–1 euro = 10,8 dirhams
JLEC : Octroi par le CDVM d’une dérogation relative au dépôt d’une offre publique d’achat par TAQA
-DARI COUSPATE : Franchissement à la baisse des seuils de participation de 33% et 20% par M. Mohamed KHALIL… …Et, franchissement à la hausse des seuils de participation de 5% et 10% par M. Mohamed Amine KHALIL. Plus de news sur Casablanca Place Financière.
-GROUPE OCP : La société kenyane des engrais compte importer 100 mille tonnes d’engrais DAP en janvier 2014
-RADEEF : La Régie pour l’eau potable & l’électricité à Fès prévoit un plan d’investissement de 1,4 MMDhs sur la période 2014-2018
-LOI ORGANIQUE : Adoption par le Conseil du Gouvernement du projet de loi organique relatif à la loi de finances
-TRESOR : Placement de ses excédents de trésorerie avec prise en pension pour des montants de 3 MMDhs à un jour au TMP de 2,26%, 6 MMDhs à un jour au TMP de 2,50% et de 2 MMDhs à 7 jours au TMP de 2,61%
-BANK AL-MAGHRIB : 49 MMDhs servis au cours de l’appel d’offres du 02 janvier 2014 au titre des avances à 7 jours au taux de 3%.
-CEREALES : Suspension des droits de douane sur les importations de blé tendre pour la période allant du 1er janvier au 30 avril 2014
–AUTOMOBILES : Baisse de 7,32% des ventes à 120 766 véhicules à fin Décembre 2013
-ACIER PLAT : Report de l’audition publique relative à la requête de dumping présentée par MAGHREB STEEL au 04 février 2014, au lieu du 21 janvier. L’ audition publique sera organisée par le ministère délégué au Commerce extérieur. Elle fait suite à l’enquête antidumping sur les importations de tôle d’acier laminées à chaud, originaire de l’union européenne et de la Turquie. L’audition permettra à Maghreb Steel, à l’origine de la plainte, et à ses contradicteurs de défendre leurs points de vue.
-Ciment: le groupe Brésilien Votorantim envisage de construire une usine dans les environs de Meknès pour un investissement global de 1,45 milliard de dirhams. L’annonce de cet investissement intervient alors que la consommation du ciment, en contraction de 6% ‘est établi à 14 millions de tonnes en 2013.
Dette extérieure : 12 Md MAD de plus pour le Maroc
L’encours de la dette extérieure publique marocaine a atteint 224,7 Md MAD à fin septembre 2013, contre
212,7 Md MAD à fin 2012, soit une hausse de 5,6%, selon la Direction du Trésor et des finances extérieures
(DTFE). Cette hausse est imputée essentiellement à l’augmentation de 4,2 Md MAD de la dette extérieure du
Trésor et 7,8 Md MAD de celle des établissements et entreprises publics (EEPs). S’agissant de la structure de la
dette publique, les créanciers multilatéraux constituent le 1er groupement de créanciers du Maroc avec une
part de 49,2% de la dette extérieure publique, suivis des créanciers bilatéraux avec 34% et des institutions
financières monétaires et des banques commerciales avec 16,8%. Et par structure d’emprunteurs, le Trésor
accapare 53,9% du total de la dette extérieure publique et demeure ainsi le principal emprunteur, suivi par les
établissements publics qui détiennent 45,7% de ladite dette, alors que les banques et les collectivités locales
ne comptent à leurs actifs que 0,4% de la dette extérieure publique durant cette période.
Investissement : 42 Md MAD approuvés
La Commission interministérielle des investissements a approuvé le 30 décembre 2013, 40 projets de
conventions d’investissement, et une annexe d’une enveloppe globale de 42 Md MAD. Ces investissements
devraient générer plus de 2.000 emplois stables et directs et 14.000 emplois indirects. Le secteur de l’énergie
s’accapare les trois quarts du montant de ces investissements avec 31 Md MAD, suivi des secteurs des
infrastructures, du transport et de la logistique (4 Md MAD). Les Télécoms occupent la troisième place avec
7,3% du total des investissements, suivis de l’industrie (4,8%) et du tourisme (3,8%).
Crédit bancaire : tourne au ralenti
Le rythme de progression du crédit bancaire tourne au ralenti. Son accroissement en glissement annuel
s’établit à seulement 2.5% à fin novembre après 3.1% enregistrés à fin octobre dernier. On est toujours loin
des prévisions de la Banque centrale qui avait annoncé lors de son dernier conseil, que la croissance du crédit
devrait se situer autour de 3.5% à fin décembre 2013. Le ralentissement du crédit bancaire s’explique
principalement par la baisse de 2.3% des facilités de trésorerie et le repli de 5% des prêts aux sociétés non
financières privées.
Dépôts bancaires: 696 Md MAD
Les dépôts se chiffrent à 696 Md MAD à fin novembre, soit un regain de 5.1%. L’augmentation des dépôts
pourrait être meilleure à condition que les mesures pour la mobilisation de l’épargne longue soient relancées.
Crédit à l’habitat : se maintient à 7,3%
Les crédits à l’habitat représentent plus de la moitié du volume des prêts immobiliers soit 160 Md MAD en augmentation de 7.3%. À l’inverse, les crédits aux promoteurs immobiliers ont atteint 67 Md MAD, soit un recul de 0.4%.
Télécoms : une mesure pour la qualité de réseau
Un nouveau projet de loi modifiant et complétant la loi relative aux télécoms en vigueur, vient d’être diffusé
aux membres du gouvernement. Selon le Ministère de l’industrie, du commerce, de l’investissement et de
l’économie numérique, le nouveau texte vise à remédier aux insuffisances relevées ces dernières années. A
noter que l’une des nouveautés phares de ce projet de loi concerne sans doute l’introduction d’une nouvelle
prestation dite d’itinérance nationale. Concrètement, cette prestation permet à un abonné aux services du
téléphone mobile de l’un des opérateurs télécoms d’utiliser le réseau mobile d’un autre opérateur national dans
le cas où le réseau de son propre opérateur ne couvre pas la zone dans laquelle l’abonné se trouve.
ONEE: révision tarifaire
L’Office National de l’Electricité et de l’Eau plonge dans une situation d’insolvabilité. Avec un déficit de 3.5 Md
MAD, l’office continue à vendre à perte, notamment 28 centimes pour chaque kilowattheure. Le gouvernement
veut équilibrer les comptes de cet établissement avec un nouveau contrat-programme, qui est en cours de
finalisation. En attendant, l’office devrait procéder à une éventuelle augmentation des tarifs d’électricité,
toutefois les factures de moins de 100 kilowattheures ne subiront pas de hausse.
Sources: Upline Daily (Upline Securities), Sogécapital Bourse (Société Générale), Bourse de Casablanca