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Découvrez les actualités et analyses approfondies des secteurs économiques africains, mettant en lumière les opportunités et les défis financiers.

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 29 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Ann Cairns, présidente des marchés internationaux chez MasterCard et Peter Schlebusch, dirigeant de Standard Bank Group, célèbrent la signature d’un accord renforçant la relation entre MasterCard et Standard Bank Group pour cinq années supplémentaires.

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Cet accord permettra d’élargir les responsabilités de MasterCard dans tous les pays africains dans lesquels Standard Bank est présent et de tirer profit de l’utilisation de plusieurs produits et services MasterCard, y compris MasterCard Advisors, pour davantage optimiser les plateformes de distribution de Standard Bank, introduire de nouvelles offres et accroître la rentabilité.

Derrière Mme Cairns et M. Schlebusch se tiennent (de gauche à droite) Chris Sweeney, directeur de l’activité Carte de Standard Bank Group ; Philip Panaino, président de division en Afrique du Sud de MasterCard et Michael Miebach, président de MasterCard au Moyen-Orient et en Afrique.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour MasterCard Worldwide.

Contact presse :

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À propos de MasterCard

MasterCard (NYSE : MA), www.mastercard.com, est une société internationale de paiements et de technologie. Elle exploite le réseau de traitement de paiements le plus rapide au monde, reliant les consommateurs, les institutions financières, les commerçants, les gouvernements et les entreprises dans plus de 210 pays. Les produits et solutions de MasterCard facilitent les activités commerciales au quotidien, notamment les achats, les voyages, la gestion d’une entreprise et des finances, et les rendent plus sûres et plus efficaces pour tout le monde. Suivez-nous sur Twitter @MasterCardNews (https://twitter.com/MasterCardNews), joignez-vous à la discussion sur le blog Cashless Conversations

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TUNIS, Tunisie, 28 août 2013/African Press Organization (APO)/ — La Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org/fr/) et le gouvernement djiboutien ont signé des accords de financement d’un montant total de 7,5 millions USD, pour un projet d’exploration géothermique dans la région du lac Assal.

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“L’exploitation du potentiel géothermique de la région du lac Assal permettra à la population djiboutienne d’accéder à une source d’énergie fiable, renouvelable et à bon marché”, a déclaré le directeur de la BAD chargé de l’Intégration régionale, Alex Rugamba, au nom du vice-président chargé de l’Infrastructure, secteur privé et intégration régionale, Gilbert Mbesherubusa.

L’enveloppe financière comporte un prêt et un don du guichet concessionnel du Groupe de la BAD, le Fonds africain de développement, d’un montant respectif de 5,3 et de 0,4 millions USD. Elle comporte également un don de 1,8 million USD du Fonds d’énergie durable pour l’Afrique (SEFA). Les contributions de la BAD et du SEFA permettront de lever d’autres financements. Elles serviront également de catalyseur pour rallier des producteurs indépendants d’électricité géothermique.

S’exprimant lors de la cérémonie de lancement organisée à Tunis, Ali Yacoub Mahamoud, le ministre djiboutien de l’Énergie, chargé des Ressources naturelles, a félicité la Banque africaine de développement pour avoir « redonné vie à un projet vieux de vingt ans ».

L’exploitation du potentiel géothermique de la région du lac Assal à travers ce projet devrait générer dans un premier temps quelque 50 MW d’énergie propre. Actuellement, Djibouti s’alimente en électricité essentiellement à partir de combustibles fossiles et de ses importations hydroélectriques en provenance de l’Éthiopie. La majorité de la capacité de production actuelle du pays se trouve dans la ville de Djibouti. Ces stations électriques sont vieilles et polluantes, avec des coûts d’exploitation exorbitants. En outre, les importations de fioul coûtent cher, obérant les précieuses recettes du pays en devises.

Lors de la première phase du projet, le gouvernement djiboutien initiera des forages exploratoires. Le secteur privé prendra le relais pour mener les forages de production, mettre en place les systèmes de collecte de vapeur, de production électrique et de transport vers le réseau national.

La géothermique connait un développement sans précédent en Afrique de l’Est depuis deux ans. Elle attire de plus en plus d’investisseurs privés grâce à de nouveaux schémas de financement élaborés par les institutions de financement du développement telles que la Banque africaine de développement.

« Ces modèles innovants permettent de surmonter les différents risques associés au développement géothermique, notamment le risque de forage exploratoire, avec la probabilité de tomber sur des puits secs lors de l’exploration du champ géothermique », explique Youssef Arfaoui, spécialiste en chef en énergies renouvelables. « En finançant sur une base concessionnelle la phase d’exploration du projet qui incluent les activités à risque élevé principalement liées au forage, et en endossant ainsi la plupart des risques, la Banque africaine de développement ouvre la voie à l’investissement privé pour les phases rentables du projet. »

Le projet d’exploration dans la région du lac Assal permettra également de renforcer le développement géothermique dans d’autres pays de la vallée du Rift oriental en Afrique subsaharienne en renforçant les capacités des opérateurs à l’échelle régionale. Les pays tels que l’Éthiopie, l’Ouganda, la Tanzanie et le Rwanda recèlent, en effet, un potentiel géothermique considérable.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAD).

Contact :Youssef Arfaoui, spécialiste en chef en énergies renouvelables, T. +216 71 10 23 08 / y.arfaoui@afdb.org

LAGOS, Nigeria 28 août 2013/African Press Organization (APO)/ — L’initiative Power Africa, soutenue par les États-Unis et initiée par le président Barack Obama, d’une valeur de 7 milliards USD, a reçu un énorme coup de pouce avec l’annonce que le financement intégral de 300 millions USD a été complété pour l’acquisition de la centrale électrique d’Ughelli dans l’État du Delta, au Nigeria, par Transcorp Plc, le conglomérat coté en bourse géré par la société Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com) de Tony Elumelu, société d’investissement par actions panafricaine qui est le principal actionnaire de Transcorp.

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Le mois dernier, Heirs Holdings s’est engagée à verser 2,5 milliards USD à l’initiative Power Africa, un partenariat à multiples parties prenantes entre le gouvernement des États-Unis et sept pays d’Afrique subsaharienne, dont le Nigeria ; et plus tôt cette année, Transcorp a signé un accord de coopération avec General Electric (GE) pour le développement du secteur de l’électricité au Nigeria.

Transcorp Ughelli Power Limited (TUPL) a annoncé la semaine dernière le versement de 225 millions USD au Bureau of Public Enterprise (BPE) du Nigeria, soit 75 % du solde du cours d’achat totalisant 300 millions USD pour la centrale d’une capacité de 1 000 mégawatts. TUPL a versé un dépôt initial de 75 millions USD (25 %) pour la centrale en février dernier.

TUPL, dont la société américaine Symbion Power est un investisseur privé dans le cadre du projet, projette d’accroître la production d’électricité de 300 MW à plus de 1 070 MW au cours des cinq prochaines années.

United Bank for Africa Plc (UBA) et Africa Finance Corporation (AFC) en tant que co-arrangeurs, et First City Monument Bank Plc (FCMB) et Fidelity Bank en tant que co-financiers ont fourni la facilité de financement de la dette pour l’acquisition de la centrale, qui est l’une des six sociétés de production d’électricité dégroupées dans le cadre de la privatisation de Power Holding Company of Nigeria (PHCN).

À propos de la finalisation de l’acquisition, M. Elumelu, président de Heirs Holdings et de Transcorp, a déclaré : « Il s’agit d’une avancée majeure, qui revêt une importance considérable pour le Nigeria, la région et l’administration Obama, car elle représente un progrès positif dans la réalisation de Power Africa. Nous nous engageons à développer efficacement le secteur de l’électricité au Nigeria pour répondre aux demandes de notre économie en plein essor et améliorer le niveau de vie de tous les Nigérians. »

L’initiative Power Africa menée par le président des États-Unis, Barack Obama, est un partenariat à multiples parties prenantes entre le gouvernement des États-Unis, six (6) autres pays d’Afrique subsaharienne et le secteur privé. L’objectif commun de cette initiative est d’accélérer l’investissement dans le secteur de l’électricité en Afrique au cours des cinq prochaines années.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

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Moky Makura

Heirs Holdings

E-mail : moky.makura@heirsholdings.com

Téléphone : +234-1-277-4641

À propos de Heirs Holdings

Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 27 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Au cours d’une table ronde organisée lors de la première réunion du Conseil d’affaires des BRICS à Johannesburg cette semaine, le chef d’entreprise africain Tony O Elumelu, président de Heirs Holdings, (http://www.heirsholdings.com) a appelé les chefs d’entreprise des pays BRICS à laisser de la place aux entreprises africaines qui cherchent à étendre leurs activités en dehors du continent dans les BRICS.

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Face à un auditoire composé de chefs d’entreprise influents venus des BRICS et de 19 autres pays africains, M. Elumelu a parlé de la nécessité d’établir des partenariats mutuellement avantageux entre les pays africains et les BRICS : « Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle génération d’entrepreneurs dont les ambitions s’étendent au-delà du continent. Ils devraient investir dans les BRICS de la même manière que les BRICS investissent en Afrique, cette relation doit être à double sens. »

M. Elumelu s’exprimait à l’occasion d’une table ronde sur « Les mesures et initiatives spécifiques pour accroître les liens commerciaux, d’affaires, de fabrication et d’investissement entre les BRICS et l’Afrique ». La discussion, qui était modérée par Donald Kaberuka, président de la Banque africaine de développement, fournissait également des perspectives précieuses d’autres chefs d’entreprise africains de premier plan, y compris Mo Ibrahim, Isabella Dos Santos et Johann Rupert.

M. Kaberuka a souligné le besoin d’améliorer les infrastructures sur le continent, affirmant que les entreprises ne peuvent prospérer que si le problème du déficit des infrastructures est résolu. L’investisseur angolaise, Isabella Dos Santos, a mis l’accent sur le besoin d’investissements dans les infrastructures « immatérielles », soutenant que la technologie du haut débit aurait un effet transformateur similaire à la technologie mobile en Afrique.

Mo Ibrahim a amusé l’auditoire avec son discours, mais derrière les plaisanteries, les messages concernant la mauvaise image de l’Afrique au niveau mondial et l’importance de la gouvernance étaient bien réels et essentiels. Il a parlé de l’indice de gouvernance de sa fondation, l’un des plus complets au monde, mesurant 88 paramètres dont la transparence, la corruption, l’éducation et la santé. Son message final aux investisseurs était : « Ne venez pas en Afrique pour aider et gagner de l’argent parce que le meilleur retour sur investissement est en Afrique. Vous pouvez apprécier de gagner de l’argent en Afrique mais, s’il vous plaît, soyez responsables. »

Le Sud-africain Johann Rupert, président des sociétés Richemont et Remgro, a parlé des facteurs essentiels qu’il considère en tant qu’investisseur, quel que soit l’endroit où ses investissements se situent. Il a énuméré quatre domaines critiques qui sont : l’État de droit, l’indépendance du système judiciaire, la sécurité des biens et la transparence des marchés.

M. Elumelu a résumé le consensus général de la réunion du conseil d’affaires des BRICS lorsqu’il a conclu : « En tant que chefs d’entreprise africains, et en tant qu’Africapitalistes, nous sommes d’accord que nous possédons suffisamment de ressources pour faire avancer les choses en Afrique. Nous devons partager les opportunités sur le continent. Nous sommes assez nombreux pour faire la différence. Nous devons travailler ensemble pour trouver des manières d’accroître les liens d’échanges commerciaux et d’investissements entre les BRICS et l’Afrique. »

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

Pour plus de renseignements :

Moky Makura

Heirs Holdings

E-mail : moky.makura@heirsholdings.com

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Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.

JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 27 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Au cours d’une table ronde organisée lors de la première réunion du Conseil d’affaires des BRICS à Johannesburg cette semaine, le chef d’entreprise africain Tony O Elumelu, président de Heirs Holdings, (http://www.heirsholdings.com) a appelé les chefs d’entreprise des pays BRICS à laisser de la place aux entreprises africaines qui cherchent à étendre leurs activités en dehors du continent dans les BRICS.

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Face à un auditoire composé de chefs d’entreprise influents venus des BRICS et de 19 autres pays africains, M. Elumelu a parlé de la nécessité d’établir des partenariats mutuellement avantageux entre les pays africains et les BRICS : « Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle génération d’entrepreneurs dont les ambitions s’étendent au-delà du continent. Ils devraient investir dans les BRICS de la même manière que les BRICS investissent en Afrique, cette relation doit être à double sens. »

M. Elumelu s’exprimait à l’occasion d’une table ronde sur « Les mesures et initiatives spécifiques pour accroître les liens commerciaux, d’affaires, de fabrication et d’investissement entre les BRICS et l’Afrique ». La discussion, qui était modérée par Donald Kaberuka, président de la Banque africaine de développement, fournissait également des perspectives précieuses d’autres chefs d’entreprise africains de premier plan, y compris Mo Ibrahim, Isabella Dos Santos et Johann Rupert.

M. Kaberuka a souligné le besoin d’améliorer les infrastructures sur le continent, affirmant que les entreprises ne peuvent prospérer que si le problème du déficit des infrastructures est résolu. L’investisseur angolaise, Isabella Dos Santos, a mis l’accent sur le besoin d’investissements dans les infrastructures « immatérielles », soutenant que la technologie du haut débit aurait un effet transformateur similaire à la technologie mobile en Afrique.

Mo Ibrahim a amusé l’auditoire avec son discours, mais derrière les plaisanteries, les messages concernant la mauvaise image de l’Afrique au niveau mondial et l’importance de la gouvernance étaient bien réels et essentiels. Il a parlé de l’indice de gouvernance de sa fondation, l’un des plus complets au monde, mesurant 88 paramètres dont la transparence, la corruption, l’éducation et la santé. Son message final aux investisseurs était : « Ne venez pas en Afrique pour aider et gagner de l’argent parce que le meilleur retour sur investissement est en Afrique. Vous pouvez apprécier de gagner de l’argent en Afrique mais, s’il vous plaît, soyez responsables. »

Le Sud-africain Johann Rupert, président des sociétés Richemont et Remgro, a parlé des facteurs essentiels qu’il considère en tant qu’investisseur, quel que soit l’endroit où ses investissements se situent. Il a énuméré quatre domaines critiques qui sont : l’État de droit, l’indépendance du système judiciaire, la sécurité des biens et la transparence des marchés.

M. Elumelu a résumé le consensus général de la réunion du conseil d’affaires des BRICS lorsqu’il a conclu : « En tant que chefs d’entreprise africains, et en tant qu’Africapitalistes, nous sommes d’accord que nous possédons suffisamment de ressources pour faire avancer les choses en Afrique. Nous devons partager les opportunités sur le continent. Nous sommes assez nombreux pour faire la différence. Nous devons travailler ensemble pour trouver des manières d’accroître les liens d’échanges commerciaux et d’investissements entre les BRICS et l’Afrique. »

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.

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E-mail : moky.makura@heirsholdings.com

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Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.

LE CAP, Afrique du Sud, 22 août 2013/African Press Organization (APO)/ —

• La société spécialisée dans les services express estime que 60 % de la croissance du secteur du matériel informatique en 2013 viendra des tablettes et smartphones

• « Les sociétés de technologie qui s’installeront en Afrique réduiront considérablement leurs dépenses en logistique » – Charles Brewer

Le Cap, le 22 août 2013 : La concurrence au sein du secteur des technologies ne cesse de s’accentuer et l’importance de l’Asie à la fois en tant que lieu de fabrication et marché de consommation est en constante augmentation. Toutefois, même si l’Asie demeure essentielle au secteur, l’adoption des technologies a connu récemment une explosion en Afrique, qui s’apprête à devenir une région majeure.

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Ce sont les propos de Charles Brewer, directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne (http://www.dhl.com), qui déclare qu’une récente conférence sur la technologie mondiale de DHL a révélé cette tendance d’évolution des dynamiques du marché des technologies.

Il a affirmé qu’en raison de la concurrence accrue au sein du secteur, les fournisseurs doivent s’adapter et améliorer les produits et services pour conserver et augmenter leurs parts de marché. « C’est une opportunité permettant aux fournisseurs d’être innovants et de fournir aux clients leurs meilleures produits, services et prix.

Ces deux tendances promettent également de renforcer le rôle de la logistique en tant qu’avantage concurrentiel au sein de l’industrie des technologies, notamment alors que les sociétés mondiales recherchent des partenaires solides et bien établis pour soutenir et simplifier l’accès au marché africain. »

M. Brewer explique qu’en Afrique, malgré l’augmentation considérable de la demande de produits électroniques grand public, le continent doit attirer les investissements de sociétés de technologie internationales, afin de devenir plus qu’un simple utilisateur final de produits technologiques.

Il observe que plus que toute autre industrie, le secteur des technologies est stimulé par une innovation permanente, des cycles de vie des produits courts et de nouveaux canaux de vente. « Du point de vue de la logistique, cela représente un énorme défi, mais également une opportunité pour les marques avant-gardistes. »

M. Brewer déclare qu’en démarrant une entreprise en Afrique, ces marques peuvent servir ce marché en expansion et réduire considérablement leurs frais de logistique car elles sont basées à proximité de leurs clients.

Selon un récent rapport de Deloitte intitulé « The Rise and Rise of the African Middle Class » (L’augmentation constante de la classe moyenne en Afrique), le continent comprend un nombre disproportionné de jeunes, 62 % de la population africaine ayant moins de 25 ans. « Ceci est positif d’un point de vue externe pour les investissements, car cela signifie véritablement qu’il existe une clientèle garantie pendant les années à venir par rapport à un territoire comme l’Europe, qui connaît un déclin démographique. »

Le rapport Deloitte prévoit également que si la classe moyenne africaine poursuit sa trajectoire de croissance actuelle, elle atteindra 1,1 milliard de personnes (soit 42 % de la population totale du continent) d’ici 2060.

La tendance consistant à remplacer les PC par des appareils mobiles comme outil d’accès à Internet a également été soulignée lors de la conférence. Florence Noblot, directrice du secteur des technologies de DHL pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique, estime que 60 % de l’ensemble de la croissance du secteur du matériel informatique viendront des tablettes et smartphones cette année. « Ces deux appareils alimenteront une tendance vers des cycles d’innovation élevés, qui nécessitent que les fournisseurs de logistique améliorent leur délai de commercialisation tout en soutenant un positionnement tarifaire concurrentiel.

« Cette tendance est également claire en Afrique, et selon la GSMA, l’Afrique constitue maintenant le second plus important marché mobile au monde en termes de liaisons après l’Asie et le marché mobile à la croissance la plus rapide au monde. »

Elle affirme qu’il existe une tendance générale vers des produits simplifiés et plus légers qui, associée à la pression tarifaire, représente un défi pour les fabricants, leurs fournisseurs et parfois même leurs concurrents pour développer des solutions collaboratives qui améliorent la rentabilité de la chaîne d’approvisionnement technologique.

« Avec la croissance économique attendue, les fournisseurs de technologies bénéficient de l’opportunité idéale de pénétrer le marché africain, mais ils devraient avoir des partenaires expérimentés qui sont capables de fournir leur perspective et leur expérience d’affaires sur le continent », conclut Mme Noblot.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Deutsche Post DHL.

Contact pour les médias :

Lee Nelson. Responsable senior du marketing et des communications, Afrique subsaharienne

Tél. : +27 21 409 3600 Mobile : +27 72 361 0178

lee.nelson@dhl.com

DHL – La société de logistique du monde (The Logistics company for the world)

DHL est le leader mondial du marché de la logistique et « la société de logistique du monde (The Logistics company for the world) ». DHL met son expertise dans le domaine des services express internationaux, du fret aérien et maritime, du transport routier ou ferroviaire, de la logistique contractuelle et du courrier international, au service de ses clients. Un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, et d’environ 285 000 salariés dans le monde entier, offre à ses clients un service de qualité de haut niveau et une connaissance du terrain, permettant de satisfaire aux exigences dictées par leurs chaînes d’approvisionnement. DHL assume sa responsabilité sociale en soutenant la lutte contre le changement climatique, la gestion des catastrophes naturelles et l’éducation.

DHL fait partie de Deutsche Post DHL. Le groupe a enregistré des recettes d’un montant supérieur à 55 milliards d’euros en 2012.

Bourse du Caire L’indice phare  de la Bourse d’Egypte (l’EGX30)  a réagi positivement à l’arrestation du leader des frères musulmans Mohamed…

PRETORIA, Afrique du Sud, 20 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Pour diffuser cette nouvelle sur Tweeter, copiez et collez #MasterCard et #SASSA célèbrent l’émission de 10 millions de cartes de paiement pour les prestations sociales http://bit.ly/16XQukE

MasterCard, (http://www.mastercard.com) et l’Agence sud-africaine de la sécurité sociale (SASSA),( http://www.sassa.gov.za/) ont annoncé que 10 millions de cartes actives SASSA Debit MasterCard sont actuellement en circulation en Afrique du Sud, suite à l’introduction d’un nouveau système biométrique de versement des prestations sociales qui a débuté en mars 2012.

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Cette étape marque l’achèvement de la phase de réinscription du projet, les bénéficiaires des prestations sociales ayant reçu leur nouvelle carte Debit MasterCard avec fonction biométrique, émise par Grindrod Bank (http://www.grindrodbank.co.za) en collaboration avec la SASSA et Net1 UEPS Technologies (Net1) (http://www.net1.com/).

Depuis mars 2012, un peu moins de 22 millions de bénéficiaires de prestations sociales (1) se sont réinscrits dans le nouveau système introduit par la SASSA qui vise à réduire les demandes de versement frauduleuses de prestations, ainsi qu’à diminuer les frais administratifs des prestations, en versant l’ensemble des prestations par voie électronique.

Une fonction biométrique essentielle de la carte SASSA est sa capacité à identifier avec certitude les bénéficiaires de prestations sociales à l’aide d’identifiants uniques tels que les empreintes digitales, la voix et d’autres informations personnelles, ce qui signifie que les cartes SASSA assurent que seul le bénéficiaire autorisé peut utiliser sa carte pour recueillir ses prestations.

« Une mission cruciale de ce nouveau système consistait à appliquer des mesures strictes pour que la SASSA s’assure que seuls les bénéficiaires admissibles des prestations, c’est-à-dire les personnes réellement dans le besoin, soient autorisées à recevoir l’une des sept prestations versées par la SASSA. Entre avril 2012 et juin 2013, plus de 150 000 prestations ont été annulées, ce qui a permis d’économiser 150 millions de rands (soit environ 15,1 millions de dollars US) par an », a expliqué Virginia Petersen, PDG de la SASSA.

Simplement en passant d’un versement des prestations en espèces, une méthode coûteuse, lourde et difficile en raison des inefficacités, aux paiements électroniques, le nouveau système a déjà permis à la SASSA d’économiser une somme considérable sur les frais administratifs des prestations. Avant mars 2012, la SASSA déboursait en moyenne 33 rands (3,33 dollars US) par prestation pour payer les bénéficiaires. Avec le nouveau système, les débours ont été plafonnés à 16,44 rands (1,66 dollars US) par paiement.

Pour marquer l’évènement, Ann Cairns, (http://bit.ly/RJQ4c4) présidente des marchés internationaux chez MasterCard, a remis à la SASSA un prix commémoratif pour récompenser le programme de versement des prestations sociales leader mondial de la SASSA à l’occasion de sa visite en Afrique du Sud pour célébrer cette réussite importante.

« En soutenant le gouvernement sud-africain dans la mise en œuvre d’un programme de paiement électronique rentable, nous l’aidons à économiser de l’argent, à accroître son efficacité et à prévenir la fraude », a déclaré Mme Cairns. « Plus important encore, nous permettons l’inclusion financière de millions de Sud-africains qui n’avaient auparavant pas accès aux services financiers traditionnels. »

Entre mars et juillet 2012, la carte SASSA Debit MasterCard a été citée comme l’un des facteurs majeurs contribuant à la croissance de 4 % du taux de bancarisation du pays, qui est passé de 63 % en 2011 à 67 % en 2012, selon l’enquête FinScope 2012 en Afrique du Sud (http://bit.ly/14RKiG9). En juillet 2012, 2,5 millions de cartes SASSA MasterCard (http://bit.ly/P9F5S9) avaient été émises à des bénéficiaires de prestations. Depuis, 7,5 millions de cartes supplémentaires ont été émises au profit de bénéficiaires de prestations, ce qui accroît encore le taux d’inclusion financière en Afrique du Sud.

« Des millions de Sud-africains n’ont pas accès aux outils financiers les plus fondamentaux. Ils ne disposent pas de lieux sûrs pour économiser leur argent, ni de moyens fiables de le transférer et de l’utiliser pour effectuer des transactions. Avec l’introduction de la carte SASSA Debit MasterCard, près d’un cinquième de la population d’Afrique du Sud (http://www.statssa.gov.za/Publications/P03014/P030142011.pdf) bénéficie maintenant d’un produit bancaire officiel, qui les aide à bâtir un avenir meilleur pour eux-mêmes, leur famille et leur communauté », a ajouté Mme Cairns.

Dans le cadre du processus de réinscription de la SASSA, un compte bancaire est ouvert pour chaque bénéficiaire, offert sans aucun frais mensuel par Grindrod Bank. Les bénéficiaires peuvent déposer des fonds sur leur compte bancaire au moyen d’un transfert électronique de fonds (TEF) ou d’un transfert bancaire tiers.

La carte SASSA Debit MasterCard peut être utilisée partout où les cartes MasterCard sont acceptées, et les bénéficiaires de prestations peuvent effectuer des achats, vérifier le solde de leur compte et retirer des espèces à partir de caisses sans encourir de frais de transaction dans des points de vente sélectionnés en Afrique du Sud. Les bénéficiaires peuvent aussi retirer des espèces à partir de n’importe quel guichet automatique, ce qui entraîne toutefois des frais de transaction.

« La distribution de dix millions de cartes à des bénéficiaires de prestations en seulement 17 mois est une réussite exceptionnelle. Cependant, ce qui est encore plus remarquable est l’impact qu’a eu, et que continuera d’avoir, la carte SASSA Debit MasterCard sur la vie des bénéficiaires de prestations, ainsi que sur l’économie nationale en général », a affirmé Mme Cairns

« Notre objectif consiste à continuer d’introduire des solutions de paiement innovantes qui aident à rendre les transactions plus rapides, plus sûres et plus pratiques pour tout le monde, à l’endroit et au moment où elles sont nécessaires, et de concrétiser la vision de MasterCard de créer un monde où les espèces ne sont pas l’unique moyen de paiement », a-t-elle conclu.

(1) Plusieurs bénéficiaires de prestations peuvent être enregistrés sur une seule carte SASSA Debit MasterCard.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour MasterCard Worldwide.

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Pour tout complément d’information ou pour toute demande des médias à l’intention du service du développement social ou de la SASSA :

Mme Lumka Oliphant

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LumkaO@dsd.gov.za

Pour les demandes des médias à l’intention de MasterCard :

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+27 (0)82 349 4894

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Choisissez un élément. 19 août 2013/African Press Organization (APO)/ — le Panel de haut niveau sur les États Fragiles à Monrovia

Ellen Sirleaf Johnson, présidente de la République du Libéria, et Donald Kaberuka, président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org/fr/) présideront, le 2 septembre 2013 à Monrovia, au Libéria, un Panel de haut niveau sur la construction et la consolidation de la paix et de la prospérité des Etats fragiles d’Afrique.

http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/african-development-bank-2.png

Thème de l’événement : “Comment concrètement construire et consolider la paix et la prospérité dans les Etats fragiles d’Afrique ?”

Principaux intervenants

Ellen Sirleaf Johnson, présidente de la République du Libéria ; Donald Kaberuka, président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) ; Paul Collier, auteur de The Bottom Billion and The Plundered Planet ; Emilia Pires, ministre des Finances de la République démocratique du Timor-Leste ; Jakkie Cilliers, co-fondatrice et directrice de l’Institute for Security Studies (ISS) ; et Vasu Gounden, fondateur et directeur exécutif de l’African Centre for the Constructive Resolution of Disputes (ACCORD).

Date et heure : Lundi 2 septembre 2013, à 9h30

Lieu : Royal Hotel –15th Street, Tubman Boulevard, Monrovia (Libéria).

Information presse : Conférence de presse à 13h15. Interviews disponibles sur demande.

Membres du Panel de haut niveau

Présidente : Ellen Sirleaf Johnson

Sarah Cliffe, Représentant spécial et directrice du World Development Report on Conflict, Security and Development aux Nations unies

Gilbert Fossoun Houngbo, directeur général adjoint du Bureau international du travail (BIT) pour les programmes extérieurs et les partenariats

Geraldine Frasier-Moleketi, envoyée spéciale sur les questions de genre à la Banque africaine de développement (BAD) ;

Callisto Madavo, professeur à Georgetown University

Greg Mills, directeur de la Fondation Brenthurst;

Rakiya Omaar, directrice d’African Rights

Dame Barbara Stocking, vice-présidente du Comité directeur pour l’action humanitaire.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAD).

Programme et informations disponibles en cliquant le lien ci-après :

http://www.afdb.org/en/topics-and-sectors/initiatives-partnerships/high-level-panel-on-fragile-states/

Contact médias : comu@afdb.org

La Société nationale d’électricité ( Senelec), fournisseur d’électricité au Sénégal,  a signé  avec Africa Energy un contrat de construction d’une centrale…

PEKIN, Chine 16 août 2013/African Press Organization (APO)/ — aujourd’hui, des douzaines de ministres africains de la Santé et des fonctionnaires chinois de la santé se sont réunis à l’occasion du Forum ministériel sur les progrès de la coopération sino-africaine (http://www.focac.org/fra/) en matière de santé pour coordonner les nouveaux efforts qu’il convient de déployer afin de soutenir les progrès à long terme en santé en Afrique et préparer l’avenir de la coopération sino-africaine en matière de santé. Il s’agit de la toute première conférence des ministres de la Santé tenue dans le cadre du Forum sur la Coopération sino-africaine (FCSA) depuis sa création en 2000, ce qui démontre le niveau le plus élevé d’engagement politique pour lutter ensemble contre les problèmes de santé les plus urgents en Afrique.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/china-africa-forum-logo.jpg

Lors du Forum, les ministres et les représentants de la santé ont signé la Déclaration de Pékin sur les progrès de la coopération sino-africaine en matière de santé, qui définit une feuille de route pour résoudre ensemble les principales difficultés devant lesquelles se trouvent les pays africains, en particulier le VIH, le paludisme, les bilharzioses, la santé reproductive, les vaccinations et les maladies à prévention vaccinale. Selon la déclaration, la Chine et les pays africains déploieront de nouveaux efforts pour trouver des solutions de santé durables et à long terme, par exemple en multipliant les partenariats sur la recherche conjointe et en palliant au manque de travailleurs de santé.

« La Chine et les pays africains bénéficient d’un partenariat solide et efficace pour la santé depuis plus de cinquante ans. Celui-ci se fonde sur les expériences et la vision que nous avons en commun pour un avenir meilleur et plus sain pour tous nos citoyens, » nous explique la ministre Sénégalaise de la Santé Awa Marie Coll Seck. « La Déclaration de Pékin renforce les engagements de nos gouvernements qui consistent à élaborer et mettre en œuvre des stratégies relevant de l’initiative des pays afin de réaliser des progrès durables dans le secteur de la santé et d’améliorer la vie des habitants de tout le continent. »

Cette année marque le 50e anniversaire de l’assistance médicale chinoise envoyée en Afrique, dont la première équipe en Algérie en 1963. Depuis lors, des milliers de membres du personnel médical ont assuré des services dans 43 pays africains. La Chine a également collaboré avec des partenaires africains et des organisations internationales pour construire des hôpitaux et des centres de prévention du paludisme, former du personnel médical et accroître l’accès aux traitements antipaludiques et autres technologies en santé. Les institutions universitaires et les entreprises privées ont également appuyé ces efforts.

À présent, la Chine et les pays africains examinent les moyens de tirer parti de ces progrès pour dégager de nouvelles ressources, des innovations et un esprit d’initiative en vue de réaliser des progrès dans le secteur de la santé en Afrique. « Les citoyens chinois et africains vivent sur la même planète, sous le même ciel. Le partenariat entre la Chine et l’Afrique est enracinée dans l’humanitaire. Comme président Xi l’a décrit, cet amour n’a pas de frontières », a déclaré l’honorable Dre. Li Bin, ministre chinoise de la santé nationale et de la commission de planification familiale. « Je crois que les équipes médicales chinoises vont s’efforcer d’apporter une plus grande contribution dans le futur. »

Dans cette nouvelle ère de collaboration, les fonctionnaires d’État chinois et africains et d’autres intervenants collaboreront étroitement pour trouver des solutions durables et relever les défis du secteur de la santé. Au nombre de ces moyens figurent le renforcement de la capacité des ressources humaines dans les pays africains, le soutien de la capacité de fabrication nationale, et l’accès accru à des produits de santé à faibles coûts et de haute qualité. La Chine et les pays africains inviteront le secteur privé dans le but d’encourager le transfert des technologies et d’accroître l’accès à des technologies en santé de haute qualité et à faibles coûts tout en s’assurant que les produits respectent les normes de qualité. La Déclaration insiste sur le fait que les efforts de coopération en matière de santé devront s’aligner sur les priorités des pays africains ainsi que sur les plans de développement nationaux et régionaux

Ces efforts conjoints tireront parti des expériences de la Chine en matière d’amélioration de la santé publique dans des contextes où les ressources sont limitées. La Chine partagera également les outils et l’expertise qu’elle a acquis grâce à ses investissements dans la recherche et le développement pour la santé, la production des technologies en santé et ses efforts de réforme actuelle en matière de santé visant à offrir des soins de santé accessibles à tous ses citoyens.

En outre, la Chine et les pays africains collaboreront étroitement avec les principaux acteurs en santé mondiale pour soutenir la coopération sino-africaine en matière de santé, notamment les organisations multilatérales, les ONG internationales et les organisations de la société civile. Les représentants de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’ONUSIDA, l’UNFPA, l’UNICEF, l’Union africaine, la Banque mondiale, GAVI Alliance et le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme étaient présents au Forum, à titre d’observateurs. Ces partenaires internationaux jouent un rôle crucial dans les progrès ayant déjà été réalisés dans le domaine de la santé tant en Chine que dans les pays africains, et leurs expertises et expériences permettent de soutenir de manière plus efficace et plus organisée une coopération sino-africaine en matière de santé.

« Les dizaines d’années d’une collaboration entre la Chine et l’Afrique sont l’expression de l’amitié et de la bonne volonté qui caractérisent leur relation depuis longtemps, » a déclaré la Dre Margaret Chan, Directrice générale de l’OMS. « La Chine est désormais une force importante dans le développement de l’Afrique et comprend une augmentation substantielle des engagements et des obligations. Cette relation offre un bon exemple de coopération Sud-Sud pour le développement qui se fonde sur le respect et les intérêts mutuels. »

Le Forum ministériel repose sur des discussions importantes au Botswana à l’occasion de la 4e Table ronde internationale sur la coopération sino-africaine en matière de santé, qui a eu lieu pour la première fois en Afrique en mai 2013.

Le Forum est tenu dans le cadre du Forum sur la Coopération sino-africaine (FCSA), et est organisé par la Commission nationale de la santé et de la planification familiale de la Chine, anciennement intitulée le ministère de la Santé. Ensemble, ces conférences ont établi les fondements d’une collaboration continue Sud-Sud entre la Chine et les pays africains pour relever les défis urgents en matière de santé.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Forum Ministériel sur les Progrès de la Coopération Sino-Africaine.