Entre ceux qui le pressent de prendre publiquement position dans la politique ivoirienne et ceux qui lui rappellent de ne pas s’ingérer dans les affaires intérieures d’un pays souverain, le président français, Emmanuel Macron, ne sait plus sur quel pied danser. De sa rencontre, le 4 septembre à l’Elysée, avec Alassane Ouattara, d’où ne sortira aucun communiqué, aux appels de pied de l’ancien président ivoirien, Henri Konan Bedié, doublés de la supplique du président du Front Populaire Ivoirien (FPI), Pascal Affi N’guessan, jusqu’à la lettre ouverte de l’ancien président de l’assemblée nationale, Guillaume Soro, d’ailleurs en exil en France, tous
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