Lafarge Wapco Cement Nigeria Plc. has announced plans to increase its cement production capacity in Nigeria in a bid to satisfy growing demand of the product in Africa’s second largest economy. According to the company’s MD/CEO Joseph Hudson, with rising demand for cement in the country, an increase in disposable income and government spending on infrastructure, it became important to boost output so as to meet the country’s cement demand.
Auteur/autrice : Rédaction Financial Afrik
Ethiopian eco friendly footwear company, SoleRebels has won an arbitration proceeding in a domain name dispute against Tal Dehtiar, the owner of Oliberte shoe company. SoleRebels filed a lawsuit through U.S.based attorneys (Alex P. Garens of Grossman, Tucker, Perreault & Pfleger PLLC of New Hampshire) on August 27, 2013 with the allegation that Toronto-based Dehtiar hijacked his African competition (SoleRebel’s) e-commerce address.
The world’s No.2 brewer, SABMiller, says it attained a robust feat in African markets where it has operations in the last six months ended September this year. “We achieved a strong performance across our African businesses…Despite current prevailing uncertainties about developing market economies, we remain confident in the long term growth prospects for the group,” Alan Clark, SABMiller CEO, said in a statement.
Old Mutual Investment Group SA (Omigsa) on Thursday said it is set to raise R10 billion ($101 million) to invest in private equity, infrastructure and agriculture funds throughout Africa. Diane Radley, the CEO at Omigsa, said domestic pension funds will be used as sources for the investment money that will generate long-term yields.
The Democratic Republic of Congo plans to raise its free stake in new mining projects to 15 percent from 5 percent, said Chantal Bashizi, the vice president of the commission revising the mining code.
Angola, Africa’s largest oil producer after Nigeria, is imposing a consumption tax on petroleum companies that will raise some costs by as much as 10 percent, according to government documents.
Five years after the dramatic increase in food prices, our African Governments seem to have woken up to the dangers of dependence. Sadly, little has changed on the ground. Whose interests are being served by the business as usual scenario of rice imports in Senegal and West Africa? By Adama Wade*
Johannesburg, October 11, 2013 – Senior media gatekeepers have been called upon to partner with development institutions such as the NEPAD Agency, to ensure that the citizens of Africa are well informed about the positive transformation of the continent.
Africa’s political economy is deeply ingrained with its history of the exploitation and (mis)management of its mineral and natural resources. More than 500 years after commercial exploitation of Africa’s resources, Africa continues to host many of the large and unexploited deposits of minerals globally. For example, Africa accounts for three-quarters of the world’s platinum supply, and half of its diamonds and chromium. It has up to one-fifth of gold and uranium supplies and it is increasingly home to oil and gas production with over thirty countries now in this category. By Carlos Lopes,
Addis Ababa, 04 October 2013 (ECA) – The Executive Secretary of the United Nations Economic Commission for Africa (ECA), Carlos Lopes, today in Addis Ababa praised delegates at the African Regional Conference on Population and Development for their commitment to making progress on issues discussed at the forum.
It’s like, you know, the world has decided, for Congo, you ask Rwanda. Why? I don’t understand, » Kagame told Reuters on the sidelines of the annual gathering of world leaders at the United Nations in New York.
Ecobank Signs Portfolio Guarantee Agreement to Support SME Businesses with the African Guarantee Fund (AGF) Lagos, September 24, 2013: Today saw the official signing ceremony for a co-operation agreement between Ecobank Transnational Incorporated (“Ecobank”), the leading pan-African banking group, and the African Guarantee Fund (“AGF”) to promote and support small business across Sub-Saharan Africa.
Royal Air Maroc plans to establish Rabat as its second local base after its main hub in Casablanca. According to the Royal Air Maroc, the decision to establish a base in Rabat is part of its drive to better position itself strategically as well as to complement its existing Casablanca operations.
WASHINGTON, 30 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration de la Banque mondiale a approuvé aujourd’hui un crédit de l’IDA* d’un montant de 40 millions de dollars (20 milliards de FCFA) pour soutenir les efforts déployés par le Sénégal pour accroître la production de riz, de mangues et d’autres cultures, créer des emplois pour les jeunes et les femmes agriculteurs et remettre en état les routes reliant les communautés rurales isolées aux marchés en Casamance, une région du pays déchirée par la guerre.
« Le gouvernement nouvellement élu du Sénégal attache une grande importance au règlement du conflit qui sévit depuis longtemps en Casamance », a déclaré Vera Songwe, la directrice pays de la Banque mondiale pour le Sénégal. « Le projet qui a été approuvé aujourd’hui contribuera grandement au retour de la paix dans la région en stimulant l’économie locale, en créant des emplois essentiels pour les jeunes et les femmes vulnérables et en améliorant l’accès aux marchés agricoles ».
Les ressources allouées contribuent au financement du Projet Pôle de développement de la Casamance élaboré par le Sénégal afin de créer des débouchés économiques et aider à la réintégration des ex-combattants dans la région de la Casamance. Le premier volet du projet consistera à financer la construction d’infrastructures et l’achat de matériels pour permettre aux cultivateurs et autres producteurs d’assurer le ramassage, le traitement, la transformation et le transport des produits locaux. Il soutiendra la Plateforme économique intégrée de Bignona, un programme en cours qui aide à améliorer la capacité de la région à fabriquer et exporter des produits à valeur ajoutée tels que les confitures et les fruits séchés, à partir de produits locaux.
« La faible pluviométrie et le manque d’accès aux engrais et semences ont ralenti la croissance du secteur agricole sénégalais et provoqué une grave crise alimentaire en 2011 », a fait remarquer Jamal Saghir, le directeur de la Banque mondiale chargé du développement durable pour la région Afrique. « Le projet approuvé aujourd’hui aidera à accroître la production de riz et d’autres denrées qui constituent la base de l’alimentation des Sénégalais. Il facilitera également l’exportation des produits de la Casamance vers les autres régions du pays et procurera des revenus essentiels aux familles agricoles ».
Le deuxième volet du projet reliera les communautés rurales isolées aux marchés, aux centres de production et aux villes. Le projet financera en particulier des travaux d’amélioration ponctuels sur près de
350 km de routes non classées ainsi que la remise en état et l’entretien d’environ 200 km de routes rurales.
Le troisième volet de ce financement contribuera au renforcement des capacités des parties prenantes clés, notamment l’Agence nationale pour la relance des activités économiques et sociales en Casamance (ANRAC), et à améliorer leur capacité à mener à bien des processus et programmes de consolidation de la paix axés sur le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des ex-combattants.
« Au cours des trente dernières années, la région de la Casamance a connu le conflit de faible intensité le plus long en Afrique, qui a freiné le développement de l’agriculture, du commerce et du tourisme et fait des centaines de morts et de blessés », a déploré Demba Balde, le chef de l’équipe de projet de la Banque mondiale. « Je suis heureux de pouvoir aider le gouvernement sénégalais à mettre en œuvre le projet approuvé aujourd’hui ».
*L’Association internationale de développement (IDA), une institution de la Banque mondiale fondée en 1960 et chargée d’aider les pays les plus pauvres du monde en leur accordant des dons et des crédits ne portant pas intérêt pour la mise en œuvre de programmes de nature à stimuler la croissance économique, à atténuer les inégalités et à améliorer les conditions de vie des populations. L’IDA est l’un des principaux bailleurs d’aide aux 81 pays les plus déshérités de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’IDA apportent un changement positif dans la vie de 2,5 milliards de personnes vivant avec moins de deux dollars par jour. Depuis sa création, l’IDA a soutenu des activités dans 108 pays. Le volume annuel de ses engagements est en constante augmentation et a représenté en moyenne 15 milliards de dollars au cours des trois dernières années, 50 % de ce montant environ étant destiné à l’Afrique.
NSIA Insurance Ghana limited has inaugurated its new corporate head-office at Tesano last week. The new head-office building was in fact converted from two separate private residences.
JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 27 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — La 8ème édition de la Conférence économique africaine (http://www.afdb.org/fr/aec/) se tiendra à Johannesburg, en Afrique du Sud, du 28 au 30 octobre 2013. Cette rencontre, sous le thème de “l’intégration régionale en Afrique”, est organisée conjointement par le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA) et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).
Logo BAD: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/african-development-bank-2.png
Cette année encore, la Conférence économique africaine rassemblera de hauts responsables politiques et économiques, des chefs d’État, des chercheurs de renom et des experts du développement. En provenance des quatre coins du continent africain et du reste du monde, ils débattront des efforts accomplis par les pays africains pour joindre leurs forces et intégrer leurs économies dans l’optique de les développer tant sur le plan national que régional.
Les participants discuteront également des efforts déployés dans différents domaines et secteurs, tels la finance, le transport routier, les pools énergétiques, la gestion des ressources en eau, la fiscalité et la mobilité des travailleurs. Autres sujets de débats, les enjeux spécifiques liés aux pays à revenus intermédiaires et ceux propres aux Etats fragiles.
La Conférence économique africaine 2013 permettra en outre de discuter des contraintes auxquelles se heurte une intégration régionale efficace : un réseau d’infrastructures régionales peu développé, en particulier en matière de transport, d’énergie et de communications, et un cadre juridique, institutionnel et réglementaire peu approprié. Enfin, les participants tenteront de trouver des solutions pouvant faciliter l’intégration régionale des pays africains.
La rencontre sera un espace unique d’échanges pour les universitaires reconnus et les nouvelles compétences du continent, qui pourront exposer, de manière approfondie, sur leurs recherches portant sur les politiques de développement.
La cérémonie officielle d’ouverture sera présidée par le président sud-africain Jacob Zuma, en présence d’Helen Clark, administrateur du PNUD, Donald Kaberuka, président de la BAD, et Abdalla Hamdok, secrétaire exécutif adjoint de la CEA.
Les inscriptions sont ouvertes.
Evénement :
8e Conférence économique africaine
Date :
Du lundi 28 au mercredi 30 octobre 2013
Lieu :
Montecasino Entertainment Complex, Johannesburg, Afrique du Sud
Officiels :
Jacob Zuma, Président d’Afrique du Sud (inauguration)
Helen Clark, Administrateur, PNUD
Donald Kaberuka, Président, BAD
Abdalla Hamdok, Secrétaire exécutif adjoint, CEA.
Enregistrement en ligne : http://www.afdb.org/fr/aec/online-registration/
Veuillez visiter le site Internet http://www.afdb.org/fr/aec/
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
BAD: Olivia Ndong Obiang, o.ndong-obiang@afdb.org, Tél. (+216) 95 99 97 70
CEA : Mercy Wambui, mwambui@uneca.org, Tél. (+251) 92 10 14 767
PNUD : Nicolas Douillet, nicolas.douillet@undp.org, Tél. +1 212 906 5937
JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 27 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — La 8ème édition de la Conférence économique africaine (http://www.afdb.org/fr/aec/) se tiendra à Johannesburg, en Afrique du Sud, du 28 au 30 octobre 2013. Cette rencontre, sous le thème de “l’intégration régionale en Afrique”, est organisée conjointement par le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA) et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD).
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Cette année encore, la Conférence économique africaine rassemblera de hauts responsables politiques et économiques, des chefs d’État, des chercheurs de renom et des experts du développement. En provenance des quatre coins du continent africain et du reste du monde, ils débattront des efforts accomplis par les pays africains pour joindre leurs forces et intégrer leurs économies dans l’optique de les développer tant sur le plan national que régional.
Les participants discuteront également des efforts déployés dans différents domaines et secteurs, tels la finance, le transport routier, les pools énergétiques, la gestion des ressources en eau, la fiscalité et la mobilité des travailleurs. Autres sujets de débats, les enjeux spécifiques liés aux pays à revenus intermédiaires et ceux propres aux Etats fragiles.
La Conférence économique africaine 2013 permettra en outre de discuter des contraintes auxquelles se heurte une intégration régionale efficace : un réseau d’infrastructures régionales peu développé, en particulier en matière de transport, d’énergie et de communications, et un cadre juridique, institutionnel et réglementaire peu approprié. Enfin, les participants tenteront de trouver des solutions pouvant faciliter l’intégration régionale des pays africains.
La rencontre sera un espace unique d’échanges pour les universitaires reconnus et les nouvelles compétences du continent, qui pourront exposer, de manière approfondie, sur leurs recherches portant sur les politiques de développement.
La cérémonie officielle d’ouverture sera présidée par le président sud-africain Jacob Zuma, en présence d’Helen Clark, administrateur du PNUD, Donald Kaberuka, président de la BAD, et Abdalla Hamdok, secrétaire exécutif adjoint de la CEA.
Les inscriptions sont ouvertes.
Evénement :
8e Conférence économique africaine
Date :
Du lundi 28 au mercredi 30 octobre 2013
Lieu :
Montecasino Entertainment Complex, Johannesburg, Afrique du Sud
Officiels :
Jacob Zuma, Président d’Afrique du Sud (inauguration)
Helen Clark, Administrateur, PNUD
Donald Kaberuka, Président, BAD
Abdalla Hamdok, Secrétaire exécutif adjoint, CEA.
Enregistrement en ligne : http://www.afdb.org/fr/aec/online-registration/
Veuillez visiter le site Internet http://www.afdb.org/fr/aec/
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
BAD: Olivia Ndong Obiang, o.ndong-obiang@afdb.org, Tél. (+216) 95 99 97 70
CEA : Mercy Wambui, mwambui@uneca.org, Tél. (+251) 92 10 14 767
PNUD : Nicolas Douillet, nicolas.douillet@undp.org, Tél. +1 212 906 5937
PARIS, France, 27 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Les participants du Fonds africain de développement (FAD) ont réaffirmé leur engagement à accompagner le mouvement de transformation économique de l’Afrique, en s’accordant sur une reconstitution d’un montant total de 7,3 milliards de dollars EU pour la période 2014-2016. Des millions d’Africains devraient ainsi bénéficier d’une amélioration de l’approvisionnement en énergie, des réseaux de transport, de l’alimentation en eau et de l’assainissement, de l’éducation et de la productivité agricole.
Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/african-development-bank-2.png
Photo Donald Kaberuka: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/donald-kaberuka-afdb-president.jpg
Les représentants de 27 pays participants (dont quatre africains) ont conclu leurs discussions, ce jeudi 26 septembre 2013, portant sur la treizième reconstitution du Fonds africain de développement (FAD-13). Le FAD est le guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), qui contribue à la réduction de la pauvreté et au développement économique et social dans les pays africains à faible revenu.
Les participants sont convenus d’un montant de reconstitution de 7,3 milliards de dollars EU pour le cycle de 2014 à 2016, dont 1 milliard dédié à la Facilité en faveur des États fragiles. La reconstitution comprend 5,8 milliards de dollars EU en provenance des pays donateurs, ce qui représente une légère hausse par rapport à celle du FAD-12 (2011-2013). Plusieurs pays ont déployé des efforts notables pour assurer une reconstitution solide malgré un contexte budgétaire délicat.
Le Fonds aidera à améliorer les conditions de vie de millions de personnes à travers l’Afrique. Sur la période couverte par le FAD-13, environ 20 millions de personnes devraient être raccordées à des services énergétiques fiables et abordables et 19 millions auraient un meilleur accès au transport ; de plus, 7,5 millions devraient bénéficier de services d’alimentation en eau et d’assainissement ; 3 millions des opportunités de formation professionnelle et technique ; et 7 millions d’une productivité agricole accrue.
« Je me réjouis vivement de ces engagements, qui interviennent sur fond de choix budgétaires difficiles, a déclaré le président de la Banque africaine de développement. Ils constituent un signal fort de soutien à l’Afrique, ainsi qu’à la vision que porte la Banque pour une croissance inclusive et durable. Ils renforcent en outre notre capacité d’exécution de notre ambitieux programme qui s’articule autour des infrastructures, de l’intégration économique, du développement du secteur privé, en veillant plus particulièrement à accélérer l’égalité entre les hommes et les femmes et à relever les défis de la fragilité en Afrique. L’innovation demeure primordiale si l’on veut tirer le meilleur parti des ressources concessionnelles mobilisées aujourd’hui ».
Les participants ont salué l’impact positif du FAD sur les conditions de vie des populations en Afrique. « Le rôle essentiel du Groupe de la BAD dans la réalisation de la transformation de l’Afrique, et la recherche de solutions face aux enjeux cruciaux du développement, tels que la fragilité, n’a jamais été aussi manifeste. C’est pourquoi – malgré des contraintes réelles et des restrictions budgétaires dans la plupart des pays – les participants ont reconnu la pertinence et l’efficience du Groupe de la Banque, et réaffirmé leur ferme soutien et leur confiance au Fonds africain de développement”, a fait remarquer Richard Manning, coordonnateur du FAD-13.
Les participants ont noté avec satisfaction que les pays africains continuent de renforcer leur rôle, la Libye et l’Angola rejoignant l’Afrique et l’Égypte comme contributeurs du Fonds.
Reconnaissant l’importance du secteur privé dans la promotion de la croissance dans les pays africains à faible revenu, les participants ont entériné la création de deux instruments de rehaussement du crédit – la Garantie partielle de crédit et la Facilité de rehaussement du crédit du secteur privé –, destinés à attirer les capitaux privés pour les projets de développement transformationnel.
Les pays bénéficiaires du FAD étaient représentés par des délégués de Côte d’Ivoire, du Ghana, du Kenya et du Malawi. Tous ont unanimement souligné la nécessité pour le Groupe de la Banque de « continuer à soutenir les efforts déployés par les pays africains pour faire reculer la pauvreté, promouvoir une croissance inclusive et améliorer les conditions de vie de leurs citoyens ». Reconnaissant que « le Groupe de la Banque africaine de développement mobilise les financements requis pour combler le déficit d’infrastructure qui coûte tant à l’Afrique en termes d’opportunités manquées et de PIB », ils ont souligné que « le Groupe de la Banque stimule notre ambition et notre croissance, et se tient à nos côtés, tant dans les moments difficiles qu’en période plus favorable ».
Benoît Chervalier, chef de l’Unité de mobilisation et d’allocation des ressources à la Banque africaine de développement, a quant à lui déclaré : « Nous avons l’espoir qu’un plus grand nombre de pays africains seront capables de contribuer au Fonds, en particulier à mesure que les pays bénéficiaires du FAD opéreront leur transition vers le statut de pays à revenu intermédiaire ». Et d’ajouter : « Le continent est en train de prendre en main son propre développement ».
Directeur général du Trésor et gouverneur représentant la France au Groupe de la Banque, Ramon Fernandez a conclu sur ces mots : « Le Groupe de la Banque africaine de développement est un bien public régional qui joue un rôle unique, consistant à aider les pays africains à accomplir tout leur potentiel. Nul doute que le Groupe de la Banque africaine de développement mettra son avantage comparatif au service de la transition de tous les pays africains, dans leur cheminement vers une croissance durable et inclusive ».
Tous les participants ont exprimé leur gratitude au gouvernement français pour avoir accueilli l’événement.
Distributed by the African Press Organization on behalf of the African Development Bank (AfDB).
Contacts
Magatte Wade, m.wade@afdb.org +216 98 34 37 34
Auriane Mortreuil, a.mortreuil@afdb.org +216 55 76 83 24
Note des éditeurs
Le Fonds africain de développement (FAD) est le guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD). Fondée en 1972, il est devenu opérationnel en 1974. Le Fonds est administré par la Banque africaine de développement. Ses 27 pays contributeurs œuvrent en faveur de 40 pays en Afrique.
Le FAD contribue à la promotion du développement économique et social dans les pays africains les moins développés en offrant des financements concessionnels pour la mise en œuvre de projets et de programmes, et l’assistance technique pour la réalisation des études et des activités de renforcement des capacités.
Les ressources du FAD-13 seront acheminées par le biais d’une combinaison d’instruments de financement répondant le mieux aux besoins et aux capacités de ses clients. Il s’agit notamment de : prêts, dons et garanties (principal véhicule d’appui au titre du FAD-13), projets multinationaux, investissements du secteur privé, lignes de crédit, prises de participations, renforcement des capacités et préparation de projet, garanties partielles de risques et garanties partielles de crédit, et opérations à l’appui de programmes.
Les ressources du Fonds sont renouvelées tous les trois ans par ses donateurs.
Les participants au FAD-13 sont : Autriche, Belgique, Brésil, Canada, Chine, Danemark, Égypte, Finlande, France, Allemagne, Inde, Italie, Japon, Corée, Koweït, Pays-Bas, Norvège, Portugal, Arabie Saoudite, Afrique du Sud, Espagne, Suède, Suisse, Royaume-Uni et États-Unis d’Amérique. L’Angola et la Libye deviennent de nouveaux donateurs dans le cadre du FAD-13.
Pour de plus amples informations sur le Fonds africain de développement, veuillez visiter le site : http://www.afdb.org/adf
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 34 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’information : http://j.mp/AFDB_Media
BALE, Suisse, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ —
• Power of One permet au public de financer des tests et traitements antipaludéens pour les enfants en Afrique par le biais dernières technologies web et mobiles
• Novartis est le sponsor « traitements » exclusif dans le cadre de cette campagne et fera don de trois millions de traitements Coartem® Dispersible, son antipaludéen pédiatrique, afin de doubler l’impact des dons du public
• Novartis, un leader de longue date dans le contrôle et l’élimination du paludisme, a fourni 200 millions de traitements antipaludéens pédiatriques à prix coûtant aux pays impaludés depuis 2009
Novartis (http://www.novartis.com) et Malaria No More ont annoncé aujourd’hui le lancement de la campagne Power of One (http://www.Po1.org), qui encourage les citoyens du monde entier à aider à mettre fin aux décès d’enfants causés par le paludisme. Novartis soutiendra cette campagne financièrement et offrira également jusqu’à trois millions de traitements Coartem® Dispersible, son antipaludéen pédiatrique, afin de doubler l’impact des dons du public. L’engagement de la société dans la campagne Power of One reflète sa longue tradition de lutte contre le paludisme; l’initiative Novartis contre le paludisme est l’un des programmes d’accès aux médicaments les plus importants dans l’industrie des soins de santé.
Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/novartis.jpg
Le paludisme est une pathologie qui peut être évitée et soignée; pourtant, un enfant en meurt chaque minute. Selon les estimations, plus de 300 millions de traitements supplémentaires seront nécessaires pour traiter les patients atteints de paludisme dans l’ensemble de l’Afrique entre aujourd’hui et fin-2015. La campagne Power of One vise à combler cet écart par le biais de dons directs et d’engagements gouvernementaux existants. Chaque dollar versé à la campagne permettra d’acheter et de livrer un traitement à un enfant atteint de paludisme.
« Je suis fier de l’impact important que Novartis a de longue date dans la lutte contre le paludisme. Malgré tous nos progrès, il reste encore beaucoup à faire », a déclaré Joseph Jimenez, Directeur général de Novartis de Novartis. « Nous avons besoin de davantage d’aide pour combler les lacunes en matière de traitements, et Power of One offre à tout un chacun la chance de s’engager et d’aider les enfants souffrant de paludisme. »
S’appuyant sur les dernières technologies sociales, mobiles et d’e-commerce, Power of One permet au public de parrainer un traitement et de suivre son itinéraire. Les donateurs pourront voir l’impact de leurs contributions sur le terrain, partager des informations avec leurs réseaux et recruter d’autres donateurs.
« Il est inacceptable qu’un enfant meurt chaque minute par manque d’un traitement qui ne coûte qu’un dollar », a ajouté Martin Edlund, Président de Malaria No More. « Nous appelons tous les citoyens du monde à participer à la campagne Power of One, à faire des dons et à engager leurs amis dans cette lutte. »
Novartis est le sponsor « traitements » exclusif de la campagne Power of One, rejoignant certaines des entreprises les plus innovantes au monde. Les autres sponsors incluent Alere Inc., qui fournira des tests de diagnostic rapide du paludisme, 21st Century Fox, AHAlife.com, Causes.com, Time Warner, Twitter, Venmo et d’autres. La Zambie sera le premier pays à recevoir des livraisons de traitements et de tests dans le cadre de la campagne Power of One.
Novartis franchit la barre des 200 millions de traitements Coartem® Dispersible
Depuis 2009, Novartis a fourni 200 millions de traitements de son antipaludéen pédiatrique Coartem® Dispersible à prix coûtant à plus de 50 pays impaludés. C’est la première fois qu’autant de traitements pédiatriques ont été distribués en si peu de temps pour aider les enfants atteints de paludisme. Le 200 millionième traitement a été livré à la Zambie, qui a également reçu la première livraison de traitements de Novartis dans le cadre de la campagne Power of One. Ces traitements ont été financés grâce à une collecte de fonds organisée pendant la Journée mondiale de lutte contre le paludisme le 25 avril 2013.
« MMV félicite Novartis pour cet accomplissement remarquable », a commenté David Reddy, Président de Medicines for Malaria Venture. « Novartis a fait un travail formidable en rendant accessible un médicament innovant aux jeunes victimes vulnérables du paludisme en Zambie et dans plus de 50 autres pays, lui donnant une portée mondiale. Chez MMV, nous sommes fiers de notre partenariat avec Novartis dans le cadre du développement de cette importante formulation. »
L’initiative Novartis contre le paludisme est l’un des programmes d’accès aux médicaments les plus importants dans l’industrie des soins de santé. A l’avenir, Novartis s’engage à vaincre le paludisme en travaillant comme tête de file à la mise au point de la prochaine génération d’antipaludéen. A ce jour, deux nouvelles classes d’antipaludéens sont en cours de développement, la molécule la plus avancée faisant l’objet d’essais cliniques de phase II.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Novartis.
Pour plus d’informations, veuillez consulter http://www.malaria.novartis.com
A propos de Novartis
Novartis (http://www.novartis.com) propose des solutions thérapeutiques innovantes destinées à répondre aux besoins en constante évolution des patients et des populations. Basée à Bâle, en Suisse, Novartis offre un portefeuille diversifié pour répondre au mieux à ces besoins: médicaments innovants, soins ophtalmologiques, génériques peu coûteux, vaccins préventifs et outils de diagnostic, produits de santé en vente libre et produits de santé animale. Novartis est le seul groupe international à occuper une position de leader dans tous ces domaines. En 2012, Novartis a réalisé un chiffre d’affaires net s’élevant à USD 56,7 milliards et dépensé environ USD 9,3 milliards (USD 9,1 milliards hors charges pour pertes de valeur et amortissements) pour la recherche et le développement (R&D). Le Groupe Novartis emploie quelque 131 000 collaborateurs à plein temps et déploie ses activités dans plus de 140 pays à travers le monde. Pour de plus amples informations, veuillez consulter notre site à l’adresse http://www.novartis.com.
Novartis est sur Twitter. Pour vous tenir informé sur Novartis, enregistrez-vous sur http://twitter.com/novartis.
Novartis Media Relations
Ligne centrale pour les médias : +41 61 324 2200
Eric Althoff
Novartis Global Media Relations
+41 61 324 7999 (direct)
+41 79 593 4202 (mobile)
eric.althoff@novartis.com
Beth Calitri
Novartis Global Media Relations
+41 61 324 7973 (direct)
+41 79 523 0198 (mobile)
beth.calitri@novartis.com
Nadine Schecker
Novartis Malaria Initiative Communications
+41 61 696 8633 (direct)
+41 79 682 1326 (mobile)
nadine.schecker@novartis.com
E-mail : media.relations@novartis.com
Des contenus multimédias Novartis sont disponibles sur le site Internet www.thenewsmarket.com/Novartis.
Pour toute question concernant le site ou les conditions d’inscription, veuillez contacter : journalisthelp@thenewsmarket.com.
Novartis Investor Relations
Central téléphonique :
+41 61 324 7944
Samir Shah
+41 61 324 7944
Pierre-Michel Bringer
+41 61 324 1065
Thomas Hungerbuehler
+41 61 324 8425
Isabella Zinck
+41 61 324 7188
E-mail : investor.relations@novartis.com
Amérique du Nord :
Stephen Rubino
+1 862 778 8301
Jill Pozarek
+1 212 830 2445
E-mail : investor.relations@novartis.com
BALE, Suisse, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ —
• Power of One permet au public de financer des tests et traitements antipaludéens pour les enfants en Afrique par le biais dernières technologies web et mobiles
• Novartis est le sponsor « traitements » exclusif dans le cadre de cette campagne et fera don de trois millions de traitements Coartem® Dispersible, son antipaludéen pédiatrique, afin de doubler l’impact des dons du public
• Novartis, un leader de longue date dans le contrôle et l’élimination du paludisme, a fourni 200 millions de traitements antipaludéens pédiatriques à prix coûtant aux pays impaludés depuis 2009
Novartis (http://www.novartis.com) et Malaria No More ont annoncé aujourd’hui le lancement de la campagne Power of One (http://www.Po1.org), qui encourage les citoyens du monde entier à aider à mettre fin aux décès d’enfants causés par le paludisme. Novartis soutiendra cette campagne financièrement et offrira également jusqu’à trois millions de traitements Coartem® Dispersible, son antipaludéen pédiatrique, afin de doubler l’impact des dons du public. L’engagement de la société dans la campagne Power of One reflète sa longue tradition de lutte contre le paludisme; l’initiative Novartis contre le paludisme est l’un des programmes d’accès aux médicaments les plus importants dans l’industrie des soins de santé.
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Le paludisme est une pathologie qui peut être évitée et soignée; pourtant, un enfant en meurt chaque minute. Selon les estimations, plus de 300 millions de traitements supplémentaires seront nécessaires pour traiter les patients atteints de paludisme dans l’ensemble de l’Afrique entre aujourd’hui et fin-2015. La campagne Power of One vise à combler cet écart par le biais de dons directs et d’engagements gouvernementaux existants. Chaque dollar versé à la campagne permettra d’acheter et de livrer un traitement à un enfant atteint de paludisme.
« Je suis fier de l’impact important que Novartis a de longue date dans la lutte contre le paludisme. Malgré tous nos progrès, il reste encore beaucoup à faire », a déclaré Joseph Jimenez, Directeur général de Novartis de Novartis. « Nous avons besoin de davantage d’aide pour combler les lacunes en matière de traitements, et Power of One offre à tout un chacun la chance de s’engager et d’aider les enfants souffrant de paludisme. »
S’appuyant sur les dernières technologies sociales, mobiles et d’e-commerce, Power of One permet au public de parrainer un traitement et de suivre son itinéraire. Les donateurs pourront voir l’impact de leurs contributions sur le terrain, partager des informations avec leurs réseaux et recruter d’autres donateurs.
« Il est inacceptable qu’un enfant meurt chaque minute par manque d’un traitement qui ne coûte qu’un dollar », a ajouté Martin Edlund, Président de Malaria No More. « Nous appelons tous les citoyens du monde à participer à la campagne Power of One, à faire des dons et à engager leurs amis dans cette lutte. »
Novartis est le sponsor « traitements » exclusif de la campagne Power of One, rejoignant certaines des entreprises les plus innovantes au monde. Les autres sponsors incluent Alere Inc., qui fournira des tests de diagnostic rapide du paludisme, 21st Century Fox, AHAlife.com, Causes.com, Time Warner, Twitter, Venmo et d’autres. La Zambie sera le premier pays à recevoir des livraisons de traitements et de tests dans le cadre de la campagne Power of One.
Novartis franchit la barre des 200 millions de traitements Coartem® Dispersible
Depuis 2009, Novartis a fourni 200 millions de traitements de son antipaludéen pédiatrique Coartem® Dispersible à prix coûtant à plus de 50 pays impaludés. C’est la première fois qu’autant de traitements pédiatriques ont été distribués en si peu de temps pour aider les enfants atteints de paludisme. Le 200 millionième traitement a été livré à la Zambie, qui a également reçu la première livraison de traitements de Novartis dans le cadre de la campagne Power of One. Ces traitements ont été financés grâce à une collecte de fonds organisée pendant la Journée mondiale de lutte contre le paludisme le 25 avril 2013.
« MMV félicite Novartis pour cet accomplissement remarquable », a commenté David Reddy, Président de Medicines for Malaria Venture. « Novartis a fait un travail formidable en rendant accessible un médicament innovant aux jeunes victimes vulnérables du paludisme en Zambie et dans plus de 50 autres pays, lui donnant une portée mondiale. Chez MMV, nous sommes fiers de notre partenariat avec Novartis dans le cadre du développement de cette importante formulation. »
L’initiative Novartis contre le paludisme est l’un des programmes d’accès aux médicaments les plus importants dans l’industrie des soins de santé. A l’avenir, Novartis s’engage à vaincre le paludisme en travaillant comme tête de file à la mise au point de la prochaine génération d’antipaludéen. A ce jour, deux nouvelles classes d’antipaludéens sont en cours de développement, la molécule la plus avancée faisant l’objet d’essais cliniques de phase II.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Novartis.
Pour plus d’informations, veuillez consulter http://www.malaria.novartis.com
A propos de Novartis
Novartis (http://www.novartis.com) propose des solutions thérapeutiques innovantes destinées à répondre aux besoins en constante évolution des patients et des populations. Basée à Bâle, en Suisse, Novartis offre un portefeuille diversifié pour répondre au mieux à ces besoins: médicaments innovants, soins ophtalmologiques, génériques peu coûteux, vaccins préventifs et outils de diagnostic, produits de santé en vente libre et produits de santé animale. Novartis est le seul groupe international à occuper une position de leader dans tous ces domaines. En 2012, Novartis a réalisé un chiffre d’affaires net s’élevant à USD 56,7 milliards et dépensé environ USD 9,3 milliards (USD 9,1 milliards hors charges pour pertes de valeur et amortissements) pour la recherche et le développement (R&D). Le Groupe Novartis emploie quelque 131 000 collaborateurs à plein temps et déploie ses activités dans plus de 140 pays à travers le monde. Pour de plus amples informations, veuillez consulter notre site à l’adresse http://www.novartis.com.
Novartis est sur Twitter. Pour vous tenir informé sur Novartis, enregistrez-vous sur http://twitter.com/novartis.
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OTTAWA, Canada, 27 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le ministre du Développement international et ministre de la Francophonie, l’honorable Christian Paradis, s’exprimant au nom du ministre du Commerce international, l’honorable Ed Fast, auquel s’est joint aujourd’hui le premier ministre de la Côte d’Ivoire, M. Daniel Kablan Duncan, et son ministre de l’Industrie et des Mines, M. Jean-Claude Brou, ont annoncé la conclusion des négociations d’un accord sur la promotion et la protection des investissements étrangers (APIE) entre le Canada et la Côte d’Ivoire. Le ministre Paradis a fait cette annonce à Montréal, à l’occasion du Forum Africa 2013, une conférence de trois jours organisée par le magazine Afrique Expansion et le Groupe de la Banque africaine de développement.
« Notre gouvernement est résolu à mettre en place les conditions qui permettront aux entreprises canadiennes d’être concurrentielles et de réussir à l’échelle internationale, ce qui crée des emplois et stimule la croissance économique ici au pays, a déclaré le ministre Paradis. L’accord sur l’investissement annoncé aujourd’hui fournira une protection accrue aux entreprises canadiennes menant des activités en Côte d’Ivoire et resserrera davantage les liens économiques entre nos deux pays. »
Un APIE est un traité qui vise à promouvoir et à protéger les investissements canadiens à l’étranger au moyen de dispositions juridiquement contraignantes, ainsi qu’à promouvoir les investissements étrangers au Canada. En assurant une protection accrue contre les pratiques discriminatoires et arbitraires et en améliorant la prévisibilité du cadre stratégique d’un marché, un APIE accroît la confiance des entreprises au moment d’investir. Une fois qu’il aura été mis en œuvre, l’accord conclu avec la Côte d’Ivoire facilitera les flux d’investissements bilatéraux.
La Côte d’Ivoire recèle un potentiel considérable d’expansion des investissements canadiens, investissements qu’elle accueille déjà favorablement, particulièrement dans les secteurs de l’exploitation minière, de l’infrastructure, des transports et de l’éducation. En 2011, les intérêts miniers canadiens en Côte d’Ivoire étaient évalués à 15 millions de dollars.
« L’annonce faite aujourd’hui est un nouvel exemple des résultats concrets qui découlent du plus ambitieux plan d’expansion du commerce et de l’investissement de l’histoire du Canada, a affirmé le ministre Fast. Notre gouvernement est résolu à mettre en place les politiques adéquates et à offrir les services appropriés afin de faciliter l’expansion et la réussite des entreprises à l’étranger, ce qui, nous le savons, favorise la création d’emplois et la prospérité ici même au pays. »
La Côte d’Ivoire est la troisième économie en importance de l’Afrique occidentale, derrière le Nigéria et le Ghana. Elle est aussi une partenaire de longue date du Canada sur la scène internationale, les deux pays ayant de nombreux intérêts en commun, notamment au sein d’associations comme la Francophonie.
Outre la Côte d’Ivoire, le Canada a conclu des APIE avec le Bénin, le Cameroun, Madagascar, le Mali, le Nigéria, le Sénégal, la Tanzanie et la Zambie dans le cadre de son programme pour protéger les investissements canadiens en Afrique. En outre, il a amorcé des négociations visant à conclure des APIE avec le Burkina Faso, le Ghana, la Guinée et la Tunisie. Le Canada compte actuellement 24 APIE en vigueur à l’échelle internationale.
JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 25 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Quatorze jeunes employés de Maersk (http://www.maersk.com) participeront au 4e sommet annuel One Young World, qui aura lieu la semaine prochaine à Johannesburg, en Afrique du Sud.
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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=637 (Deniz Kirdar, Diversity and Inclusion Manager (Photo Peter Elmholt)
Organisé par l’association caritative One Young World, cet événement réunit à la fois des leaders politiques tels que Kofi Annan et Sir Bob Geldof et des personnes aspirant à faire partie de la prochaine génération de leaders mondiaux.
Une chance unique
L’un des participants africains de Maersk est Sow Thierno Madjou, âgé de 29 ans et originaire de Guinée, en Afrique occidentale :
« Ce rendez-vous est une chance unique de rencontrer et nouer des relations avec de jeunes leaders du futur venus du monde entier. Je me réjouis particulièrement de parler d’aspects socio-politiques et économiques avec des participants de différents pays, et j’espère me servir plus tard de cette inspiration pour apporter des changements positifs dans mon propre pays », a déclaré M. Madjou, qui occupe actuellement le poste de contrôleur financier chez Maersk Line.
De même, Junaid Kathrada, âgé de 29 ans, considère cette conférence comme une excellente opportunité d’apprendre auprès de leaders influents des quatre coins du globe :
« J’espère pourvoir tirer parti des expériences et connaissances des délégués, ambassadeurs et invités, et aussi établir des réseaux qui me permettront, ainsi qu’aux autres participants, de faire une différence visible au sein de nos propres sociétés », a ajouté M. Kathrada, qui travaille au sein du service à la clientèle de Safmarine à Durban.
Attirer des talents du vivier le plus large possible
Cet événement donne à Maersk une précieuse opportunité de développer et inspirer des personnes aspirant à devenir des leaders, en particulier sur les marchés à forte croissance où la concurrence pour les affaires, et les personnes talentueuses nécessaires pour les mener, est forte. Rien qu’en Afrique, le Groupe emploie plus de 10 000 personnes, et souhaiterait en attirer encore plus :
« Le Groupe Maersk est présent en Afrique depuis plus d’un siècle, et possède des bureaux dans presque tous les pays du continent. Nous visons à refléter les communautés dans lesquelles nous menons nos activités et à attirer des talents du vivier le plus large possible. Nous souhaitons renforcer encore davantage notre diversité », a commenté Deniz Kirdar True, responsable de la division Diversité et Inclusion du Groupe Maersk.
Maersk encourage les futurs leaders à faire preuve de curiosité
Le Groupe Maersk voit également la valeur de faire participer ses talents au sommet One Young World comme une façon d’élargir davantage leur horizon :
« Nous encourageons nos futurs leaders à être faire preuve de curiosité concernant les différentes façons de faire dans d’autres sociétés, dans d’autres secteurs et sur d’autres marchés. En tant que groupe, nous avons intérêt à chercher d’autres perspectives et à être prêts à remettre en question les approches traditionnelles, et je pense que le sommet One Young World offre une occasion de le faire », a conclu M. True.
Originaire de Lima, au Pérou, Patricia Pretell interviendra pendant la session plénière de One Young World sur le commerce international (prévue le 5 octobre à 8h30). Mme Pretell travaille depuis l’Amérique latine chez Damco, la branche logistique du Groupe Maersk. Les treize autres participants de Maersk représentent plusieurs activités et marchés différents du groupe, notamment l’Inde, le Brésil, l’Afrique du Sud, la Guinée, le Maroc, les Philippines, la Chine, le Pakistan, la Jordanie et le Nigeria.
La conférence, qui se tiendra du 2 au 5 octobre 2013, abordera plusieurs thèmes parmi lesquels l’éducation, le chômage des jeunes, les droits de l’homme, le commerce international, le leadership et les gouvernements, ainsi que le développement durable. Pour en savoir plus sur la conférence, rendez-vous sur le site http://www.oneyoungworld.com
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Maersk Group.
Contacts :
Pour tout complément d’information, veuillez contacter Lebo Madiba, attachée de presse lebo@prpowerhouse.co.za, +27823925339 (portable), ou Christine Drud von Haffner, partenaire de communications sénior du Groupe Maersk Christine.haffner@maersk.com, +4533631945.
A propos du Groupe Maersk
Le Groupe Maersk (http://www.maersk.com) est un conglomérat mondial opérant dans les secteurs du transport ainsi que du pétrole et du gaz. Nous sommes présents dans 130 pays, et employons environ 121 000 personnes. Quatre de nos sociétés – Maersk Line, APM Terminals, Maersk Oil et Maersk Drilling – constituent l’essentiel de nos investissements en croissance stratégique.
NEW YORK, 24 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Koffi Djondo et Tony Elumelu, deux grands hommes d’affaires africains, ont été parmi les heureux gagnants des Trophées African Business (http://www.african-business-awards.com). Cette prestigieuse cérémonie, organisée par le magazine African Business, s’est déroulée le 20 septembre en présence d’éminentes personnalités et hommes d’affaires à l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unis à New York.
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Le grand leader togolais Gervais Koffi Djondo, l’un des pères fondateurs du groupe bancaire pan-Africain Ecobank, et fondateur de la compagnie aérienne pan-Africaine Asky, a été honoré pour sa vie exemplaire et son rôle dans la création de deux géants africains de la finance et de l’aviation, qui participent activement à l’intégration régionale et continentale.
Ethiopian Airlines a obtenu le Trophée de Meilleure entreprise africaine. Cette compagnie aérienne est un modèle de réussite dans un secteur difficile et concurrentiel.
Le Trophée Icône de l’année d’African Business a été décerné au banquier nigérian et philantropiste Tony Elumelu pour sa contribution à la transformation et au progrès du monde des affaires. Bola Adesola, présidente de la banque nigériane Standard Chartered est l’heureuse gagnante du Trophée Business Woman de l’année.
Le Trophée de l’Innovation a été obtenu par Mawingu, un nouveau projet dans les télécommunications au Kenya, qui utilise les technologies sans fil innovantes et l’énergie solaire pour fournir un accès rapide au niveau national.
Le très convoité Business Leader de l’année a été décerné à Edward Boateng. En très peu de temps, cet entrepreneur influent a créé un groupe médiatique au Ghana, et a mis en place les meilleures pratiques pour le développement durable et l’environnement.
Commentant la cérémonie, Omar Ben Yedder a déclaré: « les gagnants de ce soir ont de nouveau confirmé l’existence de très grands talents dans tous les domaines à travers tout le continent africain. Le secteur privé est sans aucun doute le secteur le plus dynamique et celui qui joue le rôle le plus important dans le développement économique et social en Afrique. C’est celui qui crée des opportunités et des emplois. Des accords de partenariat commencent à voir le jour entre les gouvernements et le secteur privé. Nous sommes sur la bonne voie, comme le démontrent les succès des entreprises honorées ce soir. »
Les Trophées African Business sont organisés par le magazine African Business et IC Events. Cette cérémonie annuelle a coïncidé avec l’African Leadership Forum, qui a rassemblé les dirigeants africains pour discuter des questions de leadership et bonne gouvernance sur le continent.
Les Trophées African Business sont sponsorisés par GTBank et Mota-Engil Africa (Platine), Bank of Industry et Microsoft 4Afrika (Gold), DHL et Fasken Martineau (Silver), la Banque africaine de développement (Sponsor officiel), Paramount Group (Sponsor), et A PIN’s for PEACE (Sponsor).
Les gagnants de cette année:
Lifetime Achievement Award
Gervais Koffi Djondo, Président, Asky Airlines
African Business Icon
Tony Elumelu, Président, Heirs Holdings
Entreprise Africaine de l’année
Ethiopian Airlines, Ethiopie
Business Leader de l’année
Edward Boateng, Président, Global Media Alliance, Ghana
Business Woman de l’année
Bola Adesola, Présidente, Standard Chartered, Nigeria
Good Corporate Governance
The Abraaj Group, UAE
Trophée de l’Innovation
Mawingu, Kenya
Most Admirable and Valuable Brands in Africa…
Global Brand : Coca Cola
African Brand : MTN
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour IC Publications Ltd.
Contact:
IC Events
IC Publications Ltd
Tel: +44 (0) 20 7841 3210
Direct: +44 (0) 20 7841 3292
Email: o.okafor@icpublications.com
African Business
African Business, publié en anglais à Londres et en français à Paris, est depuis plus de 40 ans le magazine économique de référence du continent africain. Distribué dans plus de 100 pays à travers le monde, il est devenu une source d’informations essentielle pour les institutions et les entreprises qui s’intéressent au développement de l’Afrique. African Business est régulièrement cité par des économistes, des hommes politiques et des médias du monde entier. Le magazine a remporté plusieurs prix et son rédacteur en chef a reçu le titre de meilleur journaliste de l’année. IC Publications publie neuf magazines panafricains en anglais à Londres et en français à Paris.
IC Publications – IC Events
IC Publications a plus de 50 ans d’expérience dans l’édition de magazines, de newsletters, de rapports et suppléments sur les pays africains et arabes. Nos titres leaders – African Business, African Banker, New African, et New African Woman – sont publiés en anglais et en français et ont une audience de plus de 2 millions de lecteurs.
IC Events organise des forums, conférences et tables rondes sur l’Afrique.
BusinessinAfrica Events (BIAE)
BIAE est spécialisée dans la communication d’entreprise et l’organisation d’événements en Afrique.
NEW YORK, 24 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Koffi Djondo et Tony Elumelu, deux grands hommes d’affaires africains, ont été parmi les heureux gagnants des Trophées African Business (http://www.african-business-awards.com). Cette prestigieuse cérémonie, organisée par le magazine African Business, s’est déroulée le 20 septembre en présence d’éminentes personnalités et hommes d’affaires à l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unis à New York.
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Le grand leader togolais Gervais Koffi Djondo, l’un des pères fondateurs du groupe bancaire pan-Africain Ecobank, et fondateur de la compagnie aérienne pan-Africaine Asky, a été honoré pour sa vie exemplaire et son rôle dans la création de deux géants africains de la finance et de l’aviation, qui participent activement à l’intégration régionale et continentale.
Ethiopian Airlines a obtenu le Trophée de Meilleure entreprise africaine. Cette compagnie aérienne est un modèle de réussite dans un secteur difficile et concurrentiel.
Le Trophée Icône de l’année d’African Business a été décerné au banquier nigérian et philantropiste Tony Elumelu pour sa contribution à la transformation et au progrès du monde des affaires. Bola Adesola, présidente de la banque nigériane Standard Chartered est l’heureuse gagnante du Trophée Business Woman de l’année.
Le Trophée de l’Innovation a été obtenu par Mawingu, un nouveau projet dans les télécommunications au Kenya, qui utilise les technologies sans fil innovantes et l’énergie solaire pour fournir un accès rapide au niveau national.
Le très convoité Business Leader de l’année a été décerné à Edward Boateng. En très peu de temps, cet entrepreneur influent a créé un groupe médiatique au Ghana, et a mis en place les meilleures pratiques pour le développement durable et l’environnement.
Commentant la cérémonie, Omar Ben Yedder a déclaré: « les gagnants de ce soir ont de nouveau confirmé l’existence de très grands talents dans tous les domaines à travers tout le continent africain. Le secteur privé est sans aucun doute le secteur le plus dynamique et celui qui joue le rôle le plus important dans le développement économique et social en Afrique. C’est celui qui crée des opportunités et des emplois. Des accords de partenariat commencent à voir le jour entre les gouvernements et le secteur privé. Nous sommes sur la bonne voie, comme le démontrent les succès des entreprises honorées ce soir. »
Les Trophées African Business sont organisés par le magazine African Business et IC Events. Cette cérémonie annuelle a coïncidé avec l’African Leadership Forum, qui a rassemblé les dirigeants africains pour discuter des questions de leadership et bonne gouvernance sur le continent.
Les Trophées African Business sont sponsorisés par GTBank et Mota-Engil Africa (Platine), Bank of Industry et Microsoft 4Afrika (Gold), DHL et Fasken Martineau (Silver), la Banque africaine de développement (Sponsor officiel), Paramount Group (Sponsor), et A PIN’s for PEACE (Sponsor).
Les gagnants de cette année:
Lifetime Achievement Award
Gervais Koffi Djondo, Président, Asky Airlines
African Business Icon
Tony Elumelu, Président, Heirs Holdings
Entreprise Africaine de l’année
Ethiopian Airlines, Ethiopie
Business Leader de l’année
Edward Boateng, Président, Global Media Alliance, Ghana
Business Woman de l’année
Bola Adesola, Présidente, Standard Chartered, Nigeria
Good Corporate Governance
The Abraaj Group, UAE
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Mawingu, Kenya
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African Business
African Business, publié en anglais à Londres et en français à Paris, est depuis plus de 40 ans le magazine économique de référence du continent africain. Distribué dans plus de 100 pays à travers le monde, il est devenu une source d’informations essentielle pour les institutions et les entreprises qui s’intéressent au développement de l’Afrique. African Business est régulièrement cité par des économistes, des hommes politiques et des médias du monde entier. Le magazine a remporté plusieurs prix et son rédacteur en chef a reçu le titre de meilleur journaliste de l’année. IC Publications publie neuf magazines panafricains en anglais à Londres et en français à Paris.
IC Publications – IC Events
IC Publications a plus de 50 ans d’expérience dans l’édition de magazines, de newsletters, de rapports et suppléments sur les pays africains et arabes. Nos titres leaders – African Business, African Banker, New African, et New African Woman – sont publiés en anglais et en français et ont une audience de plus de 2 millions de lecteurs.
IC Events organise des forums, conférences et tables rondes sur l’Afrique.
BusinessinAfrica Events (BIAE)
BIAE est spécialisée dans la communication d’entreprise et l’organisation d’événements en Afrique.
A new World Bank and IFC report finds legal and regulatory barriers to women’s economic inclusion have decreased over the past 50 years globally, but many laws still hinder women’s participation in the economy. Laws restricting women’s economic activity are currently most prevalent in the Middle East and North Africa, Sub-Saharan Africa and South Asia.
TUNIS, Tunisie, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Aggreko (http://www.aggreko.com), le leader mondial dans la fourniture de solutions d’énergie temporaire et de régulation de température, a fourni une centrale temporaire de 120 MW à la Tunisie. Cette centrale de production d’électricité contribuera à consolider et à la garantir l’approvisionnement en électricité locale pendant la saison touristique estivale de 2013. Les capacités de production supplémentaires ont été disposées à plusieurs endroits stratégiques à travers le pays pour une période de deux mois ; elles viennent en appoint au réseau d’électricité tunisien. Les centrales Aggreko ont aidé à garantir une source d’alimentation électrique fiable et constante durant tout l’été lorsque la demande en électricité était à son plus haut niveau.
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Avec ce contrat, attribué par la Société Tunisienne d’Electricitié et du Gas (STEG), Aggreko a installé quatre centrales électriques d’une capacité de 30 MW chacune à Enfida, Mateur, Bouficha et El Jem. C’est une capacité suffisante pour approvisionner plus de 190 000 foyers tunisiens, assurer la continuité de l’alimentation en électricité dans les grandes zones industrielles peuplées et surtout tout permettre aux centres touristiques, essentiels à l’économie tunisienne, de maintenir leur niveau d’activité.
Christophe Jacquin, directeur général d’Aggreko Afrique du Nord et de l’Ouest, a déclaré : « ce projet met en lumière les capacités d’Aggreko pour non seulement fournir des solutions importantes et complexes en matière d’électricité à nos clients mais aussi de le faire à la fois rapidement et pendant des périodes relativement courtes. L’usage tactique de l’alimentation électrique temporaire en vue de traiter les pénuries d’énergie saisonnières est une option intéressante pour le grand nombre de nos clients du service public puisqu’elle leur apportera un ravitaillement essentiel tout en prenant les mesures nécessaires pour corriger les lacunes dans leurs centrales et réseaux de distribution »
« Pouvoir mobiliser et commissionner 120 MW d’énergie répartis sur quatre localités différentes en moins de deux mois est une réalisation impressionnante », a affirmé David Taylor-Smith, Directeur régional d’Aggreko en Europe, Moyen-Orient et Afrique. « La capacité de réaliser des projets d’une telle envergure dans un délai aussi court est spécifique à Aggreko et témoigne de l’expérience et du professionnalisme de nos équipes d’ingénierie et techniques »
Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Aggreko plc.
Contact presse :
Nicholas van Santen
Directeur des Relations Publiques et de la communication
Aggreko EMEA
Tél. : +971 56 682 5978
E-mail : nicholas.vansanten@aggreko.ae
A propos de Aggreko
Aggreko International (http://www.aggreko.com) est le leader mondial dans la fourniture de solutions d’énergie temporaire et de régulation de température. Basée en Écosse, Aggreko emploie plus de 5 700 personnes réparties dans 194 centres de service. En 2012, nous sommes intervenus pour des clients dans environ 100 pays et avons généré un chiffre d’affaires d’environ 1,6 milliard GBP (2,5 milliards USD ou 2,0 milliards EUR). Aggreko plc est cotée à la bourse de Londres (AGK.L) et la société est membre de l’indice FTSE-100. Pour tout complément d’information, veuillez consulter le site Internet de la société à l’adresse : http://www.aggreko.com
Aggreko fournit des solutions d’alimentation électrique et de régulation de température rapidement mobilisables, sur des courtes ou moyennes périodes. Nous pouvons par exemple fournir de l’énergie à un site industriel pour assurer la continuité de son alimentation électrique, alimenter une ville lors de pannes sur le réseau local, ou fournir des solutions d’alimentation électrique et de refroidissement à l’occasion de grands événements (sport, musique…).
Nous répondons aux besoins de nos clients à travers nos 194 centres de service à travers le monde.
Parmi nos récents clients figurent notamment les Jeux olympiques et paralympiques de Londres 2012 (http://www.aggreko.com/media-centre/press-releases/aggreko-supports-a-powerful-london-2012), les Jeux olympiques d’hiver de Vancouver 2010 (http://www.aggreko.com/events/the-olympics/vancouver-2010) et les compagnies de services publics de plus de 50 pays : Royaume-Uni, France, Angola, Kenya, Indonésie, Bangladesh, Venezuela, Chili, Brésil, États-Unis…
En 2012, nous avons répondu aux besoins de près de 45 000 clients, dont 70 % nous ont accordé une note de 9/10 ou de 10/10 lors d’une enquête de satisfaction client.
Pour plus d’informations: http://africa.aggreko.com
NEW YORK, 23 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — DHL Express (http://www.dhl.com), la première société de messageries et de colis au monde, pense que les échanges entre les États-Unis et l’Afrique subsaharienne offrent des perspectives de croissance, du fait que ces deux régions se basent sur la récente directive de politique présidentielle américaine (Presidential Policy Directive, PPD) pour parvenir au développement durable par le biais de l’accroissement des échanges et des investissements.
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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/charles-brewer.jpg (Charles Brewer, Managing Director for DHL Express Sub-Saharan Africa)
« Nous avons déjà assisté à cette expansion du commerce dans des pays spécifiques du continent, parce qu’ils bénéficient d’accords commerciaux préférentiels et d’un changement de politique mis en œuvre par l’État, visant à augmenter leurs exportations et importations avec les États-Unis » déclare Charles Brewer, Directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne. M. Brewer est actuellement en visite aux États-Unis en vue de rencontrer des principaux intervenants et des multinationales et pour promouvoir le commerce entre les deux régions.
Les chiffres publiés récemment par le Fonds monétaire international (FMI) ainsi que la performance de la Société montrent des perspectives économiques extrêmement positives pour l’Afrique. Les chiffres mettent également en évidence le fait que l’Afrique paraît moins confrontée aux aléas de l’économie mondiale que d’autres régions, du fait de la diversification de ses partenaires commerciaux.
« Depuis 2001, de nombreux pays africains ont connu un important changement de cap en termes de partenaires commerciaux », remarque M. Brewer. « Tandis que notre commerce intra-africain et avec l’Asie s’est intensifié de manière significative, nous avons réduit notre dépendance envers l’Europe. La prochaine région de croissance sera les États-Unis et nous sommes ravis de constater que le gouvernement américain est prêt à supprimer les barrières commerciales pour y parvenir ».
Le rapport sur les Perspectives économiques pour l’Afrique subsaharienne du FMI indique des prévisions d’augmentation de l’activité économique de 5 % dans cette région en 2012 et 2013, un rythme analogue à celui observé en 2010–11. Les marchés principaux à l’origine de cette croissance sont le Nigéria, le Ghana, le Mozambique, l’Île Maurice et l’Afrique du Sud.
La société de colis a vu un tableau analogue se profiler entre les États-Unis et diverses routes commerciales africaines bénéficiant d’économies plus importantes et plus développées telles que l’Afrique du Sud, le Nigeria, l’Éthiopie, le Kenya, le Ghana et l’Angola et qui peuvent se vanter d’une forte croissance à deux chiffres à la fois en ce qui concerne les volumes entrants et sortants.
Cependant, si l’on se base sur les chiffres de l’exportation, ce sont les plus petites économies émergentes qui enregistrent l’essor le plus important, où la Somalie, Mayotte, la Guinée-Bissau et le sud du Soudan constatent une augmentation fulgurante des importations provenant des États-Unis. Par ailleurs, les Comores, l’Érythrée, le sud du Soudan et le Libéria reçoivent une demande croissante en termes d’exportations vers les États-Unis.
« Les États-Unis et l’Afrique ont toujours bénéficié de conditions commerciales favorables basées sur la croissance africaine et sur la loi sur les opportunités économiques en Afrique (AGOA) de 2000 », a déclaré Ian Clough, Président de DHL Express aux États-Unis. « Nous sommes convaincus qu’une fois la législation révisée, aussi bien les États-Unis que les entreprises africaines en quête d’opportunités commerciales transfrontalières bénéficieront de nouveaux avantages ».
Selon des statistiques publiées par le Forum de l’AGOA à Addis-Abeba le mois dernier, le total des échanges commerciaux des États-Unis avec l’Afrique subsaharienne (exportations plus importations ) a progressé de plus de 250 %, passant de 28,2 milliards de dollars en 2001, la première année complète d’échanges commerciaux dans le cadre de l’AGOA, à 72,3 milliards de dollars en 2012.
« Il ne fait aucun doute qu’il existe un engagement en termes de croissance commerciale de la part des gouvernements respectifs et que ces chiffres continueront à progresser », conclut M. Brewer. « C’est maintenant au tour du secteur privé et des milliers de PME en quête d’opportunités de profiter de cette croissance et de développer leurs activités sur cette route commerciale lucrative ».
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DHL – La société de logistique du monde (The Logistics company for the world)
DHL (http://www.dhl.com) est le leader mondial du marché de la logistique et « la société de logistique du monde (The Logistics company for the world) ». DHL met son expertise dans le domaine des services express internationaux, du fret aérien et maritime, du transport routier ou ferroviaire, de la logistique contractuelle et du courrier international, au service de ses clients. Un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, et d’environ 285 000 salariés dans le monde entier, offre à ses clients un service de qualité de haut niveau et une connaissance du terrain, permettant de satisfaire aux exigences dictées par leurs chaînes d’approvisionnement. DHL assume sa responsabilité sociale en soutenant la lutte contre le changement climatique, la gestion des catastrophes naturelles et l’éducation.
DHL fait partie de Deutsche Post DHL. Le groupe a enregistré des recettes d’un montant supérieur à 55 milliards d’euros en 2012.
The Joint Africa-EU Strategy (JAES) – adopted in Lisbon in 2007 – was supposed to lay the foundations and principles of a paradigm shift in the relationship between Africa and Europe mainly based on aid dependence and the creed of free trade since the Cotonou Agreement signed in 2000.
LAGOS, Nigeria, 19 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — S’appuyant sur ses années fructueuses de partenariat avec Hilton Worldwide, Transnational Corporation of Nigeria Plc (Transcorp), conglomérat coté en bourse, a annoncé aujourd’hui le développement d’un nouvel hôtel de premier choix dans la banlieue chic d’Ikoyi à Lagos.
Photo: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=633 (Tony O. Elumelu, Prédident de Heirs Holdings etTranscorp (à gauche) et Rudi Jagersbacher, Président de Hilton Worldwide Middle East & Africa, signent l’accord portant sur le Transcorp Hilton Ikoyi, au siège de Heirs Place, à Lagos, hier)
Logo Heirs Holdings: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/heirs-holdings.jpg
L’hôtel Transcorp Hilton Lagos proposé, comptant 350 chambres et offrant un service complet sur Glover Road, à Ikoyi, sera le deuxième hôtel du Groupe Hilton au Nigeria par Transcorp, après le Transcorp Hilton Hotel Abuja primé, qui est l’un des leaders du réseau mondial d’Hilton. Ce nouvel hôtel sera conjointement détenu par Transnational Hotels et Tourism Services Ltd, branche hôtelière de Transcorp, et Heirs Holdings, société d’investissement par actions pan-africaine présidée par le dirigeant commercial africain, Tony O. Elumelu, Commandant de l’ordre nigérian.
S’exprimant lors de la signature officielle du contrat de gestion entre les deux parties, qui s’est déroulée dans les bureaux d’Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com) à Lagos, M. Elumelu a déclaré : « Cet accord représente une nouvelle étape décisive de notre partenariat de longue date avec Hilton Worldwide. Le développement d’Ikoyi, ainsi que la rénovation et la mise à niveau complètes de nos hôtels existants à Calabar et Abuja, démontrent l’engagement d’Heirs Holdings à stimuler la croissance de l’immobilier et de l’hôtellerie, des secteurs stratégiques pour le développement économique du Nigeria. Le nouveau Transcorp Hilton Lagos présentera non seulement un nouveau lieu de classe mondiale au nombre croissant d’investisseurs, d’hommes d’affaires et de touristes au Nigeria, mais créera également des emplois réellement nécessaires pour nos citoyens, permettant leur développement social et économique. »
Dans ses remarques, Valentine Ozigbo, PDG de THTSL, a affirmé que le Transcorp Hilton Lagos réaliserait enfin le souhait des nombreux clients Hilton Honors visitant la ville, à savoir leur offrir un établissement de classe mondiale de leur marque préférée à Lagos.
Les travaux complets de construction du nouvel hôtel débuteront au début de l’année prochaine. L’hôtel disposera de salles de conférence, de salles de réunion, de salles de gymnastique et de spas bien équipés, ainsi que d’une piscine au design emblématique qui ajoutera à coup sûr une certaine verve au paysage de Lagos.
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Pour de plus amples informations, veuillez contacter :
Dupe Olusola
Directrice des ressources
Transnational Corporation of Nigeria Plc
E-mail : dolusola@transcorpnigeria.com
Téléphone : +234 (0)1 903 3946
À propos de Transcorp
Transnational Corporation of Nigeria Plc (Transcorp) est un conglomérat coté en bourse possédant une base d’actionnaires diversifiée comptant plus de 300 000 investisseurs, dont le plus important est Heirs Holdings Limited, une société d’investissement par actions pan-africaine. Le portefeuille de Transcorp comprend des investissements stratégiques dans les secteurs de l’hôtellerie, de l’agroalimentaire et de l’énergie. Nos entreprises notables comprennent Transcorp Hilton Hotel, Abuja ; Transcorp Hotels, Calabar ; Teragro Commodities Limited, opérateur de l’usine Teragro Benfruit – la première usine de concentré de jus du Nigeria ; et Transcorp Ughelli Power. Pour tout complément d’information sur Transcorp, veuillez consulter le site http://www.transcorpnigeria.com
À propos d’Heirs Holdings Limited
Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com) est une société d’investissement par actions pan-africaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.
À propos d’Hilton Hotels & Resorts
L’un des noms les plus reconnus de l’industrie, Hilton Hotels & Resorts est le leader mondial haut de gamme et innovant du secteur hôtelier. Depuis les bals d’investiture et les cérémonies de remise de prix à Hollywood aux événements d’entreprises, en passant par les événements marquants de la vie courante, Hilton est là où le monde marque l’histoire, conclut un contrat, célèbre des occasions spéciales et se détend. La marque vedette d’Hilton Worldwide continue de s’appuyer sur son héritage d’innovation en développant des produits et services qui répondent aux besoins des voyageurs mondiaux avisés de l’avenir, alors que plus de 144 000 collaborateurs façonnent des expériences permettant aux gens de se sentir choyés, estimés et respectés. Aujourd’hui, le portefeuille d’Hilton Hotels & Resorts comprend plus de 550 hôtels dans 80 pays et la marque reste synonyme d’« hôtel ». Consultez les toutes dernières actualités relatives à Hilton à l’adresse http://news.hilton.com ou débutez votre voyage sur le site http://www.hilton.com. Les utilisateurs de médias sociaux peuvent contacter Hilton via http://www.twitter.com/hiltonhotels, http://www.facebook.com/hilton et http://www.youtube.com/hilton. Hilton Hotels & Resorts est l’une des dix marques leaders sur le marché d’Hilton Worldwide.
Bank of Africa, a consortium owned by moroccan BMCE Bank, has expressed it’s intention to acquiert the Nigerian Unity Bank PLC through a partenership of a Lagos-based Verod Consortium and Development Partners International (DPI).
RUEIL-MALMAISON, France, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Schneider Electric (http://www.schneider-electric.com), spécialiste mondial de la gestion de l’énergie, a été classé parmi les 50 employeurs préférés des étudiants selon l’index World’s Most Attractive Employers du cabinet Universum le spécialiste mondial de la marque employeur. Classé 45ème auprès des étudiants en écoles d’ingénieurs, le Groupe se distingue comme un employeur idéal dans les domaines de l’ingénierie et de la production.
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Le classement World’s Most Attractive Employers d’Universum est établi sur la base d’une étude effectuée auprès de 200 000 étudiants en école de commerce ou d’ingénieurs dans 12 plus importantes économies mondiales: l’Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, la France, l’Allemagne, l’Inde, l’Italie, le Japon, la Russie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis. Les étudiants sont appelés à se prononcer sur les entreprises dans lesquelles ils souhaiteraient travailler, puis à choisir leurs 5 employeurs idéaux.
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Contact Presse :
Schneider Electric
Sophie Souquet
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Schneider Electric France
Jean-Pierre Gherardi
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Havas Worldwide Paris
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ABUJA, Nigeria, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le président Goodluck Jonathan a déclaré que la compétitivité des entreprises du Nigeria et sa capacité à attirer des investissements tant locaux qu’internationaux sera sensiblement améliorée grâce à la nomination de l’ex-banquier Chika Mordi au poste de premier chef exécutif du comité national pour la concurrence du Nigeria (National Competitiveness Council of Nigeria – NCCN).
Le président Jonathan, qui a récemment mis en place le NCCN, a déclaré :« Cette étape importante, de la part du comité national pour la concurrence, prouve l’engagement du Nigeria à transformer rapidement l’activité commerciale et à accroître la productivité au Nigeria »
Le président Jonathan a inauguré le Conseil plus tôt cette année, avec le ministre du commerce et de l’investissement, Olusegun Aganga en qualité de président, et Tony O. Elumelu, président de Heirs Holdings, qui représente le secteur privé en tant que vice-président. Parmi les autres membres provenant des communautés internationales et nigérianes, on peut nommer, entre autres : Michael Porter, Aliko Dangote, Lynda Chalker, et le Dr. Juan E. Pardinas, directeur de l’Institut mexicain de la compétitivité.
M. Aganga, un acteur de premier plan de l’équipe de transformation du président, a déclaré : « Nous sommes fiers d’avoir M. Mordi à la tête des affaires du Conseil. Son parcours remarquable prouve qu’il possède l’expérience, les capacités intellectuelles et l’ambition nécessaires pour permettre au Nigeria d’obtenir une stature économique mondiale »
Mordi dirigera un organisme placé sur un plan stratégique, appartenant à une politique plus large de l’administration de Jonathan qui vise à améliorer de façon radicale la capacité des entreprises locales et internationales à contrôler et à exploiter les affaires au Nigeria, le pays le plus peuplé d’Afrique qui abrite l’un des plus importants marchés de consommation au monde. Ces résultats seront évalués par l’indice de compétitivité internationale du Forum économique mondial du Nigeria et par le classement de l’indice Doing Business de la Banque mondiale, indices qui sont des références internationalement reconnues pour l’ouverture de l’économie d’un pays.
Selon la Banque mondiale, les pays qui mènent avec succès des réformes et qui sont capables d’anticiper les obstacles réglementaires enregistrent une meilleure performance économique, créent plus d’emplois et ont un meilleur niveau de vie.
M. Elumelu, également fondateur de la Tony Elumelu Foundation, qui a accordé une subvention de démarrage au Conseil, a déclaré : « La compétitivité est une condition préalable aux fins du développement d’un pays. Le NCCN travaille à la création d’un environnement favorable pour permettre au secteur privé de se développer. C’est la seule solution durable qui permettra le développement du Nigeria et de l’Afrique. M. Mordi offre un ensemble de compétences et de solides références, qui me confortent dans le fait que nos objectifs seront atteints »
Le Conseil a choisi M. Mordi via un processus de recrutement publié à l’échelle internationale, où se sont présentées un certain nombre de personnes très talentueuses. Il est le fondateur de Accender Africa, une organisation à but non lucratif basée à Washington, D.C. qui cherche à utiliser les nouveaux outils de communication pour augmenter la transparence au sein du gouvernement, avec pour objectif la lutte contre la pauvreté.
« Je suis fier de pouvoir contribuer de manière significative au développement du Nigeria et à son profil commercial mondial. Le secteur privé joue un rôle déterminant dans la création de la croissance durable, réduisant ainsi la pauvreté et stimulant la prospérité collective des Nigérians. Le NCCN est intrinsèque à garantir la mise en place de bonnes conditions qui permettront de sécuriser le futur du Nigeria ; c’est avec beaucoup d’enthousiasme que j’entends relever le défi », a déclaré M. Mordi.
M. Mordi, banquier professionnel, travaille depuis plus de vingt ans dans le secteur financier et a joué un rôle clé dans la transformation spectaculaire du secteur des services financiers du Nigeria, y compris le repositionnement de United Bank for Africa Plc en tant que l’une des grandes institutions financières africaines. Il a aussi contribué à l’incubation de plusieurs entreprises au Nigeria et au Ghana, et au cours de sa carrière en banque d’affaires, il a géré des opérations historiques en Afrique subsaharienne en matière d’actions, de revenus fixes, de financement d’entreprises, de conversion de dettes et de privatisation.
M. Mordi a une formation d’économiste et est diplômé de l’Université d’Ilorin, de l’IESE Business School, de l’Harvard Kennedy School, de l’American University’s Graduate School of Communications et de la John Hopkins School of Advanced International Studies. Il a également participé au programme de gestion avancée de la Harvard Business School.
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Pour plus de renseignements :
Moky Makura
Directrice du marketing et des communications d’entreprise
Heirs Holdings
E-mail : moky.makura@heirsholdings.com
www.heirsholdings.com
DAKAR, Sénégal, 18 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — L’Organisation de la Presse Africaine (APO) (http://www.apo-opa.com), le leader mondial de la diffusion de communiqués de presse en Afrique, a annoncé aujourd’hui le triplement de sa capacité d’envoi de communiqués de presse par e-mail, qui atteint désormais 1 million d’e-mails par jour.
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Ce nouvel investissement va permettre à l’APO de répondre à la demande croissante en diffusion de communiqués de presse en Afrique, grâce à une plateforme de diffusion extrêmement fiable et compétitive, et de consolider ainsi son leadership technologique et commercial, marqué par le succès d’Africa Wire®, le service de distribution de communiqués de presse et de monitoring en Afrique (http://www.apo-opa.com/our-services/press-release-distribution-monitoring).
L’APO offre notamment à ses clients la possibilité d’enrichir leurs communiqués de presse diffusés par e-mail en y ajoutant gratuitement du contenu multimédia tels que des photos, des vidéos, des fichiers audio, des liens et des documents.
Les communiqués de presse comportant des éléments multimédia génèrent des taux de lecture largement supérieurs à des communiqués de presse composés uniquement de texte.
Considéré comme un expéditeur de gros volumes d’e-mails, l’APO respecte les meilleures pratiques en matière d’envoi d’e-mails et jouit d’une excellente réputation en tant qu’expéditeur d’e-mails avec un Sender Score stable de 99/100*, garantissant ainsi un très bon taux de délivrabilité des e-mails.
« En réponse à la demande croissantes en diffusion de communiqués de presse en Afrique, nous sommes ravis de pouvoir accompagner nos clients en renforçant notre capacité d’envoi de communiqués de presse par e-mail », a déclaré la Directrice générale de l’APO, Eloïne Barry.
L’APO administre Africa Wire®, le service de distribution et de monitoring de communiqués de presse en Afrique (http://www.apo-opa.com/our-services/press-release-distribution-monitoring), qui atteint plus de 25.000 contacts auprès des médias, blogueurs et réseaux sociaux, et redistribue du contenu à plus de 50 sites Web africains, ainsi qu’à Bloomberg Terminal, Lexis Nexis, Dow Jones Factiva et bien d’autres.
Utilisé par certaines des plus importantes sociétés et institutions au monde, notamment DHL, Microsoft, Mastercard et la Banque africaine de développement, Africa Wire® garantit la diffusion la plus vaste en Afrique, aidant les clients de l’APO à interagir avec leurs clients dans le monde entier.
* Selon Return Path (www.returnpath.com), leader mondial de la veille appliquée à la messagerie.
Contact:
Aïssatou Diallo
bdm@apo-opa.org
+41 22 534 96 97
A propos de l’APO
L’Organisation de la Presse Africaine (APO) (http://www.apo-opa.com) est le leader mondial de la diffusion de communiqués de presse en Afrique, et des relations presse liée à l’Afrique.
L’Organisation de la Presse Africaine administre un fichier presse de plus de 25 000 contacts et offre une gamme complète de services de relations presse, tels que diffusion de communiqués de presse et monitoring, visioconférence de presse, webcasting, médiatisation d’événements internationaux, veille media internationale, conseil stratégique, diplomatie publique, et relations avec les gouvernements.
L’Organisation de la Presse Africaine fournit des services gratuits aux journalistes africains, des services de relations presse innovants aux Autorités Publiques, aux entreprises, et contribue à la communication stratégique de la plupart des institutions internationales liées à l’Afrique. Plus d’information sur http://www.apo-opa.com
Addis Ababa, 09 September 2013 (ECA) – The African Alliance for e-Commerce (AACE) and the Malagasy Customs are organizing the 3rd International Single Window Conference and Exhibition from September 16 to 18 in Antananarivo, the capital city of Madagascar. About 150 delegates from within and outside Africa are expected to attend the event. They include officials in charge of the economy, trade, transport, information and communication technologies and departments responsible for border control in African countries. Others are representatives of donors, airport and seaport authorities, shipping lines, land-based and air-freight transport companies; stevedoring operators and container terminals; banks and insurance…
Nairobi, 16 September 2013 – The Intergovernmental Authority on Development (IGAD) will launch its Sustainable Tourism Master Plan (STMP) as an instrumental blueprint to enhance regional integration in Eastern Africa and improve regional destination competitiveness. The IGAD Tourism Master Plan was developed through the technical support provided by the Economic Commission for Africa (ECA). th of October 2013 in Nairobi, Kenya.
TUNIS, Tunisie, 14 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, le 11 Septembre 2013 à Tunis, l’octroi de subventions à l’Union des Comores, à hauteur de 20,1 millions de dollars US, pour renforcer la fourniture en énergie électrique du pays dans le cadre d’un Projet d’appui au secteur de l’énergie.
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Ce financement est dégagé des ressources de la BAD : 8,3 millions de dollars US, du Fonds africain de développement (FAD) et 12,1 millions de dollars US de la Facilité des Etats fragiles.
Le projet doit être mis en œuvre dans les trois îles principales du pays (Grande Comore, Anjouan et Mohéli). Il s’inscrit dans les actions entreprises par le gouvernement pour améliorer les performances et promouvoir le développement du secteur de l’énergie.
Le Projet d’appui au secteur de l’énergie va permettre une alimentation électrique fiable grâce à une meilleure capacité de production, la réduction du niveau des pertes techniques et commerciales et le renforcement des capacités du secteur de l’énergie. La mise en œuvre de ce projet, prévue sur une durée de 38 mois, constitue également une étape importante pour doter l’Union des Comores des études nécessaires à l’exploitation de son potentiel en énergies renouvelables, jetant ainsi les bases d’une croissance verte dans un état fragile.
Il permettra également de réhabiliter les installations de production dans les trois îles, de contribuer à améliorer la gouvernance financière par le renforcement des capacités dans le sous-secteur de l’électricité, et de promouvoir la préparation du futur projet d’énergie renouvelable par la réalisation d’études appropriées.
Les composantes du projet sont principalement: l’appui à la réhabilitation et à la mise en œuvre technique, la composition de l’énergie, l’efficacité énergétique, et le renforcement des capacités.
Le projet est en adéquation avec les priorités définies par la Stratégie de la Croissance et de Réduction de la Pauvreté (SCRP 2009-2014) des Comores. Ce documenti fait de la promotion de la stabilité macroéconomique et de la gouvernance, deux de ses quatre centres d’intérêt. le projet est également compatible avec les priorités énoncées dans l’Initiative nationale pour le développement social (INDS 2011-2015) cherchant à promouvoir la croissance, la compétitivité et l’emploi en ciblant les secteurs de l’énergie et des infrastructures ; et à renforcer le secteur privé par l’amélioration de la production de l’électricité.
Ce projet permettra également de compléter la stratégie de la vice-présidence de l’Union des Comores en charge de l’énergie qui a défini des plans pour mettre en œuvre la politique de développement de l’électricité et du secteur des produits pétroliers. Ceci passe par l’augmentation du taux d’électrification et la réalisation de 40 % de réduction du coût de production d’électricité d’ici 2015 par rapport au niveau de 2012.
Pour sa part, et selon le document de stratégie pays (DSP) pour la période 2011-2015, l’assistance du Groupe de la Banque aux Comores est uniquement axée sur un seul pilier, le développement du secteur de l’énergie et l’appui à la diversification économique. Le DSP inclut également le renforcement du secteur de l’énergie renouvelable, qu’il juge nécessaire pour améliorer la compétitivité du pays. L’exploitation accrue du potentiel des énergies renouvelables dans le cadre d’une politique énergétique durable est identifiée dans le DSP comme un effet de levier qui pourrait aider à promouvoir le développement économique en réduisant le coût de production et le prix de l’électricité.
Dans l’ensemble, le projet permettra à la Banque d’appuyer les efforts du gouvernement comorien en vue de restructurer le secteur de l’énergie, notamment en matière d’accès à l’électricité, en vue d’améliorer les conditions de vie de la population et des entreprises travaillant dans la zone d’influence du projet.
Le projet est cofinancé par la Banque mondiale, à hauteur de 5 millions de dollars US.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Contact technique : Youssef Arfaoui, chief renewable energy specialist, +216 71 10 23 08; y.arfaoui@afdb.org
Contact media : Pénélope Pontet de Fouquières, T. +216 71 10 19 96; p.pontetdefouquieres@afdb.org
TUNIS, Tunisie, 14 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, le mercredi 11 Septembre 2013 à Tunis, un prêt et une subvention d’un montant total de 16,66 millions de dollars US, pour financer le deuxième projet de réhabilitation et d’extension des réseaux électriques de Conakry (PREREC2), la capitale guinéenne.
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Le projet contribuera à améliorer la gouvernance et la gestion commerciale de la société Electricité de Guinée (EDG), à appuyer le gouvernement dans la réforme du sous-secteur de l’électricité et à étendre le réseau de distribution énergétique à 12 quartiers des communes de Ratoma et de Matoto à Conakry.
PREREC2 fait suite au premier projet, PREREC1, en cours d’achèvement dans 30 autres quartiers des mêmes communes et dont l’exécution a permis d’améliorer considérablement la qualité de l’électricité fournie aux consommateurs.
Les objectifs spécifiques du PREREC2 sont d’une part, de connecter 40.000 abonnés grâce à l’installation de compteurs prépayés ; réduire le taux de pertes globales dans la zone du projet de 49% à 15% . D’autre part, il s’agit de renforcer la gestion financière d’EDG en instituant un contrôle et un équilibre financier tout en’améliorantt sa gestion commerciale avec l’ augmentation du taux de facturation de 51% à 85% et de celui durecouvrement de 80% à 95% dans la zone du projet.
Le projet est en adéquation avec les piliers 1, 3 et 4 du troisième Document de stratégie de réduction de la pauvreté de la Guinée (DSRP III) pour la période 2013-2015. Ce document met l’accent sur la gouvernance et le renforcement des capacités humaines et institutionnelles. Il s’agit également d’appuyerl’accélération , la diversification et la croissance durable. En outre,l’effort portera surle développement des infrastructures pour soutenir la croissance et l’amélioration de l’accès aux services sociaux de base et la résilience des ménages dont l’un des sous-piliers est «l’amélioration de l’accès aux services énergétiques dans les zones urbaines et suburbaines. «
L’expertise de la Banque dans la définition et la mise en œuvre de projets similaires dans les pays et dans la sous-région, ainsi que les consultations avec des partenaires internationaux ont joué un rôle déterminant dans la conception du projet. L’accent est mis sur l’amélioration de la gouvernance et le renforcement des capacités humaines et institutionnelles pour assurer, de façon durable, la viabilité de l’infrastructure. L’intervention de la Banque aidera également à lever des fonds auprès d’autres partenaires techniques et financiers du pays.
La zone d’influence du projet couvre les communes de Ratoma et Matoto, avec une population estimée à 1,4 million d’habitants dont 52,1% de femmes. Elle compte également près de 2.300 très petites entreprises (TPE) artisanales et commerciales, une quarantaine d’usines et quelque 141 associations féminines actives. Les bénéficiaires directs du projet sont les 40.000 abonnés composés de ménages, d’associations féminines et de très petites entreprises commerciales et industrielles qui seront connectés au nouveau réseau électrique. Les principaux résultats attendus sont l’accès à un service d’électricité de qualité et l’amélioration d’un environnement qui soit plus propice au développement des activités socio-économiques.
Le coût total du projet est estimé à 32,8 millions de dollars US. Il est cofinancé par la Banque islamique de développement (BID) et le gouvernement guinéen. Le projet sera mis en œuvre de 2013 à 2017.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Contact technique: Pierre Djaigbe, Principal Energy Officer ; p.djaigbe@afdb.org
Contact médias : Pénélope Pontet de Fouquières , T. +216 71 10 19 96 ; p.pontetdefouquieres@afdb.org
FREETOWN, Sierra Leone, 12 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Aujourd’hui, les événements solennels avec la participation du Président de Sierra Leone, Ernest Bai Koroma, le vice-ministre des Affaires Etrangères de la Russie, Guennadi Gatilov et le président de la compagnie LUKOIL Overseas (http://www.lukoil.com), Andrey Kuzyaev, se sont déroulés en République de Sierra Leone à l’occasion du démarrage d’un nouveau programme de forage d’exploration mené par la compagnie LUKOIL sur le bloc SL-5-11 dans l’offshore de l’Afrique de l’Ouest.
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La cérémonie de lancement s’est déroulée sur la plate-forme Eirik Raude qui a entamé le forage d’un puits profond sur la structure Savannah. La profondeur totale d’étude du puits d’exploration est estimée à plus de 4 700 m avec une profondeur d’eau de plus de 2 000 m.
La plate-forme Eirik Raude est la plus grande plate-forme marine du monde à autopropulseur de 5ième génération. Sa hauteur est de 122 m, sa longueur fait 119 m, sa largeur mesure 85 m, son tirant d’eau est de 52 500 tonnes, sa vitesse atteint 7 nœuds, l’équipage est de 120 personnes.
En juillet 2011, la compagnie LUKOIL Overseas, qui gère les projets d’exploration et de production de LUKOIL, a signé le CPP (Contrat de Partage et de Production) relatif à l’exploration et à l’exploitation du bloc SL-5-11 en tant qu’Opérateur (avec 49% des parts). Les autres participants au projet sont la compagnie nigériane Oranto Petroleum (30%) et PanAtlantic (21%).
Le bloc SL-5-11 avec une superficie de 4022 Km2 est situé sur le plateau continental et le talus continental de l’océan atlantique à des profondeurs d’eau variant de 100 à 3300 m. Sur ce bloc, des recherches sismiques 2D et 3D ont été réalisées sur une superficie de 1500 Km2, mettant en évidence quelques structures prometteuses. Le bloc fait partie du bassin sédimentaire Sierra Leone – Libéria ayant été marqué par quelques découvertes pétrolières et gazières ces dernières années.
Un contrat typique d’exploration et d’exploitation d’une période de 30 ans a été signé sur ce bloc. Le programme d’exploration prévoit la réinterprétation des données sismiques précédemment acquises, la prospection électrique et le forage d’un puits d’exploration.
L’étape actuelle des travaux d’exploration court jusqu’au 31 décembre 2013. La composition de l’étape suivante de l’exploration dépendra des résultats du forage.
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The celebration of fifty years of Pan-African institutional history is a time for reflection. Like the famous mythical Sankofa bird symbol, Africans must look into their past to create their future; acknowledging our previous mistakes and learning from them but also celebrating our successes and building on them. By Carlos Lopes
«Annelies Ilena» anciennement connu sous l’appellation «Atlantic Dawn», un bateau de pêche qualifié de « véritable monstre des mers » a été signalé dans les eaux mauritaniennes fin août/début septembre. Une présence qui pousse l’ONG Greenpeace Afrique, des organisations professionnelles de pêche et de la société civile, à tirer la sonnette d’alarme dans une déclaration conjointe.
Par Youcef MAALLEMI- Alger La cérémonie d’ouverture de la 22e Conférence régionale africaine d’Interpol s’est tenue en présence du directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), le général major Abdelghani Hamel, du Secrétaire général d’Interpol, Ronald Kenneth Noble, et du vice-président de la région Afrique, Mohamed Amadou.La «Lutte contre le trafic des stupéfiants nécessite plus de coopération et d’échanges d’information», a souligné la présidente d’Interpol, Mme Mireille Ballestrazzi. La présidente d’Interpol a souligné qu’une nouvelle stratégie a été adoptée pour la période 2014-2016, tout en mettant l’accent sur les priorités accordées essentiellement au démantèlement des filières criminelles, notamment grâce à l’accès…
TUNIS, Tunisie, 11 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Dans sa note économique intitulée « Passage du statut d’Etat rentier à l’économie productive : planification du développement dans la Libye de l’après-guerre civile », le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) analyse le changement qui doit s’opérer en Libye au moment où, au lendemain de la guerre civile, le pays s’apprête à s’engager dans un processus de planification économique à long terme. Ce changement consiste à passer d’une économie reposant essentiellement sur les recettes pétrolières dans le cadre d’un système quasi dépourvu d’institutions nationales, vers le développement d’un nouvel État, dont les institutions économiques s’allient de manière plus inclusive et plus intégrée.
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La note inclue une série de recommandations, afin de catalyser les efforts de planification de la Libye nouvelle.
La note souligne, tout d’abord, la nécessité d’améliorer les connaissances des institutions. Dans cette perspective, il importe de développer les capacités de collecte d’informations afin de doter l’État de moyens d’élaboration de politiques de développement plus importants, et de prévoir une collecte centralisée de l’information, disponible pour le grand public.
Par ailleurs, la note met l’accent sur le besoin d’améliorer la gouvernance de l’économie. Le document suggère de créer des équipes indépendantes, chargées de la gestion de la richesse et des fonds d’investissement souverains, et de décentraliser l’économie nationale partout où cela est possible et réalisable.
Concernant l’environnement des affaires du pays, le document souligne l’importance d’élaborer, de renforcer et de rendre publics des codes d’investissement, de rationnaliser davantage la bureaucratie du pays, et de soutenir les efforts en cours visant à réformer le secteur bancaire.
Pour finir, s’agissant du rôle de l’État et du secteur privé, la note suggère de concevoir des scénarios pour le désengagement de l’État – à l’exclusion du secteur pétrolier. Ceci passe par le développement d’autres initiatives en faveur du secteur privé, et l’élaboration d’autres plans pour favoriser une plus grande diversification de l’économie tout en concevant des filets solides de protection sociale.
Le document souligne les progrès que le pays a accomplis, en s’attachant à bâtir des institutions et à leur donner une impulsion un an après la fin de la guerre. La banque plaide ainsi en faveur de ce changement, estimant qu’une telle initiative pourrait aider à faire évoluer la situation économique et sociale du pays.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Contact: Vincent Castel, Principal Program Coordinator for Tunisia, ORNA: v.castel@afdb.org
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : http://www.afdb.org
TUNIS, Tunisie, 11 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) a approuvé, ce mercredi 11 septembre, l’octroi de 120 millions de dollars EU sous forme de ligne de crédit (LDC) multisectorielle, et d’un prêt subordonné de 30 millions de dollars EU à Mauritius Commercial Bank (MCB). Cette enveloppe financière permettra à MCB d’augmenter son portefeuille de prêts en devises destinés aux grandes et moyennes entreprises opérant sur l’île Maurice, dans les pays voisins et en Afrique continentale, favorisant ainsi une croissance durable et inclusive grâce au développement du secteur privé dans la région.
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MCB Group est la plus importante institution financière de l’île Maurice, avec plus de 7 milliards de dollars EU d’actifs au total et 940 millions de dollars EU environ en fonds propres. Fondé il y a 175 ans, le groupe est une institution financière régionale respectée, avec des filiales à Madagascar, au Mozambique, aux Seychelles et aux Maldives. Doté de bureaux de représentation à Paris et Johannesburg, MCB est aussi présent, grâce à ses associés, à la Réunion et à Mayotte. Son portefeuille continental comprend des opérations dans plusieurs pays d’Afrique.
L’enveloppe financière ainsi octroyée aidera MCB à répondre à ses besoins de financement en devises et à renforcer sa base de capital, tout en lui permettant de mettre œuvre le plan de croissance de son activité continentale. MCB pourra également offrir des financements pour des projets à long terme qui bénéficieront aux pays membres régionaux où le groupe est impliqué, ou en participant à des transactions syndiquées en mettant l’accent sur des projets dans des secteurs clés et qui respectent la croissance verte et les critères de croissance inclusive.
La facilité financière proposée est dans le droit fil de la stratégie du gouvernement mauricien pour 2012-2015, qui vise à accroître et à diversifier le secteur privé, ainsi qu’à développer le secteur financier. Aussi, devrait-elle avoir des impacts positifs sur le développement du secteur privé et la création d’emplois. Elle favorisera également une hausse des impôts et des recettes publiques sur le continent, notamment en Afrique orientale et australe. En outre, les produits de l’enveloppe financière bénéficieront aux projets susceptibles d’avoir de forts impacts sur le développement et la promotion de l’intégration régionale en Afrique.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Contacts :
Sabrina Hadjadj Aoul, chargée de communication, T. +216 71 10 26 21 / C. +216 98 70 98 43 / s.hadjadjaoul@afdb.org
Salah Babale, chargé d’investissement, T. +216 71 10 23 43/ s.babale@afdb.org
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’information : j.mp/AfDB_Media
MAPUTO, Mozambique, 9 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ —
Une nouvelle publication qui met en évidence les domaines critiques nécessitant interventions et investissements
Aujourd’hui, l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) (http://www.agra.org) lance son premier rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique.
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Le Rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique examine en profondeur la chaîne de valeur des cultures vivrières – de la salle de classe, au champ et puis au marché – dans 16 pays de par le continent.
Le rapport fait le recueil de données et d’analyses provenant de plus de 15 organisations nationales et internationales, notamment les ministères de l’agriculture, la Banque mondiale, l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture et le Fonds international pour le développement de l’agriculture. Il restitue des données dans un format accessible et cohérent, en dégageant un point de repère par rapport auquel on peut suivre l’évolution de l’agriculture en Afrique.
L’édition inaugurale du Rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique se concentre sur les cultures vivrières telles que les céréales et tubercules, dont environ 75% sont produites en Afrique et non importées.
Le rapport révèle que:
• Quoi qu’un certain nombre de pays investissent massivement dans la R&D et développent leur secteur agricole, d’autres sont à la traîne, au détriment de la sécurité alimentaire. En termes de personnel affecté à la recherche agricole, l’Afrique affiche la capacité la plus faible à l’échelle mondiale, avec à peine 70 chercheurs par million d’habitants (à la différence des Etats-Unis et du Japon qui en comptent 2.640 et 4.380, respectivement).
• La baisse de la fertilité des sols menace les rendements et le développement agricoles dans un certain nombre de pays. Alors que le prix moyen des engrais livrés aux exploitations agricoles aux Etats-Unis coûte 226 $ EU la tonne, il se tient à 414 $ EU la tonne en Zambie.
• Les lois et réglementations nationales et régionales obsolètes entravent le développement des marchés semenciers en Afrique. La durée moyenne du processus d’homologation des semences est d’environ trois ans dans la plupart des pays d’Afrique sub-saharienne.
• Les importations alimentaires bon marché et subventionnées affaiblissent progressivement les marchés agricoles africains, ce qui est exacerbé par les difficultés d’accès au crédit, les restrictions commerciales et les coûts de transport élevés. Bien que l’agriculture représente jusqu’à 40% du PIB dans certains pays africains, seulement 0,25% des prêts bancaires sont orientés vers les petits exploitants agricoles.
• Les femmes, qui représentent la majorité des petits exploitants agricoles en Afrique, sont fortement défavorisées dans les régimes actuels de droits fonciers. Cela réduit leur capacité d’accès au crédit, aux technologies et aux services agricoles. Les données mettent en exergue le fait qu’il est cinq fois moins probable que les femmes possèdent des terres par rapport aux hommes.
Dans l’allocution liminaire qu’il a prononcé pour lancer le rapport, M. Strive Masiyiwa, vice-président du Conseil d’administration de l’AGRA, a affirmé: «Si nous voulons réussir à déclencher une révolution verte en Afrique, il faut que nous déterminions et comprenions les domaine où nous faisons des progrès, mais aussi ceux où nous sommes à la traine. Pour la première fois, le Rapport sur l’état de l’agriculture en Afrique nous trace le grand tableau et nous permet de faire des comparaisons entre les pays. Il fournit des données indispensables et fiables qui, nous l’espérons bien, conduiront à l’élaboration de politiques plus éclairées et à un niveau plus élevé de redevabilité».
S’exprimant à l’occasion du lancement du rapport dans les marges du Forum sur la révolution verte en Afrique à Maputo, au Mozambique, Jane Karuku, présidente de l’AGRA, a déclaré que «Le Rapport sur l’état de l’Agriculture en Afrique est publié à un moment charnière pour le continent. Dix ans après la Déclaration de Maputo, on peut reconnaître des progrès importants, mais il faut aussi faire la lumière sur les domaines où il faut des interventions et investissements urgents. Cette nouvelle ressource permettra de guider les décideurs à canaliser ressources et efforts, de sorte à avoir le plus grand impact sur la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté ».
D’après David Ameyaw, Directeur en charge des stratégies, suivi et évaluation à l’AGRA et l’un des principaux auteurs du rapport: «Ce rapport marque le début d’un projet ambitieux visant à consolider des données fiables et accessibles sur l’agriculture en Afrique. Il existe des lacunes considérables dans notre connaissance du secteur agricole – il faut que les gouvernements, instituts nationaux de recherche, mais aussi les acteurs du secteur privé recueillent et partagent des données ouvertement. Notre objectif est d’étendre notre analyse à tous les pays d’Afrique sub-saharienne au cours des deux prochaines années ».
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA).
Contact:
Anne Wangalachi
awangalachi@agra.org
+258 84 27 42 898 (Portable – Mozambique)
+254 736 230 600 (Portable – Kenya)
Caroline Boin
caroline.boin@portland-communications.com
+258 84 784 3230 (Portable – Mozambique)
Pour de plus amples renseignements:
Pour lire le compte rendu analytique et le rapport intégral, veuillez visiter le site web : http://www.agra.org
A propos de l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA)
L’AGRA (http://www.agra.org) est un partenariat dynamique œuvrant sur tout le continent africain en vue d’aider les millions de petits exploitants agricoles et leurs familles à se sortir de la pauvreté et de la famine. Les Programmes de l’AGRA proposent des solutions pratiques dont le but est d’augmenter la productivité agricole et les recettes des pauvres, tout en protégeant l’environnement. L’AGRA préconise les politiques qui appuient son œuvre, à tous les maillons principaux de la chaîne de valeur agricole en Afrique, que ce soit au niveau des semences, de la fertilité des sols, de l’eau, des marchés et de la formation agricole.
Le conseil d’administration de l’AGRA est présidé par Kofi A Annan, ancien Secrétaire général des Nations Unies. Mme Jane Karuku, ancienne Directrice générale adjoint et Secrétaire générale de Telkom Kenya, est la présidente de l’AGRA. Avec l’appui de la Fondation Rockefeller, la Fondation Bill & Melinda Gates, le Département britannique pour le développement international, l’USAID et d’autres bailleurs de fonds, l’AGRA intervient sur l’ensemble de l’Afrique sub-saharienne à partir de ses bureaux à Nairobi, Kenya, et à Accra, Ghana.
Site Web: http://www.agra.org
Facebook: https://www.facebook.com/pages/AGRA-Alliance/316397825040213
Twitter: @AGRAAlliance
The conference « A new deal for Somalia » is a high-level event organised jointly by the European Union and Somalia in Brussels.
Nigerian Stock Exchange (NSE), the nation’s bourse, is moved to target the small and medium enterprises (SMEs) for listing, in a bid to bring access to fund to the sub-sector following last week’s official launch of Alternative Securities Market (ASeM) for emerging companies with high potential for growth in Nigeria. In Nigeria today, the growth of SMEs is being hampered largely by lack of and/or high cost of funding as well as multiple taxation, including various government related levies.
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Marrakesh, 09 octobre 2014 (CEA) – Les experts en changement climatique présents à Marrakech viennent de réaffirmer la capacité de l’Afrique à se nourrir aujourd’hui et dans l’avenir sans organismes génétiquement modifiés.
Cependant, pour que ce rêve se réalise plusieurs conditions doivent être remplies selon ces experts : La technologie doit être accessible et abordable pour les agriculteurs, leurs financements agricoles faciles, et l’accès aux marchés doit aussi être garanti.
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Marrakesh, 09 octobre 2014 (CEA) – « Pas de développement sans énergie, la problématique s’impose au continent de manière impérieuse ! » Le ton a été donné ce 09 octobre 2014 par El Mostafa Jaméa, Expert en énergies renouvelables et changement climatique. C’était au cours d’une discussion sur le profit à tirer des opportunités technologiques d’énergies renouvelables dans la chaîne de valeur agricole. Selon ses chiffres, 31 % à peine des populations vivant au sud du Sahara ont accès à l’électricité. Dans les zones rurales, le taux est de 14%.
One only needs to pick up a magazine or leading newspaper to read about innovations that are sweeping across Africa. From M-Pesa, a mobile money transfer service invented in Kenya that has revolutionized African banking practices, to South Africa hosting the Square Kilometer Array, the world’s largest and most powerful radio telescope ever constructed. This is quite different from common perception. Should Africa’s attainments come as a surprise? Not really! By Carlos Lopes
Français
Marrakesh, 09 octobre 2014 (CEA) – Les Gouvernements, les institutions financières et les organisations de la société civile ont opté d’agir en coalition en vue de mobiliser environ 200 milliards de dollars pour le financement de projets visant à réduire les émissions de carbone et à accroître la résilience climatique.