Dans sa dernière note de conjoncture économique sur la dette publique du pays, la Caisse congolaise d’amortissement (CCA) informe que le Trésor public doit rembourser une dette de 1.072,6 milliards de FCFA (1,9 milliard USD) à fin décembre 2025. « Cette somme représente l’essentiel de l’effort annuel restant, après une première partie de l’année marquée par des remboursements en forte progression », peut-on lire dans le document de l’organe public de gestion de la dette publique congolaise. Qui indiquait qu’au 30 avril 2025, le Congo devait rembourser 1.249,3 milliards de FCFA (2,2 milliards USD) pour la période allant de mai à décembre.
La CCA justifie cette baisse par « les paiements déjà effectués en mai, mois durant lequel le service de la dette a bondi de 44 % par rapport à avril pour atteindre 247,2 milliards de FCFA (environ 436 millions USD).
Dans le détail, le rapport cité supra révèle qu’à environ 90%, les remboursements à effectuer d’ici fin décembre 2025 sont dominés par des titres publics émis sur le marché financier régional sous forme de Bons et Obligations du Trésor assimilables (BTA et OTA). Au cours de la période sous revue, le Trésor public congolais devra rembourser environ 8,8% de l’encours global aux bailleurs bilatéraux, 7% aux créanciers commerciaux et moins de 4 % aux institutions multilatérales.
Pour ce qui est du chronogramme de ces remboursements, la CCA indique que, pour le seul mois d’octobre 2025, les remboursements vont atteindre 279,1 milliards de FCFA (492,2 millions USD). Ce qui est considéré comme le montant le plus élevé à rembourser d’ici la fin de l’année 2025. Dans sa structure, 80% de ces paiements le seront à travers les BTA, soit 225,5 milliards de FCFA (398 millions USD) tandis que le reste, soit 53,6 milliards de FCFA (94,5 millions USD), sera remboursé via les OTA.
Pour rappel, selon la CCA, à fin mai 2025, l’encours total de la dette publique du pays était estimé à 8.386,8 milliards de FCFA (environ 14,8 milliards USD). Soit plus de 90% du Produit intérieur brut (PIB) du pays, un ratio toujours supérieur au seuil de convergence de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), fixé à 70%. La CCA explique la légère hausse de 0,83% de la dette publique du pays en glissement mensuel par « un recours accru aux financements intérieurs par émission de titres, malgré une baisse des décaissements extérieurs ».
Par ailleurs, le gouvernement congolais entend réduire la dette du pays de 5.565,9 milliards de FCFA (9,8 milliards USD) en 2025 à 2.720,7 milliards de FCFA (près de 4,8 milliards USD) en 2030. Soit une baisse de 63% en 5 ans.
La CCA justifie cette baisse par « les paiements déjà effectués en mai, mois durant lequel le service de la dette a bondi de 44 % par rapport à avril pour atteindre 247,2 milliards de FCFA (environ 436 millions USD).
Dans le détail, le rapport cité supra révèle qu’à environ 90%, les remboursements à effectuer d’ici fin décembre 2025 sont dominés par des titres publics émis sur le marché financier régional sous forme de Bons et Obligations du Trésor assimilables (BTA et OTA). Au cours de la période sous revue, le Trésor public congolais devra rembourser environ 8,8% de l’encours global aux bailleurs bilatéraux, 7% aux créanciers commerciaux et moins de 4 % aux institutions multilatérales.
Pour ce qui est du chronogramme de ces remboursements, la CCA indique que, pour le seul mois d’octobre 2025, les remboursements vont atteindre 279,1 milliards de FCFA (492,2 millions USD). Ce qui est considéré comme le montant le plus élevé à rembourser d’ici la fin de l’année 2025. Dans sa structure, 80% de ces paiements le seront à travers les BTA, soit 225,5 milliards de FCFA (398 millions USD) tandis que le reste, soit 53,6 milliards de FCFA (94,5 millions USD), sera remboursé via les OTA.
Pour rappel, selon la CCA, à fin mai 2025, l’encours total de la dette publique du pays était estimé à 8.386,8 milliards de FCFA (environ 14,8 milliards USD). Soit plus de 90% du Produit intérieur brut (PIB) du pays, un ratio toujours supérieur au seuil de convergence de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), fixé à 70%. La CCA explique la légère hausse de 0,83% de la dette publique du pays en glissement mensuel par « un recours accru aux financements intérieurs par émission de titres, malgré une baisse des décaissements extérieurs ».
Par ailleurs, le gouvernement congolais entend réduire la dette du pays de 5.565,9 milliards de FCFA (9,8 milliards USD) en 2025 à 2.720,7 milliards de FCFA (près de 4,8 milliards USD) en 2030. Soit une baisse de 63% en 5 ans.