Sur la sellette depuis juin dernier après la découverte d’une somme de plus de 500 000 dollars en liquide et en devises étrangères par des cambrioleurs dans sa ferme à bétail en 2020, le président sud-africain doit désormais faire face aux appels à la destitution. Si Cyril Ramaphosa déclare que la somme était moins importante, et constituait le produit d’une transaction légale, ses explications n’ont pas convaincu le Parlement. Ce dernier, en septembre, a instruit une commission aux fins d’examiner l’affaire. A l’arrivée, l’équipe indique, dans son rapport publié le 30 novembre, qu’il y avait suffisamment de matière pour débattre
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