La forte croissance enregistrée en 2018 par le Nigeria devrait fortement baisser cette année. En cause, les importantes dépenses électorales.
En effet, fin 2018, le premier producteur africain de pétrole a enregistré sa plus forte croissance trimestrielle depuis 2014. Les présidentielles prévues pour mi-février ont engendré des dépenses énormes et devraient contribuer à réduire le pic en dessous de 2%.
Ces prévisions réalisées par Bloomberg economics viennent contredire celles de l’Etat du Nigeria qui les chiffre à entre 2,4 et 3%.