondiale, à hauteur de 5 millions de dollars US.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact technique : Youssef Arfaoui, chief renewable energy specialist, +216 71 10 23 08; y.arfaoui@afdb.org

Contact media : Pénélope Pontet de Fouquières, T. +216 71 10 19 96; p.pontetdefouquieres@afdb.org

TUNIS, Tunisie, 14 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, le mercredi 11 Septembre 2013 à Tunis, un prêt et une subvention d’un montant total de 16,66 millions de dollars US, pour financer le deuxième projet de réhabilitation et d’extension des réseaux électriques de Conakry (PREREC2), la capitale guinéenne.

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Le projet contribuera à améliorer la gouvernance et la gestion commerciale de la société Electricité de Guinée (EDG), à appuyer le gouvernement dans la réforme du sous-secteur de l’électricité et à étendre le réseau de distribution énergétique à 12 quartiers des communes de Ratoma et de Matoto à Conakry.

PREREC2 fait suite au premier projet, PREREC1, en cours d’achèvement dans 30 autres quartiers des mêmes communes et dont l’exécution a permis d’améliorer considérablement la qualité de l’électricité fournie aux consommateurs.

Les objectifs spécifiques du PREREC2 sont d’une part, de connecter 40.000 abonnés grâce à l’installation de compteurs prépayés ; réduire le taux de pertes globales dans la zone du projet de 49% à 15% . D’autre part, il s’agit de renforcer la gestion financière d’EDG en instituant un contrôle et un équilibre financier tout en’améliorantt sa gestion commerciale avec l’ augmentation du taux de facturation de 51% à 85% et de celui durecouvrement de 80% à 95% dans la zone du projet.

Le projet est en adéquation avec les piliers 1, 3 et 4 du troisième Document de stratégie de réduction de la pauvreté de la Guinée (DSRP III) pour la période 2013-2015. Ce document met l’accent sur la gouvernance et le renforcement des capacités humaines et institutionnelles. Il s’agit également d’appuyerl’accélération , la diversification et la croissance durable. En outre,l’effort portera surle développement des infrastructures pour soutenir la croissance et l’amélioration de l’accès aux services sociaux de base et la résilience des ménages dont l’un des sous-piliers est «l’amélioration de l’accès aux services énergétiques dans les zones urbaines et suburbaines. « 

L’expertise de la Banque dans la définition et la mise en œuvre de projets similaires dans les pays et dans la sous-région, ainsi que les consultations avec des partenaires internationaux ont joué un rôle déterminant dans la conception du projet. L’accent est mis sur l’amélioration de la gouvernance et le renforcement des capacités humaines et institutionnelles pour assurer, de façon durable, la viabilité de l’infrastructure. L’intervention de la Banque aidera également à lever des fonds auprès d’autres partenaires techniques et financiers du pays.

La zone d’influence du projet couvre les communes de Ratoma et Matoto, avec une population estimée à 1,4 million d’habitants dont 52,1% de femmes. Elle compte également près de 2.300 très petites entreprises (TPE) artisanales et commerciales, une quarantaine d’usines et quelque 141 associations féminines actives. Les bénéficiaires directs du projet sont les 40.000 abonnés composés de ménages, d’associations féminines et de très petites entreprises commerciales et industrielles qui seront connectés au nouveau réseau électrique. Les principaux résultats attendus sont l’accès à un service d’électricité de qualité et l’amélioration d’un environnement qui soit plus propice au développement des activités socio-économiques.

Le coût total du projet est estimé à 32,8 millions de dollars US. Il est cofinancé par la Banque islamique de développement (BID) et le gouvernement guinéen. Le projet sera mis en œuvre de 2013 à 2017.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact technique: Pierre Djaigbe, Principal Energy Officer ; p.djaigbe@afdb.org

Contact médias : Pénélope Pontet de Fouquières , T. +216 71 10 19 96 ; p.pontetdefouquieres@afdb.org

FREETOWN, Sierra Leone, 12 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Aujourd’hui, les événements solennels avec la participation du Président de Sierra Leone, Ernest Bai Koroma, le vice-ministre des Affaires Etrangères de la Russie, Guennadi Gatilov et le président de la compagnie LUKOIL Overseas (http://www.lukoil.com), Andrey Kuzyaev, se sont déroulés en République de Sierra Leone à l’occasion du démarrage d’un nouveau programme de forage d’exploration mené par la compagnie LUKOIL sur le bloc SL-5-11 dans l’offshore de l’Afrique de l’Ouest.

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La cérémonie de lancement s’est déroulée sur la plate-forme Eirik Raude qui a entamé le forage d’un puits profond sur la structure Savannah. La profondeur totale d’étude du puits d’exploration est estimée à plus de 4 700 m avec une profondeur d’eau de plus de 2 000 m.

La plate-forme Eirik Raude est la plus grande plate-forme marine du monde à autopropulseur de 5ième génération. Sa hauteur est de 122 m, sa longueur fait 119 m, sa largeur mesure 85 m, son tirant d’eau est de 52 500 tonnes, sa vitesse atteint 7 nœuds, l’équipage est de 120 personnes.

En juillet 2011, la compagnie LUKOIL Overseas, qui gère les projets d’exploration et de production de LUKOIL, a signé le CPP (Contrat de Partage et de Production) relatif à l’exploration et à l’exploitation du bloc SL-5-11 en tant qu’Opérateur (avec 49% des parts). Les autres participants au projet sont la compagnie nigériane Oranto Petroleum (30%) et PanAtlantic (21%).

Le bloc SL-5-11 avec une superficie de 4022 Km2 est situé sur le plateau continental et le talus continental de l’océan atlantique à des profondeurs d’eau variant de 100 à 3300 m. Sur ce bloc, des recherches sismiques 2D et 3D ont été réalisées sur une superficie de 1500 Km2, mettant en évidence quelques structures prometteuses. Le bloc fait partie du bassin sédimentaire Sierra Leone – Libéria ayant été marqué par quelques découvertes pétrolières et gazières ces dernières années.

Un contrat typique d’exploration et d’exploitation d’une période de 30 ans a été signé sur ce bloc. Le programme d’exploration prévoit la réinterprétation des données sismiques précédemment acquises, la prospection électrique et le forage d’un puits d’exploration.

L’étape actuelle des travaux d’exploration court jusqu’au 31 décembre 2013. La composition de l’étape suivante de l’exploration dépendra des résultats du forage.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour LUKOIL.

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TUNIS, Tunisie, 11 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Dans sa note économique intitulée « Passage du statut d’Etat rentier à l’économie productive : planification du développement dans la Libye de l’après-guerre civile », le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) analyse le changement qui doit s’opérer en Libye au moment où, au lendemain de la guerre civile, le pays s’apprête à s’engager dans un processus de planification économique à long terme. Ce changement consiste à passer d’une économie reposant essentiellement sur les recettes pétrolières dans le cadre d’un système quasi dépourvu d’institutions nationales, vers le développement d’un nouvel État, dont les institutions économiques s’allient de manière plus inclusive et plus intégrée.

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La note inclue une série de recommandations, afin de catalyser les efforts de planification de la Libye nouvelle.

La note souligne, tout d’abord, la nécessité d’améliorer les connaissances des institutions. Dans cette perspective, il importe de développer les capacités de collecte d’informations afin de doter l’État de moyens d’élaboration de politiques de développement plus importants, et de prévoir une collecte centralisée de l’information, disponible pour le grand public.

Par ailleurs, la note met l’accent sur le besoin d’améliorer la gouvernance de l’économie. Le document suggère de créer des équipes indépendantes, chargées de la gestion de la richesse et des fonds d’investissement souverains, et de décentraliser l’économie nationale partout où cela est possible et réalisable.

Concernant l’environnement des affaires du pays, le document souligne l’importance d’élaborer, de renforcer et de rendre publics des codes d’investissement, de rationnaliser davantage la bureaucratie du pays, et de soutenir les efforts en cours visant à réformer le secteur bancaire.

Pour finir, s’agissant du rôle de l’État et du secteur privé, la note suggère de concevoir des scénarios pour le désengagement de l’État – à l’exclusion du secteur pétrolier. Ceci passe par le développement d’autres initiatives en faveur du secteur privé, et l’élaboration d’autres plans pour favoriser une plus grande diversification de l’économie tout en concevant des filets solides de protection sociale.

Le document souligne les progrès que le pays a accomplis, en s’attachant à bâtir des institutions et à leur donner une impulsion un an après la fin de la guerre. La banque plaide ainsi en faveur de ce changement, estimant qu’une telle initiative pourrait aider à faire évoluer la situation économique et sociale du pays.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contact: Vincent Castel, Principal Program Coordinator for Tunisia, ORNA: v.castel@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org

TUNIS, Tunisie, 11 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, ce mercredi 11 septembre, l’octroi de 120 millions de dollars EU sous forme de ligne de crédit (LDC) multisectorielle, et d’un prêt subordonné de 30 millions de dollars EU à Mauritius Commercial Bank (MCB). Cette enveloppe financière permettra à MCB d’augmenter son portefeuille de prêts en devises destinés aux grandes et moyennes entreprises opérant sur l’île Maurice, dans les pays voisins et en Afrique continentale, favorisant ainsi une croissance durable et inclusive grâce au développement du secteur privé dans la région.

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MCB Group est la plus importante institution financière de l’île Maurice, avec plus de 7 milliards de dollars EU d’actifs au total et 940 millions de dollars EU environ en fonds propres. Fondé il y a 175 ans, le groupe est une institution financière régionale respectée, avec des filiales à Madagascar, au Mozambique, aux Seychelles et aux Maldives. Doté de bureaux de représentation à Paris et Johannesburg, MCB est aussi présent, grâce à ses associés, à la Réunion et à Mayotte. Son portefeuille continental comprend des opérations dans plusieurs pays d’Afrique.

L’enveloppe financière ainsi octroyée aidera MCB à répondre à ses besoins de financement en devises et à renforcer sa base de capital, tout en lui permettant de mettre œuvre le plan de croissance de son activité continentale. MCB pourra également offrir des financements pour des projets à long terme qui bénéficieront aux pays membres régionaux où le groupe est impliqué, ou en participant à des transactions syndiquées en mettant l’accent sur des projets dans des secteurs clés et qui respectent la croissance verte et les critères de croissance inclusive.

La facilité financière proposée est dans le droit fil de la stratégie du gouvernement mauricien pour 2012-2015, qui vise à accroître et à diversifier le secteur privé, ainsi qu’à développer le secteur financier. Aussi, devrait-elle avoir des impacts positifs sur le développement du secteur privé et la création d’emplois. Elle favorisera également une hausse des impôts et des recettes publiques sur le continent, notamment en Afrique orientale et australe. En outre, les produits de l’enveloppe financière bénéficieront aux projets susceptibles d’avoir de forts impacts sur le développement et la promotion de l’intégration régionale en Afrique.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contacts :

Sabrina Hadjadj Aoul, chargée de communication, T. +216 71 10 26 21 / C. +216 98 70 98 43 / s.hadjadjaoul@afdb.org

Salah Babale, chargé d’investissement, T. +216 71 10 23 43/ s.babale@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’information : j.mp/AfDB_Media

MAPUTO, Mozambique, 9 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ —

Une nouvelle publication qui met en évidence les domaines critiques nécessitant interventions et investissements

Aujourd’hui, l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) (http://www.agra.org) lance son premier rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique.

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Le Rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique examine en profondeur la chaîne de valeur des cultures vivrières – de la salle de classe, au champ et puis au marché – dans 16 pays de par le continent.

Le rapport fait le recueil de données et d’analyses provenant de plus de 15 organisations nationales et internationales, notamment les ministères de l’agriculture, la Banque mondiale, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture et le Fonds international pour le développement de l’agriculture. Il restitue des données dans un format accessible et cohérent, en dégageant un point de repère par rapport auquel on peut suivre l’évolution de l’agriculture en Afrique.

L’édition inaugurale du Rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique se concentre sur les cultures vivrières telles que les céréales et tubercules, dont environ 75% sont produites en Afrique et non importées.

Le rapport révèle que:

• Quoi qu’un certain nombre de pays investissent massivement dans la R&D et développent leur secteur agricole, d’autres sont à la traîne, au détriment de la sécurité alimentaire. En termes de personnel affecté à la recherche agricole, l’Afrique affiche la capacité la plus faible à l’échelle mondiale, avec à peine 70 chercheurs par million d’habitants (à la différence des Etats-Unis et du Japon qui en comptent 2.640 et 4.380, respectivement).

• La baisse de la fertilité des sols menace les rendements et le développement agricoles dans un certain nombre de pays. Alors que le prix moyen des engrais livrés aux exploitations agricoles aux Etats-Unis coûte 226 $ EU la tonne, il se tient à 414 $ EU la tonne en Zambie.

• Les lois et réglementations nationales et régionales obsolètes entravent le développement des marchés semenciers en Afrique. La durée moyenne du processus d’homologation des semences est d’environ trois ans dans la plupart des pays d’Afrique sub-saharienne.

• Les importations alimentaires bon marché et subventionnées affaiblissent progressivement les marchés agricoles africains, ce qui est exacerbé par les difficultés d’accès au crédit, les restrictions commerciales et les coûts de transport élevés. Bien que l’agriculture représente jusqu’à 40% du PIB dans certains pays africains, seulement 0,25% des prêts bancaires sont orientés vers les petits exploitants agricoles.

• Les femmes, qui représentent la majorité des petits exploitants agricoles en Afrique, sont fortement défavorisées dans les régimes actuels de droits fonciers. Cela réduit leur capacité d’accès au crédit, aux technologies et aux services agricoles. Les données mettent en exergue le fait qu’il est cinq fois moins probable que les femmes possèdent des terres par rapport aux hommes.

Dans l’allocution liminaire qu’il a prononcé pour lancer le rapport, M. Strive Masiyiwa, vice-président du Conseil d’administration de l’AGRA, a affirmé: «Si nous voulons réussir à déclencher une révolution verte en Afrique, il faut que nous déterminions et comprenions les domaine où nous faisons des progrès, mais aussi ceux où nous sommes à la traine. Pour la première fois, le Rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique nous trace le grand tableau et nous permet de faire des comparaisons entre les pays. Il fournit des données indispensables et fiables qui, nous l’espérons bien, conduiront à l’élaboration de politiques plus éclairées et à un niveau plus élevé de redevabilité».

S’exprimant à l’occasion du lancement du rapport dans les marges du Forum sur la révolution verte en Afrique à Maputo, au Mozambique, Jane Karuku, présidente de l’AGRA, a déclaré que «Le Rapport sur l’état de l’Agriculture en Afrique est publié à un moment charnière pour le continent. Dix ans après la Déclaration de Maputo, on peut reconnaître des progrès importants, mais il faut aussi faire la lumière sur les domaines où il faut des interventions et investissements urgents. Cette nouvelle ressource permettra de guider les décideurs à canaliser ressources et efforts, de sorte à avoir le plus grand impact sur la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté ».

D’après David Ameyaw, Directeur en charge des stratégies, suivi et évaluation à l’AGRA et l’un des principaux auteurs du rapport: «Ce rapport marque le début d’un projet ambitieux visant à consolider des données fiables et accessibles sur l’agriculture en Afrique. Il existe des lacunes considérables dans notre connaissance du secteur agricole – il faut que les gouvernements, instituts nationaux de recherche, mais aussi les acteurs du secteur privé recueillent et partagent des données ouvertement. Notre objectif est d’étendre notre analyse à tous les pays d’Afrique sub-saharienne au cours des deux prochaines années ».

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA).

Contact:

Anne Wangalachi

awangalachi@agra.org

+258 84 27 42 898 (Portable – Mozambique)

+254 736 230 600 (Portable – Kenya)

Caroline Boin

caroline.boin@portland-communications.com

+258 84 784 3230 (Portable – Mozambique)

Pour de plus amples renseignements:

Pour lire le compte rendu analytique et le rapport intégral, veuillez visiter le site web : http://www.agra.org

A propos de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA)

L’AGRA (http://www.agra.org) est un partenariat dynamique œuvrant sur tout le continent africain en vue d’aider les millions de petits exploitants agricoles et leurs familles à se sortir de la pauvreté et de la famine. Les Programmes de l’AGRA proposent des solutions pratiques dont le but est d’augmenter la productivité agricole et les recettes des pauvres, tout en protégeant l’environnement. L’AGRA préconise les politiques qui appuient son œuvre, à tous les maillons principaux de la chaîne de valeur agricole en Afrique, que ce soit au niveau des semences, de la fertilité des sols, de l’eau, des marchés et de la formation agricole.

Le conseil d’administration de l’AGRA est présidé par Kofi A Annan, ancien Secrétaire général des Nations Unies. Mme Jane Karuku, ancienne Directrice générale adjoint et Secrétaire générale de Telkom Kenya, est la présidente de l’AGRA. Avec l’appui de la Fondation Rockefeller, la Fondation Bill & Melinda Gates, le Département britannique pour le développement international, l’USAID et d’autres bailleurs de fonds, l’AGRA intervient sur l’ensemble de l’Afrique sub-saharienne à partir de ses bureaux à Nairobi, Kenya, et à Accra, Ghana.

Site Web: http://www.agra.org

Facebook: https://www.facebook.com/pages/AGRA-Alliance/316397825040213

Twitter: @AGRAAlliance


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Marrakesh, 09 octobre 2014 (CEA) – Les experts en changement climatique présents à Marrakech viennent de réaffirmer la capacité de l’Afrique à se nourrir aujourd’hui et dans l’avenir sans organismes génétiquement modifiés.

Cependant, pour que ce rêve se réalise plusieurs conditions doivent être remplies selon ces experts : La technologie doit être accessible et abordable pour les agriculteurs, leurs financements agricoles faciles, et l’accès aux marchés doit aussi être garanti.


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Marrakesh, 09 octobre 2014 (CEA) – « Pas de développement sans énergie, la problématique s’impose au continent de manière impérieuse ! » Le ton a été donné ce 09 octobre 2014 par El Mostafa Jaméa, Expert en énergies renouvelables et changement climatique. C’était au cours d’une discussion sur le profit à tirer des opportunités technologiques d’énergies renouvelables dans la chaîne de valeur agricole. Selon ses chiffres, 31 % à peine des populations vivant au sud du Sahara ont accès à l’électricité. Dans les zones rurales, le taux est de 14%.


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Marrakesh, 09 octobre 2014 (CEA) –  Les Gouvernements, les institutions financières et les organisations de la société civile ont opté d’agir en coalition en vue de mobiliser environ 200 milliards de dollars pour le financement de projets visant à réduire les émissions de carbone et à accroître la résilience climatique.

TUNIS, Tunisie, 7 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) va appuyer les efforts du Sénégal pour protéger le lac de Guiers, situé dans le nord du pays, au moyen d’un prêt et d’une subvention totalisant 24,42 millions de dollars US destinés à financer le rétablissement de ce lac.

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Le Projet de restauration des fonctions écologiques et économiques du lac de Guiers (PREFELAC), qui a été approuvé le mercredi 4 septembre à Tunis par le Conseil d’administration du Groupe de la Banque, vise à rétablir les conditions optimales pour le fonctionnement normal de ce plan d’eau.

Plus particulièrement, le projet vise à rétablir l’hydraulicité du lac en améliorant sa disponibilité annuelle en eau, actuellement de 1,2 milliards de m3, pour la porter à 2,1 milliards d’ici à 2017. L’opération permettra aussi la remise en eau de la Réserve spéciale d’avifaune de Ndiael.

Se situant dans l’axe des cadres de planification stratégique du Sénégal, le projet vise à réaliser les objectifs de la Stratégie nationale de développement économique et sociale (SNDES 2013-2017), notamment ceux relatifs à l’environnement et au développement durable.

Il rendra possible la réalisation des objectifs du Plan d’action pour la gestion intégrée des ressources en eau (PAGIRE 2007-2015), qui porte sur l’acquisition de connaissances et l’élaboration de stratégies en matière de gestion des ressources en eau.

Le projet cadre avec les deux objectifs de la Stratégie décennale 2013-2022 de la Banque, dans le cadre de la restauration et du développement des ressources naturelles d’écosystèmes qui viendront renforcer durablement la résilience et la productivité de systèmes agricoles au profit de communautés rurales pauvres. Par ailleurs, il intéressera le Pilier II du Document de stratégie de pays pour le Sénégal (2010-2015), et plus particulièrement son sous-pilier consacré aux infrastructures de base (eau et assainissement, et gestion des ressources naturelles).

Des partenaires tels que l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), le Fonds mondial pour l’environnement (FEM), l’Inspection régionale des eaux et forêts (IREF) et Environnement et développement en Afrique (ENDA), parmi d’autres, vont apporter un appui technique et matériel au projet.

Les résultats attendus de ce projet sont les suivants : l’amélioration de l’accès à l’eau pour plus de 4 millions de personnes dans le pays et près d’un million de têtes de bétail ; la valorisation d’au moins 30 000 hectares de terres irrigables et de 20 000 hectares de zones humides portant des habitats naturels remarquables ; l’accroissement des bénéfices directs tirés de l’élevage dans la zone du projet, qui atteindront au moins 530 millions de FCFA par an ; l’accroissement de la production halieutique qui passera de 238 à 486 tonnes par an ; la création de plus de 3 000 emplois ruraux au profit de jeunes et de femmes, dont au moins 100 emplois verts ; le retrait de la Réserve de Ndiael de la liste de Montreux (1).

Ces résultats vont bénéficier à plus de 200 000 personnes situées dans la zone d’intervention du projet et 3 millions de personnes vivant à Dakar et dans d’autres villes et villages de l’intérieur du pays utilisant le réseau d’adduction d’eau connecté au lac.

Le coût total du projet est estimé à 28,32 millions de dollars US. Il sera financé au moyen d’un prêt de 22,72 millions de dollars US de la BAD (80,3 %), d’une subvention de 1,30 million de dollars US du FEM (4,6 %), et d’une contribution gouvernementale de 4,29 millions de dollars US (15,1 %).

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

(1) Le Registre de Montreux est une liste des sites Ramsar dont les caractéristiques écologiques ont été, sont en train ou sont susceptibles d’être modifiées par suite d’évolutions technologiques, de pollution ou d’autres interventions humaines.

Contact : Soulèye KITANE, Rural Development & Environmentalist Expert s.kitane@afdb.org

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org

ABUJA, Nigeria, 4 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — African Exchange Holdings (AFEX), une holding panafricaine fondée par Tony O. Elumelu, président de Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com), Nicolas Berggruen, président de Berggruen Holdings, et Jendayi Frazer, présidente de 50 Ventures, pour établir des bourses de marchandises à travers l’Afrique, a signé aujourd’hui un Protocole d’accord (PA) avec le Ministère fédéral de l’Agriculture du Nigeria en vue de créer un système de reçus d’entrepôt innovant qui permettra aux agriculteurs et aux coopératives nigérianes de conserver en toute sécurité leurs productions dans des entrepôts accrédités.

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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/11-2.jpg

Le Dr Akinwumi Adesina, Commandeur de l’Ordre du Nigeria, Ministre de l’Agriculture transformationnel du Nigeria, a déclaré : « Renforcer les marchés agricoles est crucial pour diversifier l’économie du Nigeria. Notre partenariat avec AFEX contribuera à améliorer l’accès des agriculteurs aux marchés, à réduire les pertes post-récoltes, à stabiliser les prix et à augmenter leurs revenus. L’agriculture se modernise rapidement au Nigeria et le développement des systèmes de reçus d’entrepôt soutiendra l’établissement d’une bourse de marchandises agricoles florissantes au Nigeria. »

M. Elumelu, président d’AFEX Holdings, a affirmé : « Nous sommes ravis de travailler avec le gouvernement nigérian sur ce projet pour offrir un investissement transformationnel et durable au secteur agroalimentaire du pays. Cette initiative est une étape vers l’autonomisation financière de davantage d’agriculteurs et pour assurer que l’agriculture est non seulement commercialement viable, mais aussi un contributeur positif fort à l’économie nigériane. Cela s’appuie sur l’expérience et la réussite de notre filiale – East Africa Exchange – au Rwanda, qui est devenue un acteur majeur du développement agroalimentaire sur tout le continent. »

Il a ajouté : « Mes associés et moi-même sommes fortement encouragés par la transformation du secteur agricole nigérian mené par le Dr Adesina et nous voulons soutenir le gouvernement fédéral dans sa démarche innovante. »

Nicolas Berggruen, fondateur et président de Berggruen Holdings, a déclaré : « L’agriculture en Afrique est la clé de la prospérité du continent. Spécifiquement pour le Nigeria, nous investissons dans l’infrastructure nécessaire pour garantir le flux de marchandises des fermes vers les marchés locaux, régionaux et mondiaux.

Les fermiers nigérians peuvent désormais utiliser des reçus pour leur production comme caution d’emprunt. Cela permettra de contrôler la volatilité des prix due à la disponibilité des stocks-tampons, et aux agriculteurs de vendre à meilleur prix. La phase pilote de deux ans du système de reçus d’entrepôt couvrira sept états, la plupart situés au nord du Nigeria, où l’agriculture est de loin le plus important secteur économique – Kano, Kaduna, Katsina, Zamfara, Kwara, Gombe et Oyo – et débutera en octobre 2013.

Le Ministère fédéral de l’Agriculture soutiendra le système de reçus d’entrepôt en créant un environnement favorable essentiel à sa réussite, et fournira également l’infrastructure des entrepôts.

Jendayi Frazer, ancienne secrétaire d’État adjointe aux Affaires africaines, et Directrice associée de l’AFEX, a expliqué : « Le système de reçus d’entrepôt contribue à améliorer la sécurité alimentaire dans l’ensemble du Nigeria. Il donnera non seulement aux agriculteurs et aux coopératives un meilleur accès aux marchés en reliant leurs productions aux acheteurs à grande valeur, mais génèrera aussi des profits plus élevés pour les parties prenantes. AFEX est persuadée que le système électronique de reçus d’entrepôt et des activités d’entreposage améliorées constitueront un tremplin pour une bourse de marchandises active au Nigeria. »

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

À propos d’AFEX

Africa Exchange Holdings (AFEX) est une société de portefeuille cofondée par Heirs Holdings, Berggruen Holdings et 50 Ventures, en association avec The Tony Elumelu Foundation et le Berggruen Institute on Governance. Son objectif est de développer un réseau de bourses de marchandises dans toute l’Afrique pour transformer les dynamiques commerciales et assurer de plus hauts revenus aux agriculteurs.

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

Moky Makura

Directrice du marketing et des communications d’entreprise

Heirs Holdings Ltd

E-mail : moky.makura@heirsholdings.com

Téléphone : +234 (0)1 277 4641

SINGAPORE, Singapore, 4 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — DHL (http://www.dhl.com), qui fait partie de Deutsche Post DHL, leader mondial de services de courrier et de logistiques, a annoncé aujourd’hui la célébration annuelle de la journée mondiale du bénévolat (Global Volunteer Day – GVD) 2013. Au cours de dix prochains jours, les employés du groupe DHL en Asie-Pacifique, au Moyen-Orient et en Afrique, en collaboration avec leurs partenaires commerciaux et leurs clients, participeront à des programmes de bénévolat communautaires dans toutes ces régions. En 2012, grâce à ce programme de bénévolat des employés, 62 000 bénévoles dans environ 120 pays dans le monde entier ont participé à plus de 1 000 programmes qui ont profité directement aux populations locales.

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DHL a aussi annoncé que la journée mondiale du bénévolat, traditionnellement organisée tous les ans en septembre et pour une durée d’une semaine, a désormais été étendue à un programme sur toute l’année, dans le but d’élargir la participation aux activités de bénévolat au sein des communautés dans lesquelles la société opère.

Avec près de 285 000 collaborateurs et des activités dans plus de 220 pays et territoires et grâce au soutien actif de l’entreprise au bénévolat des employés, DHL s’est donné pour mission d’exercer un impact majeur partout dans le monde.

« DHL a toujours pris une part active au soutien de ces communautés où nous vivons et travaillons. Rien que l’année dernière, nos employés ont participé à plus de 40 programmes, pour venir en aide à plus de 28 000 bénéficiaires. Aujourd’hui, grâce à l’extension de notre programme mondial de bénévolat, nous espérons mobiliser davantage de bénévoles, et atteindre ainsi les nombreuses autres collectivités qui ont besoin d’aide dans toute la région », a affirmé Charles Brewer, directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne.

« L’année dernière, dans le cadre de notre journée mondiale du bénévolat, nous avons pu renforcer notre partenariat mondial avec SOS-villages d’enfants à Nairobi et à Mombasa et prendre part à des activités communautaires. Les objectifs principaux des projets, qui consistaient à nettoyer la communauté ainsi que des initiatives d’éducation, ont été accomplis avec un très grand succès et nous sommes très fiers de la passion de nos volontaires pour les services communautaires », a déclaré Roger Olsson, président-directeur général de DHL Global Forwarding en Afrique subsaharienne. « Cette année, avec la mise en place de notre initiative à long terme, nous serons en mesure de faire une réelle différence dans la vie des habitants de notre communauté. C’est ce qui définit essentiellement l’esprit de DHL. »

« La philosophie d’entreprise de DHL est fondée sur la prémisse selon laquelle les collectivités saines sont bénéfiques pour les entreprises et leur prospérité. L’extension de notre programme de bénévolat est le reflet de notre engagement visant à rendre aux communautés africaines où nous sommes présents depuis 1978 », a expliqué Paul Graham, président-directeur général de la chaîne d’approvisionnement dans les zones Asie-Pacifique, Moyen-Orient et Afrique de DHL. Il a ajouté : « Tandis que les membres de notre équipe donnent de leur temps, de leurs talents et des ressources financières pour soutenir des causes charitables jour après jour, nous pouvons apporter une contribution significative dans l’exploitation de nouvelles possibilités dans nos communautés. »

Introduite en Asie-Pacifique en 2008, la journée mondiale du bénévolat a été depuis étendue aux Amériques, au Moyen-Orient, à l’Afrique et à l’Europe, et continue de tirer parti de sa réussite par l’implication d’un plus grand nombre d’employés et de projets communautaires. Mené en tant que programme permanent, les équipes locales organisent et participent à des activités récurrentes avec des organismes bénéficiaires et/ou partenaires qui leur apportent un développement durable important. Ces programmes viennent s’ajouter aux programmes de base de l’entreprise : GoGreen, GoHelp et GoTeach.

Par ailleurs, Deutsche Post DHL soutient la participation volontaire des salariés à travers le « fonds de responsabilité pour les conditions de vie ». Deux fois par an, les employés peuvent demander un soutien financier pour leurs projets de l’année suivante. Le montant de l’aide accordée dépend du temps que l’employé a consacré au projet. En 2012, l’entreprise a soutenu 104 projets impliquant plus de 9 000 employés dans 48 pays qui ont consacré volontairement 61 000 heures de leurs temps à des projets locaux. En collaboration avec les trois programmes de responsabilité des entreprises, le programme de bénévolat des employés fait partie intégrante de la stratégie en matière de responsabilité d’entreprise sous la devise « Responsabilité au quotidien ».

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Deutsche Post DHL.

Contact Presse :

DHL en Asie-Pacifique & EEMOA

Communications institutionnelles et responsabilité

Anita Gupta

Tél. : +65 6771 3333

Fax : +65 6771 3322

E-mail: apeemeamediarelations@dhl.com

http://www.dhl.com/en/press.html

DHL – The Logistics company for the world

DHL est le leader mondial du marché dans l’industrie de la logistique et « The Logistics company for the world » (La société de logistique pour le monde entier). DHL engage son savoir-faire dans l’express international, le fret aérien et maritime, le transport routier et ferroviaire, la logistique contractuelle et les services de courrier international pour ses clients. Forte de 275 000 employés et d’un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, l’entreprise offre aux clients une qualité de service supérieure et des connaissances locales pour satisfaire leurs exigences en matière de chaîne d’approvisionnement. DHL accepte sa responsabilité sociale en soutenant la protection du climat, la gestion des catastrophes et l’éducation.

DHL fait partie du Groupe Deutsche Post DHL. Le Groupe a généré un chiffre d’affaires de plus de 55 milliards d’euros en 2012.

LAGOS, Nigeria 3 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — United Bank for Africa Plc (UBA) (http://ubagroup.com/), la banque panafricaine présente dans 19 pays d’Afrique ainsi qu’à New York, Londres et Paris, annonce le lancement de Project Alpha – la prochaine étape de transformation stratégique du groupe.

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Depuis [8] ans, UBA exécute une stratégie dédiée d’expansion locale, régionale et mondiale, dont la mise en œuvre a permis au groupe de se transformer d’un acteur national en une institution de renommée internationale. Project Alpha est une feuille de route de 3 ans décrivant des initiatives de transformation clés, conçues pour consolider le positionnement stratégique du groupe et saisir pleinement les opportunités découlant de la renaissance économique de l’Afrique et de l’unique plateforme du groupe.

Project Alpha se concentre sur l’exploitation de tous les aspects de l’empreinte, de la gamme de produits et des capacités opérationnelles du groupe, permettant un engagement vis-à-vis de la transformation du service à la clientèle, une croissance de la part de marché, la mise en œuvre d’initiatives de services bancaires électroniques essentiels dans tous les segments, le développement des capacités de financement des opérations institutionnelles et commerciales et un investissement significatif dans le capital humain représenté par les plus de 25 000 employés d’UBA.

Une série de nominations à des postes de haut niveau souligne l’engagement du groupe dans le cadre de Project Alpha. M. Apollos Ikpobe a été nommé au poste de directeur général adjoint des services bancaires nationaux et Mme Obi Ibekwe au poste de directrice exécutive des ressources humaines et du service à la clientèle. Ces deux nominations ont été approuvées par la Banque centrale du Nigeria (CBN).

M. Ikpobe, qui était jusqu’à récemment directeur exécutif chez Zenith Bank, un poste qu’il occupait depuis 7 ans, apporte plus de 21 ans d’expérience dans le secteur bancaire nigérian. M. Ikpobe sera responsable du développement des activités nationales d’UBA au Nigeria. Sa nomination vient rehausser les compétences de l’actuel directeur général adjoint, M. Kennedy Uzoka, responsable des ressources et de la trésorerie.

Mme Ibekwe, nouvelle directrice exécutive des ressources humaines et du service à la clientèle, a connu une carrière marquée de succès chez Zenith Bank Plc, où elle était responsable de la gestion des ressources humaines, des services à la clientèle et de la gestion du risque de crédit. Forte d’une riche expérience dans les domaines du conseil, des services bancaires et du service à la clientèle, elle jouera un rôle essentiel dans la direction de la culture d’excellence du service renouvelée chez UBA. Sa nomination porte à cinq le nombre de femmes directrices au sein du conseil d’administration du groupe UBA.

Les autres nominations clés également annoncées incluent celle de M. Rasheed Adegoke au poste de directeur général en charge des technologies de l’information du groupe. M. Adegoke rejoint UBA de First Bank of Nigeria, où il était DSI, un poste qu’il a occupé pendant plus de 13 ans au sein de différentes institutions dans le secteur nigérian des services financiers. Stratège en technologies et en processus, il possède une expertise pratique dans les domaines de la conception et de la fourniture de technologies d’information hautement performantes et de solutions d’amélioration des processus administratifs visant à résoudre des problèmes opérationnels complexes.

L’un des aspects essentiels de l’initiative Project Alpha est l’accent placé sur UBA Afrique, dont la contribution représente actuellement 20 % du résultat du groupe et devrait atteindre 50 % à l’horizon 2016. Afin d’atteindre cet objectif, le groupe a décidé de renforcer son équipe de haute direction africaine.

Emmanuel Nnorom, ancien directeur exécutif des finances et de la gestion du risque chez UBA, a été nommé au poste de PDG d’UBA Afrique.

Les autres nominations à des postes de haut niveau au sein d’UBA Afrique incluent Mme Amie Sow, directrice générale d’UBA Sénégal, M. Demola Ogunfeyimi, directeur général d’UBA Tanzanie, M. Mamadou Sanon, directeur général d’UBA Gabon, M. Martin Che, directeur général d’UBA Congo Brazzaville, M. Marcel Bitang, directeur général d’UBA RDC, M. Stanley Ugwueze, directeur général d’UBA Zambie, Mme Abiola Bawuah, directrice générale adjointe d’UBA Ghana, M. Benedict Nklama, directeur exécutif d’UBA Kenya, M. Wilbrod Owor, directeur exécutif d’UBA Ouganda et M. Chinedu Obeta, directeur exécutif d’UBA Sierra Leone.

« UBA est en mesure de recruter les meilleurs talents du secteur bancaire africain et nous sommes fiers de pouvoir fournir une plateforme dynamique qui permet à ces Africains de contribuer à la transformation de notre continent », a déclaré M. Phillips Oduoza, directeur général du groupe/PDG d’UBA.

Et d’ajouter : « Nos ressources humaines demeurent notre plus grande richesse et nous allons poursuivre nos efforts de remaniement et de ressourcement afin d’atteindre et de dépasser les objectifs de Project Alpha. »

« De façon plus générale, Project Alpha nous permet de nous appuyer sur les forces existantes de notre franchise, mais démontre surtout que nous allons continuer à nous réinventer à l’avenir, en nous assurant que nous générons et délivrons le maximum de valeur pour nos clients, nos actionnaires et notre personnel », a-t-il expliqué.

Distributed by African Press Organization on behalf of United Bank for Africa Plc (UBA).

United Bank for Africa Plc est l’une des plus grandes institutions financières d’Afrique, proposant des services bancaires à plus de 7 millions de clients à travers plus de 700 succursales dans 19 pays africains. Avec une présence à New York, Londres et Paris, UBA relie les peuples et le monde des affaires à l’Afrique par ses services bancaires aux particuliers et aux clients institutionnels. Elle offre également des services de financement des opérations commerciales et dispose de solutions innovantes en matière de paiements transfrontaliers.

Pour plus de renseignements :

Ramon Nasir

Responsable médias

United Bank for Africa Plc | UBA House

E-mail : ramon.nasir@ubagroup.com

WASHINGTON, 3 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — IFC, un membre du groupe de la Banque mondiale, publie aujourd’hui le détail de ses activités en Afrique subsaharienne, montrant un impact important grâce à un volume record d’investissements et de services-conseil pendant l’année budgétaire 2013.

IFC a engagé la somme de 5,3 milliards de dollars dans de nouveaux investissements et dispensé des services-conseil d’une valeur de 65 millions de dollars en Afrique subsaharienne au cours de son dernier exercice fiscal. IFC a appuyé les secteurs des infrastructures, de la santé, de l’agro-alimentaire et un éventail d’activités dans des pays affectés par des conflits, et aidé les entrepreneurs africains à bénéficier d’un meilleur accès au financement.

IFC a investi 3,5 milliards de dollars, tirés des comptes propres de la société, et mobilisé 1,8 milliard de dollars engagés par d’autres investisseurs. Au cours de l’exercice budgétaire 2013, IFC a apporté son appui à des projets qui ont permis à 54 000 petites et moyennes entreprises de bénéficier de crédits, et a soutenu 13,7 millions de clients du secteur de la microfinance ; IFC a également contribué à l’amélioration de la santé et de l’éducation en faveur de 360 000 personnes. Les investissements d’IFC dans l’énergie éolienne et autres énergies renouvelables ont permis de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 667 000 tonnes.

Les dépenses d’IFC en matière de services-conseil ont atteint 65 millions de dollars pendant son dernier exercice fiscal. Quarante-deux pays ont pu bénéficier d’un total de 126 projets, dont la valeur est estimée à 217 millions de dollars au cours de la durée de vie des projets. Au cours de l’exercice budgétaire 2013, les projets associés aux services-conseils ont permis d’améliorer l’accès à l’éducation et à l’éclairage pour 1,6 millions de personnes; ils ont permis de créer 27 000 emplois; ont formé des entrepreneurs et connecté des exploitants agricoles aux marchés mondiaux.

Trois nouveaux mandats de partenariat public-privé ont été conclus avec succès, aidant à fournir des services de santé à 360,000 personnes au Lesotho et au Nigéria et de l’électricité à 75,000 personnes au Libéria.

En collaboration avec les gouvernements d’Afrique subsaharienne, les services-conseil en matière de climat des investissements d’IFC et de la Banque mondiale ont travaillé à la mise en œuvre de plus de 50 réformes bénéficiant au secteur privé dans 17 pays. En Ouganda par exemple, les réformes relatives à l’octroi de licences ont permis au secteur privé d’économiser 15,5 millions de dollars. Selon le rapport Doing Business 2013, sur les 50 économies de la planète qui réalisent le plus de progrès en matière de réglementation des affaires concernant les entreprises nationales depuis 2005, un tiers se trouvait en Afrique subsaharienne.

« L’augmentation constante des investissements et services-conseil IFC traduit notre engagement en faveur du développement du secteur privé en Afrique subsaharienne », a déclara Oumar Seydi, le directeur d’IFC pour l’Afrique de l’Est et australe. « Les 5,3 milliards de dollars engagés par IFC dans de nouveaux investissements et les 65 millions de dollars consacrés aux projets de services-conseil d’IFC ont contribué à la croissance économique de l’Afrique, grâce à l’appui fourni aux entrepreneurs et aux exploitants agricoles, à l’amélioration des infrastructures et des services de base et en favorisant le développement des affaires dans des pays en sortir de conflit ».

« En nous concentrant sur le développement du secteur privé en Afrique dans des secteurs clés comme la production d’énergie, les transports ou l’agro-alimentaire, nous jouons un rôle actif dans la stimulation de la croissance économique et la création d’emplois dans la région », a pour sa part déclaré Yolande Duhem, directrice d’IFC pour l’Afrique de l’Ouest et centrale. « Nous sommes également convaincus de l’utilité des marchés régionaux en Afrique, et nombre de nos investissements visent à permettre aux entreprises de se développer au-delà de leurs limites nationales ».

Les investissements d’IFC dans le secteur de l’agro-alimentaire en Afrique subsaharienne ont atteint 600 millions de dollars au cours de l’exercice budgétaire 2013. En investissant dans des entreprises telles que la Kenya Tea Development Agency et l’Export Trading Group, IFC permet à 263 000 exploitants agricoles d’Afrique subsaharienne de bénéficier d’opportunités économiques.

Le financement par IFC des projets d’infrastructures et ressources naturelles en Afrique a atteint 1,7 milliard de dollars. La division Infraventure d’IFC a joint ses efforts à ceux de ses partenaires du secteur privé afin d’élaborer des projets de production d’énergie éolienne en Tanzanie et au Kenya. En Afrique de l’Ouest, IFC a investi dans l’agence de sécurité aérienne et a mobilisé des fonds pour le port de Lomé afin de développer le réseau de transport et d’améliorer l’infrastructure commerciale dans la région.

L’assistance fournie dans des situations fragiles et de conflit constitue pour IFC une priorité stratégique en Afrique, et au cours du dernier exercice budgétaire, IFC a fourni des programmes d’appui à la quasi- totalité des économies africaines en sortir de conflit. Le programme en faveur des États touchés par les conflits en Afrique (CASA) d’IFC a permis de fournir des conseils et des financements à huit pays (le Burundi, la République centrafricaine, la Côte d’Ivoire, la République démocratique du Congo, la Guinée, le Liberia, la Sierra Leone et le Sud Soudan). Les programmes menés par IFC dans ces pays ont contribué à renforcer l’implantation du secteur privé et à créer des opportunités et des emplois.

Au cours du dernier exercice budgétaire, l’initiative CASA a été autorisée à se déployer dans tous les États d’Afrique subsaharienne fragiles et affectés par des conflits et concentrera la première phase de son développement sur le Mali, la Somalie et le Zimbabwe.

Grâce à une utilisation innovante de ses opérations de trésorerie, IFC a développé sa capacité à servir ses clients par des financements en monnaie nationale, et a favorisé le développement des marchés obligataires. Au cours de l’exercice budgétaire 2013, IFC a octroyé plus de 350 millions de dollars de prêts en monnaie nationale en Afrique subsaharienne. IFC a émis sa première obligation en Naira nigérians, recueillant 75 millions de dollars pour des investissements dans le secteur privé. IFC travaille avec les autorités de plusieurs pays, y compris le Ghana, le Nigéria et la Zambie sur des programmes qui permettront à IFC d’émettre régulièrement des obligations en monnaie nationale.

L’accent qu’IFC met à favoriser les investissements entre marchés émergents a été renforcé cette année grâce à de nouveaux investissements de type « Sud-Sud » totalisant près de 400 millions de dollars. Il s’agit notamment d’investissements transfrontaliers en Afrique, comme le projet de nouvel hôtel en Côte d’Ivoire du groupe hôtelier Azalai, basé au Mali. Au Nigeria, les financements apportés par IFC ont permis d’appuyer des investissements importants fournis par deux entreprises indonésiennes: l’investissement d’Indorama dans les opérations d’Eleme Fertilizer et de Wings Group au Nigeria.

TUNIS, Tunisie, 3 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le gouvernement danois a annoncé sa volonté d’apporter une contribution de 10 millions de couronnes danoises (près de 1,8 millions de dollars US) au Fonds pour l’accélération du développement agricole en Afrique (FADA) afin d’activer les investissements en infrastructures agricoles sur le continent.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/african-development-bank-2.png

Photo Donald Kaberuka: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/donald-kaberuka-afdb-president.jpg

Cette contribution a été annoncée le mercredi 28 août à Copenhague par le ministre danois de la Coopération au développement, M. Christian Friis Bach, au cours de la visite du président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), M. Donald Kaberuka dans le pays.

Le FADA, premier fonds du genre géré par la BAD, a été lancé en vue de stimuler les investissements privés dans les projets d’infrastructure agricole en Afrique subsaharienne. Il est doté de 28,8 millions de dollars US.

Le soutien du gouvernement danois vient en complément des contributions faites par les bailleurs à l’origine de la création du FADA, en particulier l’USAID, qui s’est engagée à apporter 15 millions de dollars, et le gouvernement suédois qui a pris un engagement à hauteur de 10 millions de dollars.

Le Fonds pour l’accélération du développement subventionne le financement des frais initiaux de développement d’un large éventail de projets d’infrastructure agricole s’étendant sur la chaîne de valeur entière, de la production jusqu’à la vente dans les marchés. Le FADA intervient dans des pays qui sont membres de la Nouvelle Alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition. Cette dernière cherche à resserrer les liens entre agriculteurs, marchés et tables du consommateur. La Nouvelle Alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition a été lancée par le Président Barack Obama l’année dernière à l’occasion du sommet du G8. Les six pays suivants en sont membres : le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, le Ghana, le Mozambique et la Tanzanie. La Nouvelle Alliance soutient les réformes réglementaires axées sur le marché qui sont engagées dans ces six pays, où le secteur privé s’est engagé à hauteur de 3,7 milliards de dollars dans les investissements agricoles.

Au cours de sa visite, M. Kaberuka a assisté à un dîner-débat sur le thème « Croissance en Afrique, Nigéria compris » organisé par la ministre danoise du Commerce et des investissements, Mme Pia Olsen Dyhr, du ministre des Affaires européennes, M. Nick Hækkerup, et du directeur de la Confédération patronale danoise, M. Thomas Bustrup Bustrup.

Il a également eu des discussions avec le ministre danois de la Coopération au développement, M. Christian Friis Bach, sur des questions d’actualité, et notamment sur la situation du développement en Afrique, la reconstitution du Fonds africain de développement, la croissance verte et inclusive, le genre et les États fragiles.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contacts :

Jennifer Ann Patterson

Chargée de communication

Banque africaine de développement

j.patterson@afdb.org/+216.71.10 16 38

Amadou Ba

Chef d’équipe, Fonds pour l’accélération du développement agricole en Afrique

Banque africaine de développement

a.m.ba@afdb.org/ +216 71 10 1788

À propos du Groupe de la Banque africaine de développement

Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.

Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : www.afdb.org