Le président de Guinée-Equatoriale, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, 71 ans, a reconduit le sénateur Vicente Ehate Tomi au poste de Premier ministre…
Dans un courrier électronique adressé aux employés d’ Ecobank, le directeur général, Thierry Tanoh, annonce renoncer à son bonus 2012.…
The ECA’s African Trade Policy Center (ATPC), in conjunction with the African Corridor Management Alliance (ACMA), is organizing a meeting…
Les engagements d’investissements de la Société financière internationale (SFI, IFC en anglais) ont atteint 5,3 milliards de dollars pendant l’année…
LAGOS, Nigeria 3 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — United Bank for Africa Plc (UBA) (http://ubagroup.com/), la banque panafricaine présente dans 19 pays d’Afrique ainsi qu’à New York, Londres et Paris, annonce le lancement de Project Alpha – la prochaine étape de transformation stratégique du groupe.
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Depuis [8] ans, UBA exécute une stratégie dédiée d’expansion locale, régionale et mondiale, dont la mise en œuvre a permis au groupe de se transformer d’un acteur national en une institution de renommée internationale. Project Alpha est une feuille de route de 3 ans décrivant des initiatives de transformation clés, conçues pour consolider le positionnement stratégique du groupe et saisir pleinement les opportunités découlant de la renaissance économique de l’Afrique et de l’unique plateforme du groupe.
Project Alpha se concentre sur l’exploitation de tous les aspects de l’empreinte, de la gamme de produits et des capacités opérationnelles du groupe, permettant un engagement vis-à-vis de la transformation du service à la clientèle, une croissance de la part de marché, la mise en œuvre d’initiatives de services bancaires électroniques essentiels dans tous les segments, le développement des capacités de financement des opérations institutionnelles et commerciales et un investissement significatif dans le capital humain représenté par les plus de 25 000 employés d’UBA.
Une série de nominations à des postes de haut niveau souligne l’engagement du groupe dans le cadre de Project Alpha. M. Apollos Ikpobe a été nommé au poste de directeur général adjoint des services bancaires nationaux et Mme Obi Ibekwe au poste de directrice exécutive des ressources humaines et du service à la clientèle. Ces deux nominations ont été approuvées par la Banque centrale du Nigeria (CBN).
M. Ikpobe, qui était jusqu’à récemment directeur exécutif chez Zenith Bank, un poste qu’il occupait depuis 7 ans, apporte plus de 21 ans d’expérience dans le secteur bancaire nigérian. M. Ikpobe sera responsable du développement des activités nationales d’UBA au Nigeria. Sa nomination vient rehausser les compétences de l’actuel directeur général adjoint, M. Kennedy Uzoka, responsable des ressources et de la trésorerie.
Mme Ibekwe, nouvelle directrice exécutive des ressources humaines et du service à la clientèle, a connu une carrière marquée de succès chez Zenith Bank Plc, où elle était responsable de la gestion des ressources humaines, des services à la clientèle et de la gestion du risque de crédit. Forte d’une riche expérience dans les domaines du conseil, des services bancaires et du service à la clientèle, elle jouera un rôle essentiel dans la direction de la culture d’excellence du service renouvelée chez UBA. Sa nomination porte à cinq le nombre de femmes directrices au sein du conseil d’administration du groupe UBA.
Les autres nominations clés également annoncées incluent celle de M. Rasheed Adegoke au poste de directeur général en charge des technologies de l’information du groupe. M. Adegoke rejoint UBA de First Bank of Nigeria, où il était DSI, un poste qu’il a occupé pendant plus de 13 ans au sein de différentes institutions dans le secteur nigérian des services financiers. Stratège en technologies et en processus, il possède une expertise pratique dans les domaines de la conception et de la fourniture de technologies d’information hautement performantes et de solutions d’amélioration des processus administratifs visant à résoudre des problèmes opérationnels complexes.
L’un des aspects essentiels de l’initiative Project Alpha est l’accent placé sur UBA Afrique, dont la contribution représente actuellement 20 % du résultat du groupe et devrait atteindre 50 % à l’horizon 2016. Afin d’atteindre cet objectif, le groupe a décidé de renforcer son équipe de haute direction africaine.
Emmanuel Nnorom, ancien directeur exécutif des finances et de la gestion du risque chez UBA, a été nommé au poste de PDG d’UBA Afrique.
Les autres nominations à des postes de haut niveau au sein d’UBA Afrique incluent Mme Amie Sow, directrice générale d’UBA Sénégal, M. Demola Ogunfeyimi, directeur général d’UBA Tanzanie, M. Mamadou Sanon, directeur général d’UBA Gabon, M. Martin Che, directeur général d’UBA Congo Brazzaville, M. Marcel Bitang, directeur général d’UBA RDC, M. Stanley Ugwueze, directeur général d’UBA Zambie, Mme Abiola Bawuah, directrice générale adjointe d’UBA Ghana, M. Benedict Nklama, directeur exécutif d’UBA Kenya, M. Wilbrod Owor, directeur exécutif d’UBA Ouganda et M. Chinedu Obeta, directeur exécutif d’UBA Sierra Leone.
« UBA est en mesure de recruter les meilleurs talents du secteur bancaire africain et nous sommes fiers de pouvoir fournir une plateforme dynamique qui permet à ces Africains de contribuer à la transformation de notre continent », a déclaré M. Phillips Oduoza, directeur général du groupe/PDG d’UBA.
Et d’ajouter : « Nos ressources humaines demeurent notre plus grande richesse et nous allons poursuivre nos efforts de remaniement et de ressourcement afin d’atteindre et de dépasser les objectifs de Project Alpha. »
« De façon plus générale, Project Alpha nous permet de nous appuyer sur les forces existantes de notre franchise, mais démontre surtout que nous allons continuer à nous réinventer à l’avenir, en nous assurant que nous générons et délivrons le maximum de valeur pour nos clients, nos actionnaires et notre personnel », a-t-il expliqué.
Distributed by African Press Organization on behalf of United Bank for Africa Plc (UBA).
United Bank for Africa Plc est l’une des plus grandes institutions financières d’Afrique, proposant des services bancaires à plus de 7 millions de clients à travers plus de 700 succursales dans 19 pays africains. Avec une présence à New York, Londres et Paris, UBA relie les peuples et le monde des affaires à l’Afrique par ses services bancaires aux particuliers et aux clients institutionnels. Elle offre également des services de financement des opérations commerciales et dispose de solutions innovantes en matière de paiements transfrontaliers.
Pour plus de renseignements :
Ramon Nasir
Responsable médias
United Bank for Africa Plc | UBA House
E-mail : ramon.nasir@ubagroup.com
WASHINGTON, 3 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — IFC, un membre du groupe de la Banque mondiale, publie aujourd’hui le détail de ses activités en Afrique subsaharienne, montrant un impact important grâce à un volume record d’investissements et de services-conseil pendant l’année budgétaire 2013.
IFC a engagé la somme de 5,3 milliards de dollars dans de nouveaux investissements et dispensé des services-conseil d’une valeur de 65 millions de dollars en Afrique subsaharienne au cours de son dernier exercice fiscal. IFC a appuyé les secteurs des infrastructures, de la santé, de l’agro-alimentaire et un éventail d’activités dans des pays affectés par des conflits, et aidé les entrepreneurs africains à bénéficier d’un meilleur accès au financement.
IFC a investi 3,5 milliards de dollars, tirés des comptes propres de la société, et mobilisé 1,8 milliard de dollars engagés par d’autres investisseurs. Au cours de l’exercice budgétaire 2013, IFC a apporté son appui à des projets qui ont permis à 54 000 petites et moyennes entreprises de bénéficier de crédits, et a soutenu 13,7 millions de clients du secteur de la microfinance ; IFC a également contribué à l’amélioration de la santé et de l’éducation en faveur de 360 000 personnes. Les investissements d’IFC dans l’énergie éolienne et autres énergies renouvelables ont permis de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 667 000 tonnes.
Les dépenses d’IFC en matière de services-conseil ont atteint 65 millions de dollars pendant son dernier exercice fiscal. Quarante-deux pays ont pu bénéficier d’un total de 126 projets, dont la valeur est estimée à 217 millions de dollars au cours de la durée de vie des projets. Au cours de l’exercice budgétaire 2013, les projets associés aux services-conseils ont permis d’améliorer l’accès à l’éducation et à l’éclairage pour 1,6 millions de personnes; ils ont permis de créer 27 000 emplois; ont formé des entrepreneurs et connecté des exploitants agricoles aux marchés mondiaux.
Trois nouveaux mandats de partenariat public-privé ont été conclus avec succès, aidant à fournir des services de santé à 360,000 personnes au Lesotho et au Nigéria et de l’électricité à 75,000 personnes au Libéria.
En collaboration avec les gouvernements d’Afrique subsaharienne, les services-conseil en matière de climat des investissements d’IFC et de la Banque mondiale ont travaillé à la mise en œuvre de plus de 50 réformes bénéficiant au secteur privé dans 17 pays. En Ouganda par exemple, les réformes relatives à l’octroi de licences ont permis au secteur privé d’économiser 15,5 millions de dollars. Selon le rapport Doing Business 2013, sur les 50 économies de la planète qui réalisent le plus de progrès en matière de réglementation des affaires concernant les entreprises nationales depuis 2005, un tiers se trouvait en Afrique subsaharienne.
« L’augmentation constante des investissements et services-conseil IFC traduit notre engagement en faveur du développement du secteur privé en Afrique subsaharienne », a déclara Oumar Seydi, le directeur d’IFC pour l’Afrique de l’Est et australe. « Les 5,3 milliards de dollars engagés par IFC dans de nouveaux investissements et les 65 millions de dollars consacrés aux projets de services-conseil d’IFC ont contribué à la croissance économique de l’Afrique, grâce à l’appui fourni aux entrepreneurs et aux exploitants agricoles, à l’amélioration des infrastructures et des services de base et en favorisant le développement des affaires dans des pays en sortir de conflit ».
« En nous concentrant sur le développement du secteur privé en Afrique dans des secteurs clés comme la production d’énergie, les transports ou l’agro-alimentaire, nous jouons un rôle actif dans la stimulation de la croissance économique et la création d’emplois dans la région », a pour sa part déclaré Yolande Duhem, directrice d’IFC pour l’Afrique de l’Ouest et centrale. « Nous sommes également convaincus de l’utilité des marchés régionaux en Afrique, et nombre de nos investissements visent à permettre aux entreprises de se développer au-delà de leurs limites nationales ».
Les investissements d’IFC dans le secteur de l’agro-alimentaire en Afrique subsaharienne ont atteint 600 millions de dollars au cours de l’exercice budgétaire 2013. En investissant dans des entreprises telles que la Kenya Tea Development Agency et l’Export Trading Group, IFC permet à 263 000 exploitants agricoles d’Afrique subsaharienne de bénéficier d’opportunités économiques.
Le financement par IFC des projets d’infrastructures et ressources naturelles en Afrique a atteint 1,7 milliard de dollars. La division Infraventure d’IFC a joint ses efforts à ceux de ses partenaires du secteur privé afin d’élaborer des projets de production d’énergie éolienne en Tanzanie et au Kenya. En Afrique de l’Ouest, IFC a investi dans l’agence de sécurité aérienne et a mobilisé des fonds pour le port de Lomé afin de développer le réseau de transport et d’améliorer l’infrastructure commerciale dans la région.
L’assistance fournie dans des situations fragiles et de conflit constitue pour IFC une priorité stratégique en Afrique, et au cours du dernier exercice budgétaire, IFC a fourni des programmes d’appui à la quasi- totalité des économies africaines en sortir de conflit. Le programme en faveur des États touchés par les conflits en Afrique (CASA) d’IFC a permis de fournir des conseils et des financements à huit pays (le Burundi, la République centrafricaine, la Côte d’Ivoire, la République démocratique du Congo, la Guinée, le Liberia, la Sierra Leone et le Sud Soudan). Les programmes menés par IFC dans ces pays ont contribué à renforcer l’implantation du secteur privé et à créer des opportunités et des emplois.
Au cours du dernier exercice budgétaire, l’initiative CASA a été autorisée à se déployer dans tous les États d’Afrique subsaharienne fragiles et affectés par des conflits et concentrera la première phase de son développement sur le Mali, la Somalie et le Zimbabwe.
Grâce à une utilisation innovante de ses opérations de trésorerie, IFC a développé sa capacité à servir ses clients par des financements en monnaie nationale, et a favorisé le développement des marchés obligataires. Au cours de l’exercice budgétaire 2013, IFC a octroyé plus de 350 millions de dollars de prêts en monnaie nationale en Afrique subsaharienne. IFC a émis sa première obligation en Naira nigérians, recueillant 75 millions de dollars pour des investissements dans le secteur privé. IFC travaille avec les autorités de plusieurs pays, y compris le Ghana, le Nigéria et la Zambie sur des programmes qui permettront à IFC d’émettre régulièrement des obligations en monnaie nationale.
L’accent qu’IFC met à favoriser les investissements entre marchés émergents a été renforcé cette année grâce à de nouveaux investissements de type « Sud-Sud » totalisant près de 400 millions de dollars. Il s’agit notamment d’investissements transfrontaliers en Afrique, comme le projet de nouvel hôtel en Côte d’Ivoire du groupe hôtelier Azalai, basé au Mali. Au Nigeria, les financements apportés par IFC ont permis d’appuyer des investissements importants fournis par deux entreprises indonésiennes: l’investissement d’Indorama dans les opérations d’Eleme Fertilizer et de Wings Group au Nigeria.
TUNIS, Tunisie, 3 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le gouvernement danois a annoncé sa volonté d’apporter une contribution de 10 millions de couronnes danoises (près de 1,8 millions de dollars US) au Fonds pour l’accélération du développement agricole en Afrique (FADA) afin d’activer les investissements en infrastructures agricoles sur le continent.
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Cette contribution a été annoncée le mercredi 28 août à Copenhague par le ministre danois de la Coopération au développement, M. Christian Friis Bach, au cours de la visite du président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org), M. Donald Kaberuka dans le pays.
Le FADA, premier fonds du genre géré par la BAD, a été lancé en vue de stimuler les investissements privés dans les projets d’infrastructure agricole en Afrique subsaharienne. Il est doté de 28,8 millions de dollars US.
Le soutien du gouvernement danois vient en complément des contributions faites par les bailleurs à l’origine de la création du FADA, en particulier l’USAID, qui s’est engagée à apporter 15 millions de dollars, et le gouvernement suédois qui a pris un engagement à hauteur de 10 millions de dollars.
Le Fonds pour l’accélération du développement subventionne le financement des frais initiaux de développement d’un large éventail de projets d’infrastructure agricole s’étendant sur la chaîne de valeur entière, de la production jusqu’à la vente dans les marchés. Le FADA intervient dans des pays qui sont membres de la Nouvelle Alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition. Cette dernière cherche à resserrer les liens entre agriculteurs, marchés et tables du consommateur. La Nouvelle Alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition a été lancée par le Président Barack Obama l’année dernière à l’occasion du sommet du G8. Les six pays suivants en sont membres : le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, le Ghana, le Mozambique et la Tanzanie. La Nouvelle Alliance soutient les réformes réglementaires axées sur le marché qui sont engagées dans ces six pays, où le secteur privé s’est engagé à hauteur de 3,7 milliards de dollars dans les investissements agricoles.
Au cours de sa visite, M. Kaberuka a assisté à un dîner-débat sur le thème « Croissance en Afrique, Nigéria compris » organisé par la ministre danoise du Commerce et des investissements, Mme Pia Olsen Dyhr, du ministre des Affaires européennes, M. Nick Hækkerup, et du directeur de la Confédération patronale danoise, M. Thomas Bustrup Bustrup.
Il a également eu des discussions avec le ministre danois de la Coopération au développement, M. Christian Friis Bach, sur des questions d’actualité, et notamment sur la situation du développement en Afrique, la reconstitution du Fonds africain de développement, la croissance verte et inclusive, le genre et les États fragiles.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).
Contacts :
Jennifer Ann Patterson
Chargée de communication
Banque africaine de développement
j.patterson@afdb.org/+216.71.10 16 38
Amadou Ba
Chef d’équipe, Fonds pour l’accélération du développement agricole en Afrique
Banque africaine de développement
a.m.ba@afdb.org/ +216 71 10 1788
À propos du Groupe de la Banque africaine de développement
Le Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) est la première institution multilatérale de financement dédiée au développement de l’Afrique. Elle comprend trois entités distinctes : la Banque africaine de développement (BAD), le Fonds africain de développement (FAD) et le Fonds spécial du Nigeria (FSN). La BAD est présente sur le terrain dans 33 pays africains, avec un Bureau extérieur au Japon, et contribue au développement économique et au progrès social de ses 53 Etats membres régionaux.
Pour plus d’informations veuillez consulter le site de la BAD : www.afdb.org
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TUNIS, Tunisie, 2 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — La Norv�ge a apport� un soutien financier � la Facilit� africaine de soutien juridique (FASJ) � hauteur de 30 millions de couronnes norv�giennes (pr�s de 4,9 millions de dollars US) � titre de contribution principale au programme de travail de la FASJ pour la p�riode 2013-2014.
Cette convention d�aide a �t� sign�e le jeudi 29 ao�t 2013 � Oslo par Donald Kaberuka, Pr�sident du Groupe de la Banque africaine de d�veloppement (BAD) (http://www.afdb.org/fr/) et Heikki Eidsvoll Holm�s, le ministre norv�gien du D�veloppement international.
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� La Norv�ge entend aider l’Afrique � transformer sa � mal�diction des ressources � en une � b�n�diction des ressources � en appuyant le renforcement des capacit�s des pays africains en mati�re de n�gociation de contrat dans les meilleures conditions. Le but est de leur permettre d�accro�tre leurs revenus et de renforcer leurs �conomies afin de se passer, � terme, de l’assistance ext�rieure � a d�clar� le Ministre.
� Il s�agit �galement d�am�liorer la transparence financi�re des contrats qui joue un r�le crucial dans la mise en lumi�re et l��radication des flux financiers illicites. Chaque ann�e, le montant des fonds qui disparaissent des pays en d�veloppement par des moyens financiers illicites est dix fois plus �lev� que celui qui est re�u sous la forme d’aide et d’assistance au d�veloppement � a-t-il ajout�.
La strat�gie d�cennale du Groupe de la Banque pour la p�riode allant de 2013 � 2022 met l’accent sur la croissance inclusive et la transition vers la croissance verte. Elle est en parfaite ad�quation avec les priorit�s de d�veloppement de la Norv�ge, telles qu’expos�es dans le livre blanc que le gouvernement a r�cemment publi� sur l’�quit� dans la distribution et le partage pour la prosp�rit�. Cette strat�gie accorde une importance particuli�re aux enjeux des �tats fragiles, de l’agriculture, de la s�curit� alimentaire et de l’�galit� de genre.
La Norv�ge a fourni un soutien de 768 millions de couronnes (pr�s de 125,63 millions de dollars US) � la Banque africaine de d�veloppement en 2012.
La FASJ est une organisation internationale �tablie par des gouvernements africains pour leur pr�ter assistance dans la n�gociation de transactions commerciales complexes, la poursuite d’actions litigieuses avec les fonds vautours, et le renforcement des capacit�s. En appuyant la FASJ, la Norv�ge aide les gouvernements africains � consolider leurs positions dans ces domaines.
La FASJ assiste plus particuli�rement les gouvernements dans la conduite des n�gociations complexes touchant aux industries extractives et � leurs infrastructures d’appui. Ses interventions favorisent la conclusion de n�gociations contractuelles � la fois �quitables et �quilibr�es qui servent de fondement � la transformation de richesses naturelles en croissance durable et inclusive. � l’heure actuelle, la FASF soutient des projets dans 20 pays africains. Des demandes d’intervention, notamment de la part d’�tats fragiles soucieux de maximiser les avantages de leurs ressources naturelles, sont en attente.
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Contact : Stephen R. Karangizi, Directeur, Facilit� africaine de soutien juridique, alsf@afdb.org
MONROVIA, Liberia, 2 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Ellen Johnson Sirleaf, Présidente de la République du Libéria et Donald Kaberuka, Président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org/fr/), ont lancé, le 2 Septembre 2013 à Monrovia au Libéria, un Panel de haut niveau sur les Etats fragiles. La question centrale à laquelle vont tenter de répondre les panelistes est la suivante : ”Comment pouvons-nous, de façon concrète, construire et consolider la paix et la prospérité des états fragiles d’Afrique?”
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Les conflits et la situation fragile de certains Etats constituent des contraintes majeures au développement de l’Afrique. Alors que la plupart des pays du continent ont connu un taux de croissance économique de 5% au cours de la dernière décennie, les pays fragiles et ceux en conflit n’en ont pas bénéficié. Le PIB par habitant qui est généralement de 945 $ pour les Etats africains ne représente qu’environ un tiers de ce montant, soit environ 333 $ dans les Etats fragiles. Leur relèvement constitue donc l’une des priorités du Groupe de la Banque.
«Avec l’aide de la Présidente Ellen Johnson Sirleaf et un groupe d’experts, nous élaborons une nouvelle approche pour aider ces pays à se relever plus rapidement et minimiser l’impact de leur fragilité sur les pays voisins» a déclaré Donald Kaberuka.
60 participants, en provenance de la République centrafricaine, des Comores, de la Côte d’Ivoire, de la République démocratique du Congo, de la Guinée, de la Guinée Bissau, de la Sierra Leone, de la Somalie, du Soudan du Sud, du Soudan, duTimor-Leste et du Togo ont pris part au lancement de ce Panel de haut niveau. Parmi eux, douze ministres des Finances et de la Planification et de hauts représentants d’Organisations internationales et de la Société civile.
De 2009 à 2011, la Banque africaine de développement a apporté un appui financier d’une valeur de 2,5 milliards de dollars aux États fragiles. Elle développe actuellement une stratégie relative à son engagement sous l’égide du panel de haut niveau sur les États fragiles.
Les Membres du Panel de Haut Niveau
Présidente : Ellen Sirleaf Johnson ;
Sarah Cliffe, Représentant spécial et Directrice du World development Report on conflict, security and development aux Nations Unies ;
Gilbert Fossoun Houngbo, Directeur général adjoint du Bureau International du Travail (BIT) pour les programmes extérieurs et les partenariats ;
Geraldine Frasier-Moleketi, Envoyée spéciale sur les questions de genre à la Banque africaine de développement ;
Dr. Callisto Madavo, Professeur à Georgetown University ;
Dr Greg Mills, Directeur de la Fondation Brenthurst ;
Rakiya Omaar, Directrice d’African Rights;
Dame Barbara Stocking, Présidente du Murray Edwards College, au New College de l’Université de Cambridge.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAD).
Agenda et informations disponibles en cliquant le lien ci-après :
http://www.afdb.org/en/topics-and-sectors/initiatives-partnerships/high-level-panel-on-fragile-states/
Contact medias: Sunita Pitamber via s.pitamber@afdb.org or mikias@coxsi.com
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Kigali, 27 août 2013 (CEA) – Les ambassadeurs et les hauts fonctionnaires, représentant la République démocratique du Congo (RDC), le…
Kigali, 27 August 2013 (ECA) – Ambassadors and senior government officials representing Democratic Republic of Congo (DRC), Kenya, Rwanda, Somalia,…
MAPUTO, Mozambique, 30 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Aggreko (http://www.aggreko.com), en collaboration avec ses partenaires de projet, a célébré l’agrandissement de sa centrale électrique fonctionnant au gaz au Gigawatt Park, à Ressano Garcia, au Mozambique. L’agrandissement de l’installation a été officiellement inauguré par le ministre de l’Énergie, l’Honorable Salvador Namburete, au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée aujourd’hui sur le site du projet. L’agrandissement ajoute une capacité supplémentaire de 122 MW à l’installation de Ressano Garcia, élevant la production totale de la centrale à 232 MW.
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La centrale d’Aggreko est entrée en activité en juillet 2012, concrétisant une initiative réellement révolutionnaire visant à construire le premier projet de fournisseur d’électricité indépendant (FEI) transfrontalier temporaire au monde. L’électricité produite sur le site était envoyée directement dans le Pool électrique d’Afrique australe (SAPP), les premiers acquéreurs du projet étant Electricidade de Moçambique (EDM), le service public d’électricité du Mozambique et Eskom, le service public d’électricité d’Afrique du Sud.
Suite au succès de la première phase du projet de Ressano Garcia, Aggreko a annoncé en mars 2013 la signature d’accords avec EDM et NamPower, le service public d’électricité de Namibie, pour fournir 122 MW de plus dans le cadre du projet. Le travail a commencé immédiatement après l’annonce afin de plus que doubler la capacité de production de la centrale. Aggreko ayant conçu et construit l’infrastructure de la centrale pour permettre des augmentations modulaires de sa capacité, l’ajout de cette production d’électricité supplémentaire a été réalisé en seulement 12 semaines.
En utilisant l’infrastructure de transmission régionale exceptionnelle du SAPP, Aggreko fournira désormais de l’électricité générée au Mozambique à trois services publics nationaux, y compris à la Namibie située à plus de 1 500 kilomètres de là. Illustrant la coopération mutuelle entre les services publics nécessaire pour y parvenir, EDM et Eskom joueront un rôle majeur dans la transmission de cette électricité vers la Namibie. EDM transmettra l’électricité par le biais de son réseau vers la frontière sud-africaine où Eskom, au nom de NamPower, en gérera la redistribution jusqu’en Namibie par le biais du réseau sud-africain.
La centrale électrique de Ressano Garcia d’Aggreko est située à la frontière entre le Mozambique et l’Afrique du Sud, à 90 kilomètres au nord-ouest de Maputo, au Gigawatt Park. Le gaz naturel nécessaire à ce projet est fourni par Matola Gas Company SA par le biais de son infrastructure gazière située à Ressano Garcia, et Aggreko produit de l’électricité par le biais d’un accord de sous-concession avec Gigawatt Mozambique SA.
« Ressano Garcia est la plus importante centrale électrique transfrontalière temporaire au monde, avec 232 MW d’électricité produite à partir de gaz et utilisée par trois services publics nationaux », a déclaré David Taylor-Smith, directeur régional d’Aggreko dans la région Europe, Moyen-Orient, Afrique. « Ce projet souligne la précision et la vitesse avec lesquelles Aggreko peut fournir une capacité électrique temporaire à grande échelle, pour aider nos clients à combler les lacunes en matière d’électricité lorsqu’elles surviennent. »
Paulinus Shilamba, directeur général de NamPower, a affirmé : « Cette approche innovante pour garantir un approvisionnement en électricité pour les habitants de Namibie est un bel exemple de l’esprit de la coopération sud-africain. Ce projet unique contribuera fournir une alimentation électrique en Namibie et soutiendra le développement continu du pays. »
Augusto de Sousa Fernando, PDG d’EDM, a ajouté : « Suite au premier projet qu’EDM a rendu possible en jouant son rôle en tant que service public et opérateur de système au Mozambique, nous souhaiterions encore une fois accueillir la seconde phase du projet de la centrale électrique temporaire d’Aggreko à Ressano Garcia, qui aidera EDM et ses partenaires au sein du SAPP à assurer leur service pendant la période de transition jusqu’à ce que nous mettions en place nos installations permanentes au Mozambique. »
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Contact presse:
Nicholas van Santen
Directeur des RP et des communications
Aggreko EMOA
Tél. : +971 56 682 5978
E-mail : nicholas.vansanten@aggreko.ae
Aggreko
Aggreko plc est le leader mondial des solutions d’énergie temporaire et de régulation de température. Aggreko emploie plus de 5700 personnes opérant à partir de 194 sites. En 2012 nous avons servi des clients dans plus de 100 pays et nous avons réalisé un chiffre d’affaires de près de 1,6 milliards d’Euros (2,5 milliards de Dollars ou 2,0 milliards de Euro). Aggreko plc est inscrit au London Stock Exchange (AGK.L), est membre de l’index FTSE-100, et a son siège social en Ecosse. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site Internet de la société à l’adresse www.aggreko.fr.
Aggreko apporte des solutions pour la fourniture temporaire d’énergie et le froid & climatisation à des clients qui en ont un besoin particulièrement urgent ou pour une période courte. Par exemple, la fourniture d’énergie à un site industriel qui avait besoin d’entretenir son système permanent de production d’électricité, en fournissant en énergie une ville entière en période de pénurie, ou en fournissant les systèmes de production d’électricité et de refroidissement pour un événement sportif majeur. Nous répondons nos clients soit à partir de nos 194 centres de service, que nous appelons « Local Business », soit sur le plan mondial, grâce à notre entité « International Power Projects ».
Dans le cadre du Local business, qui constitue environ la moitié de notre chiffre d’affaires, nous louons notre équipement aux clients qui les exploitent alors par eux-mêmes, bien que nous conservions la responsabilité de son entretien et de sa maintenance. Dans le cadre de « International Power Projects », qui représente environ la moitié de notre chiffre d’affaires, nous agissons comme producteur d’électricité. Nous installons et exploitons des unités de production d’électricité et nous facturons à nos clients à la fois la fourniture de la capacité de production et l’électricité que nous produisons. Nous concevons et fabriquons notre équipement de manière spécifique en fonction de ces exigences dans notre usine de Dumbarton, en Écosse.
Parmi nos clients récents on retrouve les Jeux Olympiques et Paralympiques de Londres 2012, les Jeux Olympiques d’hiver de Vancouver de 2010 et les compagnies publiques d’électricité dans plus de 50 pays parmi lesquels le Royaume-Uni, la France, l’Angola, le Kenya, l’Indonésie, le Bangladesh, le Venezuela, le Chili, le Brésil et les États-Unis.
En 2012 nous avons reçu près de 45,000 retours à nos enquêtes de satisfaction Clients. 70% d’entre eux nous recommanderait à un collègue ou à un ami (note de 9 ou 10 sur 10).
Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site Internet de la société à l’adresse : www.africa.aggreko.com.
LAGOS, Nigeria 30 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Le véhicule d’investissement panafricain de Tony O. Elumelu, Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com), a annoncé aujourd’hui un investissement conséquent dans Seadrill Mobil Units (Nigeria) Limited, une filiale de l’une des plus importantes sociétés de forage en eau profonde au monde, Seadrill. M. Elumelu a été nommé président du conseil de Seadrill Mobil Units.
Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/heirs-holdings.jpg
Photo Tony Elumelu: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/tony-elumelu.jpg
Cet investissement est une preuve supplémentaire de la stratégie de M. Elumelu visant à accroître la participation des entreprises africaines dans la chaîne de valeur du gaz et du pétrole, et complète les intérêts existants de la société en matière de production et d’exploration de gaz et de pétrole. Seadrill, la plus importante société de forage en mer au monde, est cotée aux bourses de New York et d’Oslo, opérant la deuxième plus importante flotte en eau très profonde au monde et la plus importante flotte de plateformes haut de gamme de l’industrie avec 7 500 employés dans 15 pays.
À propos de l’investissement, M. Elumelu a déclaré : « Seadrill est un acteur important dans le secteur du pétrole et du gaz, avec une expérience éprouvée, et est l’un des noms les plus respectés de l’industrie. Ce partenariat présente un réel intérêt commercial, réunissant un acteur mondial majeur et un acteur africain de premier plan au sein de l’industrie du gaz et du pétrole. Le développement réussi des gisements de pétrole et de gaz en eau profonde du Nigeria revêt une importance stratégique pour notre pays. Il s’agit d’une part importante de notre approche personnelle visant à créer un investissement à valeur ajoutée synergique dans le secteur de l’énergie, depuis l’extraction au traitement et, peut-être plus important pour le Nigeria, la production industrielle et la production d’électricité. »
M. Elumelu a ajouté : « Ce partenariat ouvre la voie à la poursuite du développement de notre secteur de l’électricité, mené par les talents locaux et devrait servir de modèle pour une participation continue, réelle et indigène, créant un impact à la fois économique et social. »
Le directeur de Seadrill Mobil Units (Nigeria) Limited, Svend Anton Maier, a affirmé : « Le partenariat avec Heirs Holdings crée l’association parfaite entre une expertise technique mondiale, soutenue par une excellence opérationnelle, et une gestion financière intelligente pour le marché nigérian. Il place la société dans une position de leader local et d’acteur réellement indigène. »
Heirs Holdings réalise des investissements exclusifs dans divers secteurs stratégiques à travers l’Afrique. Par le biais de ses filiales Tenoil Petroleum & Energy Services et Transcorp Energy, créée pour diriger l’approche de Transcorp sur le secteur de l’électricité, Heirs Holdings s’est déjà largement engagée dans le secteur de l’exploration et la production de pétrole, par le biais de l’acquisition d’OPL 281, un gisement pétrolier à terre avec des réserves de gaz importante, par le développement par Transcorp et Tenoil d’OPL 2008, qui devrait entrer en production en 2014.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.
Pour plus de renseignements :
Moky Makura
Directrice du marketing et des communications d’entreprise
Heirs Holdings
E-mail : moky.makura@heirsholdings.com
Téléphone : +234-1-277-4641
À propos de Heirs Holdings
Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.
LAGOS, Nigeria 30 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Le véhicule d’investissement panafricain de Tony O. Elumelu, Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com), a annoncé aujourd’hui un investissement conséquent dans Seadrill Mobil Units (Nigeria) Limited, une filiale de l’une des plus importantes sociétés de forage en eau profonde au monde, Seadrill. M. Elumelu a été nommé président du conseil de Seadrill Mobil Units.
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Photo Tony Elumelu: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/tony-elumelu.jpg
Cet investissement est une preuve supplémentaire de la stratégie de M. Elumelu visant à accroître la participation des entreprises africaines dans la chaîne de valeur du gaz et du pétrole, et complète les intérêts existants de la société en matière de production et d’exploration de gaz et de pétrole. Seadrill, la plus importante société de forage en mer au monde, est cotée aux bourses de New York et d’Oslo, opérant la deuxième plus importante flotte en eau très profonde au monde et la plus importante flotte de plateformes haut de gamme de l’industrie avec 7 500 employés dans 15 pays.
À propos de l’investissement, M. Elumelu a déclaré : « Seadrill est un acteur important dans le secteur du pétrole et du gaz, avec une expérience éprouvée, et est l’un des noms les plus respectés de l’industrie. Ce partenariat présente un réel intérêt commercial, réunissant un acteur mondial majeur et un acteur africain de premier plan au sein de l’industrie du gaz et du pétrole. Le développement réussi des gisements de pétrole et de gaz en eau profonde du Nigeria revêt une importance stratégique pour notre pays. Il s’agit d’une part importante de notre approche personnelle visant à créer un investissement à valeur ajoutée synergique dans le secteur de l’énergie, depuis l’extraction au traitement et, peut-être plus important pour le Nigeria, la production industrielle et la production d’électricité. »
M. Elumelu a ajouté : « Ce partenariat ouvre la voie à la poursuite du développement de notre secteur de l’électricité, mené par les talents locaux et devrait servir de modèle pour une participation continue, réelle et indigène, créant un impact à la fois économique et social. »
Le directeur de Seadrill Mobil Units (Nigeria) Limited, Svend Anton Maier, a affirmé : « Le partenariat avec Heirs Holdings crée l’association parfaite entre une expertise technique mondiale, soutenue par une excellence opérationnelle, et une gestion financière intelligente pour le marché nigérian. Il place la société dans une position de leader local et d’acteur réellement indigène. »
Heirs Holdings réalise des investissements exclusifs dans divers secteurs stratégiques à travers l’Afrique. Par le biais de ses filiales Tenoil Petroleum & Energy Services et Transcorp Energy, créée pour diriger l’approche de Transcorp sur le secteur de l’électricité, Heirs Holdings s’est déjà largement engagée dans le secteur de l’exploration et la production de pétrole, par le biais de l’acquisition d’OPL 281, un gisement pétrolier à terre avec des réserves de gaz importante, par le développement par Transcorp et Tenoil d’OPL 2008, qui devrait entrer en production en 2014.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.
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Moky Makura
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E-mail : moky.makura@heirsholdings.com
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À propos de Heirs Holdings
Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.
Kigali, 27 August 2013 (ECA) – Ambassadors and senior government officials representing Democratic Republic of Congo (DRC), Kenya, Rwanda, Somalia,…
Aug 30 (Reuters) – Nigeria’s securities regulator is investigating pan-African lender Ecobank over an alleged misstatement of its 2012 performance,…
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Le Rwanda Stock Exchange (RSE) a commencé à recevoir ses premières demandes d’introduction en bourse pour son futur marché alternatif…
JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 29 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Ann Cairns, présidente des marchés internationaux chez MasterCard et Peter Schlebusch, dirigeant de Standard Bank Group, célèbrent la signature d’un accord renforçant la relation entre MasterCard et Standard Bank Group pour cinq années supplémentaires.
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Photo : http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/mastercard-andstandard-bank-signing_fr.jpg
Cet accord permettra d’élargir les responsabilités de MasterCard dans tous les pays africains dans lesquels Standard Bank est présent et de tirer profit de l’utilisation de plusieurs produits et services MasterCard, y compris MasterCard Advisors, pour davantage optimiser les plateformes de distribution de Standard Bank, introduire de nouvelles offres et accroître la rentabilité.
Derrière Mme Cairns et M. Schlebusch se tiennent (de gauche à droite) Chris Sweeney, directeur de l’activité Carte de Standard Bank Group ; Philip Panaino, président de division en Afrique du Sud de MasterCard et Michael Miebach, président de MasterCard au Moyen-Orient et en Afrique.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour MasterCard Worldwide.
Contact presse :
Gina de Villiers, mastercard@tribecapr.co.za, +27 11 208 5500
À propos de MasterCard
MasterCard (NYSE : MA), www.mastercard.com, est une société internationale de paiements et de technologie. Elle exploite le réseau de traitement de paiements le plus rapide au monde, reliant les consommateurs, les institutions financières, les commerçants, les gouvernements et les entreprises dans plus de 210 pays. Les produits et solutions de MasterCard facilitent les activités commerciales au quotidien, notamment les achats, les voyages, la gestion d’une entreprise et des finances, et les rendent plus sûres et plus efficaces pour tout le monde. Suivez-nous sur Twitter @MasterCardNews (https://twitter.com/MasterCardNews), joignez-vous à la discussion sur le blog Cashless Conversations
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TUNIS, Tunisie, 28 août 2013/African Press Organization (APO)/ — La Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org/fr/) et le gouvernement djiboutien ont signé des accords de financement d’un montant total de 7,5 millions USD, pour un projet d’exploration géothermique dans la région du lac Assal.
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“L’exploitation du potentiel géothermique de la région du lac Assal permettra à la population djiboutienne d’accéder à une source d’énergie fiable, renouvelable et à bon marché”, a déclaré le directeur de la BAD chargé de l’Intégration régionale, Alex Rugamba, au nom du vice-président chargé de l’Infrastructure, secteur privé et intégration régionale, Gilbert Mbesherubusa.
L’enveloppe financière comporte un prêt et un don du guichet concessionnel du Groupe de la BAD, le Fonds africain de développement, d’un montant respectif de 5,3 et de 0,4 millions USD. Elle comporte également un don de 1,8 million USD du Fonds d’énergie durable pour l’Afrique (SEFA). Les contributions de la BAD et du SEFA permettront de lever d’autres financements. Elles serviront également de catalyseur pour rallier des producteurs indépendants d’électricité géothermique.
S’exprimant lors de la cérémonie de lancement organisée à Tunis, Ali Yacoub Mahamoud, le ministre djiboutien de l’Énergie, chargé des Ressources naturelles, a félicité la Banque africaine de développement pour avoir « redonné vie à un projet vieux de vingt ans ».
L’exploitation du potentiel géothermique de la région du lac Assal à travers ce projet devrait générer dans un premier temps quelque 50 MW d’énergie propre. Actuellement, Djibouti s’alimente en électricité essentiellement à partir de combustibles fossiles et de ses importations hydroélectriques en provenance de l’Éthiopie. La majorité de la capacité de production actuelle du pays se trouve dans la ville de Djibouti. Ces stations électriques sont vieilles et polluantes, avec des coûts d’exploitation exorbitants. En outre, les importations de fioul coûtent cher, obérant les précieuses recettes du pays en devises.
Lors de la première phase du projet, le gouvernement djiboutien initiera des forages exploratoires. Le secteur privé prendra le relais pour mener les forages de production, mettre en place les systèmes de collecte de vapeur, de production électrique et de transport vers le réseau national.
La géothermique connait un développement sans précédent en Afrique de l’Est depuis deux ans. Elle attire de plus en plus d’investisseurs privés grâce à de nouveaux schémas de financement élaborés par les institutions de financement du développement telles que la Banque africaine de développement.
« Ces modèles innovants permettent de surmonter les différents risques associés au développement géothermique, notamment le risque de forage exploratoire, avec la probabilité de tomber sur des puits secs lors de l’exploration du champ géothermique », explique Youssef Arfaoui, spécialiste en chef en énergies renouvelables. « En finançant sur une base concessionnelle la phase d’exploration du projet qui incluent les activités à risque élevé principalement liées au forage, et en endossant ainsi la plupart des risques, la Banque africaine de développement ouvre la voie à l’investissement privé pour les phases rentables du projet. »
Le projet d’exploration dans la région du lac Assal permettra également de renforcer le développement géothermique dans d’autres pays de la vallée du Rift oriental en Afrique subsaharienne en renforçant les capacités des opérateurs à l’échelle régionale. Les pays tels que l’Éthiopie, l’Ouganda, la Tanzanie et le Rwanda recèlent, en effet, un potentiel géothermique considérable.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour la Banque Africaine de Développement (BAD).
Contact :Youssef Arfaoui, spécialiste en chef en énergies renouvelables, T. +216 71 10 23 08 / y.arfaoui@afdb.org
The EU has announced €6 million to support Guinea in the areas of governance and democracy. The funding is…
Tout en réaffirmant sa mission d’organe d’informations financières et économiques dédié au monde des affaires en Afrique, et suite aux…
LAGOS, Nigeria 28 août 2013/African Press Organization (APO)/ — L’initiative Power Africa, soutenue par les États-Unis et initiée par le président Barack Obama, d’une valeur de 7 milliards USD, a reçu un énorme coup de pouce avec l’annonce que le financement intégral de 300 millions USD a été complété pour l’acquisition de la centrale électrique d’Ughelli dans l’État du Delta, au Nigeria, par Transcorp Plc, le conglomérat coté en bourse géré par la société Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com) de Tony Elumelu, société d’investissement par actions panafricaine qui est le principal actionnaire de Transcorp.
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Le mois dernier, Heirs Holdings s’est engagée à verser 2,5 milliards USD à l’initiative Power Africa, un partenariat à multiples parties prenantes entre le gouvernement des États-Unis et sept pays d’Afrique subsaharienne, dont le Nigeria ; et plus tôt cette année, Transcorp a signé un accord de coopération avec General Electric (GE) pour le développement du secteur de l’électricité au Nigeria.
Transcorp Ughelli Power Limited (TUPL) a annoncé la semaine dernière le versement de 225 millions USD au Bureau of Public Enterprise (BPE) du Nigeria, soit 75 % du solde du cours d’achat totalisant 300 millions USD pour la centrale d’une capacité de 1 000 mégawatts. TUPL a versé un dépôt initial de 75 millions USD (25 %) pour la centrale en février dernier.
TUPL, dont la société américaine Symbion Power est un investisseur privé dans le cadre du projet, projette d’accroître la production d’électricité de 300 MW à plus de 1 070 MW au cours des cinq prochaines années.
United Bank for Africa Plc (UBA) et Africa Finance Corporation (AFC) en tant que co-arrangeurs, et First City Monument Bank Plc (FCMB) et Fidelity Bank en tant que co-financiers ont fourni la facilité de financement de la dette pour l’acquisition de la centrale, qui est l’une des six sociétés de production d’électricité dégroupées dans le cadre de la privatisation de Power Holding Company of Nigeria (PHCN).
À propos de la finalisation de l’acquisition, M. Elumelu, président de Heirs Holdings et de Transcorp, a déclaré : « Il s’agit d’une avancée majeure, qui revêt une importance considérable pour le Nigeria, la région et l’administration Obama, car elle représente un progrès positif dans la réalisation de Power Africa. Nous nous engageons à développer efficacement le secteur de l’électricité au Nigeria pour répondre aux demandes de notre économie en plein essor et améliorer le niveau de vie de tous les Nigérians. »
L’initiative Power Africa menée par le président des États-Unis, Barack Obama, est un partenariat à multiples parties prenantes entre le gouvernement des États-Unis, six (6) autres pays d’Afrique subsaharienne et le secteur privé. L’objectif commun de cette initiative est d’accélérer l’investissement dans le secteur de l’électricité en Afrique au cours des cinq prochaines années.
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.
Contact:
Moky Makura
Heirs Holdings
E-mail : moky.makura@heirsholdings.com
Téléphone : +234-1-277-4641
À propos de Heirs Holdings
Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.
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JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 27 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Au cours d’une table ronde organisée lors de la première réunion du Conseil d’affaires des BRICS à Johannesburg cette semaine, le chef d’entreprise africain Tony O Elumelu, président de Heirs Holdings, (http://www.heirsholdings.com) a appelé les chefs d’entreprise des pays BRICS à laisser de la place aux entreprises africaines qui cherchent à étendre leurs activités en dehors du continent dans les BRICS.
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Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/brics-2013.jpg
Face à un auditoire composé de chefs d’entreprise influents venus des BRICS et de 19 autres pays africains, M. Elumelu a parlé de la nécessité d’établir des partenariats mutuellement avantageux entre les pays africains et les BRICS : « Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle génération d’entrepreneurs dont les ambitions s’étendent au-delà du continent. Ils devraient investir dans les BRICS de la même manière que les BRICS investissent en Afrique, cette relation doit être à double sens. »
M. Elumelu s’exprimait à l’occasion d’une table ronde sur « Les mesures et initiatives spécifiques pour accroître les liens commerciaux, d’affaires, de fabrication et d’investissement entre les BRICS et l’Afrique ». La discussion, qui était modérée par Donald Kaberuka, président de la Banque africaine de développement, fournissait également des perspectives précieuses d’autres chefs d’entreprise africains de premier plan, y compris Mo Ibrahim, Isabella Dos Santos et Johann Rupert.
M. Kaberuka a souligné le besoin d’améliorer les infrastructures sur le continent, affirmant que les entreprises ne peuvent prospérer que si le problème du déficit des infrastructures est résolu. L’investisseur angolaise, Isabella Dos Santos, a mis l’accent sur le besoin d’investissements dans les infrastructures « immatérielles », soutenant que la technologie du haut débit aurait un effet transformateur similaire à la technologie mobile en Afrique.
Mo Ibrahim a amusé l’auditoire avec son discours, mais derrière les plaisanteries, les messages concernant la mauvaise image de l’Afrique au niveau mondial et l’importance de la gouvernance étaient bien réels et essentiels. Il a parlé de l’indice de gouvernance de sa fondation, l’un des plus complets au monde, mesurant 88 paramètres dont la transparence, la corruption, l’éducation et la santé. Son message final aux investisseurs était : « Ne venez pas en Afrique pour aider et gagner de l’argent parce que le meilleur retour sur investissement est en Afrique. Vous pouvez apprécier de gagner de l’argent en Afrique mais, s’il vous plaît, soyez responsables. »
Le Sud-africain Johann Rupert, président des sociétés Richemont et Remgro, a parlé des facteurs essentiels qu’il considère en tant qu’investisseur, quel que soit l’endroit où ses investissements se situent. Il a énuméré quatre domaines critiques qui sont : l’État de droit, l’indépendance du système judiciaire, la sécurité des biens et la transparence des marchés.
M. Elumelu a résumé le consensus général de la réunion du conseil d’affaires des BRICS lorsqu’il a conclu : « En tant que chefs d’entreprise africains, et en tant qu’Africapitalistes, nous sommes d’accord que nous possédons suffisamment de ressources pour faire avancer les choses en Afrique. Nous devons partager les opportunités sur le continent. Nous sommes assez nombreux pour faire la différence. Nous devons travailler ensemble pour trouver des manières d’accroître les liens d’échanges commerciaux et d’investissements entre les BRICS et l’Afrique. »
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.
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Moky Makura
Heirs Holdings
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Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.
JOHANNESBURG, Afrique du Sud, 27 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Au cours d’une table ronde organisée lors de la première réunion du Conseil d’affaires des BRICS à Johannesburg cette semaine, le chef d’entreprise africain Tony O Elumelu, président de Heirs Holdings, (http://www.heirsholdings.com) a appelé les chefs d’entreprise des pays BRICS à laisser de la place aux entreprises africaines qui cherchent à étendre leurs activités en dehors du continent dans les BRICS.
Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/heirs-holdings.jpg
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Face à un auditoire composé de chefs d’entreprise influents venus des BRICS et de 19 autres pays africains, M. Elumelu a parlé de la nécessité d’établir des partenariats mutuellement avantageux entre les pays africains et les BRICS : « Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle génération d’entrepreneurs dont les ambitions s’étendent au-delà du continent. Ils devraient investir dans les BRICS de la même manière que les BRICS investissent en Afrique, cette relation doit être à double sens. »
M. Elumelu s’exprimait à l’occasion d’une table ronde sur « Les mesures et initiatives spécifiques pour accroître les liens commerciaux, d’affaires, de fabrication et d’investissement entre les BRICS et l’Afrique ». La discussion, qui était modérée par Donald Kaberuka, président de la Banque africaine de développement, fournissait également des perspectives précieuses d’autres chefs d’entreprise africains de premier plan, y compris Mo Ibrahim, Isabella Dos Santos et Johann Rupert.
M. Kaberuka a souligné le besoin d’améliorer les infrastructures sur le continent, affirmant que les entreprises ne peuvent prospérer que si le problème du déficit des infrastructures est résolu. L’investisseur angolaise, Isabella Dos Santos, a mis l’accent sur le besoin d’investissements dans les infrastructures « immatérielles », soutenant que la technologie du haut débit aurait un effet transformateur similaire à la technologie mobile en Afrique.
Mo Ibrahim a amusé l’auditoire avec son discours, mais derrière les plaisanteries, les messages concernant la mauvaise image de l’Afrique au niveau mondial et l’importance de la gouvernance étaient bien réels et essentiels. Il a parlé de l’indice de gouvernance de sa fondation, l’un des plus complets au monde, mesurant 88 paramètres dont la transparence, la corruption, l’éducation et la santé. Son message final aux investisseurs était : « Ne venez pas en Afrique pour aider et gagner de l’argent parce que le meilleur retour sur investissement est en Afrique. Vous pouvez apprécier de gagner de l’argent en Afrique mais, s’il vous plaît, soyez responsables. »
Le Sud-africain Johann Rupert, président des sociétés Richemont et Remgro, a parlé des facteurs essentiels qu’il considère en tant qu’investisseur, quel que soit l’endroit où ses investissements se situent. Il a énuméré quatre domaines critiques qui sont : l’État de droit, l’indépendance du système judiciaire, la sécurité des biens et la transparence des marchés.
M. Elumelu a résumé le consensus général de la réunion du conseil d’affaires des BRICS lorsqu’il a conclu : « En tant que chefs d’entreprise africains, et en tant qu’Africapitalistes, nous sommes d’accord que nous possédons suffisamment de ressources pour faire avancer les choses en Afrique. Nous devons partager les opportunités sur le continent. Nous sommes assez nombreux pour faire la différence. Nous devons travailler ensemble pour trouver des manières d’accroître les liens d’échanges commerciaux et d’investissements entre les BRICS et l’Afrique. »
Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Heirs Holdings.
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Heirs Holdings
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À propos de Heirs Holdings
Heirs Holdings est une société d’investissement par actions panafricaine dont la mission consiste à stimuler le développement de l’Afrique. Nous sommes des investisseurs actifs à long terme spécialisés dans le développement et les redressements d’entreprises. Nous visons à transformer les sociétés dans lesquelles nous investissons et à en faire des sociétés qui durent. Nous investissons en Afrique pour créer de la valeur pour nos actionnaires et partenaires, et pour assurer la prospérité économique et la richesse sociale du continent. Nos investissements dans l’électricité, les services financiers, le gaz et le pétrole, l’immobilier et l’hôtellerie, l’agro-industrie et les soins de santé aident à développer les économies, à créer des emplois, à accroître la prospérité et finalement à transformer la vie des Africains ordinaires en Afrique.