Le bilan humain (encore trois soldats fauchés par un engin explosif à l’orée du nouvel an) et financier de la force Barkhane (5 200 soldats stationnés au Mali et au Niger depuis 7 ans) suscite des interrogations au parlement français et au sein des Etats majors de l’armée. En récent visite au Tchad, le premier ministre français, Jean Castex, en est revenu sans déclaration particulière. Tout à l’inverse du Chef d’Etat major des armées, François Lecointre, qui, tout en rejetant le retrait des forces françaises, a néanmoins souhaité « limiter le niveau d’engagement des armées » lors de sa visite-éclair, début décembre,
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