Face aux polémiques suscitées par la crise dite «des migrants», l’écrivain mauritanien Mbarek Beyrouk, connu pour ses romans empreints de mémoire et d’humanité, a tenu à rappeler une vérité qu’il estime fondamentale : la Mauritanie n’a jamais cessé d’être une terre d’accueil.
À travers son œuvre, Beyrouk a souvent exploré les frontières invisibles qui traversent les hommes et les sociétés, les fractures du désert et les solidarités enfouies dans l’histoire. Dans la même veine, il rappelle aujourd’hui que les critiques adressées à son pays sont, selon lui, injustifiées et déconnectées de la tradition d’hospitalité qui fonde l’âme mauritanienne.
En somme, fidèle à sa voix d’écrivain, Mbarek Beyrouk oppose aux discours de rejet la mémoire d’une nation qui s’est toujours construite dans l’ouverture et le partage.