Les acteurs du riz ont admis la nécessité de passer à une riziculture durable et facilitant la sécurité alimentaire. Cette idée émise par la Corée du Sud et l’Organisation des nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) a été au centre d’un atelier tenu le 28 janvier 2021 à Abidjan.
Pour atteindre cette durabilité, les principaux acteurs de la chaîne de valeur du riz, tels que des représentants des ministères et institutions gouvernementales, des universitaires et partenaires au développement, des organisations interprofessionnelles du riz, ont discuté du nouveau projet Csst : «Développement des capacités et partage d’expériences pour les chaînes de valeur du riz grâce à la coopération Sud-Sud et triangulaire» financé par la République de Corée et mis en œuvre par la FAO.
« La façon dont ce nouveau projet peut compléter d’autres projets existants et des initiatives en cours en Côte d’Ivoire notamment dans la mise en œuvre de la Stratégie Nationale Développement de la Riziculture (SNDR) 2020-2030 », a été évoquée au nom du ministre de la promotion de la riziculture par ses services.
Pour Samy Gaiji, le représentant de la Fao en Côte d’Ivoire, « l’augmentation de la production de riz nécessite une gestion post-récolte appropriée et l’utilisation de technologies de mécanisation adaptées afin d’éviter les pertes et d’augmenter la productivité».