À première vue, la junte nigérienne soutenue par ses alliés de circonstance, Bamako et Ouagadougou, semble nager à contre-courant de la désescalade militaire. Au moment où la Communauté économique ds Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) semble lâcher du lest, c’est le moment choisi par Niamey pour autoriser un déploiement militaire de riposte du Mali…...

Bamako et Ouagadougou avaient prévenu au lendemain du putsch et des menaces d’intervention militaire que toute agression contre le Niger sera considérée comme une « déclaration de guerre » et promettaient de s'interposer. © DR
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