Par Michel Brizoua-Bi Avocat au barreau d’Abidjan De plus en plus sollicités par leurs États, les hommes de loi du continent peinent pourtant à faire face à la concurrence des firmes internationales. Plutôt que de privilégier les conseils étrangers, nos dirigeants gagneraient à promouvoir davantage les compétences locales, selon Michel Brizoua-Bi, inscrit au barreau d’Abidjan. Dans les pays d’Afrique anglophone comme l’Afrique du Sud, le Nigeria ou le Kenya, la structure organisationnelle, la taille et l’expertise des cabinets ont rendu quasiment inutile le recours aux cabinets occidentaux. Paris, aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. Un ministre d’un pays d’Afrique francophone m’adresse un large sourire et,
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