Suite à notre article du 28 Avril 2017 intitulé « Les 12 Travaux d’Hercules qui attendent Mamadou NDIAYE au CREPMF», nous avons reçu la mise au point suivante du secrétariat général du Conseil Régional de l’Epargne Publique Et des Marchés Financiers. Nous la publions en intégralité au même emplacement que l’article objet de la réaction.
Abidjan, le 9 mai 2017.
Il nous a été donné de relever la publication sur votre site internet d’un article intitulé « Les 12 Travaux d’Hercules qui attendent Mamadou NDIAYE au CREPMF».Il apparait qu’à travers cet article, vous affirmez « La nomination issue du sommet… consacre un banquier à la tête d’une organisation qui s’est illustrée ces dernières années dans le blocage des dossiers importants »
Nous notons que cette affirmation hautement diffamatoire pour notre institution n’est étayée par aucune preuve. Nous trouvons cela déplorable, surtout que votre organe a choisi d’informer le monde sensible de la finance qui ne saurais s’accommoder d’attitudes aussi légères.
Ainsi nous vous informons que le CREPMF Autorité Régionale de Supervision et de Contrôle des Marchés Financiers au sein de l’UMOA. Tout en se réservant le droit d’engager toute procédure judiciaire qui s’imposerait, eu égard à la nature diffamatoire des déclarations que vous avez faites, exige sous quarante-huit (48) heures la publication par le même cana, d’un droit de réponse et d’un démenti de votre part.
Mory SOUMAHORO, le Secrétaire général.
Précisions
Loin de vouloir porter atteinte à l’image du CREPMF, de son secrétaire général et de ses cadres, notre article voulait susciter le débat autour des retards accusés par la mise en place des transactions électroniques en Bourse et le lancement du troisième compartiment, deux projets qui devaient être lancés depuis au moins trois ans. Nous espérons, à travers cette mise au point, que des éclairages soient apportés sur le retard accusé par ces deux projets à fort impact de développement.
Adama Wade, Directeur de la Publication