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TUNIS, Tunisie, 18 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Le président de la Banque africaine de développement (http://www.afdb.org), Donald Kaberuka, la présidente de la Commission de l’Union africaine, Nkosazana Dlamini Zuma, et le secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique, Carlos Lopes, donneront une conférence de presse demain jeudi 19 juillet 2013 à 13 h à l’hôtel Mövenpick de Gammarth à Tunis, dans le cadre de la « Table ronde de Tunis sur le financement des infrastructures ». La séance d’ouverture de la table ronde, à 11h30, est également ouverte à la presse.
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C’est la première fois qu’une table ronde réunit tous les dirigeants des institutions africaines impliquées dans la conception et le financement de l’infrastructure : institutions politiques (Union africaine), institutions de financement du développement (BAD, banques régionales : BOAD, DBSA, PTA Bank, BDEAC…) et communautés économiques régionales (UMA, UEMOA, CEDEAO…).
La table ronde de Tunis est importante à plusieurs égards. D’une part, il s’agit de la première visite à Tunis de la nouvelle présidente de la Commission de l’Union africaine, et d’autre part, cette rencontre offre un cadre aux dirigeants des institutions africaines d’examiner les meilleurs voies d’assurer le financement des 68 milliards de dollars nécessaires pour la transformation de l’Afrique à travers une infrastructure moderne d’ici à 2020. Résoudre le problème des infrastructures en Afrique devrait permettre de dynamiser la croissance sur le continent de 2% par an en moyenne.
La table ronde examinera également le « Fonds Afrique 50 » lancé par le président Donald Kaberuka. Cette initiative a été saluée et soutenue par les ministres des Finances lors des Assemblées annuelles du Groupe de la BAD en mai 2013 à Marrakech au Maroc.
Les journalistes désireux de couvrir la table ronde et la conférence de presse ou sollicitant des interviews sont priés d’envoyer un mail à Olivia Nadine Ndong Obiang, Chargée des Relations avec les Médias.
Contact : T. +216 71 10 15 84 / C. +216 95 99 97 70 / o.ndong-obiang@afdb.org.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 34 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’information : http://www.afdb.org
Par Adama Wade Une affaire de plusieurs millions de dollars autour du riz concessionnel chinois oppose le trader Suisse…
TUNIS, Tunisie, 18 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement (http://www.afdb.org) a approuvé le nouveau document de stratégie pays (DSP) de la République démocratique du Congo (RDC) pour la période 2013-2017. L’objectif principal de cette stratégie d’intervention de la Banque est d’aider la RDC à sortir de son état de fragilité en créant les conditions d’une croissance forte et inclusive, induite par un dynamisme accru des secteurs productifs de l’économie.
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Au plan national, la priorité sera accordée au développement d’infrastructures durables susceptibles d’impulser la croissance économique, telles que l’énergie, le transport et les pistes rurales dans la zone centre définie autour de l’axe Ilebo-Tshikapa-Kananga-Mbuji-Mayi. Une attention particulière sera accordée à la contribution effective de ces infrastructures au renforcement du tissu communautaire et au développement des entreprises locales. Les infrastructures à réaliser seront conçues pour être résilientes à la variabilité et au changement climatique et pour renforcer les capacités d’adaptation des populations à ces phénomènes.
Le DSP apportera également un appui à la poursuite de réformes appropriées visant l’amélioration de la gouvernance centrale et sectorielle et l’assainissement du climat des affaires. L’objectif est d’améliorer la performance d’ensemble de l’économie et les capacités de l’administration publique à piloter l’économie et à induire une implication accrue du secteur privé dans la création de richesses et d’emplois.
Au plan régional, les choix stratégiques du DSP sont guidés par la situation privilégiée de la RDC en Afrique Centrale, notamment sa taille, sa frontière commune avec neuf autres pays et son immense potentiel naturel. Cette position comporte en effet des atouts exceptionnels au plan de l’intégration régionale, notamment en matière d’échanges commerciaux avec les pays de la région qui doivent être dynamisés et intensifiés.
Le DSP est articulé autour des deux piliers complémentaires suivants : le Développement d’infrastructures de soutien à l’investissement privé et à l’intégration régionale et le Renforcement des capacités de l’Etat en vue d’accroitre les recettes publiques et asseoir un cadre incitatif pour l’investissement privé. Les actions prévues sont conçues pour se renforcer mutuellement et pour accroitre l’effet de levier de l’assistance de la Banque. Le pilier infrastructure sera mis en œuvre pour assurer un effet d’entrainement sur la croissance de l’investissement privé dans les secteurs productifs de l’économie. Le deuxième sera consacré au renforcement des capacités de l’Etat à assurer une gouvernance économique améliorée et incitative pour l’investissement privé.
Pour la mise en œuvre de cette stratégie, la Banque compte mobiliser environ 860 millions de dollars américains au cours des cinq prochaines années.
La BAD a un Bureau national à Kinshasa depuis 2007.
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À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 34 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
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Contact:
Bureau National de la BAD à Kinshasa- RDC
294, Boulevard du 30 juin- Immeuble de la BCDC au 6ème étage
Représentant Résident, Valentin Zongo ; v.zongo@afdb.org
Tel: +243 815 560 291 ; Fax : +243 815 560 294
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TUNIS, Tunisie, 17 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, ce 17 juillet, une ligne de crédit (LdC) à moyen terme, d’un montant de 75 millions de dollars EU à Fidelity Bank Plc. Celle-ci est destinée à financer des projets sélectionnés dans des secteurs cruciaux pour le programme de transformation et la croissance économique du Nigéria, tels que les infrastructures, l’industrie manufacturière et les PME. Cette LdC sera complétée, dans la mesure du possible, de 75 millions de dollars EU supplémentaires abondés via la syndication menée par la BAD.
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Banque locale érigée en banque universelle, Fidelity Bank Plc est opérationnelle depuis 2001. Comptant plus de 200 succursales réparties dans les six zones géopolitiques du Nigeria, elle est particulièrement bien placée pour mettre à profit les opportunités qui s’offrent dans différents secteurs et diversifier ses risques. En décembre 2012, le total des fonds propres de Fidelity s’élevait à 1,04 milliard de dollars EU. La banque est classée parmi les six premières banques du Nigeria en termes de fonds propres, et à la huitième place en ce qui concerne les dépôts et l’ensemble des actifs. La ligne de crédit complètera les autres efforts de mobilisation de ressources de Fidelity, grâce à la mobilisation de dépôts et aux lignes de financement octroyées par les institutions financières de développement (IFD) et les banques commerciales, et grâce aux profits générés par sa récente émission d’obligations.
La LdC de la BAD contribuera à combler le déficit de financement de Fidelity, en fournissant les liquidités qui lui sont nécessaires à plus long terme, pour répondre aux exigences de son portefeuille dans un contexte où le marché financier, qui a tendance à préférer plutôt les liquidités à court terme, prohibe l’accès à des prêts sur le moyen et long terme. Ce financement permettra à Fidelity de mieux servir et financer ses clients, d’accroître la durée des prêts pour des sous-projets, et d’augmenter son portefeuille de prêts, notamment dans les secteurs des infrastructures et de l’industrie manufacturière. 20 % des produits de la LdC cibleront les PME.
Cette LdC souligne l’impact positif des efforts de la Banque centrale du Nigéria, pour renforcer son cadre de supervision, stabiliser et instaurer la confiance dans le système financier local, tout en améliorant les flux de crédits et de liquidités. Cette LdC envoie un signal fort, confirmant la stabilité retrouvée du secteur financier du Nigeria, et le retour de la confiance dans le secteur bancaire du pays. Elle est aussi un symbole du rôle de partenaire que joue la BAD dans le soutien au secteur privé, en tant qu’acteur majeur dans la consolidation de l’économie nigériane. De plus, elle souligne aussi l’engagement de la BAD à soutenir ses pays membres régionaux et leurs gouvernements, dans le renforcement de leurs marchés financiers, la diversification de leurs économies et la modernisation de leurs infrastructures, en vue de favoriser la participation et une contribution plus importantes du secteur privé au développement économique.
Enfin, cette transaction contribuera à améliorer l’accès à des liquidités sur le plus long terme dans le secteur bancaire, à accroître les revenus du gouvernement, à substituer la production locale aux importations et à créer des emplois.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Contacts :
Sabrina Hadjadj Aoul, chargée de communication, T. +216 71 10 26 21 / +216 98 70 98 43 / s.hadjadjaoul@afdb.org
Lilian Macharia, chargée principale d’investissement, T. +216 71 10 26 81 / l.macharia@afdb.org
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 34 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
La Banque ouest-africaine de développement (BOAD) a procédé à la signature d’un accord de prêt de 3 milliards de francs…
TUNIS, Tunisie, 17 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Sous l’égide de l’Union africaine (UA), de la BAD (http://www.afdb.org) et de la Commission économique pour l’Afrique (CEA), les dirigeants des principales organisations économiques africaines se réunissent à Tunis le 19 juillet 2013 dans le cadre d’une table ronde de haut niveau pour échanger sur le financement des infrastructures.
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Les discussions porteront sur la recherche de voies et moyens pour des financements innovants afin de soutenir le développement de l’Afrique et ce, conformément à la vision des leaders africains de “transformer le continent sur les 50 prochaines années. ». C’est dans ce contexte que la réunion de Tunis vise à renforcer la collaboration de la BAD avec les communautés économiques régionales d’une part, et avec les institutions de financement du développement d’autre part.”
Les besoins financiers du cadre stratégique de la transformation de l’Afrique à travers une infrastructure moderne, le Programme pour le développement de l’infrastructure en Afrique, s’élèvent à 68 milliards USD d’ici à 2020. Le « Fonds Afrique 50 » lancé par le président Donald Kaberuka et qui a été salué et soutenu par les ministres des Finances lors des Assemblées annuelles de la BAD en mai 2013 à Marrakech, vise à résorber le déficit des financements des infrastructures sur le continent.
Désormais l’Afrique doit profiter de ses propres réservoirs de capitaux pour financer son développement. En se fondant sur son mandat et sa position avantageuse de catalyseur financier, la BAD s’est engagée à jouer un rôle de premier plan dans cet effort de mobilisation de ressources. er, à travers son « Fonds Afrique 50 », les fonds pour financer le déficit en infrastructures..
Alors que le financement de l’infrastructure régionale s’est fait de manière dispersée et par à-coups, le « Fonds Afrique 50 » ambitionne d’établir un cadre mieux coordonné et délibéré pour accroître les niveaux de financement requis pour accélérer l’agenda de transformation de l’Afrique. Il constitue l’un des moyens qui permettront à des financements innovants d’apporter une solution aux défis de l’Afrique en utilisant ses ressources propres.
Les récentes découvertes de pétrole et de gaz, ainsi que de nouveaux dépôts de minerais dans un certain nombre de pays africains, fournissent une source viable de financement pour le développement de l’infrastructure de l’Afrique, en grande partie à partir de ses ressources endogènes. Si les revenus en découlant sont bien gérés et bien utilisés, ils peuvent être investis dans l’infrastructure essentielle pour la transformation du continent et ainsi contribuer directement à la vision de l’Union africaine de 2063 d’une « Afrique intégrée, prospère et paisible, conduite par ses propres citoyens et représentant une force dynamique dans l’arène mondiale ».
Participeront à la table ronde Mme Nkosazana Dlamini Zuma, présidente de la CUA, M. Carlos Lopes, secrétaire exécutif de l’UNECA, M. Donald Kaberuka, président de la BAD, ainsi que les premiers responsables des communautés économiques régionales et des institutions régionales de financement du développement.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Contacts : Chawki Chahed, chargé de communication principal, T. +216 71 10 27 02 / C. +216 98 70 31 68 / c.chahed@afdb.org
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 34 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org
Lors de son passage sur les ondes de la radio web du Maghreb Emergent. M.Hassene Khlifati affirme que, « La compagnie…
DUBAÏ, Émirats Arabes Unis, 17 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Dans une initiative stimulée par le développement économique continu, la croissance soutenue de la population et l’émergence de nouveaux consommateurs dans les secteurs industriels diversifiés, 3M Moyen-Orient et Afrique (http://www.3m.com) a annoncé une nouvelle structure pour ses opérations en Afrique.
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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/walid-feghali.jpg (Walid Feghali, Managing Director 3M Africa)
Avec pour objectif d’améliorer sa couverture géographique sur le continent africain et accélérer la croissance future, les activités de 3M dans le continent africain ont été divisées en deux zones séparant 3M Afrique du Sud du reste des pays africains. 3M d’Afrique a été introduit comme une nouvelle région et il comprendra le Nord, l’Est, les pays d’Afrique Centrale et d’Afrique d’Ouest et qui incluent l’Égypte, le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, la Libye, les pays Francophones, le Kenya, la Tanzanie, l’Ouganda, l’Éthiopie, la République démocratique du Congo , la Zambie, l’Angola, le Nigeria et le Ghana.
La deuxième région de 3M sur le continent sera 3M Afrique du Sud et elle sera composée de l’Afrique du Sud et ses pays frontaliers communs qui sont la Namibie, le Botswana, le Zimbabwe et le Mozambique. La nouvelle structure a été parfaitement alignée avec la région générale du Moyen-Orient et Afrique, et qui sera dirigée par Walid Feghali, tandis que le directeur général de 3M Afrique pendant que Ismail Mapara dirigera 3M Afrique du Sud et d’autres pays qui incluent Madagascar, Botswana, Zimbabwe, Malawi, Lesotho, Seychelles, etc.
Dans ce sens, M. Feghali a dit: «Six des pays les plus dynamiques au monde se situent en Afrique et le continent a été une priorité pour nous. La restructuration de notre organisation en Afrique va nous aider à élargir notre présence, explorer de nouvelles possibilités et à renforcer les compétences locales afin d’augmenter la pénétration. Ce développement est un témoignage de l’engagement de 3M pour soutenir notre vaste réseau de clients dans les marchés du Moyen-Orient et d’Afrique « .
3M est présent en Afrique du Sud depuis plus de 40 ans, et depuis plus de 10 ans dans la région d’Afrique du Nord, alors que les opérations au Kenya et au Nigeria ont été établies en 2012 et au cours des années, 3M a établi une forte présence dans les domaines de soins sanitaires, la sécurité, la communication et les industries d’automobile, tandis que l’exploitation minière, pétrolière et gazière, la consommation et l’énergie sont les segments potentiels de croissance future. Plus de 400 personnes sont employées avec 3M à travers l’Afrique.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour 3M.
À propos de 3M
3M (http://www.3m.com) capture l’étincelle de nouvelles idées et les transforme en milliers de produits ingénieux. Notre culture de collaboration créative inspire un flux incessant de technologies puissantes qui améliorent la vie. 3M est la société d’innovation qui ne cesse jamais d’inventer. Avec 30 milliards de dollars de ventes, 3M emploie environ 88.000 personnes dans le monde et exerce ses activités dans plus de 70 pays. Pour de plus amples informations, visitez le site http://www.3m.com ou suivez @3MNews sur Twitter.
Pour tous renseignements pour le media, veuillez contacter:
Alexandra Awad
3M Gulf
T: + 971 4 3670777
aawad@mmm.com
Venicia Vessoaker
GolinHarris Dubai
T: + 971 4 3323308
vvessoaker@golinharris.com
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DURBAN, Afrique du Sud, 16 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — Le premier groupe de registres et bureaux d’enregistrement d’Internet a signé de nouveaux accords avec l’ICANN (http://www.icann.org), propulsant de nouveaux noms de domaine génériques de premier niveau (gTLD) dans la dernière ligne droite avant leur activation en ligne.
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Photo : http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/icann-durban-opening-ceremony.jpg (Le président et directeur général de l’ICANN, Fadi Chehadé, ouvre la 47e réunion publique de l’ICANN à Durban, en Afrique du Sud)
« Il s’agit d’un accomplissement exceptionnel », a déclaré Fadi Chehadé, président et directeur général de l’ICANN. « Nous entamons la dernière étape avant l’activation des TLD dans le serveur racine d’Internet. »
M. Chehadé a formulé ces commentaires lors de la signature officielle à l’occasion de la séance d’ouverture de la 47e réunion publique de l’ICANN à Durban, en Afrique du Sud.
Trois sociétés ont signé l’Accord de registre (AR) et cinq autres ont signé l’Accord d’accréditation des bureaux d’enregistrement (ABE), qui inclut des bureaux d’enregistrement du Sénégal, d’Australie, de France et des États-Unis.
Les registres opèrent des domaines de premier niveau. Les bureaux d’enregistrement sont les entités auprès desquelles les noms de domaine sont enregistrés.
Les trois registres ont déposé des demandes pour des noms de domaine de premier niveau utilisant des caractères linguistiques arabes, chinois et cyrilliques.
Au cours de son intervention, M. Chehadé a également rendu hommage à Nelson Mandela, l’ancien président de l’Afrique du Sud de renommée mondiale, qui est actuellement hospitalisé. M. Chehadé a affirmé que les philosophies de Mandela devraient servir de principes directeurs au sein de l’écosystème Internet.
« Nous devons réaliser que nous sommes intrinsèquement interdépendants et nous devons donc apprendre à être conciliants. L’Afrique, à l’instar de Madiba [le nom de clan de Mandela], définit cette vision », a expliqué M. Chehadé. « Nous devons conserver l’esprit de Madiba. »
Le Dr Elham Ibrahim, Commissaire de l’Union africaine chargé des infrastructures et de l’énergie, a expliqué aux participants : « Internet est l’un des plus grands cadeaux publiques du 20e siècle. »
« Les noms de domaine africains apporteront des avantages financiers, économiques et socioculturels au continent », a ajouté M. Ibrahim.
À propos de l’ICANN, le Dr Hamadoun Touré, secrétaire général de l’Union internationale des télécommunications, a affirmé dans une allocution vidéo qu’il existe un besoin de définir un « objectif visant à travailler ensemble en cultivant une relation basée sur la collaboration et la coopération ».
« Dans un environnement en rapide évolution et en mouvement constant, il n’y a pas de solutions permanentes ni même à long terme », a expliqué M. Touré. « Ce qui fonctionne aujourd’hui ne fonctionnera pas nécessairement demain. Nous devons ouvrir un dialogue continu. »
La réunion de Durban de l’ICANN se poursuivra jusqu’au jeudi 18 juillet.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour l’ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers, Société pour l’attribution des noms de domaine et des numéros sur Internet).
Pour télécharger des photos en haute résolution de la séance d’ouverture de l’ICANN, rendez-vous à l’adresse :
http://www.flickr.com/photos/icann/sets/72157634649384908
Pour en savoir plus sur l’Accord de registre, le groupe initial des signataires et les domaines de premier niveau concernés, rendez-vous à l’adresse : http://newgtlds.icann.org/en/announcements-and-media/announcement-15jul13-en
Pour lire un article de blog sur les accords rédigé par le président de la Division des domaines génériques, rendez-vous à l’adresse : http://blog.icann.org/2013/07/2013-raa-and-rya-signings-kick-off-icann-47-in-durban/
CONTACTS AUPRÈS DES MÉDIAS :
Brad White
Directeur des Affaires médias internationales de l’ICANN
Washington, D.C.
Tél. : +1 202.570.7118
brad.white@icann.org
Andrew Robertson
Relations publiques d’Edelman
Londres, Royaume-Uni
Tél. : + 44 (7811) 341 945
andrew.Robertson@edelman.com
James Cole
Coordinateur médias internationaux de l’ICANN
Washington, D.C.
Tél. : +1 202.570.7240
James.cole@icann.org
À propos de l’ICANN (http://www.icann.org) : L’ICANN se donne pour mission d’assurer le fonctionnement stable, sûr et unifié du réseau Internet sur le plan mondial. Pour contacter quelqu’un sur Internet, on doit saisir une adresse sur un ordinateur (un nom ou un chiffre). Cette adresse doit être unique, afin que les ordinateurs puissent s’identifier mutuellement. L’ICANN coordonne ces identifiants uniques à l’échelle planétaire. Sans une telle coordination, nous n’aurions pas de réseau internet mondial. L’ICANN a été fondée en 1998. Il s’agit d’un organisme à but non lucratif, avec des contributeurs du monde entier qui s’attachent à préserver la sécurité, la stabilité et l’interopérabilité du réseau Internet. L’organisme favorise la concurrence et développe des politiques en matière d’identifiants uniques sur Internet. L’ICANN ne contrôle pas les contenus présents sur Internet. Elle ne peut pas faire cesser les spams, et ne s’occupe pas de l’accès à Internet. Néanmoins, grâce au rôle de coordination qu’elle assume en ce qui concerne le système de noms de domaine sur Internet, l’ICANN exerce une influence importante sur l’expansion et l’évolution de ce réseau.Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.icann.org.
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Les leaders des principales organisations africaines impliquées dans l’élaboration et le financement de l’infrastructure sur le continent africain examineront le « Fonds Afrique 50 » adopté en mai dernier par le Conseil des Gouverneurs de la Banque Africaine de développement lors des Assemblées Annuelles du Groupe.
Ibrahim Assane Mayaki, directeur général de la Planification et de la Coordination du NEPAD, les secrétaires généraux de toutes les Communautés économiques régionales (CER) et les présidents ou directeurs généraux des institutions financières de développement sous régionales africaines (IFD) prendront également part à la rencontre.
Objet : L’accroissement du financement de l’infrastructure en Afrique conformément à la vision de l’Afrique pour les 50 prochaines années.
Date : Vendredi 19 juillet 2013
Heure : 10h30
Lieu : Hôtel Mövenpick, Gammarth – Tunis
Contact : Olivia Ndong Obiang, o.ndong-obiang@afdb.org
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À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 29 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : www.afdb.org
DAKAR, Sénégal, 15 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — IFC, membre du Groupe de la Banque mondiale, a aujourd’hui annoncé l’octroi d’un prêt de 30 millions d’euros à l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar afin de financer une partie de son plan de rénovation, ainsi que l’acquisition de nouvel équipement et la rénovation de ses bâtiments. Ces investissements permettront à l’ASECNA de continuer à améliorer la qualité de ses services et de maintenir ses excellents résultats en matière de sécurité.
L’ASECNA est présente dans 17 pays d’Afrique de l’Ouest et centrale ainsi qu’à Madagascar. L’agence prévoit d’acquérir un nouvel équipement de navigation aéroportuaire, des infrastructures énergétiques et de communication, et de rénover les bâtiments de tour de contrôle dans la majeure partie de ces pays.
« Cet accord marque le début d’une coopération entre l’ASECNA et IFC en vue de soutenir le développement d’un secteur de l’aviation sûr en Afrique subsaharienne. IFC s’engage à encourager l’augmentation des investissements dans les infrastructures, essentiels à la poursuite du développement économique de l’Afrique », a affirmé Vincent Gouarne, directeur chargé des infrastructures et des ressources naturelles pour le département Industrie mondiale d’IFC
L’ASECNA a été créée en 1959 à la suite d’un accord entre les anciennes colonies françaises en Afrique. L’agence se compose de 18 pays membres (le Bénin, la Guinée Bissau, le Burkina Faso, le Cameroun, la République centrafricaine, le Tchad, les Comores, le Congo, la Côte d’Ivoire, la Guinée équatoriale, la France, le Gabon, Madagascar, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal et le Togo). L’ASCENA est chargée de la conception, de la mise en œuvre et de la gestion des structures et services liés à la transmission de messages et d’informations sur le trafic, du contrôle du trafic aérien, de la prévision et de la communicationd’informations météorologiques, des itinéraires, de l’approche et de l’atterrissage des appareils dans les aéroports des pays membres africains.
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