Quand il décroche son diplôme de la prestigieuse Harvard , Kader Kaneye avait deux choix : rester et rejoindre la longue cohorte des jeunes cerveaux africains fascinés par le rêve américain ou rentrer en Afrique et précisément au Niger. Il y a dix ans, il aurait opté pour le premier choix. Mais Kader appartient à cette génération d’afro-optimistes trop jeune pour n’avoir gardé du traumatisme des ajustements structurels qu’un vague souvenir et trop pressée à venir participer à l’effort national.
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