La Banque mondiale a approuvé un financement de 100 millions de dollars en faveur de Madagascar pour soutenir la mise en œuvre de réformes économiques structurelles. Cette opération vise à stimuler la croissance du secteur privé et à favoriser la création d’emplois, à travers des actions ciblées dans des secteurs clés tels que les télécommunications, l’énergie et les mines, selon un communiqué du ministère de l’Économie et des Finances publié le mercredi 18 juin. Ce financement est accordé par l’Association internationale de développement (IDA), dans le cadre de la deuxième opération de la politique de développement (DPO) du pays.
Le gouvernement malgache s’est engagé sur plusieurs chantiers majeurs. En matière de gouvernance économique, un comité indépendant a été mis en place pour améliorer la gestion des finances publiques, avec un objectif clair : renforcer la transparence, l’efficacité et la redevabilité dans l’utilisation des ressources publiques.
La libéralisation du marché des télécommunications, entamée en 2023, a déjà permis de stimuler la concurrence, de baisser les prix de l’Internet et d’élargir l’accès au numérique pour les ménages et les entreprises.
Dans le secteur minier, la formalisation des activités contribue à générer des revenus pour les communautés tout en assurant une meilleure protection de l’environnement. Quant à la réforme énergétique, elle vise à renforcer la compagnie nationale JIRAMA, à réduire les coupures d’électricité et à augmenter significativement la production d’énergie propre, en cohérence avec les objectifs du Pacte national énergétique et de la stratégie Mission 300.
Le gouvernement entend poursuivre sur cette lancée, en consolidant les acquis et en mettant l’accent sur la transparence, l’efficience des politiques publiques et la création de nouvelles opportunités économiques. L’objectif affiché est de poser les bases d’une croissance plus inclusive et plus résiliente, au bénéfice de l’ensemble de la population.
Le gouvernement malgache s’est engagé sur plusieurs chantiers majeurs. En matière de gouvernance économique, un comité indépendant a été mis en place pour améliorer la gestion des finances publiques, avec un objectif clair : renforcer la transparence, l’efficacité et la redevabilité dans l’utilisation des ressources publiques.
La libéralisation du marché des télécommunications, entamée en 2023, a déjà permis de stimuler la concurrence, de baisser les prix de l’Internet et d’élargir l’accès au numérique pour les ménages et les entreprises.
Dans le secteur minier, la formalisation des activités contribue à générer des revenus pour les communautés tout en assurant une meilleure protection de l’environnement. Quant à la réforme énergétique, elle vise à renforcer la compagnie nationale JIRAMA, à réduire les coupures d’électricité et à augmenter significativement la production d’énergie propre, en cohérence avec les objectifs du Pacte national énergétique et de la stratégie Mission 300.
Le gouvernement entend poursuivre sur cette lancée, en consolidant les acquis et en mettant l’accent sur la transparence, l’efficience des politiques publiques et la création de nouvelles opportunités économiques. L’objectif affiché est de poser les bases d’une croissance plus inclusive et plus résiliente, au bénéfice de l’ensemble de la population.