Un groupe de jeunes Marocains, se réclamant de la Génération Z, a publié un texte inédit intitulé « Document populaire ». Destiné au Souverain, ce manifeste dresse une série de revendications sociales, politiques et institutionnelles.
Les signataires dénoncent la perte de confiance dans les institutions (gouvernement, parlement, partis politiques), qu’ils accusent de bloquer le développement national. Ils réclament la dissolution du gouvernement actuel sur la base de l’article 47 de la Constitution, l’ouverture de poursuites judiciaires contre les responsables de corruption, ainsi qu’une refonte profonde du paysage politique.
Au-delà de la sphère institutionnelle, le texte exige le respect des libertés publiques : fin de la répression des manifestations pacifiques, liberté d’expression garantie, et libération des prisonniers d’opinion et des détenus liés aux mouvements sociaux.
Le manifeste appelle également à une égalité réelle entre citoyens et à la lutte contre toutes formes de discrimination. Il propose enfin la tenue d’une séance nationale de reddition des comptes, présidée par le Roi, afin de juger la gestion gouvernementale et de bâtir un nouveau contrat social basé sur la justice, la responsabilité et la participation citoyenne Maroc : la Génération Z interpelle directement le Roi Mohammed VI
Un groupe de jeunes Marocains, se réclamant de la Génération Z, a publié un texte inédit intitulé « Document populaire ». Destiné au Souverain, ce manifeste dresse une série de revendications sociales, politiques et institutionnelles.
Les signataires dénoncent la perte de confiance dans les institutions (gouvernement, parlement, partis politiques), qu’ils accusent de bloquer le développement national. Ils réclament la dissolution du gouvernement actuel sur la base de l’article 47 de la Constitution, l’ouverture de poursuites judiciaires contre les responsables de corruption, ainsi qu’une refonte profonde du paysage politique.
Au-delà de la sphère institutionnelle, le texte exige le respect des libertés publiques : fin de la répression des manifestations pacifiques, liberté d’expression garantie, et libération des prisonniers d’opinion et des détenus liés aux mouvements sociaux.
Le manifeste appelle également à une égalité réelle entre citoyens et à la lutte contre toutes formes de discrimination. Il propose enfin la tenue d’une séance nationale de reddition des comptes, présidée par le Roi, afin de juger la gestion gouvernementale et de bâtir un nouveau contrat social basé sur la justice, la responsabilité et la participation citoyenne.