Enrich in Africa (EIA) démarre un appel à projet de 3 mois “Bees soft-landing program powered by EIA”, qui a l’intention de sélectionner 10 entrepreneurs, start-up ou PME africains. Bees soft-landing program est initié et financé par la commission européenne au tour d’un consortium de douze organisations africaines et européennes (streinbeis 2i, Bpi France, Impact hub, Methys Group …).
L’objectif de ce projet est d’accompagner les entrepreneurs africains dans le développement de leurs business en Europe et, aussi, de reconnecter les écosystèmes entrepreneuriaux de ces deux continents.Le programme de soft-landing permettra aux entrepreneurs de participer aux formations de développement international inclues dans le projet. Les porteurs de projet pourront rencontrer et créer des relations avec les partenaires européens et trouver des investisseurs potentiels. Les Start-upeurs sélectionnés auront accès aux espaces de co-working et bénéficieront d’un soutien dans l’obtention du visa Schengen. Les candidats découvriront l’écosystème entreprenariat européen.
Pour être éligible de Bees soft-landing program, il faut justifier une entreprise d’au moins 2 ans d’existence basée en Afrique et ayant au moins 2 employés permanents. Le candidat devra avoir une maîtrise professionnelle de l’anglais mais et présenter un chiffre d’affaires d’au moins 15 000 euros soit 10 millions de francs CFA en 2020. La soumission des candidatures doit se faire avant le 14 juin 2021.
Rosalie Diene, stagiaire
Un commentaire
Bonjour,
je suis utilisateur d’une unité pilote a convertir les solides biomasse en gaz naturel renouvelable avec une application réelle a l’échelle semi industrielle a produire des pellettes de bio charbon .Aussi la possibilité d’installer un générateur d’électricité. Ce projet peut servir de base pour les projets a économie circulaire .
Cette unité pilote est considérée comme un early stage et la possibilité de construire une unité a l’échelle
commerciale en zones rurales a transformer les biomasses en gaz naturel renouvelable a produire au moins deux produits. Cela demande une association de capitaux et ainsi assurer le minimum de risque a utiliser une unité qui a fait ses preuves depuis dix ans et standardiser les équipements pour réduire les couts a l’investissement pour chaque capacité et des deux produits a réaliser pour la variation des capacités ,comme pour la variation des pouvoirs calorifiques de plusieurs matières